Notes de version Solaris 10 11/06

Chapitre 2 Problèmes d'exécution de Solaris

Ce chapitre traite des problèmes d'exécution.


Remarque –

Certains problèmes et bogues répertoriés dans ce chapitre ont été corrigés dans les versions suivantes de Solaris 10. Si vous avez mis à niveau votre logiciel Solaris, certains problèmes et bogues présentés dans ce chapitre ne s'appliquent peut-être plus. Pour connaître les bogues et problèmes qui ne s'appliquent plus à votre logiciel Solaris 10, reportez-vous à l'Annexe A, Tableau des bogues intégrés résolus dans le système d'exploitation Solaris 10.


Common Desktop Environment

Les bogues suivants dans Solaris 10 s'appliquent à Common Desktop Environment (CDE).

Panne de Trusted Stripe lors d'un changement de rôle utilisateur (6495454)

Un changement de rôle dans un environnement linguistique, à l'exception de la version anglaise, provoque l'arrêt brutal de Trusted Stripe.

Solution : choisissez l'une des opérations indiquées ci-dessous.

Masque ACL Nautilus non synchronisé avec les autorisations de groupe (6464485)

Les autorisations de groupe définies dans l'onglet des autorisations doivent être identiques aux autorisations de masque définies dans l'onglet des accès. Il arrive cependant qu'elles ne soient pas synchronisées.

Solution : cliquez sur le bouton Fermer, puis cliquez sur Recharger. Affichez de nouveau les propriétés du fichier. Les autorisations de groupe et de masque sont resynchronisées. Les autorisations sont définies en fonction des modifications apportées au masque à l'étape précédente.

Options Solaris Trusted Extensions non traitées par la commande d'interface de ligne de commande SMC (6447833)

Ce bogue affecte la gestion de SolarisTM Trusted Extensions à l'aide de SMC. Lorsque la ligne de commande SMC est employée avec l'option de boîte à outil -B pour appliquer les options Trusted Extensions, la commande ne s'exécute pas. Cet échec empêche d'utiliser la CLI SMC pour la gestion de Solaris Trusted Extensions. Le message d'erreur suivant s'affiche :


There was an unrecognized extended, nonstandard option specified with the -x option.
Please refer to man pages for additional information and correct syntax usage

Solution : utilisez l'interface graphique SMC pour gérer les utilisateurs, les rôles et les profils.

Icône dtfile et pointeur non visibles lors du déplacement de l'icône à l'aide de la souris (6462945)

Lorsque vous faites glisser l'icône dtfile, il est possible que l'icône et le pointeur de la souris ne s'affichent pas. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : ajoutez les lignes suivantes au fichier /usr/dt/config/<locale>/sys.resources, sous #if EXT_SUN_TS OL :


!! DragNDrop protocol. Other styles cause policy violation.
*DragInitiatorProtocolStyle:            DRAG_DYNAMIC
*DragReceiverProtocolStyle:             DRAG_DYNAMIC

Mise à jour du fichier tnrhdb par la commande SMC sans mise à jour du cache d'hôte de confiance à l'aide de tnctl (6471594)

Lorsque les modèles de sécurité réseau sont gérés à l'aide de la commande SMC, le fichier /etc/s ecurity/tsol/tnrhdb est mis à jour, mais pas le cache tndb. Les définitions de sécurité réseau ne sont pas appliquées. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : suite à la modification d'une entrée de réseau dans SMC, rafraîchissez manuellement le cache tndb à l'aide de l'une des commandes suivantes :

Connexion impossible à l'aide de GDM sauf si l'espace libre est défini sur admin_high (6432114)

Toute tentative de connexion au JDS (Java Desktop System) Solaris Trusted Extensions à l'aide de GDM échoue. Cet échec est lié à la configuration PAM. En effet, le fichier pam.conf(4) ne contient pas les entrées requises pour GDM.

À la connexion, le message d'erreur suivant s'affiche :


The system administrator has disabled access to 
the system temporarily

Solution : ajoutez les deux lignes suivantes au fichier /etc/pam.conf :


gdm account requisite pam_roles.so.1
gdm account required pam_unix_account.so.1

Pour obtenir des informations sur le format du fichier, reportez-vous à la page de manuel pam.conf(4).

Trusted Stripe disparaît de l'écran en cas de modification de la résolution (6460624)

Si vous tapez la commande /usr/X11/bin/xrander -s pour réduire la résolution d'écran, Trusted Stripe ne s'affiche plus. Le desktop autorisé du CDE est affecté, mais pas le Java DS Desktop autorisé. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : après avoir modifié la résolution, redémarrez le Gestionnaire de l'espace de travail. Sélectionnez Windows -> Restart Workspace Manager dans le menu de l'espace de travail du CDE, puis cliquez sur OK.

Touche ou raccourci clavier Secure Attention hors service sur les systèmes x86 (6486416)

La touche Secure Attention ou le raccourci clavier correspondant (Alt+Inter) sur les claviers de PC, ne fonctionne pas sur les systèmes x86. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : aucune.

x86 : impossible de configurer l'agrandissement plein écran sur les systèmes comportant une seule carte vidéo

Si votre système Solaris 10 présente une seule carte vidéo, vous ne pouvez pas le configurer pour un agrandissement plein écran. Si vous disposez d'une telle configuration, vous devez utiliser un fichier de configuration distinct dans lequel vous définirez les paramètres d'un pilote fictif. Commencez par vous assurer que le serveur X est inactif. Ensuite, réalisez les opérations suivantes :

  1. Ouvrez une session en ligne de commande.

    • Si vous utilisez le gestionnaire d'affichage de GNOME, procédez comme suit :

      1. Ouvrez une session en tant que superutilisateur.

      2. À l'invite, tapez svcadm disable application/gdm2-login.

      3. Ouvrez une nouvelle session en tant que superutilisateur.

    • Si vous utilisez dtlogin, procédez comme suit :

      1. Dans la fenêtre dtlogin, cliquez sur Options, puis sélectionnez Command Line Login.

      2. Connectez-vous en tant que superutilisateur.

  2. Créez un nouveau fichier xorg.conf.


    # /usr/X11/bin/Xorg -configure
    

    Cette commande crée le fichier xorg.conf.new dans le répertoire racine (/).

  3. Copiez le nouveau fichier de configuration dans le répertoire /etc/x11 et renommez le fichier xorg.conf.


    # cp /xorg.conf.new /etc/X11/xorg.conf
    
  4. Modifiez les paramètres du fichier selon les exemples de configuration suivants :

    • Ajoutez une nouvelle section monitor.


      Section "Monitor"
       	Identifier   "monitor_dummy"
       	ModelName    "dummy"
       	HorizSync    10-200
         	VertRefresh  20-90
          EndSection
    • Ajoutez une nouvelle section device.


      Section "Device"
         BoardName    "dummy"
         Driver       "dummy"
         Identifier   "device_dummy"
         VendorName   "dummy"
         videoram	10000
      EndSection

      Remarque –

      Il vous faudra peut-être modifier la valeur videoram, suivant la largeur et la hauteur d'écran, ainsi que la profondeur de couleur gérées par votre carte graphique. La valeur en kilo-octets doit être suffisante pour l'écran qui sera utilisé. Par exemple, vous pouvez calculer cette valeur à l'aide de la formule width * height * bpp/8.


    • Ajoutez une nouvelles section screen.


      Section "Screen"
         DefaultDepth 24
         SubSection "Display"
           Depth      24
           Modes      "1280x1024"
         EndSubSection
         Device       "device_dummy"
         Identifier   "screen_dummy"
         Monitor      "monitor_dummy"
      EndSection

      Remarque –

      Il vous faudra peut-être modifier la valeur de résolution en fonction de votre configuration système.


  5. Observez la ligne suivante, située sous la section ServerLayout :


    Screen      0  "Screen0" 0 0
  6. Insérez la ligne suivante sous la ligne indiquée à l'étape précédente :


    Screen      1  "screen_dummy" RightOf "Screen0"

    Cette nouvelle ligne définit Screen1, un deuxième écran fictif théoriquement situé à droite de Screen0, l'écran physique et principal.

  7. Enregistrez les modifications.

  8. Réinitialisez le système à partir de la session en ligne de commande appropriée :

    • Si vous utilisez GDM, procédez comme suit :

      1. Tapez svcadm enable application/gdm2-login.

      2. Redémarrez le système.

    • Si vous utilisez dtlogin, réinitialisez le système et ouvrez une session.

  9. Lancez le lecteur d'écran Gnopernicus.

  10. Définissez le mode de démarrage (Startup Mode) sur Magnifier.

  11. Cliquez sur Preferences, puis sélectionnez l'option Magnifier.

  12. Cliquez sur Add/Modify.

  13. Attribuez les valeurs suivantes aux préférences Magnifier :

    • Pour Source : 0.1

    • Pour Zoomer Placement :

      • Left et Top : 0

      • Bottom et Right : maximum

  14. Cliquez sur Appliquer.

    En raison de l'agrandissement plein écran situé au premier plan, les fenêtres Gnopernicus deviennent invisibles. Néanmoins, l'agrandissement plein écran est désormais disponible.

x86 : problèmes lors de la configuration d'une souris USB en tant que périphérique d'extension à utiliser avec le clavier à l'écran GNOME

Il est impossible de configurer une souris USB en tant que périphérique d'extension à utiliser avec le clavier à l'écran GNOME (GOK). La configuration échoue lorsque vous configurez une souris USB tout en utilisant une souris PS2 en tant que dispositif de pointage principal. Pour configurer correctement une souris USB, procédez comme suit.

  1. Connectez-vous en tant que superutilisateur.

  2. La souris USB étant débranchée, tapez la ligne suivante dans une fenêtre de terminal :


    # ls -l /dev/usb/hid*
    
  3. Branchez la souris USB et tapez à nouveau la commande indiquée ci-dessus.

  4. Notez le chemin d'accès de la souris USB qui apparaît à l'écran.

  5. Ouvrez une session en ligne de commande.

    • Si vous utilisez le gestionnaire d'affichage de GNOME, procédez comme suit :

      1. Ouvrez une session en tant que superutilisateur.

      2. À l'invite, tapez svcadm disable application/gdm2-login.

      3. Ouvrez une nouvelle session en tant que superutilisateur.

    • Si vous utilisez dtlogin, procédez comme suit :

      1. Dans la fenêtre dtlogin, cliquez sur Options, puis sélectionnez Command Line Login.

      2. Connectez-vous en tant que superutilisateur.

  6. Créez un nouveau fichier xorg.conf.


    # /usr/X11/bin/Xorg -configure
    

    Cette commande crée le fichier xorg.conf.new dans le répertoire racine (/).

  7. Copiez le nouveau fichier de configuration dans le répertoire /etc/x11 et renommez le fichier xorg.conf.


    # cp /xorg.conf.new /etc/X11/xorg.conf
    
  8. Modifiez les paramètres du fichier :

    • Dans la section ServerLayout, ajoutez un périphérique d'entrée pour Mouse1 après la ligne InputDevice "Mouse0" "CorePointer". Consultez l'exemple ci-dessous.


      InputDevice   "Mouse0" "CorePointer"
      InputDevice   "Mouse1"
    • Dans la section InputDevice qui contient la ligne Identifier "Mouse0", appliquez les modifications suivantes :

      • Remplacez Option "Device" "/dev/mouse" par Option "Device" "/dev/kdmouse"

      • Remplacez Option "Protocol" "auto" par Option "Protocol" "VUID"

      • Ajoutez la nouvelle Option suivante :


        Option    "StreamsModule" "vuid3ps2"

      Une fois que vous avez appliqué ces modifications, la section doit ressembler à l'exemple ci-dessous :


      Section "InputDevice"
         Identifier  "Mouse0"
         Driver      "mouse"
         Option      "Protocol" "VUID"
         Option      "Device" "/dev/kdmouse"
         Option      "StreamsModule" "vuid3ps2"
      EndSection
    • Créez une nouvelle section InputDevice après la section InputDevice précédente :


      Section "InputDevice"
         Identifier  "Mouse1"
         Driver      "mouse"
      	  Option      "Device" "/dev/usb/hid1"
      EndSection

      Remarque –

      /dev/usb/hid1 est un exemple de chemin d'accès pour la souris USB. Remplacez /dev/usb/hid1 par le chemin d'accès de l'étape 4.


  9. Enregistrez le fichier et quittez.

  10. Réinitialisez le système à partir de la session en ligne de commande appropriée :

    • Si vous utilisez GDM, procédez comme suit :

      1. Tapez svcadm enable application/gdm2-login.

      2. Redémarrez le système.

    • Si vous utilisez dtlogin, réinitialisez le système.

  11. Connectez-vous au compte utilisateur de l'interface accessible.

  12. Activez la prise en charge de la technologie assistive. Pour cela, cliquez sur le menu Launch => Preferences => Accessibility => Assistive Technology Support.

  13. Déconnectez-vous du système, puis connectez-vous à nouveau au compte utilisateur de l'interface accessible.

  14. Ouvrez une fenêtre de terminal et tapez la commande suivante :


    % /usr/sfw/bin/gok --select-action=switch1
    
  15. Dans la fenêtre GOK, cliquez sur GOK, puis sélectionnez Preferences.

  16. Si nécessaire, paramétrez GOK en fonction des besoins de l'utilisateur de l'interface accessible. Sinon, pour accepter la configuration actuelle, cliquez sur Appliquer, puis sur OK dans la fenêtre Preferences de GOK.

  17. Quittez GOK et relancez-le. Pour cela, cliquez sur le menu Launch => Applications => Accessibility => On-Screen Keyboard. Le message d'avertissement suivant risque de s'afficher :


    The device you are using to control GOK is
    also controlling the system pointer.
  18. Cliquez sur OK .

  19. Quittez GOK, puis recommencez les étapes 14 à 17.

    Le message d'avertissement ne s'affiche plus.

x86 : prise en charge des chipsets graphiques intégrés Intel i810 et i815

Les chipsets graphiques intégrés Intel i810 et i815 ne sont pas pris en charge par le serveur Xorg X Window System. Ils sont en revanche pris en charge par le serveur Xsun. Pour configurer le serveur Xsun de sorte qu'il utilise ces chipsets, procédez comme suit :

  1. Prenez le rôle de superutilisateur.

  2. Exécutez le programme permettant de configurer le clavier, l'affichage et la souris.


    # kdmconfig
    
  3. Sur l'écran Introduction and X Server Selection, sélectionnez le serveur Xsun.

    Sur l'écran View and Edit Window System Configuration, Intel i810/i815 (4Mo) doit être automatiquement sélectionné et affiché en tant que périphérique vidéo.

  4. Si les chipsets Intel i810 et i815 ne sont pas automatiquement sélectionnés, sélectionnez l'option Change Video Device/Monitor.

  5. Sur l'écran Video Device Selection, sélectionnez l'option Intel i810/i815 (4Mo).

  6. Sélectionnez d'autres options de kdmconfig.

x86 : échec des applications GNOME avec dtremote (6278039)

Les applications GNOME ne s'exécutent pas si vous vous connectez à distance et si vous activez l'accessibilité dans gnome-at-properties. Si vous tentez de lancer une application GNOME, le message d'erreur suivant s'affiche :


** ERROR **: Accessibility app error:
 exception during registry activation from id:
 IDL:Bonobo/GeneralError:1.0
  aborting...

Solution : aucune. N'activez pas l'accessibilité lorsque vous vous connectez à l'aide de dtremote.

Pour revenir aux paramètres de bureau par défaut où l'accessibilité est désactivée, fermez la session GNOME. Entrez la commande suivante :


% gnome-cleanup

Les fonctions d'affichage plein écran et d'accessibilité clavier ne fonctionnent pas (6273030)

Le logiciel Java Desktop System ne permet pas de configurer les fonctionnalités suivantes :

Solution : procédez comme suit :

  1. Ouvrez le fichier /etc/X11/gdm/gdm.conf.

  2. En fonction de la plate-forme de votre système, procédez comme suit :

    • Sur les systèmes SPARC :

      1. Recherchez dans le fichier la ligne qui commence comme suit :


        command=/usr/openwin/bin/Xsun
      2. Ajoutez la modification suivante à cette ligne :


        +kb +accessx -dev framebuffer1 -dev 
        framebuffer2
        

        Par exemple :


        +kb +accessx -dev /dev/fbs/pfb1 -dev /dev/fbs/pfb0
    • Sur les systèmes x86 :

      1. Recherchez dans le fichier la ligne qui commence comme suit :


        command=/usr/X11R6/bin/Xorg
      2. Ajoutez la modification suivante à cette ligne :


        +kb +accessx

x86 : la commande kdmconfig ne crée pas de fichier de configuration d'identification système pour serveur X Xorg X (6217442)

Si vous avez recours à la méthode d'installation JumpStart, le processus peut s'appuyer sur un fichier de configuration d'identification système (sysidcfg). Ce fichier sert à générer un fichier de configuration Xsun spécifique à un système. La partie de la configuration Xsun d'un fichier sysidcfg est créée par le biais de la commande kdmconfig -d filename. Cependant, sur les systèmes qui utilisent le serveur Xorg par défaut, la commande ne crée pas de fichier comportant des informations de configuration Xorg. Par conséquent, vous ne pouvez pas avoir recours à la méthode JumpStart sur ces systèmes sans mesures de préparation préalables.

Solution : avant de mettre en œuvre la méthode d'installation JumpStart sur un système qui a recours au serveur Xorg, effectuez la procédure suivante.

  1. Préparez un fichier xorg.conf spécifique à utiliser sur le système. Stockez ce fichier dans le répertoire JumpStart du serveur JumpStart.

    Pour des instructions sur la création d'un fichier xorg.conf et sur l'accès aux informations Xorg, reportez-vous à la rubrique x86 : le programme qui configure le clavier, l'affichage et la souris ne fonctionne pas avec le serveur X (6178669).

  2. Créez un script de fin qui copie le fichier xorg.conf dans le répertoire /etc/X11 du système que vous voulez installer. Le script peut, par exemple, inclure la ligne suivante :


    cp ${SI_CONFIG_DIR}/xorg.conf /etc/X11/Xorg.conf
  3. Dans le fichier de règles JumpStart personnalisé, ajoutez le script de fin dans l'entrée des règles pour les systèmes du type de celui que vous voulez installer.

  4. Effectuez l'installation JumpStart personnalisée.

Pour obtenir les instructions d'installation JumpStart personnalisée, reportez-vous au Guide d’installation de Solaris 10 11/06: installation JumpStart personnalisée et installation avancée. Le chapitre 4 contient des informations sur le fichier des règles JumpStart et le chapitre 5 une section sur les scripts de fin.

x86 : les instructions kdmconfig pour configurer le serveur X Xorg sont incomplètes (6205881)

Les instructions fournies dans le programme kdmconfig pour configurer le serveur Xorg sont incomplètes. Le programme répertorie les instructions de base permettant de générer un fichier xorg.conf. Cependant, des informations essentielles manquent. Par exemple, des options du fichier xorg.conf sont remplacées par d'autres à plusieurs endroits :

Pour plus d'informations sur la configuration de serveurs Xorg, reportez-vous aux sources suivantes :

Si ces répertoires ne sont pas dans le chemin man, vous avez deux possibilités :

Certains scripts qui démarrent le serveur Xorg ont recours aux propriétés de référentiel smf(5). Le référentiel FMRI svc:/applications/x11/x11-server sert surtout au stockage des propriétés du serveur X. Les propriétés suivantes s'appliquent au serveur Xorg :

En devenant superutilisateur vous pouvez définir et récupérer ces propriétés à l'aide de la commande svccfg comme le montre l'exemple suivant :


# svccfg 
svc:> select application/x11/x11-server 
svc:/application/x11/x11-server> listprop options/default_depth 
options/default_depth integer 24


 
svc:/application/x11/x11-server> setprop options/default_depth = 8 
svc:/application/x11/x11-server> listprop options/default_depth 
options/default_depth integer 8


 
svc:/application/x11/x11-server> end
#

x86 : le programme qui configure le clavier, l'affichage et la souris ne fonctionne pas avec le serveur X (6178669)

Dans la version Solaris 10 actuelle, Xorg remplace Xsun en tant que serveur X par défaut. Le programme qui configure le clavier, l'affichage et la souris ( kdmconfig ) s'applique uniquement au serveur Xsun. et n'a aucune incidence sur la configuration du serveur Xorg. Vous ne pouvez donc pas utiliser la commande kdmconfig pour configurer le serveur Xorg. Alors que kdmconfig vous permet de sélectionner le serveur à utiliser, kdmconfig configure uniquement le serveur Xsun.

Solution : pour configurer le serveur Xorg, procédez comme suit :

  1. Créez un fichier xorg.conf avec l'une de ces commandes :

    • /usr/X11/bin/Xorg -configure

    • /usr/X11/bin/xorgconfig

    • /usr/X11/bin/xorgcfg

  2. Modifiez comme il se doit le fichier xorg.conf.

  3. Déplacez le fichier xorg.conf dans /etc/X11/xorg.conf .

Pour plus de détails concernant la configuration du serveur Xorg, consultez les pages man Xorg dans /usr/X11/man. Ce répertoire ne se trouve pas dans le chemin de la page man par défaut. Pour afficher ces pages man, vous pouvez au choix :


Remarque –

Les options de ligne de commande Xorg peuvent remplacer les paramètres xorg.conf. Reportez-vous aux pages man pour plus d'informations sur les options à utiliser avec Xorg.


La fonction d'exécution automatique du support amovible du CDE a été supprimée (4634260)

La fonction d'exécution automatique du média amovible de l'environnement de bureau CDE a été temporairement supprimée du logiciel Solaris 10.

Solution : pour utiliser la fonctionnalité d'exécution automatique d'un CD ou d'un autre volume amovible, veuillez procéder comme indiqué ci-dessous.

L'application Synchronisation organiseur (PDASync) de Solaris ne peut pas supprimer la dernière entrée de l'ordinateur (4260435)

Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer, puis restaurer sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.

Solution : supprimez manuellement la dernière entrée sur l'organiseur avant de lancer la synchronisation.

DVD de documentation

Les bogues suivants ont été identifiés dans la version Solaris 10.

Package SUNWsdocs nécessaire pour supprimer d'autres packages de documentation

Si vous supprimez le package SUNWsdocs puis essayez de supprimer les autres packages de documentation, la suppression échoue. Ce problème se présente parce que le package SUNWsdocs est installé avec n'importe quelle collection et constitue le point d'entrée du navigateur.

Solution : si vous avez supprimé le module SUNWsdocs, réinstallez-le à partir du support de documentation, puis supprimez les autres modules de documentation.

Disponibilité en anglais uniquement des documents au format PDF des environnements linguistiques en langues européennes (4674475)

Sur les systèmes fonctionnant avec la version Solaris 10 actuelle, les documents PDF sur le CD de documentation du programme ne sont pas accessibles dans les environnements linguistiques européens suivants :

Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :

Systèmes de fichiers

Les bogues de systèmes de fichiers suivants s'appliquent à la version Solaris 10.

Ajout de périphériques se chevauchant autorisé dans un pool de stockage ZFS (6414648)

Avec la commande zpool add, vous risquez d'ajouter involontairement des périphériques identiques, ce qui peut affecter l'intégrité des données. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : si un pool de stockage ZFS est créé avec des périphériques identiques, supprimez le pool, puis recréez-le.

Échec de zoneadm install avec un montage ZFS existant (6449301)

Si une zone non globale est initialement configurée avec un système de fichiers ZFS à monter avec la sous-commande `add fs et avec la spécification mountpoint=legacy, la tentative d'installation de zone suivante échoue. Le message d'erreur suivant s'affiche :


ERROR: No such file or directory:
cannot mount </zones/path/root/usr/local> in non-global zone to install:
the source block device or directory </path/local> cannot be accessed

Solution : après avoir installé la zone non globale, ajoutez l'accès à un système de fichiers ZFS.

Épuisement de la mémoire et blocage du système en cas de nettoyage zpool (6456888)

Une opération de réargenture ou de nettoyage zpool de grandes quantités de données peut entraîner le blocage du système ou générer des erreurs systèmes graves. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : en cas de blocage du système ou d'erreurs systèmes graves, procédez comme suit :

  1. Redémarrez le système.

  2. Continuez l'opération de réargenture ou de nettoyage.

  3. Veillez à ne pas surcharger le système en tentant d'effectuer d'autres tâches lors de cette opération.

Problèmes de compatibilité ZFS et UNIX/POSIX

ZFS est conçu pour être un système de fichiers compatible POSIX et il l'est dans la plupart des cas. Il existe cependant deux exceptions où ZFS ne satisfait pas les tests de compatibilité POSIX :

  1. Mise à jour des statistiques de capacité du système de fichiers ZFS.

  2. Modification des données existantes dans un système de fichiers saturé.

CR connexes :

Affichage de messages d'avertissement parasites en cas d'ajout de patch ZFS à un système Solaris 10 11/06 (6429860)

L'application de patchs ZFS à un système Solaris 10 11/06 avec la commande patchadd provoque la génération de messages d'avertissement parasites, du fait que les packages ZFS sont ajoutés au système pour la première fois. Le message d'erreur suivant s'affiche :


The following requested patches have packages not installed on the system:
	Package SUNWzfskr from directory SUNWzfskr in patch 122641-03 
	is not installed on the system.

	Changes for package SUNWzfskr will not be applied to the system.

Solution :

Ignorez les messages parasites à la commande patchadd.

fdisk -E peut analyser le disque analysé par ZFS sans avertissement (6412771)

Si vous exécutez la commande fdisk -E pour modifier un disque utilisé par un pool de stockage ZFS, le pool devient inutilisable et peut entraîner une erreur d'E/S ou une erreur système grave.

Solution :

N'utilisez pas la commande fdisk pour modifier un disque utilisé par un pool de stockage ZFS. Pour accéder à un disque utilisé par un pool de stockage, utilisez plutôt l'utilitaire format. Les disques utilisés par des systèmes de fichiers ne doivent généralement pas être modifiés.

ZFS et problèmes de produits de sauvegarde tiers

Les problèmes suivants concernent les produits Veritas NetBackup et Brightstor ARCserve Backup.

Veritas NetBackup ne sauvegarde ni ne conserve les fichiers avec ACL ZFS/NFSv4 (6352899)

Veritas NetBackup peut être utilisé pour sauvegarder des fichiers ZFS et cette configuration est prise en charge. Ce produit ne prend cependant pas actuellement en charge la sauvegarde ou la restauration des données ACL de type NFSv4 des fichiers ZFS. Les bits d'autorisations classiques et d'autres attributs de fichier sont correctement sauvegardés et restaurés.

Si un utilisateur tente de sauvegarder ou de restaurer des fichiers ZFS, les données ACL de type NFSv4 des fichiers ZFS sont perdues. Aucun message d'erreur indiquant que les données ACL des fichiers ZFS sont perdues n'est affiché.

La prise en charge des ACL ZFS/NFSv4 est en cours de développement et est prévue dans la prochaine version de Veritas NetBackup.

Solution 1

À partir de la version Solaris 10 11/06, les commandes tar et cpio gèrent correctement les fichiers ZFS avec les ACL de type NFSv4.

Utilisez la commande tar avec l'option -p ou la commande cpio avec l'option -P pour écrire les fichiers ZFS dans un fichier. Utilisez alors Veritas NetBackup pour sauvegarder l'archive tar ou cpio.

Solution 2 :

Outre Veritas NetBackup, vous pouvez également utiliser les commandes send et receive de ZFS pour sauvegarder des fichiers ZFS. Ces commandes gèrent correctement tous les attributs des fichiers ZFS.

Agent client BrightStor ARCserve Backup pour UNIX (Solaris) et prise en charge de ZFS

L'agent client BrightStor ARCserve Backup (BAB) pour UNIX (Solaris) permet de sauvegarder et de restaurer les fichiers ZFS.

Cependant, les ACL ZFS de type NFSv4 ne sont pas conservées. Les attributs et droits d'accès aux fichiers UNIX habituels sont conservés.

Solution : pour conserver les fichiers ZFS avec les ACL NFSv4, exécutez la commande tar avec l'option -p ou la commande cpio avec l'option -P pour intégrer les fichiers ZFS à un fichier. Ensuite, utilisez BAB pour sauvegarder l'archive tar ou cpio.

L'interface utilisateur ZFS doit vérifier /usr/lib/embedded_su au début de chaque assistant (6326334)

Si vous ajoutez le package SUNWzfsg de la version Solaris 10 11/06 à un système exécutant une version antérieure sur laquelle le patch embedded_su n'est pas installé, les assistants de l'application ZFS Administration ne fonctionnent pas correctement.

Si vous tentez d'exécuter l'application ZFS Administration sur un système sur lequel le patch embedded_su n'est pas installé, vous ne pourrez pas consulter la configuration de votre ZFS. Le message d'erreur suivant s'affiche :


/usr/lib/embedded_su: not found

Solution :

Ajoutez le patch embedded_su (119574-02) au système exécutant une version antérieure à Solaris 10 6/06.

Échec de synchronisation du système de fichiers en cas de panique (6250422)

Si un hôte panique avec l'E/S d'un système de fichiers sur une cible qui est connectée à l'aide de l'initiateur Solaris iSCSI, l'E/S risque de ne pas pouvoir vider ou synchroniser sur le périphérique cible. Cette incapacité à vider ou à synchroniser peut entraîner une corruption du système de fichiers. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution :

Utilisez un système de fichier journalisé comme UFS. Dans Solaris 10, la journalisation UFS est activée par défaut. Pour plus d'informations sur UFS, reportez-vous à What’s New in File Systems in the Solaris 10 Release? du System Administration Guide: Devices and File Systems.

Itinéraire nécessaire pour éviter le redémarrage d'une opération scrub ou resilver (2136811)

Si un instantané ZFS est créé alors qu'une opération scrub ou resilver de données est en cours, l'opération scrub or resilver doit être totalement recommencée. Si des instantanés sont pris fréquemment, l'opération scrub ou resilver risque de ne jamais se terminer.

Solution :

Ne prenez pas d'instantanés lorsqu'une opération scrub ou resilver est en cours.

Le remontage des systèmes de fichiers est nécessaire pour procéder à la mise à niveau à partir de certaines versions de Solaris Express ou de Solaris 10

Après la mise à niveau d'un serveur NFSv4 de 6/05 à Solaris Express 7/05 ou version ultérieure (y compris toutes les versions Solaris 10), vos programmes peuvent rencontrer des erreurs EACCES. En outre, des répertoires sont anormalement vides.

Pour ces erreurs, démontez et remontez les systèmes de fichiers clients. Si le démontage échoue, il peut être nécessaire de démonter le système de fichiers concerné à l'aide de la commande umount -f. Vous pouvez également réinitialiser le client.

Les fonctions de la liste de contrôle d'accès NFSv4 peuvent ne pas fonctionner correctement

Les fonctions de la liste de contrôle d'accès NFSv4 (ACL, Access Control List) peuvent ne pas fonctionner correctement si des versions antérieures de Solaris 10 sont installées sur les clients et les serveurs du réseau. Les fonctions ACL concernées et les utilitaires de ligne de commande qui ont recours à ces fonctions sont :

Pour plus d'informations concernant ces fonctions et ces utilitaires, reportez-vous à leurs pages man respectives.

Des erreurs peuvent par exemple être observées sur un réseau avec la configuration suivante :

Le tableau suivant indique les résultats des fonctions ACL dans des configurations client-serveur avec différentes versions de Solaris 10.

Opération 

Système d'exploitation client S10 

Système d'exploitation serveur S10 

Résultat 

obtenir ACL 

S10 bêta 

Système d'exploitation S10 

ACL * fabriquée 

obtenir ACL 

Système d'exploitation S10 

S10 bêta 

fonctionne correctement 

définir ACL 

S10 bêta 

Système d'exploitation S10 

fonctionne correctement 

définir ACL 

Système d'exploitation S10 

S10 bêta 

Erreur : EOPNOTSUP 

Solution : pour que la fonctionnalité ACL NFSv4 fonctionne correctement, effectuez une installation complète du Solaris 10 sur le serveur et le client.

Problèmes d'accès entre les clients et les serveurs NFSv4 Solaris

Dans la version Solaris 10 actuelle, l'implémentation de l'ACL NFSv4 est désormais conforme aux spécifications RFC 3530. Cependant, des erreurs se produisent pour les clients NFSv4 qui fonctionnent avec les versions Solaris 10 bêta 2 ou bêta 1. Ces clients ne peuvent pas créer de fichiers sur les serveurs NFSv4 qui fonctionnent avec la version Solaris 10 actuelle. Le message d'erreur suivant s'affiche :


NFS getacl failed for server_name: error 9 (RPC: Program/version mismatch)

Solution : aucune.

L'utilisation de la commande mkfs pour créer un système de fichiers risque d'échouer sur les disques de très grande capacité (6352813)

La commande mkfs risque de ne pas réussir à créer un système de fichiers sur les disques présentant une certaine géométrie et une capacité supérieure à 8 Go. La capacité du groupe de cylindres dérivé est trop importante pour le fragment de 1 ko. La grande capacité du groupe de cylindres implique un volume de métadonnées qu'un bloc ne suffit pas à contenir.

Le message d'erreur suivant s'affiche :


With 15625 sectors per cylinder, minimum cylinders
per group is 16. This requires the fragment size to be
changed from 1024 to 4096.
Please re-run mkfs with corrected parameters.

Solution : utilisez plutôt la commande newfs. Vous pouvez également attribuer une plus grande taille de fragment, telle que 4096, lorsque vous utilisez la commande mkfs.

La création d'un système de fichier risque d'échouer au niveau des petites tranches (6346510)

La création d'un système de fichiers UFS à l'aide de la commande newfs risque de ne pas aboutir dans les situations suivantes :

Cette erreur est due aux importants besoins du système de fichiers en termes de capacité de stockage des métadonnées. Le message d'avertissement suivant apparaît :


Warning: inode blocks/cyl group (295) >= data blocks (294) in last
     cylinder group. This implies 4712 sector(s) cannot be allocated.
/dev/rdsk/c0t0d0s6:     0 sectors in 0 cylinders of 48 tracks, 128 sectors
         0.0MB in 0 cyl groups (13 c/g, 39.00MB/g, 18624 i/g)
super-block backups (for fsck -F ufs -o b=#) at:
#

Solution : en tant que superutilisateur, adoptez l'une des solutions suivantes :

Échec du vidage mémoire sur incident du système sur les périphériques supérieurs à 1 To (6214480)

Le système ne peut pas générer le vidage de la mémoire sur une partition dont la taille est supérieure ou égale à 1 To. Si un périphérique de cette taille se trouve sur un système, la réinitialisation du système à la suite d'une panique peut entraîner ce qui suit :

Solution : configurez la taille du périphérique de vidage de votre système de sorte qu'elle soit inférieure à 1 To.

L'utilisation de la commande smosservice pour ajouter les résultats des services du système d'exploitation entraîne l'affichage d'un message indiquant un espace disque insuffisant (5073840)

Si vous utilisez la commande smosservice pour ajouter des services du système d'exploitation à un système de fichiers UFS, un message indiquant que l'espace disque disponible est insuffisant s'affiche. Cette erreur est propre aux systèmes de fichiers UFS sur des disques portant l'étiquette EFI.

Solution : recourez à la solution suivante :

  1. Appliquez l'étiquette de disque SMI VTOC.

  2. Recréez le système de fichiers.

  3. Réexécutez la commande smosservice.

Problèmes et bogues liés au matériel

Les problèmes et bogues liés au matériel suivants s'appliquent à la version Solaris 10.

Définition impossible du clavier 106 japonais à l'aide de kdmconfig (6463842)

Si le clavier 106 japonais est connecté au système et que le type de clavier Japanese-106/type7 est sélectionné via kdmconfig, la présentation américaine est appliquée au système après la réinitialisation. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : définissez kbd-type en exécutant la commande eeprom :


# eeprom kbd-type='Japanese(106)'

Redémarrez le système.

SPARC : échec de la commande DR: cfgadm -c configure dans l'emplacement de Starcat et Silverstone (6452077)

Ce bogue concerne toutes les plates-formes PCI existantes qui possèdent des emplacements enfichables à chaud et dans lesquelles le client tente de connecter à chaud et de configurer une carte créant une requête MEM 64 bits, telle qu'une carte Crystal 2R Fibre Channel.

Aucun message d'erreur ne s'affiche. Toutefois, la configuration échoue et la carte est inutilisable.

Solution : aucune. Insérez la carte dans l'emplacement avant de redémarrer le système. La carte est configurée et opérationnelle.

Non affichage du paramètre d'équilibrage de charge spécifique au périphérique via mpathadm

La sous-commande mpathadm show logical-unit indique la valeur de configuration globale de l'équilibrage de charge pour la propriété Current Load Balance. Cependant, les entrées du fichier csi_vhci.conf qui modifient le type d'équilibrage de charge pour un produit spécifique n'ont aucune correspondance dans la sortie mpathadm, même si le paramètre est activé.

Exécution impossible de Power Management sur certaines mémoires graphiques à cause de l'outil d'enregistrement (6321362)

Si les processus d'arrière-plan de l'outil d'enregistrement restent en cours d'exécution, les mémoires graphiques Elite3D et Creator3D interrompent la gestion de l'énergie. Cette panne réduit les économies d'énergie lorsque le système est en mode de gestion d'énergie. Dans certaines conditions, sys-suspend risque également d'être suspendu. Aucun message d'erreur ne s'affiche. Le système risque d'être suspendu lors de l'opération d'interruption ou de reprise.

Solution :

Exécutez la commande suivante environ 60 secondes après chaque connexion :


# pkill -f basicreg.jar
# pkill -f swupna.jar

SPARC : les versions 1.0 et 1.1 de la carte Sun Crypto Accelerator 4000 ne sont pas prises en charge dans Solaris 10

Solaris 10 comporte une nouvelle structure cryptographique. Cependant, les versions 1.0 et 1.1 du logiciel et du microprogramme de la carte Sun Crypto Accelerator 4000 n'utilisent pas cette structure. Par conséquent, ces versions ne sont pas prises en charge dans Solaris 10.

La version 2.0 utilise la nouvelle structure. Cette version est disponible gratuitement pour les utilisateurs de la carte Sun Crypto Accelerator 4000 qui envisagent d'installer le Solaris 10. En raison du contrôle exercé sur l'exportation de la carte Sun Crypto Accelerator 4000, vous devez contacter les services clientèle destinés aux entreprises Sun Enterprise ou votre distributeur local pour vous procurer cette mise à niveau. Des informations supplémentaires sont disponibles sur la page Web de Sun Crypto Accelerator 4000 du site des produits de Sun.

Certains contrôleurs USB 2.0 sont désactivés

La prise en charge de certains contrôleurs USB 2.0 a été désactivée en raison d'incompatibilités entre ces périphériques et le pilote EHCI. Le message suivant s'affiche :


Due to recently discovered incompatibilities with this 
USB controller, USB2.x transfer support has been disabled. 
This device will continue to function as a USB1.x controller. 
If you are interested in enabling USB2.x support please refer 
to the ehci(7D) man page. 
Please refer to www.sun.com/io for Solaris Ready products 
and to www.sun.com/bigadmin/hcl for additional compatible 
USB products.

Les dernières informations concernant les périphériques USB sont disponibles sur le site http://www.sun.com/io_technologies/USB-Faq.html.

Périphériques USB pris en charge et configurations de hub correspondantes

Cette version de Solaris prend en charge les périphériques USB 1.1 et USB 2.0. Le tableau suivant résume les périphériques USB fonctionnant sur des configurations spécifiques. Les connexions peuvent se faire directement sur l'ordinateur ou via un hub USB. Notez que les périphériques et hubs USB 1.1 sont à basse ou haute vitesse. Les périphériques et hubs USB 2.0 sont à haute vitesse. Pour plus de détails sur les ports et les vitesses de fonctionnement, reportez-vous au document System Administration Guide: Devices and File Systems.

Tableau 2–1 Périphériques USB et configurations

Périphériques USB 

Types de connexion 

Périphériques de stockage USB 2.0 

Directe, hub USB 1.1, hub USB 2.0 

Périphériques USB 1.1 sauf audio 

Directe, hub USB 1.1, hub USB 2.0 

Périphériques audio USB 1.1 

Directe, hub USB 1.1 

Périphériques audio USB 2.0 

Non pris en charge 

x86 : des limites existent avec certains pilotes de périphériques dans Solaris 10

La liste suivante décrit les limites avec certains pilotes et interfaces dans cette version de Solaris 10 pour les plates-formes x86 :

Checkpoint Resume

Cette fonctionnalité est désactivée pour tous les types de périphériques. Dans le code DDI_SUSPEND de la fonction detach(), vous devez renvoyer DDI_FAILURE.

Power Management

Cette fonctionnalité n'est pas disponible pour les périphériques USB. Ne créez pas de composants de gestion d'énergie. Écrivez le pilote de manière que les fonctions pm_raise_power() et pm_lower_power() soient appelées seulement lorsque les composants de gestion d'énergie sont créés.

Lecteurs de DVD-ROM/CD-ROM sur systèmes sans écran

La fonction de gestion d'énergie des périphériques interactifs tels que les médias amovibles est liée à la gestion d'énergie de l'écran et de sa carte graphique. Si votre écran est actif, les périphériques tels que les lecteurs de CD-ROM et de disquettes restent en mode plein régime. Ces périphériques peuvent passer en mode bas régime sur un système sans écran. Pour réalimenter en énergie le lecteur de CD ou de disquettes, tapez volcheck pour obtenir le dernier état de chaque périphérique amovible.

Vous pouvez également désactiver la gestion de l'énergie sur le système à l'aide de l'interface graphique Dtpower. Ce faisant, ces périphériques fonctionneront constamment à plein régime.

x86 : configuration manuelle nécessaire pour spécifier des claviers dans d'autres langues que l'anglais

Par défaut, le programme kdmconfig spécifie Generic US-English(104-Key) comme type de clavier connecté au système. Si le clavier du système n'est pas un clavier anglais-US, vous devez dans ce cas spécifier manuellement le clavier au cours de l'installation. Sinon, l'installation continue avec une spécification de clavier par défaut ne correspondant pas au type de clavier du système.

Solution 1 si le clavier du système n'est pas un clavier anglais-US, effectuez la procédure suivante au cours de l'installation :

  1. Lorsque la fenêtre de configuration du système proposée pour l'installation s'affiche, appuyez sur Échap.


    Remarque –

    Les informations sur cette fenêtre, comportant le type de clavier, sont affichées pendant 30 secondes. Si vous voulez changer les paramètres de la configuration, appuyez sur Échap avant la fin de ce laps de temps. Sinon, l'installation continue avec les paramètres affichés.


  2. Changez le type de clavier en choisissant le type correspondant au clavier de votre système.

  3. Appuyez sur Entrée pour accepter le changement et poursuivre l'installation.

Solution 2 : si vous souhaitez modifier le type de clavier d'un système exécutant déjà Solaris 10, servez-vous du programme kdmconfig. Choisissez l'option qui s'applique au type de serveur X fonctionnant sur votre système.

SPARC : la gestion de l'énergie sur matériel Sun Expert3D et Sun Elite3D ne fonctionne pas dans certaines circonstances (6321362)

Les cartes Sun Expert3D et Sun Elite3D au sein de stations de travail Sun BladeTM 1000 ou Sun Blade 2000 passent normalement en mode d'économie d'énergie au bout d'une période d'inactivité. Pourtant, si ces cartes sont configurées en tant que système principal sur le serveur X, la gestion de l'énergie ne fonctionne pas. Les cartes affectées restent en mode de consommation maximale et aucune économie d'énergie n'est réalisée. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : aucune.

SPARC : le pilote jfca de certains adaptateurs de bus hôte (HBA, Host Bus Adapter) connectées à des lecteurs de bandes peut produire des erreurs (6210240)

Le pilote jfca pour les adaptateurs de bus hôte suivants peut provoquer une panique du système ou des échecs E/S lorsque ces HBA sont connectés à des lecteurs de bandes :

Le pilote jfca des HBA peut se trouver confronter à une situation dans laquelle certaines opérations risquant de provoquer des erreurs sont exécutées. Ces opérations sont les suivantes :

Des messages d'erreur semblables à ceux des exemples suivants peuvent s'afficher :

Solution : ne connectez aucun lecteur de bandes à l'adaptateur (HBA) SG-PCI1FC-JF2 ou SG-PCI2FC-JF2.

Conflit entre certains périphériques partageant le même bus (6196994)

Un conflit de bus se produit si des cartes Quad Fast-Ethernet (QFE) partagent le même bus avec l'un des adaptateurs suivants :

Le paramètre infinite-burst du pilote ce utilisé par ces adaptateurs est activé par défaut. Par conséquent, le délai sur le bus pour permettre aux ports QFE de le partager est insuffisant ou il est écoulé.

Solution : ne placez pas les cartes QFE sur le même bus que les adaptateurs réseau de la liste.

La fonction DDI hat_getkpfnum() est obsolète (5046984)

La fonction DDI hat_getkpfnum() est obsolète. Les développeurs doivent mettre à jour les pilotes de leurs périphériques de manière qu'ils n'utilisent pas l'interface DDI de la fonction hat_getkpfnum(). Si les pilotes utilisent la fonction hat_getkpfnum,() des avertissements semblables à ceux de l'exemple suivant s'affichent :


WARNING: Module mydrv is using the obsolete hat_getkpfnum(9F)
interface in a way that will not be supported in
a future release of Solaris. Please contact the
vendor that supplied the module for assistance,
or consult the Writing Device Drivers guide,
available from http://www.sun.com for migration
advice.
---
Callstack of bad caller:
       hat_getkpfnum_badcall+93
       hat_getkpfnum+6e
       mydrv_setup_tx_ring+2d
       mydrv_do_attach+84
       mydrv_attach+242
       devi_attach+6f
       attach_node+62
       i_ndi_config_node+82
       i_ddi_attachchild+4a
       devi_attach_node+4b
       devi_attach_children+57
       config_immediate_children+6e
       devi_config_common+77
       mt_config_thread+8b

Pour déterminer si un pilote utilise la fonction hat_getkpfnum(), consultez le code source du pilote ou examinez les symboles de celui-ci à l'aide de la fonction nm(). En vous basant sur le pilote mydrv comme exemple, tapez la syntaxe suivante :


% nm /usr/kernel/drv/mydrv | grep hat_getkpfnum

Pour des instructions sur la migration des pilotes de façon à les éloigner de hat_getkpfnum(), reportez-vous à l'Annexe B, Summary of Solaris DDI/DKI Services du Writing Device Drivers.

x86 : l'utilisation de deux cartes Adaptec SCSI Card 39320D sur un serveur Sun Fire V65x peut provoquer la panique du système (5001908)

L'utilisation de deux cartes Adaptec SCSI Card 39320D sur un serveur Sun Fire V65x peut provoquer la panique de ce système. La panique se produit lors de la réinitialisation du système à la suite de l'installation du logiciel Solaris 10. Le message d'erreur suivant s'affiche :


Initializing system  Please wait... 
1 run-time error M6111: MATH
	- floating-point error: stack underflow

Solution : retirez la seconde carte Adaptec.

x86 : l'arrêt logiciel du système n'est pas pris en charge dans le système d'exploitation Solaris sur x86 (4873161, 5043369)

Le système d'exploitation Solaris sur x86 ne prend pas en charge l'arrêt logiciel du système provoqué par une commande. Une commande d'arrêt équivaut à appuyer sur le bouton de marche/arrêt pour mettre le système hors tension. Sur les systèmes x86, l'exécution de cette commande pendant le fonctionnement du système d'exploitation Solaris éteint immédiatement l'ordinateur sans arrêter correctement le système d'exploitation. Cet arrêt incorrect peut endommager le système de fichiers.

Solution : avant d'éteindre l'ordinateur, arrêtez d'abord le système d'exploitation. Procédez comme suit :

  1. Prenez le rôle de superutilisateur.

  2. Utilisez une des commandes disponibles pour arrêter correctement le système d'exploitation Solaris, par exemple les commandes init, halt ou shutdown. Par exemple :


    # shutdown
    
  3. Après l'arrêt complet du système d'exploitation, vous pouvez éteindre l'ordinateur de l'une des deux manières suivantes :

    • Si le système prend en charge l'arrêt logiciel, exécutez la commande pour éteindre l'ordinateur.

    • Si le système ne prend pas en charge l'arrêt logiciel, éteignez manuellement l'ordinateur à l'aide de l'interrupteur.

Pour plus d'informations sur les commandes permettant d'arrêter le système d'exploitation, consultez les pages de manuels des commandes init(1M), halt(1M) et shutdown(1M). Pour plus d'informations concernant la mise hors tension de votre système, reportez-vous aux manuels du système.

Certains lecteurs de DVD et de CD-ROM ne permettent pas d'initialiser Solaris (4397457)

La valeur par défaut du délai d'attente de la partie SCSI de la carte SunSwiftTM PCI Ethernet/SCSI (X1032A) ne correspond pas au délai d'attente du lecteur SCSI DVD-ROM de Sun (X6168A). Avec un média marginal, le lecteur de DVD-ROM rencontre parfois des erreurs de délai d'attente. Les seules exceptions étant les systèmes Sun Fire 6800, 4810, 4800 et 3800. Ces systèmes remplacent la valeur de délai d'attente SCSI à l'aide de OpenBoot PROM.

Solution : pour d'autres plates-formes, utilisez les interfaces SCSI intégrées ou les adaptateurs SCSI compatibles avec les lecteurs de DVD-ROM, comme dans les exemples suivants :

Problèmes avec iPlanet Directory Server 5.1

Cette section fournit des informations importantes aux utilisateurs de iPlanet TM Directory Server 5.1 qui effectuent des mises à niveau vers la nouvelle version de Solaris 10.

Installation de Directory Server 5.1

Sun Java System Directory Server 5 2005Q1 remplace iPlanet Directory Server 5.1 qui était intégré au système d'exploitation Solaris 9. Dans Solaris 10, ce nouveau serveur d'annuaire peut être installé comme partie intégrante de Sun Java Enterprise System.


Remarque –

Pour plus d'informations concernant le serveur d'annuaire Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System, consultez la documentation de Sun Java System sur le site http://docs.sun.com.


Solaris 10 continue de prendre en charge Directory Server 5.1. Il peut être cependant nécessaire d'installer Directory Server 5.1 dans les cas suivants :

Dans la version Solaris 10, l'installation de Directory Server 5.1 s'effectue manuellement. Procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Insérez le CD Logiciel Solaris 10 - 4 dans le lecteur de CD-ROM.

  2. Prenez le rôle de superutilisateur.

  3. Dans une fenêtre du terminal, installez Directory Server.


    # cd /cdrom/cdrom0/Solaris_10/Product/
    # pkgadd -d . IPLTnls IPLTnspr IPLTnss IPLTjss IPLTpldap \
    IPLTdsr IPLTdsu IPLTadmin IPLTcons IPLTadcon IPLTdscon \
    IPLTadman IPLTdsman
    

    Pour installer les packages de la version localisée en chinois simplifié, exécutez la commande supplémentaire ci-dessous :


    # pkgadd -d . IPLTcdsu IPLTcadmin IPLTccons IPLTcadcon \
    IPLTcdscon IPLTcadman IPLTcdsman
    

    Pour installer les packages de la version localisée en japonais, exécutez la commande supplémentaire ci-dessous :


    # pkgadd -d . IPLTjdsu IPLTjadmin IPLTjcons IPLTjadcon \ 
    IPLTjdscon IPLTjadman IPLTjdsman
    
  4. Une fois l'installation terminée, configurez iPlanet Directory Server 5.1. Reportez-vous au Chapitre 11, Sun ONE Directory Server Configuration du System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP).

Migration vers Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System


Attention – Attention –

Les formats des bases de données des deux versions de Directory Server sont incompatibles. Par conséquent, si vous êtes un utilisateur de Directory Server 5.1, Sun vous recommande de migrer la base de données vers une base de données formatée pour Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System .


Pour que la migration puisse s'effectuer, les deux versions de Directory Server doivent exister dans le système qui a été mis à niveau vers le Solaris 10. Si vous êtes un utilisateur de DS 5.1, mais que vous utilisez le format de distribution d'archives compressé (.tar.gz), vous pouvez passer immédiatement aux instructions de migration de l'étape 2.

  1. Dans une fenêtre du terminal, vérifiez si les packages iPlanet Directory Server 5.1 sont présents sur votre système.


    $ pkginfo | grep IPLT
    

    Si les packages suivants sont présents sur le système, passez directement à l'étape 2 pour procéder à la migration. La liste ci-dessous contient les packages iPlanet Directory Server 5.1 présents sur le système.


    system  IPLTadcon  Administration Server Console
    system  IPLTadman  Administration Server Documentation
    system  IPLTadmin  Administration Server
    system  IPLTcons   Console Client Base
    system  IPLTdscon  Directory Server Console
    system  IPLTdsman  Directory Server Documentation
    system  IPLTdsr    Directory Server (root)
    system  IPLTdsu    Directory Server (usr)
    system  IPLTjss    Network Security Services for Java
    system  IPLTnls    Nationalization Languages and Localization Support
    system  IPLTnspr   Portable Runtime Interface
    system  IPLTnss    Network Security Services
    system  IPLTpldap  PerLDAP
    $

    Si les packages n'existent pas, installez-les. Reportez-vous à l'étape 4 de la procédure de la section précédente Installation de Directory Server 5.1. Une fois l'installation terminée, passez à l'étape 2 pour procéder à la migration.

  2. Migrez la base de données iPlanet Directory Server 5.1 vers la version actuelle. Pour plus d'instructions, reportez-vous à la documentation pour le serveur d'annuaire Sun Java System sur le site suivant : http://docs.sun.com/coll/DirectoryServer_05q1.

Après la migration de vos données, continuez à sauvegarder les données d'annuaire comme vous le faisiez avant la migration. Toute reprise sur sinistre peut nécessiter la base de données migrée.

Problèmes au cours de l'exécution du débogueur

Les problèmes suivants concernent le débogueur du noyau.

SPARC : problèmes liés au débogueur dbx lors du traitement d'objets 64 bits (6347707)

Le débogueur dbx s'arrête sur une erreur d'accès mémoire lors du traitement de certains fichiers exécutables et bibliothèques 64 bits. Néanmoins, le problème n'affecte pas l'utilisation normale de ces objets 64 bits. Un message similaire s'affiche :


dbx: internal error: signal SIGBUS (invalid address alignment)

Solution : utilisez soit le débogueur mdb, soit la fonctionnalité Solaris Dynamic Tracing à la place. Ces deux solutions permettent de diagnostiquer les processus utilisant des objets 64 bits.

Le système peut effectuer une boucle lorsque la CPU principale est changée (4405263)

Un système qui exécute le débogueur de noyau Solaris pour déboguer un système en direct peut effectuer une boucle avec des messages d'erreur incomplets. Cette boucle se produit lorsque la CPU maîtresse d'OpenBoot PROM est changée. La réinitialisation du système restaure le fonctionnement de celui-ci. Cependant, toute trace de l'échec d'origine est perdue. Par conséquent, il n'est pas possible d'effectuer un diagnostic de la réinitialisation fatale.

Solution : lorsque le système est au niveau de la PROM, l'invite ok d'OpenBoot s'affiche. Dans un système avec plusieurs CPU, l'invite ok est précédée d'un chiffre entre accolades. Ce chiffre indique la CPU qui est active dans le système. Pour exécuter la session de débogage au niveau de la PROM, procédez comme suit.

  1. Augmentez la valeur de pil à f en tapant la commande suivante :


    {0} ok h# 0f pil!
    
  2. Utilisez la commande switch-cpu pour commuter entre la CPU active et d'autres CPU. Par exemple, pour commuter de la CPU n°0 à la CPU n°1, tapez la commande suivante :


    (0) ok 1 switch-cpu
    

    L'invite ok est maintenant précédée du chiffre de la CPU vers laquelle vous avez permuté.


    {1} ok
  3. Exécutez le débogueur.

  4. À la fin de la session de débogage, exécutez une commande reset-all pour rétablir le système en utilisation normale.


Remarque –

Assurez-vous de mettre à niveau le système vers la dernière version d'OpenBoot PROM.


Problèmes liés à la localisation

Cette section décrit les problèmes de localisation s'appliquant au Solaris 10.

Méthode d'entrée japonaise Wnn8

Il est impossible d'utiliser la méthode d'entrée japonaise Wnn8 si les serveurs Wnn8 ne sont pas activés.

Solution : activez les serveurs Wnn8 :


# svcadm enable wnn8/server

De plus, sélectionnez Wnn8 comme moteur de langue japonaise en exécutant la commande iiim-properties.

Raccourcis clavier Mozilla ambigus en espagnol (6288620)

La version localisée en espagnol de Mozilla 1.7 possède des raccourcis clavier ambigus. Par exemple, le raccourci Ctrl+S permet à la fois de copier et d'enregistrer. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : utilisez les touches de raccourci assignées aux actions utilisateur dans le menu du produit.

Affichage incorrect des chaînes par l'outil de désinstallation dans certains environnements linguistiques (6487062)

Ce bogue affecte la désinstallation de Solaris Trusted Extensions à l'aide de prodreg dans des environnements linguistiques autres que C, POSIX ou de langue anglaise. Dans ces environnements, les chaînes ne s'affichent pas correctement lors de la désinstallation à l'aide de prodreg.

Aucun message d'erreur ne s'affiche. L'outil de désinstallation affiche des chaînes de marques de réservation et les boutons s'affichent incorrectement.

Solution : avant de désinstaller prodreg, exécutez les commandes suivantes :


# cd <Solaris_installation_media>/Solaris_10/ExtraValue/CoBundled/Trusted_Extensions
# cp -rp locale /var/sadm/tx

Ensuite, procédez à la désinstallation via prodreg.

Activation impossible de la méthode d'entrée avec les droits d'administrateur principal (6475081)

Un utilisateur possédant les droits d'administrateur principal ne peut pas employer la méthode d'entrée dans certains environnements linguistiques, ce qui l'empêche de saisir des caractères normalement. Le statut de la méthode d'entrée ne s'affiche pas dans l'espace de travail. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : ajoutez les lignes suivantes au fichier /etc/security/exec_attr :


Primary Administrator:solaris:cmd:::/usr/bin/csh:uid=0;gid=0
Primary Administrator:solaris:cmd:::/usr/bin/ksh:uid=0;gid=0
Primary Administrator:solaris:cmd:::/usr/bin/sh:uid=0;gid=0

Pour obtenir des informations sur le format du fichier, reportez-vous à la page de manuel exec_attr(4).

Échec d'ouverture de la fenêtre auxiliaire avec les méthodes d'entrée asiatique et Wnn (6481697)

Ce bogue affecte le desktop Solaris Trusted Extensions lorsqu'il est utilisé avec des étiquettes spécifiques dans certains environnements asiatiques. La fenêtre AUX ne s'ouvre pas avec les méthodes d'entrée asiatique et Wnn. Il est alors impossible de saisir normalement des caractères asiatiques. En cas d'utilisation du clavier, des caractères multioctet s'affichent.

Solution : procédez comme suit :

  1. Ajoutez les trois lignes suivantes aux fichiers /usr/openwin/server/etc/TrustedExtensionsPolicy et /usr/X11/lib/X11/xserver/TrustedExtensionsPolicy pour les systèmes x86 uniquement :


    selection /^Wnn/
    selection /^wnn/
    selection /^com.sun.iiim/
  2. Redémarrez le serveur X.

Nouvelle méthode d'entrée ChuYin non prise en charge dans les mises à niveau vers IIIMF rév.12 (6492129)

En cas de mise à niveau du système d'exploitation vers la version Solaris 10 6/06 ou Solaris 10 11/06, la structure de méthode d'entrée et les méthodes d'entrée individuelles sont mises à niveau de la rév.10 vers la rév.12. Cependant, ChuYin ne se trouve pas dans la liste de méthodes d'entrée prises en charge. En outre, les touches de fonction F2 et F3 ne peuvent pas être utilisées pour sélectionner les méthodes.

Solution : utilisez PinYin pour saisir des caractères du chinois traditionnel à l'aide de Hanyu PinYin. Sélectionnez la méthode d'entrée de votre choix à l'aide du raccourci Ctrl+Maj.

Changement de mode impossible avec AltGr dans certains environnements russes (6487712)

La touche Alt Gr ne permet pas de changer de mode entre plusieurs configurations Xsun russes dans les environnements linguistiques ru_RU.KOI8-R et ru_RU.ANSI1251.

Solution 1 sélectionnez l'environnement ru_RU.UTF-8 ou ru_RU.ISO8859-5.

Solution 2 : utilisez IIIMFTM à la place de la configuration de clavier russe.

Symboles arabes absents de la table de touches Arabic6.kt (6463576)

La table de touches Arabic6.kt ne contient aucun symbole arabe.

Solution : utilisez IIIMF. Définissez l'entrée arabe via le sélecteur gimlet au lieu de sélectionner l'arabe à l'aide de la touche Alt Gr.

Entrées de touche de composition hors service sur les applications GTK (6467756)

Certaines entrées de touche de composition telles que Compose+?+? ou Compose+|+| ne fonctionnent pas avec les applications GTK dans les environnements EMEA UTF-8. Cependant, les entrées fonctionnent parfaitement sur les applications non GTK, telles que Motif ou Java, lorsque la méthode d'entrée est inactive.

Solution 1

  1. Ouvrez le fichier /usr/openwin/lib/locale/common/imsscript/S505multi et remplacez GTK_IM_MODULE=iiim par GTK_IM_MODULE=xim.

  2. Connectez-vous de nouveau au système.

Solution 2 :

En suivant les directives des applications GTK, choisissez la méthode d'entrée X à partir du sous-menu des méthodes d'entrée, dans le menu contextuel de la zone de texte. Les entrées de touche de composition fonctionnent lorsque la méthode d'entrée est inactive.

Sélecteur de méthode d'entrée hors service dans le Java DS autorisé (6438372)

Les fonctions de sélection de la langue et de l'affichage du statut de la méthode d'entrée du sélecteur de méthode d'entrée ne fonctionnent pas dans le panneau du Java DS (Java Desktop System). Cependant, les applications d'étiquette d'administration fonctionnent.

Solution :

  1. Modifiez l'affichage du statut de la méthode d'entrée dans le cadre de l'application en suivant la procédure ci-dessous :

    • Démarrez l'éditeur de préférence de la méthode d'entrée (iiim-properties) à partir de la ligne de commande ou du menu de démarrage (Preferences -> Desktop Preferences -> Input Methods).

    • Dans l'onglet General, sélectionnez le bouton radio Attach Window Frame at Placement.

    • Cliquez sur Apply ou sur OK.

  2. Sélectionnez une langue d'entrée dans la liste de langues affichée. Cliquez sur la fenêtre de statut de la méthode d'entrée associée de l'application non GTK.


Remarque –

La liste de langues ne s'affiche pas pour les applications GTK. La modification de la langue dans une application non GTK se répercute sur toutes les applications sauf si l'option "The language is applied to all applications" est désactivée. Cette option est activée par défaut dans l'onglet General de l'éditeur de préférence de la méthode d'entrée. La liste de langues s'affiche si vous exécutez les applications GTK avec GTK_IM_MODULE=xim. Exemple :


% env GTK_IM_MODULE=xim gedit

Le texte en arabe n'apparaît pas dans les environnements linguistiques ar

Si le système x86 utilise Xorg en tant que serveur X par défaut, la police arabe (iso7759-6) n'apparaît pas dans l'environnement linguistique ar. Cette erreur ne se produit pas si vous utilisez XSun à la place de XOrg.

Solution : procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. En qualité de superutilisateur, modifiez /usr/dt/config/Xservers.

    • Annulez le commentaire ou ajoutez la ligne suivante :


      :0 Local local_uid@console root /usr/openwin/bin/Xsun :0 
      -nobanner -defdepth 24
    • Commentez la ligne suivante :


      :0 Local local_uid@console root /usr/X11/bin/Xorg :0
  2. Redémarrez le système.

Vous pouvez également vous connecter à des environnements linguistiques ar_EG.UTF-8 ou à d'autres environnements UTF-8.

L'application Synchronisation organiseur (PDASync) de Solaris ne gère pas l'échange de données avec l'organiseur international multioctets (4263814)

Si vous échangez des données multioctet entre un PDA et Solaris CDE, vous risquez d'altérer ces données dans les deux environnements.

Solution : sauvegardez vos données sur votre ordinateur personnel à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde PDA avant d'exécuter l'application Solaris PDASync. Si vous échangez accidentellement des données multioctet et qu'elles sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.

Échec de l'ajout de régions avec la commande localeadm (6350486)

La fonction permettant d'ajouter des régions avec la commande localeadm ne fonctionne plus si vous créez un nouveau fichier de configuration. Le CD de langue n'est pas détecté lorsque vous ajoutez les régions suivantes :

Le message d'erreur suivant s'affiche :


No langcd image has been found in
/cdrom/sol_10_1005_x86_4/Solaris_10/Product

No langcd image has been found in
/cdrom/sol_10_1005_x86_4 /cdrom/sol_10_1005_x86_4
/cdrom/sol_10_1005_x86_4
/cdro m/sol_10_1005_x86_4
/cdrom/sol_10_1005_x86_4

Please enter the path to this image/disk, or enter 'q' to quit:

Solution : lorsque vous êtes invité à créer un nouveau fichier de configuration, répondez par la négative. Utilisez plutôt le fichier de configuration installé sur votre système.

Messages L10N manquants en cas d'utilisation de l'utilitaire localeadm pour ajouter des environnements linguistiques (6423974)

Lorsque le fichier de configuration Locale_config est créé à l'aide de l'image DVD/net, l'utilisation du fichier Locale_config pour ajouter des environnements linguistiques laisse de nombreux messages non localisés sur le bureau Gnome. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution 1

    Connectez-vous en tant que superutilisateur et procédez comme suit :

  1. Modifiez l'emplacement du fichier localeadm Locale_config.


    # cd /usr/sadm/lib/localeadm/
    
  2. Rétablissez le fichier existant Locale_config intégré à l'utilitaire localeadm.


    # mv Locale_config_S10.txt.old Locale_config_S10.txt
    

Solution 2 :

Recréez le fichier Locale_config avec les images CD.

SPARC : le code de touche 50 ne fonctionne pas pour les configurations de clavier européen (6387317)

Le code de touche 50 ne fonctionne pas pour les configurations de clavier européen. Ce problème se produit avec tous les fichiers de table de touches *6.kt européens. Toutes les tables de touches affectent des symboles au code de touche 50 mais la touche ne fonctionne pas. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution :

Modifiez les fichiers *6.kt du répertoire /usr/openwin/share/etc/keytables . Copiez le code de touche 50 dans le code de touche 49 dans le fichier *6.kt concerné. Par exemple, ajoutez l'entrée suivante au code de touche 49 du fichier de table de touches concerné :

49 RN XK_numbersign XK_asciitilde

Plusieurs polices arabes ne fonctionnent pas dans GNOME (6384024)

Dans GNOME, lorsque vous sélectionnez certaines polices arabes, les caractères n'apparaissent pas. Ce problème se produit lorsque vous sélectionnez des polices pour des applications, le bureau ou le titre de la fenêtre via le menu des propriétés de police de GNOME. Les polices affectées sont notamment :

Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution :

Utilisez l'une des nouvelles familles de polices Kacst pour afficher les caractères arabes dans des applications GNOME.

Impossible de changer de langue d'entrée dans des applications de session (6360759)

Plusieurs langues d'entrée sont prises en charge dans les environnements linguistiques UTF mais le changement de langue ne fonctionne pas avec des applications de session lorsque vous cliquez sur le bouton gauche de la souris pour la première fois après la connexion. Ce problème se produit avec Java Desktop System (JDS). Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution :

Cliquez sur le bouton gauche de la souris dans l'arrière-plan de l'espace de travail ou sur le menu Démarrer avant de cliquer sur une application.

Certaines langues d'entrée ne fonctionnent pas correctement dans des configurations clavier non US (6319383)

Des langues d'entrée basées sur une configuration clavier localisée, comme le cyrillique ou l'arabe, ne fonctionnent pas correctement avec des configurations clavier non US. Par exemple, si vous utilisez un clavier français et que vous passez à une entrée en arabe, les résultats ne sont pas basés sur une configuration clavier arabe. Pour plus d'informations sur la méthode d'entrée, consultez l'aide de Input Method Preference Editor et de InputMethod Switcher Applet. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution 1

Utilisez une extension XKB pour changer de configuration clavier pour le serveur Xorg (x86 uniquement). Par exemple, ajoutez l'entrée suivante au fichier de configuration xorg.conf :


Section "InputDevice"
        Identifier "Keyboard1"
        Driver "Keyboard"

        Option "XkbModel" "pc105"
        Option "XkbLayout" "us,fr,ru"
        Option "XKbOptions" "grp:alt_shift_toggle"
EndSection

Cette configuration vous permet de basculer entre des configurations clavier US, Français et Russe en appuyant sur les touches Alt+Maj. Pour plus d'informations, consultez le fichier /usr/X11/share/doc/README.XKB-Config.

Solution 2 :

Utilisez l'utilitaire xorgcfg pour configurer des configurations clavier localisées (x86 uniquement).

Si un utilisateur autre que root utilise l'utilitaire xorgcfg, la configuration n'est pas enregistrée mais la configuration clavier est modifiée pour la session en cours.

Les raccourcis clavier dans Mozilla pour l'environnement linguistique ES sont inhabituels et confus (6288620)

Les raccourcis clavier dans Mozilla 1.7 sont inhabituels, notamment dans l'environnement linguistique espagnol. Par exemple, Ctrl+S permet de copier et d'enregistrer. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution :

Identifiez les touches de raccourci affectées aux actions de l'utilisateur depuis le menu du produit.

L'écran de connexion signale les environnements linguistiques UTF-8 comme étant recommandés

Sur le menu Language de l'écran de connexion, les environnements linguistiques UTF-8 sont marqués comme option recommandée. Par exemple, pour les environnements linguistiques en japonais, l'écran doit se présenter comme suit :


ja_JP.eucJP -------------- Japanese EUC
ja_JP.PCK  --------------- Japanese PCK
ja_JP.UTF-8 (Recommended) - Japanese UTF-8

L'utilisation des environnements linguistiques UTF-8 est recommandée pour les utilisateurs de Java Desktop System (JDS), car JDS a recours à UTF-8/Unicode pour le codage interne des caractères. Cette recommandation s'applique également à l'annonce de produits qui ne seront plus pris en charge pour les environnements linguistiques non UTF-8. Reportez-vous à Environnements linguistiques anciens ou traditionnels non UTF-8.

Migration vers un environnement linguistique UTF-8

Lors de la migration vers un environnement linguistique UTF-8, les fichiers affectent la méthode utilisée pour l'importation ou l'exportation des données.

Fichiers Microsoft Office

Les fichiers Microsoft Office sont codés en Unicode. Les applications StarOffice peuvent lire les fichiers codés en Unicode et écrire dedans.

fichiers HTML

Les fichiers HTML créés à l'aide d'éditeurs HTML tels que Mozilla Composer ou enregistrés dans un navigateur Web contiennent généralement une balise de codage charset. Après l'exportation ou l'importation, vous pouvez parcourir de tels fichiers HTML à l'aide du navigateur Web Mozilla ou les modifier à l'aide de Mozilla Composer, suivant la balise de codage du fichier HTML.

Réparation des fichiers HTML altérés

Certains fichiers HTML peuvent s'afficher dans des caractères inexploitables. Ce problème est généralement lié à l'un des motifs suivants :

Pour retrouver la balise de codage charset au sein du fichier HTML, réalisez les opérations suivantes :

  1. Ouvrez le fichier dans Mozilla.

  2. Appuyez sur les touches Ctrl-i ou cliquez sur View pour ouvrir le menu View.

  3. Cliquez sur Page Info.

Les informations charset figurent en bas de l'onglet General, par exemple :


Content-Type text/html; charset=us-ascii

Si la chaîne charset=us-ascii ne correspond pas au codage réel du fichier, celui-ci peut paraître altéré. Pour modifier les codes du fichier HTML, procédez comme suit :

  1. Ouvrez le fichier dans Mozilla Composer.

  2. Ouvrez le menu Fichier.

  3. Sélectionnez Save as Charset.

  4. Sélectionnez le codage approprié. Mozilla Composer convertit automatiquement le codage et la balise charset comme il se doit.

Enregistrement d'e-mails au format portable

Les e-mails envoyés par modern comportent la balise MIME charset. Or, les applications d'e-mail et de calendrier acceptent les balises MIME charset. Vous n'avez donc pas besoin d'exécuter une conversion de codage.

Fichiers ordinaires

Les fichiers ordinaires ne comportent pas de balise charset. Si les fichiers ne sont pas codés en UTF-8, il est nécessaire de convertir le codage. Par exemple, pour convertir un fichier ordinaire codé en big5 en chinois traditionnel vers UTF-8, exécutez la commande suivante :


iconv -f big5 -t UTF-8 inputfilename



 > outputfilename

Vous pouvez également utiliser File System Examiner pour la conversion de codage.

Vous pouvez utiliser Text Editor pour lire et écrire le texte de codage des caractères automatiquement ou par la spécification explicite d'un codage lors de l'ouverture ou de l'enregistrement d'un fichier.

Pour lancer Text Editor, cliquez sur Launch, puis choisissez Applications->Accessories->Text Editor.

Noms de fichiers et de dossiers

Si les noms de fichiers et de dossiers utilisant des caractères multi-octets n'utilisent pas le codage UTF-8, une conversion de codage est nécessaire. Vous pouvez utiliser File System Examiner pour convertir les noms de fichiers et de dossiers, ainsi que le contenu des fichiers ordinaires du codage d'origine des caractères en codage UTF-8. Pour plus d'informations, reportez-vous à l'aide en ligne de File System Examiner.

Pour lancer File Systems Examiner, cliquez sur Launch, puis choisissez Applications->Utilities->File System Examiner.

Lorsque vous accédez à des noms de fichiers ou de dossiers non-UTF-8 sous Microsoft Windows via SMB à l'aide du Gestionnaire de fichiers, vous pouvez le faire sans conversion de codage.

Lancement d'applications dans des environnements linguistiques anciens

Pour les applications qui ne sont pas prêtes pour une migration vers Unicode UTF-8, vous pouvez créer un programme de lancement sur un panneau avant pour exécuter l'application dans des environnements linguistiques anciens. Vous pouvez également lancer les applications directement à partir de la ligne de commande. Pour créer un programme de lancement pour une application, procédez comme suit :

  1. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le panneau où vous souhaitez placer le programme de lancement.

  2. Sélectionnez Add to Panel->Launcher.

  3. Utilisez le format suivant pour saisir l'entrée dans le champ Command de la boîte de dialogue Create Launcher :


    env LANG=env. linguistique LC_ALL=
    env. linguistique nom de l'application
    

    Par exemple, si vous souhaitez lancer une application appelée motif-app à partir de /usr/dt/bin dans l'environnement linguistique Chinese Big5, saisissez le texte suivant dans le champ Command de la boîte de dialogue Create Launcher :


    env LANG=zh_TW.BIG5 LC_ALL=zh_TW.BIG5 /usr/dt/bin/motif-app
    
  4. Cliquez sur OK pour créer le programme de lancement sur le panneau.

Lorsqu'il vous faut exécuter des applications à interface de ligne de commande (CLI, command line interface) spécifiques à un environnement linguistique ancien, commencez par ouvrir une fenêtre Terminal dans l'environnement linguistique ancien, puis exécutez les applications CLI dans la même fenêtre Terminal. Pour ouvrir une fenêtre Terminal dans un environnement linguistique ancien, saisissez la commande suivante :


eng LANG=env. linguistique LC_ALL=env. linguistique GNOME-TERMINAL –disbable-factory.

Au lieu d'ouvrir une nouvelle fenêtre Terminal dans un environnement linguistique ancien, vous pouvez faire passer le paramètre d'environnement linguistique de UTF-8 vers un environnement linguistique ancien dans la fenêtre Terminal active. Pour cela, il suffit de changer de codage dans le menu Set Character Encoding dans la fenêtre Terminal. Ensuite, il faut également définir les variables d'environnement LANG et LANG sur le shell actif.

Matériel non disponible pour le claviers estonien et français du Canada de type 6, et pour le clavier de programmation polonais de type 5

Le système d'exploitation Solaris inclut la prise en charge logicielle de trois nouvelles configurations de clavier : les claviers estonien et français du Canada de type 6 et le clavier de programmation polonais de type 5.

Ce logiciel offrira aux utilisateurs canadiens, estoniens et polonais une plus grande flexibilité d'entrées de claviers en leur permettant d'adapter les configurations de claviers américains standard à leurs propres besoins linguistiques.

Le matériel pour ces trois nouveaux types de claviers n'est pas disponible pour le moment.

Solution : pour tirer le meilleur profit de ce nouveau logiciel clavier, modifiez le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map en procédant de l'une des manières proposées ci-dessous.

Impossible d'imprimer des documents au format PDF (6239307, 6218079)

Dans tous les environnements linguistiques, le visualisateur de documents ne peut pas imprimer les fichiers localisés qui sont au format PDF (Portable Document Format).

Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :

x86 : le processus de connexion peut se bloquer dans certains environnements linguistiques asiatiques non UTF-8 (6215527)

Le processus de connexion à certains environnements linguistiques non UTF-8 peut se bloquer sur certains systèmes x86. Les environnements linguistiques suivants sont des exemples d'environnements pour lesquels cette erreur est observée :

Solution : dans le menu Language de la fenêtre de connexion, choisissez les environnements linguistiques UTF-8.

Les touches spéciales du clavier ne fonctionnent pas (5077631)

Les touches spéciales situées à gauche du clavier ne fonctionnent pas avec les associations de touches des claviers européens. Ce problème concerne tous les environnements linguistiques européens.

Solution : utilisez des raccourcis clavier au lieu des touches spéciales. L'exemple suivant répertorie différents raccourcis clavier et les fonctions correspondantes :

Les touches de commutation ne fonctionnent pas correctement (4996542)

Dans tous les environnements linguistiques, les touches Alt et Maj risquent de ne pas fonctionner en tant que touches de commutation lorsque vous utilisez la méthode d'entrée Internet/Intranet. Par exemple, la combinaison Maj-flèche de direction risque de ne pas vous permettre de sélectionner du texte. Cette combinaison risque d'insérer des caractères latins à la place.

Solution : utilisez une autre méthode d'entrée : la méthode par défaut, par exemple. Pour changer de méthode d'entrée, cliquez avec le bouton droit sur un objet et sélectionnez Input method.

Les caractères chinois et coréens s'impriment sous la forme de rectangles (4977300)

Les imprimantes postscript n'intègrent pas les caractères chinois et coréens. Par conséquent, dans les environnements linguistiques chinois et coréen, si vous lancez une impression à partir du navigateur Mozilla, les caractères s'impriment sous la forme de rectangles. Pour pouvoir imprimer un fichier, le système CUPS (Common UNIX Printer System) doit commencer par convertir les polices postscript Mozilla.

Solution : procédez comme suit.

  1. Cliquez sur Launch => Preferences => Printers.

  2. Cliquez avec le bouton droit sur l'icône de l'imprimante PostScript, puis sélectionnez le menu Properties.

  3. Cliquez sur l'onglet Avancé.

  4. Réglez Ghostscript pre-filtering sur Convert to PS level 1.

Fonctionnement incorrect de l'option de tri dans les environnements linguistiques européens UTF-8 (4307314)

Le tri ne fonctionne pas correctement dans les environnements localisés UTF-8 européens.

Solution : avant d'effectuer un tri dans un environnement localisé UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE avec l'équivalent ISO–1.


# echo $LC_COLLATE
>  es_ES.UTF-8
# LC_COLLATE=es_ES.IS08859-1
# export LC_COLLATE

Vous pouvez alors lancer le tri.

Problèmes de réseau

Les bogues de réseau suivants s'appliquent à la version Solaris 10.

Échec de la tentative de connexion sur la cible iSCSI avec deux portails et un portail incorrect (6476060)

Si la réponse send target d'une cible iSCSI ou d'une baie contient plusieurs adresses IP, l'initiateur ne tient compte que de la dernière adresse de la liste, et non pas de la première, comme c'était le cas dans les versions précédentes. Par conséquent, si la dernière adresse IP est incorrecte, la connexion à cette cible échoue.

Solution : renvoyez les différentes TBGT (Target Portal Group Tag, étiquette de groupe de portails cibles) associées à chaque entrée dans sa réponse send target. L'initiateur essaie toutes les adresses IP jusqu'à ce que la connexion soit établie.

Domaine système d'interprétation non configurable (6314248)

Le domaine système d'interprétation (DOI, Domain System of Interpretation) n'est pas configurable. Lors de la création d'un nouveau modèle de réseau de confiance à l'aide de la commande SMC, celle-ci définit le DOI sur 0, ce qui empêche Solaris Trusted Extensions de fonctionner correctement. Plusieurs messages d'erreur s'affichent.

Solution : définissez le DOI sur 1 à l'aide de la commande SMC.

Fuites de mémoire avec les suites de chiffrement ECC et RSA (6421471)

Une fuite de mémoire dans NSS avec les suites de chiffrement ECC et RSA risque de provoquer un blocage du système ou une erreur grave. Le message d'erreur out of memory s'affiche.

Solution : installez les patchs suivants :

L'initiateur iSCSI ne gère pas correctement la génération de rapports d'adresses LUN (6377485)

L'initiateur Solaris iSCSI ne prend pas en charge les unités logiques avec un LUN supérieur à 255. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution :

Modifiez les numéros d'unités logiques du périphérique cible pour qu'ils soient inférieurs à 255.

Une adresse MAC erronée s'affiche en présence de plusieurs cartes Ethernet (6316245)

Lorsque vous vous enregistrez sur un système d'exploitation Solaris 10 11/06 afin de gérer des mises à jour à distance via Sun Update Connection, vos informations système s'affichent. Si votre système comporte plusieurs cartes Ethernet, la même adresse MAC s'affiche pour toutes les cartes. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : aucune.

SPARC : la taille du message RTM_IFINFO est différente selon qu'il s'agit de compilations 32 bits et 64 bits

Les programmes soixante-quatre bits qui créent les sockets PF_ROUTE et qui analysent le contenu des messages RTM_IFINFO dans la structure if_msghdr_t risquent de ne pas fonctionner correctement à moins qu'ils ne soient recompilés.

La transmission IP est désactivée par défaut dans Solaris 10

Dans cette version de Solaris, la transmission IP est désactivée par défaut. Cette configuration s'applique à IPv4 et IPv6 indépendamment des autres configurations du système. Les systèmes avec plusieurs interfaces IP, qui transmettaient les paquets IP, ne disposent plus par défaut de cette fonction automatique. Pour activer la transmission IP sur des systèmes à multi-hébergement, les administrateurs doivent manuellement effectuer davantage d'opérations de configuration.

Solution : la commande routeadm active la transmission IP. Les modifications apportées à la configuration résultant de l'utilisation de la commande routeadm persistent après plusieurs réinitialisations du système.

Pour plus d'informations sur le transfert IP, reportez-vous à la page man routeadm(1M).

Generic LAN Driver Version 3 n'arrive pas à définir la longueur de champ des cadres LLC (6350869)

Generic LAN Driver Version 3 (GLDv3) définit incorrectement la longeur de champ des cadres LLC (Logical Link Control). Par conséquent, les protocoles qui dépendent de la technologie LLC (AppleTalk; par exemple) ne fonctionnent pas correctement. Aucun message d'erreur ne s'affiche. Le problème affecte les contrôleurs d'interface réseau suivants :

Solution : aucune.

Échec de l'initialisation de la zone lorsque l'adresse IP appartient à un groupe de multiacheminement sur réseau IP qui a échoué (6184000)

Vous pouvez configurer une zone de manière que l'adresse IP de la zone fasse partie d'un groupe de multiacheminement sur réseau IP. La documentation du processus de configuration est disponible sous la rubrique How to Extend IP Network Multipathing Functionality to Non-Global Zones du System Administration Guide: Solaris Containers-Resource Management and Solaris Zones.

Lorsque toutes les interfaces réseau du groupe de multiacheminement sur réseau IP échouent, une zone ne s'initialise pas si elle comporte une adresse IP faisant partie de ce groupe.

L'exemple suivant montre le résultat obtenu si vous tentez d'initialiser la zone.


# zoneadm -z my-zone boot 
zoneadm: zone 'my-zone': bge0:1: 
could not set default interface for multicast: Invalid argument 
zoneadm: zone 'my-zone': call to zoneadmd failed

Solution : réparez au moins une interface réseau dans le groupe.

Des erreurs intermittentes risquent de se produire dans le cadre de l'utilisation de DataDigests (5108515)

Les cibles Internet SCSI (iSCSI) risquent de signaler des erreurs de contrôle de redondance cyclique (CRC, cyclic redundancy check) lorsque des DataDigests sont activés. Les applications utilisateur qui mettent à jour les tampons d'entrée/sortie après la transmission vers l'initiateur iSCSI risquent d'entraîner un mauvais calcul du CRC. Lorsque la cible renvoie une erreur CRC, l'initiateur iSCSI retransmet les données avec le CRC DataDigest correct. L'intégrité des données est préservée. Néanmoins, cela affecte les performances du système en matière de transfert des données. Aucun message d'erreur ne s'affiche.

Solution : n'utilisez pas l'option DataDigest.

L'initialisation de sous-réseaux ATM LANE pour IPv4/IPv6 peut ne pas s'effectuer (4625849)

Lors de l'initialisation du système, il peut arriver que plusieurs instances ne se connectent pas à leur instance Émulation LAN (LANE, LAN Emulation) si plus de huit instances LANE se trouvent sur un seul adaptateur. Ce bogue ne se produit pas au niveau multiutilisateur.

Solution : pour réinitialiser votre réseau SunATM, procédez comme suit :

  1. Vérifiez le problème en exécutant une commande lanestat - a.

    La valeur VCI (Virtual Circuit Identifier) des instances qui ne sont pas connectées est 0 pour le serveur LES (LAN Emulation Server) et le serveur BUS (Broadcast and Unknown Address Server).

  2. Arrêtez et redémarrez le réseau SunATM.


    # /etc/init.d/sunatm stop
    # /etc/init.d/sunatm start
    
  3. Réinitialisez les masques de réseau ou d'autres configurations réseau pour les interfaces SunATM.

La configuration de plusieurs tunnels entre deux noeuds IP avec validation de filtrage peut engendrer une perte de paquets (4152864)

Si vous configurez plusieurs tunnels IP entre deux nœuds IP et validez ip_strict_dst_multihoming ou d'autres filtres IP, cela peut entraîner une perte de paquets.

Solution : sélectionnez l'une des options indiquées ci-dessous.

Problèmes de sécurité

Les problèmes de sécurité suivants s'appliquent à la version Solaris 10.

Échec de la connexion sans mot de passe lorsque pam_ldap est activé

Une fois le module PAM de gestion des comptes de LDAP (pam_ldap) activé, les utilisateurs doivent posséder un mot de passe pour pouvoir se connecter au système. Par conséquent, les connexions sans mot de passe échouent, y compris celles utilisant les outils suivants :

Solution : aucune.

Des paramètres incorrects peuvent provoquer une panique dans Sun StorEdge T3 (4319812)

Un système Sun StorEdgeTM T3 peut paniquer si une application utilise l'interface HTTP pour envoyer des jetons avec des paramètres hors des limites fixées.

Service Management Facility

Cette section décrit les problèmes liés au module de gestion des services de Solaris 10. Pour plus d'informations sur cette nouvelle fonction dans le système d'exploitation Solaris, reportez-vous à la rubrique Solaris Service Manager du Nouveautés de Solaris 10.

Les services d'impression sont en mode hors ligne par défaut (5100134)

Lorsqu'un hôte ne dispose pas d'imprimantes locales configurées, deux services d'impression, ipp-listener et rfc1179, sont définis par défaut sur hors ligne. Ces services sont automatiquement en ligne une fois que les imprimantes locales sont configurée sur l'hôte. Les paramètres hors ligne de ces services n'indiquent aucune erreur. Par conséquent, aucune intervention de l'utilisateur n'est nécessaire.

Solution : aucune.

Le démon keyserv désactive certains services du système de fichiers (5084183)

Sur les systèmes qui n'utilisent aucun service d'information réseau (NIS) ou aucun service de noms NIS+, les services NFS et autofs sont désactivés. Ce problème est dû à la dépendance de ces services par rapport au démon keyserv. Le démon keyserv s'appuie sur le nom de domaine RPC, qui n'est pas appliqué sur les systèmes n'utilisant ni les services NIS, ni les services NIS+. Par conséquent, l'échec du démon keyserv désactive les services NFS et autofs.

Solution : pour activer les services, procédez comme suit :

  1. Prenez le rôle de superutilisateur.

  2. Exécutez les commandes suivantes :


    # svcadm disable network/rpc/keyserv
    # svcadm disable -t network/nfs/client:default
    # svcadm enable network/nfs/client:default
    # svcadm disable -t network/nfs/server:default
    # svcadm enable network/nfs/server:default
    # svcadm disable -t network/rpc/gss:ticotsord
    # svcadm enable network/rpc/gss:ticotsord
    

Les invites de connexion s'affichent parfois avant que les systèmes de fichiers ne soient montés (5082164)

Lors du démarrage d'un système, il arrive parfois que les services de connexion, tels que la connexion à la console ou une connexion ssh, démarrent avant que les systèmes de fichiers distants et les services d'attribution de noms soient disponibles. Par conséquent, il peut arriver que le nom de l'utilisateur ne soit pas reconnu ou que le répertoire d'accueil de l'utilisateur ne soit pas disponible.

Solution : si l'erreur se produit, attendez quelques secondes, puis reconnectez-vous. Vous pouvez également vous connecter à partir d'un compte local pour visualiser l'état du système.

Carte à puce

Les bogues de carte à puce suivants s'appliquent au Solaris 10.

Le système ne répond pas à la carte à puce (4415094)

Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.

Solution : pour déverrouiller votre système, procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Connectez-vous à distance à la machine sur laquelle le processus ocfserv a été interrompu.

  2. Prenez le rôle de superutilisateur.

  3. Arrêtez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal.


    # pkill dtsession
    

ocfserv redémarre et la connexion à l’aide d’une carte à puce ainsi que la capacité sont rétablies.

L'option de menu Éditer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce ne marche pas (4447632)

L'option de menu Editer le fichier config de la console de gestion des cartes à puces ne modifie pas les fichiers de configuration de carte à puce situés dans /etc/smartcard/opencard.properties . Si vous sélectionnez cette option de menu, un avertissement apparaît vous demandant de ne pas continuer sauf demande contraire du support technique.

Solution : n'utilisez pas l'option de menu Éditer le fichier config dans la console de gestion des cartes à puce. Pour de plus amples informations sur la configuration des cartes à puce, consultez le document Solaris Smartcard Administration Guide.

Commandes et standards Solaris

La section suivante décrit les changements de comportement dans certaines commandes et standards du Solaris 10.

Exécution inattendue de la command d'annulation de configuration cfgadm après un échec (6483258)

Parfois, la commande cfgadm -c unconfigure échoue en raison d'E/S en attente. Une fois le noyau modifié, la commande est relancée hors ligne. Cependant, la commande d'annulation de configuration cfgadm peut s'effectuer plus tard, sans que l'utilisateur soit averti.

Solution : exécutez la commande cfgadm - al.

Bash 2.0.5b ne définit plus certaines variables d'environnement

Le Solaris 10 comporte Bash 2.0.5b. Ce shell n'exporte plus automatiquement les variables suivantes dans l'environnement :

Ce nouveau comportement s'applique même si le shell attribue des valeurs par défaut à ces variables.

Solution : exportez ces variables manuellement.

Le nouvel utilitaire ln nécessite l'option -f

Le comportement de /usr/bin/ln a été modifié afin de respecter tous les standards de SVID3 à XCU6. Si vous tentez d'établir la liaison vers un fichier cible existant à l'aide de la commande ln sans l'option -f, l'opération échoue. À la place, un message de diagnostic est écrit pour signaler une erreur de standard et la commande lie les fichiers source restants. Finalement, la commande ln se termine avec une valeur d'erreur.

Par exemple, si le fichier b existe, la syntaxe ln a b génère le message suivant :


ln: b: File exists

Ce changement de comportement a une incidence sur les scripts de shell existants ou les programmes qui comportent la commande ln sans l'option -f. Les scripts qui fonctionnaient auparavant peuvent maintenant échouer dans le Solaris 10.

Solution : utilisez l'option -f avec la commande ln. Si vous disposez de scripts qui exécutent l'utilitaire de liens, modifiez ces scripts pour qu'ils soient conformes au nouveau comportement de cette commande.

Le nouveau tcsh rejette les noms de variables setenv qui comportent un tiret ou un signe égal

Dans le Solaris 10, tcsh a été mis à niveau vers la version 6.12. Cette version n'accepte plus les variables d'environnement dont le nom comporte un tiret ou un signe égal. Les scripts qui contiennent les lignes setenv et qui fonctionnent dans les versions antérieures de Solaris peuvent générer des erreurs dans la version actuelle du Solaris 10. Le message d'erreur suivant s'affiche :


setenv: Syntax error

Pour plus d'informations, consultez la page de manuel tcsh pour le Solaris 10.

Solution : n'utilisez pas de tirets ni de signes égal dans les variables d'environnement.

Changement de comportement de la condition STDIO getc Family EOF

Les applications créées en stricte conformité avec le standard C sont concernées par les changements de comportement de certaines fonctions de bibliothèque. Par exemple, des applications compilées à l'aide du mode de compilation cc -Xc ou c89. Le comportement des fonctions de bibliothèque suivantes a changé :

Selon l'interprétation formelle du standard 1990 C, une fois qu'une condition de marquage de fin de fichier end-of-file est appliquée, aucune donnée ne doit plus être retournée du fichier à la suite d'opérations d'entrée ; sauf si le pointeur de fichier est repositionné ou si l'erreur ou les indicateurs de fin de fichier sont explicitement supprimés par l'application.

Le comportement de tous les autres modes de compilation ne changent pas. En particulier, les interfaces peuvent lire les dernières données écrites en provenance du flux après que l'indicateur de fin de fichier end-of-file a été appliqué.

Solution : appelez fseek() ou clearerr() sur le flux pour lire les données supplémentaires après que la condition EOF a été signalée sur celui-ci.

Les colonnes de sortie de la commande ps sont élargies

En raison d'ID utilisateur et d'ID processeur plus grands, ainsi que d'un temps d'exécution cumulatif plus long, les colonnes de sortie de la commande ps ont été élargies. Par conséquent, les scripts des utilisateurs ne doivent pas être destinés à des colonnes de sortie fixes.

Solution : les scripts doivent utiliser l'option -o de la commande ps.

Pour plus d'informations, consultez la page de manuel ps(1) .

La commande ping -v ne fonctionne pas sur les adresses IPv6 (4984993)

La commande ping -v échoue lorsqu'elle est appliquée à des adresses qui utilisent la version 6 du protocole Internet IP (IPv6). Le message d'erreur suivant s'affiche :


ping: setsockopt IPV6_RECVRTHDRDSTOPTS Invalid argument

Solution : aucune. Pour obtenir les mêmes informations de paquet ICMP que celles fournies par la commande ping -v, utilisez la commande snoop .

Solaris Volume Manager

Les bogues suivants s'appliquent à la version du Solaris 10.

Échec possible de la commande metattach de Solaris Volume Manager

Si vous possédez un fichier racine (/) en miroir de Solaris Volume Manager au sein duquel le système de fichiers ne commence pas au cylindre 0, vous ne devez connecter aucun sous-miroir commençant au cylindre 0.

Si vous tentez de connecter un sous-miroir commençant au cylindre 0 sur un miroir dont le sous-miroir original ne commence pas sur ce cylindre, le message d'erreur suivant s'affiche :


can't attach labeled submirror to an unlabeled mirror

Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :


Remarque –

Par défaut, la procédure d'installation de JumpStart commence la copie sur le cylindre 0 et place le système de fichiers racine (/) ailleurs sur le disque. Habituellement, la tranche 0 est démarrée au cylindre 0. Des problèmes peuvent survenir avec la mise en miroir d'une installation JumpStart par défaut avec la racine en tranche 0, mais sans le cylindre 0, vers un disque classique de tranche 0 démarrant au cylindre 0. Cette mise en miroir engendre l'affichage d'un message d'erreur au moment où vous tentez de connecter un second sous-miroir. Pour de plus amples informations sur le comportement par défaut des programmes d'installation de Solaris, reportez-vous aux guides d'installation de Solaris 10.


La commande metassist de Solaris Volume Manager échoue dans les environnements linguistiques autres que l'anglais (5067097)

Dans les environnements linguistiques autres que l'anglais, la commande metassist de Solaris Volume Manager peut ne pas parvenir à créer des volumes. Par exemple, si LANG est défini sur ja (japonais), le message d'erreur suivant s'affiche :


xmlEncodeEntitiesReentrant : input not UTF-8
Syntax of value for attribute read on mirror is not valid
Value "XXXXXX"(unknown word) for attribute read on mirror is not among
the enumerated set
Syntax of value for attribute write on mirror is not valid
Value "XXXXXX"(Parallel in Japanse) for attribute write on mirror is not 
among the enumerated set
metassist: XXXXXX(invalid in Japanese) volume-config

Solution : en tant que superutilisateur, définissez la variable LANG sur LANG=C.

Pour les shells Bourne, Korn et Bash, utilisez la commande suivante :


# LANG=C; export LANG

Pour le shell C, utilisez la commande suivante :


# setenv LANG C

Échec de la création de volumes avec les disques non formatés (5064066)

La création de configurations de volumes Solaris Volume Manager à l'aide de la commande metassist risque d'échouer si le système comprend un disque non formaté. Le message d'erreur suivant s'affiche :


metassist: failed to repartition disk

Solution : formatez manuellement les disques non formatés avant d'exécuter la commande metassist.

Fonctionnement incorrect des disques hot spare lorsque les volumes RAID-1 (miroir) ou RAID-5 de Solaris Volume Manager sont créés dans des jeux de disques construits sur des partitions logicielles (4981358)

Si vous créez un volume RAID-1 (miroir) ou RAID-5 avec Solaris Volume Manager dans un jeu de disques construit au sommet d'une partition logicielle, les disques hot spare ne fonctionnent pas correctement.

Voici une liste non exhaustive des problèmes susceptibles d'apparaître :

Échec de la commande metadevadm de Solaris Volume Manager si le nom du périphérique logique n'existe plus (4645721)

Vous ne pouvez pas remplacer un disque défectueux par un disque qui a été configuré à l'aide du logiciel Solaris Volume Manager. Le nouveau disque doit être inconnu du logiciel Solaris Volume Manager. Si vous déplacez physiquement un disque d'un emplacement vers un autre sur un périphérique Sun StorEdge A5x00, la commande metadevadm échoue. Cette défaillance survient lorsque le nom du périphérique logique de la tranche n'existe plus. L'identificateur de périphérique du disque reste cependant présent sur la copie du métapériphérique. Le message suivant s'affiche :


Unnamed device detected. Please run 'devfsadm && metadevadm -r to resolve.

Remarque –

Vous pouvez simultanément accéder au disque à son nouvel emplacement. Cependant, vous devez utiliser l'ancien nom de disque logique pour accéder à la tranche.


Solution : remettez le disque dans son connecteur d'extension initial.

Mise à jour de l'espace de noms metadb impossible à l'aide de la commande metarecover de Solaris Volume Manager (4645776)

Si vous retirez et remplacez un disque physique du système, puis utilisez la commande metarecover -p -d pour écrire les données relatives à la partition logicielle appropriée sur le disque, il en résulte une défaillance ouverte. La commande ne met pas à jour l'espace de noms de la base de données du métapériphérique pour refléter la modification au niveau du disque. Il en résulte une défaillance ouverte pour ladite partition logicielle située au sommet du disque. Le message suivant s'affiche :


Open Error

Solution : au lieu d'exécuter la commande metarecover pour récupérer la partition logicielle, créez-en une sur le disque.


Remarque –

Si la partition logicielle fait partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.


# metareplace dx miroir ou RAID 5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle

Sun Java Desktop System

Cette section décrit les problèmes qui s'appliquent à Sun Java Desktop System (Java DS) dans Solaris 10.

Messagerie et calendrier

Cette section présente les problèmes liés à la messagerie et aux calendriers.

Problèmes liés à l'utilisation de pièces jointes multiples (6260583)

Si vous déplacez des messages électroniques dans le corps d'un nouveau message, le contenu du nouveau message est altéré.

Solution : pour envoyer plusieurs pièces jointes, procédez comme suit :

  1. Sélectionnez les messages à joindre.

  2. Dans la barre de menu, sélectionnez Action => Forward => Attached.

    Vous pouvez également appuyer sur les touches Ctrl-J pour envoyer des messages.

Problème lors du changement de type d'authentification (6246543)

Lorsque vous changez le type d'authentification du serveur de messagerie entrante, l'application Messagerie et calendrier risque de ne plus fonctionner correctement.

Solution : redémarrez Messagerie et calendrier.

Liste de contacts incomplète dans le dossier Contact (5088514)

Après l'importation d'un fichier LDAP au format DIF (Data Interchange Format) contenant plusieurs contacts, seuls certains de ces contacts apparaissent dans le dossier de contacts. Il s'agit d'un simple problème d'affichage. Messagerie et calendrier a importé tous les contacts.

Solution : redémarrez Messagerie et calendrier.

Problèmes de connexion

Cette section présente les problèmes de connexion.

Message d'erreur à l'ouverture de session

Vous risquez de rencontrer le message d'erreur suivant lors de l'ouverture d'une session Java Desktop System :


Could not look up internet address for hostname.
This will prevent GNOME from operating correctly.
It may be possible to correct the problem by adding 
hostname to the file /etc/hosts

Solution : assurez-vous d'avoir bien configuré le nom d'hôte dans le fichier /etc/hosts. Procédez comme suit :

  1. Configurez le nom d'hôte dans le fichier /etc/hosts comme suit :


    127.0.0.1 localhost loghost nom d'hôte
    localhost.localdomain

    nom d'hôte correspond au nom de votre système.

  2. Veillez à ce que votre nom d'hôte apparaisse dans le fichier /etc/nodename . Ce fichier doit également présenter la ligne suivante :


    127.0.0.1 localhost loghost nom d'hôte
    localhost.localdomain

Problèmes $PATH (6247943)

Lors de la connexion à Java Desktop System Release 3, $PATH est incorrectement défini sur la valeur suivante :


/usr/bin::/usr/dt/bin:/usr/openwin/bin:/bin:
/usr/ucb:/usr/openwin/bin:/usr/dt/bin

Solution : supprimez les éléments suivants de $PATH :

Le chemin d'accès obtenu doit ressembler à l'exemple suivant :


/usr/bin:/usr/dt/bin:/usr/ucb:/usr/openwin/bin:/usr/dt/bin

Problèmes de connexion à distance (6203727)

Si vous utilisez une connexion à distance dtlogin, vous ne pourrez pas vous connecter au gestionnaire d'affichage GNOME à partir de certains systèmes.

Solution : lorsque vous êtes invité à sélectionner un identifiant de connexion à distance, spécifiez l'adresse IP au lieu du nom d'hôte.

Système d'aide

Ouverture d'une fenêtre d'aide incorrecte pour le contrôle du volume (6253210)

Si vous utilisez le navigateur Yelp pour ouvrir l'aide en ligne correspondant au contrôle du volume, c'est le fichier d'aide correspondant à l'application d'accessibilité clavier qui s'affiche.

Solution : aucune.

Blocage de l'aide en ligne (5090731)

Si vous ouvrez l'aide en ligne d'une application et qu'il n'existe aucun fichier d'aide correspondant à cette application, un message d'erreur s'affiche. Si vous ne cliquez pas sur OK, le système d'aide en ligne se bloque et vous ne pouvez pas ouvrir l'aide en ligne des autres applications lancées ensuite.

Solution : cliquez sur le bouton OK dans la boîte de dialogue présentant le message d'erreur.

Navigateur Mozilla

Impossible d'imprimer certains documents à partir du navigateur Mozilla

Il est impossible d'imprimer des documents à partir du navigateur Mozilla si ces documents contiennent des caractères Unicode qui ne figurent pas dans le plan multilingue de base (BMP, Basic Multilingual Plane).

Solution : aucune.

Impossible de spécifier des préférences utilisateur pour l'accès itinérant dans le navigateur Mozilla (6200999)

Dans le navigateur Mozilla, vous pouvez spécifier que les préférences utilisateur doivent être transférées vers et à partir du serveur d'accès itinérant. Pour spécifier les options d'accès itinérant, procédez comme suit :

  1. Dans le navigateur, cliquez sur Edit et sélectionnez Preferences.

  2. Sélectionnez Roaming User, puis Item Selection.

  3. Dans le panneau de droite, sélectionnez User Preferences.

La sélection de User Preferences n'a néanmoins aucun effet.

Solution : aucune.

Échec des raccourcis clavier (6192644)

Dans le navigateur Mozilla, la navigation au curseur est activée à l'aide de la touche F7. Lorsque la navigation au curseur est activée, le raccourci clavier Ctrl+Origine vous ramène au début de la page Web actuelle. Néanmoins, ce raccourci clavier ne fonctionne pas sur certains sites, tels que www.yahoo.com et www.mozilla.org.

Solution : appuyez sur F7 pour désactiver la navigation au curseur.

Problèmes système

Incompatibilité partielle des préférences utilisateur

Les préférences utilisateur de votre compte personnel correspondant à une version antérieure de GNOME Desktop sont peut-être partiellement incompatibles avec la version utilisée par Java DS Release 3.

Solution : redéfinissez vos préférences. Procédez comme suit :

  1. Déconnectez-vous de Java Desktop System.

  2. Cliquez sur Session et sélectionnez le terminal Failsafe.

  3. Connectez-vous.

  4. Dans la fenêtre du terminal failsafe, entrez les commandes suivantes :


    % gnome-cleanup exit
    
  5. Reconnectez-vous.

    Vos préférences GNOME sont alors réinitialisées.

GIMP absent du menu Graphics (6209566)

L'application GIMP (GNU Image Manipulation Program) n'est pas disponible dans le menu Graphics.

Solution : procédez comme suit.

  1. Ouvrez une fenêtre de Terminal.

  2. Modifiez le fichier /usr/share/applications/gimp-2.0.desktop.

  3. Modifiez les lignes Exec et TryExec pour ajouter le chemin d'accès complet vers le fichier binaire de GIMP :


    TryExec=/usr/sfw/bin/gimp2.0
    Exec=/usr/sfw/bin/gimp-remote-2.0 %u

Problèmes lors de l'enregistrement en ligne du logiciel StarOffice 7 (6208829)

Vous risquez de ne pas pouvoir terminer l'enregistrement en ligne du logiciel StarOffice 7 si le logiciel ne trouve pas Mozilla sur le système. Le logiciel doit pouvoir trouver l'application Messagerie et calendrier pour pouvoir envoyer des documents.

Solution : ajoutez /usr/sfw/bin à votre PATH. procédez comme suit.

  1. Ouvrez une fenêtre de Terminal.

  2. Entrez la commande suivante :


    % export PATH=/usr/sfw/bin:$PATH
    
  3. Pour lancer le logiciel StarOffice, exécutez la commande suivante :


    % soffice
    
  4. Suivez la procédure d'enregistrement de StarOffice.

Problèmes liés à l'enregistreur de sons

La barre de défilement et le compteur latéral ne fonctionnent pas lors de l'enregistrement d'un fichier new.wav.

Solution : aucune.

L'option de contrôle du volume ne fonctionne pas.

L'option de l'application de contrôle du volume du panneau qui permet de lancer les applications de contrôle du volume sur le bureau ne fonctionne pas.

Solution : aucune.

La liste des applications autorisées pour Solaris est périmée (6267922)

Dans le logiciel Solaris vous attribuez la valeur true à la clé gonf /desktop/gnome/lockdown/restrict_application_launching pour limiter le lancement d'applications. Ce paramètre autorise uniquement certaines applications à apparaître dans le menu Launch permettant de les lancer. Les applications autorisées sont répertoriées dans la clé gonf /desktop/gnome/lockdown/allowed_applications.

Actuellement, cette liste contient des applications périmées qui ne figurent plus dans le logiciel Java Desktop System. En outre, cette liste fait également référence à certaines applications avec un chemin d'accès incorrect. Par conséquent, si vous limitez le lancement d'applications, certaines applications clés, telles que Mozilla ou StarOffice n'apparaissent pas dans le menu Launch.

Solution : procédez comme suit.

  1. Prenez le rôle de superutilisateur.

  2. Supprimez le répertoire ~/.gconf/desktop/gnome/lockdown s'il existe.


    # rm -rf ~/.gconf/desktop/gnome/lockdown
    
  3. Déconnectez-vous du système, puis reconnectez-vous.

Problèmes liés à l'utilisation de l'indicateur de clavier (6245563)

L'utilisation de l'indicateur de clavier risque de rendre le clavier inutilisable lors du passage d'un serveur X à un autre.

Solution : aucune. N'utilisez pas l'indicateur de clavier.

Certaines options d'affichage risquent d'entraîner une panne du gestionnaire de fichiers (6233643)

Le gestionnaire de fichiers risque de se bloquer si vous utilisez les options d'affichage suivantes :

Suivant les options d'affichage utilisées, les messages d'erreur suivants risquent de s'afficher :

Solution : aucune. Chaque fois que l'un de ces problèmes se produit, redémarrez le gestionnaire de fichiers ou cliquez sur le bouton Restart Application dans la boîte de dialogue qui vous avertit du problème.

Échec du mode CD Quality, Lossless au début de l'enregistrement (6227666)

Si vous utilisez l'application multimédia Sound Recorder en mode CD Quality, Lossless, cette application échoue au début de l'enregistrement. Le message d'erreur suivant s'affiche :


The Application "gnome-sound-recorder" has quit unexpectedly.

Solution : procédez comme suit.

  1. Prenez le rôle de superutilisateur.

  2. Entrez la commande suivante :


    # GCONF_CONFIG_SOURCE=xml::/etc/gconf/gconf.xml.defaults 
    /usr/bin/gconftool-2 --makefile-install-rule 
    /etc/gconf/schemas/gnome-audio-profiles.schemas
    

Par ailleurs, les utilisateurs existants doivent réaliser les opérations suivantes.

  1. Si l'application gnome-audio-profiles-properties est active, fermez sa fenêtre pour l'interrompre.

  2. S'il existe un profil cdlossless dans ~/.gconf/system/gstreamer/audio/profiles, supprimez ce profil.


    % rm ~/.gconf/system/gstreamer/audio/profiles/cdlossless
    
  3. Déconnectez-vous du système, puis reconnectez-vous.

Impossible de supprimer les fichiers situés en dehors du répertoire d'origine (6203010, 5105006)

Vous ne pouvez supprimer que les fichiers situés dans votre propre répertoire d'origine dans le système de fichiers.

Solution : pour supprimer des fichiers situés en dehors de votre répertoire d'origine, ouvrez une fenêtre de terminal et utilisez la ligne de commande.

Problèmes lors de la création de certains types d'archives (5082008)

Vous ne pouvez pas utiliser le Gestionnaire d'archives pour créer les types d'archives suivants :

Solution : aucune.

Administration système

Cette section décrit les bogues d'administration du système dans Solaris 10.

Affichage d'étiquettes incorrectes par les outils d'administration de Solaris Trusted Extensions (6478436)

Il arrive que les outils d'administration de Solaris Trusted Extensions tels que Solaris Management Console (SMC) et tninfo n'affichent pas les étiquettes ADMIN_LOW et ADMIN_HIGH . Les étiquettes PUBLIC et CNF : RESTRICTED risquent de s'afficher à la place.

Cet affichage incorrect peut entraîner une mauvaise configuration du système. Par exemple, si SMC affiche une étiquette PUBLIC pour une zone dont l'étiquette par défaut doit être de type ADMIN_LOW, le démarrage de la zone en question échoue.

L'affichage de la vue EXTERNAL au lieu de INTERNAL (vue réelle par défaut) est à l'origine de cette erreur. ADMIN_LOW est alors élevé au niveau de l'étiquette utilisateur minimale tandis que ADMIN_HIGH est abaissé. Les outils d'administration affichent donc des étiquettes dont les niveaux ADMIN_LOW et ADMIN_HIGH sont erronés.

Solution : procédez comme suit :

  1. Installez Solaris Trusted Extensions sans réinitialiser le système.

  2. Modifiez le fichier label encodings. Le fichier label_encodings par défaut est /etc/security/tsol/label_encodings. Ajoutez la ligne suivante à la section LOCAL DEFINITIONS :


    Default Label View is Internal;

x86 : échec de la désinstallation de Solaris Trusted Extensions (6460106)

La désinstallation de Solaris Trusted Extensions échoue sur les systèmes x86. À la réinitialisation du système, le message d'erreur suivant s'affiche :


NOTICE: template type for bge0 incorrectly configured
    Change to CIPSO type for 129.146.108.249
    ifconfig: setifflags: SIOCSLIFFLAGS: bge0: Invalid argument
    NOTICE: bge0 failed: Cannot insert CIPSO template for
    local addr 129.146.108.249
    ip_arp_done: init failed

Ensuite, le système se bloque.

Solution : procédez comme suit :

  1. Désinstallez Solaris Trusted Extensions sans réinitialiser le système.

  2. Exécutez les commandes suivantes :


    # touch /etc/system
    # bootadm update-archive
  3. Redémarrez le système.

Utilisation restreinte de la commande patchadd avec l'option -R pour spécifier un chemin racine de remplacement à partir des systèmes ne tenant pas compte des zones (6464969)

Sur les systèmes exécutant une version de Solaris incompatible avec les zones, la commande patchadd - R, ou toute commande acceptant l'option -R ne permet pas de spécifier un chemin racine de remplacement pour une zone globale contenant des zones non globales installées.

Contrairement à la commande luupgrade [- t, -T, -p, -P], aucun message d'erreur relatif aux restrictions d'utilisation de ces commandes ne s'affiche.

Rien n'indique que l'option -R n'a pas fonctionné. En raison de l'échec de la commande, les packages ou patchs Solaris 10 ne sont ajoutés à aucune zone non globale installée.

Ce problème se produit lors de l'installation et de la désinstallation des packages ou patchs.


Remarque –

L'option -R fonctionne si l'environnement d'initialisation de remplacement possède des zones non globales configurées, mais aucune zone non globale installée. En cas de doute sur l'existence de zones non globales installées et utilisées en tant que chemin racine de remplacement, et pour éviter tout problème, limitez l'utilisation de l'option -R dans toutes les instances.


Pour plus d'informations, reportez-vous aux pages de manuel suivantes :

Solution 1 mettez le système d'exploitation à niveau vers Solaris 10 1/06 ou une version supérieure.

Si vous exécutez la version Solaris 10 3/05, installez les patchs suivants pour permettre l'exécution des commandes acceptant l'option -R pour créer un chemin racine de remplacement :

Solution 2 : limitez l'utilisation de la commande patchadd -R et de toute commande acceptant l'option -R pour créer un chemin racine de remplacement.

À la place, initialisez le chemin racine de remplacement, par exemple la version Solaris 10, comme système d'exploitation actif. Ensuite, installez et désinstallez les packages et patchs Solaris 10 sans utiliser l'option -R.

Interruption de l'administration d'enfichage à chaud PCI/PCIe en cas de mise à niveau vers Solaris 10 11/06 ou de modification de configurations de périphérique spécifiques (6466526)

La commande cfgadm affiche des identificateurs ap_id susceptibles d'être incorrects ou non conformes au format spécifié dans la page de manuel cfgadm_pci(1M). Cette incohérence se produit dans les cas suivants :

Aucun message d'erreur spécifique ne s'affiche. Cependant, la commande cfgadm peut indiquer :

Si l'identificateur ap_id ne fonctionne pas, la commande cfgadm affiche un message d'erreur.

Solution : supprimez tous les liens PCI et PCIe du répertoire /dev/cfg, puis exécutez la commande devfsadm -C. Les liens PCI et PCIe s'affichent en tant qu'identificateurs ap_id dans :


cfgadm -s "select=class(pci)"

smosservice ou smdiskless est arrêtée en raison de problèmes wbem (6378956)

La commande smosservice ou smdiskless risque de ne pas fonctionner en raison d'une dépendance avec la version JDKTM 1.5.

Le message d'erreur suivant s'affiche :


 /usr/sadm/bin/smosservice list -u <user> -p <password> Exception in thread "main" 
java.lang.UnsupportedClassVersionError: 
com/sun/management/viperimpl/console/BaseConsoleOptionsManager 
(Unsupported major.minor version 49.0)
at java.lang.ClassLoader.defineClass0(Native Method)
       at java.lang.ClassLoader.defineClass(ClassLoader.java:539)
       at java.security.SecureClassLoader.defineClass(SecureClassLoader.java:123)
       at java.net.URLClassLoader.defineClass(URLClassLoader.java:251)
       at java.net.URLClassLoader.access$100(URLClassLoader.java:55)
       at java.net.URLClassLoader$1.run(URLClassLoader.java:194)
       at java.security.AccessController.doPrivileged(Native Method)
       at java.net.URLClassLoader.findClass(URLClassLoader.java:187)
       at java.lang.ClassLoader.loadClass(ClassLoader.java:289)
       at sun.misc.Launcher$AppClassLoader.loadClass(Launcher.java:274)
       at java.lang.ClassLoader.loadClass(ClassLoader.java:235)
       at java.lang.ClassLoader.loadClassInternal(ClassLoader.java:302)

Solution :

Réglez la variable JAVA_HOME pour pointer sur une installation JDK 1.5.


# JAVA_HOME=/usr/java

Sun Patch Manager Tool 2.0 incompatible avec les versions précédentes

Un système qui exécute Sun Patch Manager Tool 2.0 peut gérer des systèmes distants exécutant l'outil Patch Manager, notamment Sun Patch Manager Tool 1.0.

Cependant, un système avec une version antérieure de l'outil Patch Manager ne peut pas gérer des systèmes distants qui exécutent Patch Manager Tool 2.0. Les versions précédentes de ce programme comprennent notamment :


Remarque –

La prise en charge par CIM/WBEM (Common Information Model/Web Based Enterprise Management) de l'outil Patch Manager n'existe pas dans le système d'exploitation Solaris 8. Par conséquent, la gestion à distance avec Patch Manager n'est pas applicable aux systèmes Solaris 8.


Sun Remote Services Net Connect n'est pris en charge que dans la zone globale

Sun Remote Services (SRS) Net Connect n'est pris en charge que dans la zone globale. Des messages d'erreur s'affichent si vous effectuez une des actions suivantes :

Les messages d'erreur sont les suivants :


*** package SUNWcstu failed to install - interactive administration required:

Interactive request script supplied by package
pkgadd: ERROR: request script did not complete successfully

Installation of SUNWcstu was suspended (interaction required).
No changes were made to the system.  

*** package SUNWfrunc failed to install - interactive administration required:

Interactive request script supplied by package
pkgadd: ERROR: request script did not complete successfully

Installation of SUNWfrunc was suspended (interaction required).
No changes were made to the system.

Solution : ignorez ces messages d'erreur.

Des messages d'erreur ou d'avertissement peuvent s'afficher lors de l'installation de zones non globales avec la commande zoneadm

Lors de l'installation d'une zone non globale à l'aide de la commande zoneadm, des messages d'erreur ou d'avertissement peuvent s'afficher au cours de l'installation des packages. Les messages sont semblables à ceux de l'exemple suivant :


Preparing to install zone zone1.
Creating list of files to copy from the global zone.
Copying 2348 files to the zone.
Initializing zone product registry.
Determining zone package initialization order.
Preparing to initialize 790 packages on the zone.
Initialized 790 packages on zone.
Zone zone1 is initialized.

Installation of the following packages generated errors: 
SUNWjhrt SUNWmcc SUNWjhdev SUNWnsb SUNWmcon SUNWmpatchmgr

Installation of the following packages generated warnings: 
SUNWj3rt SUNWmc SUNWwbmc SUNWmga SUNWdclnt SUNWlvma SUNWlvmg 
SUNWrmui SUNWdoc SUNWpl5m SUNWpmgr

Les problèmes relatifs à l'installation des packages sont également consignés dans /export/zone1/root/var/sadm/system/logs/install_log qui contient un journal d'installation de la zone.

Solution : aucune.


Remarque –

La zone non globale est toujours utilisable même si ces messages ont été affichés. Des problèmes liés à l'installation des packages existaient dans les versions précédentes de Solaris Express et les versions bêta de Solaris 10. Cependant, aucune notification concernant ces problèmes n'a été générée. À partir de cette version de Solaris, ces erreurs sont maintenant correctement signalées et consignées.


SPARC : Des messages d'erreur s'affichent lors de la reconfiguration dynamique (6312424)

Au cours d'une reconfiguration dynamique (DR), des messages d'erreur risquent de s'afficher. Ces messages s'affichent si vous réalisez une reconfiguration dynamique pendant que des opérations d'entrée et de sortie sont actives sur les périphériques situés sur le chemin d'accès de la reconfiguration dynamique. après l'affichage de ces messages, les opérations d'entrée et de sortie sont relancées et finissent par réussir. Voici un exemple de ce qui peut s'afficher :


Jul 28 12:23:19 qame10-a scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING:
/ssm@0,0/pci@19,700000/SUNW,qlc@2,1/fp@0,0/ssd@w2100000c5056fa13,0 (ssd6):
Jul 28 12:23:19 qame10-a 	transport rejected fatal error
Jul 28 12:22:08 qame10-a scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING:
/ssm@0,0/pci@19,700000/SUNW,qlc@2,1/fp@0,0/ssd@w2100000c5056f9a7,0 (ssd36):
Jul 28 12:22:08 qame10-a 	SCSI transport failed: reason 'timeout':
retrying command

Solution : aucune. ignorez ces messages d'erreur.

Affichage de messages d'erreur par pkgchk après la suppression de patchs de zones (6267966)

Les commandes patchadd et patchrm ne fonctionnent pas correctement dans les zones non globales avec les systèmes de fichiers hérités. Par conséquent, dans ces zones, la commande pkgchk risque de générer des messages d'erreur liés aux packages dans les circonstances suivantes :

  1. Dans la zone globale, vous appliquez des patchs concernant le système de la zone Solaris 10 à l'aide de la commande patchadd.

  2. Vous utilisez la commande patchrm pour supprimer des patchs que vous venez d'appliquer.

  3. Dans une zone non globale présentant des systèmes de fichiers hérités, vous utilisez la commande pkgchk pour vérifier des informations concernant un package dans l'un des patchs supprimés.

Un message similaire au suivant s'affiche lorsque vous utilisez la commande pkgchk sur SUNWcsu dans l'une des circonstances citées ci-dessus.


# pkgchk SUNWcsu
ERROR: /usr/lib/inet/certdb
     modtime <04/26/05 10:55:26 PM> expected <01/23/05 01:48:24 AM> actual
     file size <36012> expected <42152> actual
     file cksum <37098> expected <19747> actual
ERROR: /usr/lib/inet/certlocal
     modtime <04/26/05 10:55:26 PM> expected <01/23/05 01:48:24 AM> actual
     file size <44348> expected <84636> actual

Solution : aucune. Ces erreurs sont sans danger. ignorez ces messages d'erreur.

Situation de compétition de disponibilité entre les algorithmes EF/kcfd et IPsec (6266083)

Les systèmes avec la version Solaris 10 3/05 HW1 risquent de poser des problèmes avec IPsec. Ce problème risque de se produire sur les systèmes nouvellement installés ou sur les systèmes important un grand nombre de nouveaux manifestes Service Management Facility (SMF) au cours de l'initialisation. Après ces conditions d'initialisation, IPsec, qui fait partie de svc:/network/initial:default , peut être initialisé avant le cadre de chiffrement, qui fait partie de svc:/system/cryptosvc:default. Les algorithmes d'authentification et de chiffrement n'étant pas disponibles, la création d'associations de sécurité IPsec risque d'échouer avec un message d'erreur tel que le suivant :


PF_KEY error: type=ADD, errno=22:
Invalid argument, diagnostic  code=40:
Unsupported authentication algorithm

Par exemple, cette erreur risque de se produire lorsque vous utilisez la reconfiguration dynamique sur un système Sun Fire E25K, ce qui implique des services IPsec.

Solution : avant de réaliser des opérations faisant appel aux services IPsec, suivez la procédure ci-dessous après une initialisation important un grand nombre de nouveaux manifestes SMF :

  1. Exécutez cette commande après l'initialisation :


    ipsecalgs -s
    
  2. Si /etc/inet/secret/ipseckeys existe sur le système, exécutez également cette commande :


    ipseckey -f /etc/inet/secret/ipseckeys
    

Vous pouvez maintenant effectuer des actions permettant de créer des associations de sécurité IPsec telles que l'utilisation de la DR sur un système Sun Fire E25K.

Cette procédure doit être répétée uniquement lorsqu'un grand nombre de nouveaux manifestes SMF sont importés lors de l'initialisation.

L'utilitaire d'administration Solaris Product Registry ne s'exécute pas dans une zone (6220284)

Si vous essayez de lancer l'utilitaire Solaris Product Registry dans une zone, cette tentative échoue. Lors de l'installation de la zone, productregistry , la base de données de Solaris Product Registry, n'est pas reproduite dans la zone. Par conséquent, l'utilitaire ne peut pas s'exécuter dans une zone.

Solution : en tant que superutilisateur, copiez la base de données productregistry dans la zone.


# cp /var/sadm/install/productregistry zone_path/var/sadm/install/

Dans la commande précédente, zone_path est le chemin d'accès au répertoire root de la zone que vous avez créée.

Impossible de supprimer les clients sans disque existants du système (6205746)

Si vous utilisez la commande smdiskless pour supprimer un client sans disque, cette commande échoue. Le client sans disque n'est pas supprimé des bases de données du système. Le message d'erreur suivant s'affiche :


Failing with error EXM_BMS.

Solution : annulez le partage de la partition /export avant d'ajouter un nouveau client.

Échec de l'installation de Net Connect 3.1.1 (6197548)

L'installation de Net Connect 3.1.1 échoue si vous sélectionnez le produit au début d'une installation complète de Solaris 10. Ce problème se produit lorsque vous procédez à l'installation à l'aide du DVD du système d'exploitation Solaris 10. Une fois l'installation du système d'exploitation terminée, l'erreur suivante est enregistrée dans le journal d'installation de Net Connect à l'emplacement suivant : /var/sadm/install/logs/:


Installation of SUNWSRSPX failed.
Error: pkgadd failed for SUNWsrspx 
Install complete. Package: SUNWsrspx

Solution : une fois l'installation du système d'exploitation terminée, procédez comme suit :

  1. Insérez le DVD du système d'exploitation Solaris 10 ou le CD 4 du Logiciel Solaris 10 -.

  2. Accédez au répertoire du produit Net Connect.

  3. Exécutez le programme d'installation de Net Connect.


Remarque –

Pour télécharger la dernière version du logiciel Sun Net Connect et de ses notes de version, connectez-vous au portail de Sun Net Connect à l'adresse https://srsnetconnect.sun.com.


SPARC : la commande smosservice delete ne parvient pas à supprimer tous les répertoires (6192105)

Si vous utilisez la commande smosservice delete pour supprimer un service de client sans disque, cette commande ne supprime pas tous les répertoires de service.

Solution : procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Vérifiez qu'aucun client existant n'utilise le service.


    # unshare /export/exec/Solaris_10_sparc.all
    # rm -rf /export/exec/Solaris_10_sparc.all
    # rm -rf /export/exec/.copyofSolaris_10_sparc.all
    # rm -rf /export/.copyofSolaris_10
    # rm -rf /export/Solaris_10
    # rm -rf /export/share
    # rm -rf /export/root/templates/Solaris_10
    # rm -rf /export/root/clone/Solaris_10
    # rm -rf /tftpboot/inetboot.sun4u.Solaris_10
  2. Supprimez l'entrée suivante du fichier /etc/bootparams.


    fs1-24 boottype=:os

    Remarque –

    Ne supprimez cette entrée que si ce serveur de fichiers ne fournit aucune fonction ou ressource pour d'autres services.


  3. Supprimez l'entrée suivante du fichier /etc/dfs/dfstab.


    share -F nfs -o ro /export/exec/Solaris_8_sparc.all/usr
  4. Modifiez le fichier /var/sadm/system/admin/services/Solaris_10.

    • Si le serveur de fichiers n'est pas Solaris_10, supprimez le fichier.

    • Si le serveur de fichiers est Solaris_10, supprimez toutes les entrées après les trois premières lignes. Les lignes supprimées indiquent les packages USR_PATH et SPOOLED ROOT du service dans /export/root/templates/Solaris_10 et les plates-formes prises en charge.

La commande patchadd ne prend pas en charge l'installation des patchs à partir d'un serveur NFS (6188748)

Si vous utilisez la commande patchadd pour installer des patchs sur le NFS d'un autre système, la commande échoue. L'exemple suivant illustre une opération patchadd qui a échoué et le message d'erreur correspondant qui s'affiche :


Validating patches...

Loading patches installed on the system...
[...]
Loading patches requested to install.
[...]
Checking patches that you specified for installation.
[...]
Approved patches will be installed in this order:
[...]
Checking local zones...
[...]
Summary for zones:
[...]
Patches that passed the dependency check:
[...]

Patching global zone
Adding patches...

 Checking installed patches...
Verifying sufficient filesystem capacity (dry run method)...
Installing patch packages...

 Patch Patch_ID has been successfully installed.
See /var/sadm/patch/Patch_ID/log for details
 Patch packages installed:
   SUNWroute
[...]

Adding patches...
 The patch directory
 /dev/.SUNW_patches_0111105334-1230284-00004de14dcb29c7
 cannot be found on this system.  

[...]

Patchadd is terminating.

Solution : dans un premier temps, copiez manuellement tous les patchs à installer à partir du serveur NFS sur le système local. Puis, utilisez la commande patchadd pour installer les patchs à partir du répertoire sur le système local dans lequel ils ont été copiés.

La commande lucreate ne crée pas de volumes RAID-1 (5106987)

Si vous utilisez la commande lucreate pour créer des volumes RAID-1 (miroirs) pour lesquels le répertoire /dev/md ne comporte aucune entrée, la commande échoue. Vous ne pouvez pas mettre en miroir des systèmes de fichiers avec la commande lucreate sauf si vous créez d'abord les miroirs avec le logiciel Solaris Volume Manager.

Solution : créez les systèmes de fichiers mis en miroir avec le logiciel Solaris Volume Manager, puis créez le nouvel environnement d'initialisation avec la commande lucreate.

Pour plus d'informations sur la commande lucreate, reportez-vous à la page de manuel lucreate(1M) ou au Guide d’installation de Solaris 10 11/06: Solaris Live Upgrade et planification de la mise à niveau.

Pour plus d'informations sur la création de systèmes de fichiers mis en miroir à l'aide du logiciel Solaris Volume Manager, reportez-vous au manuel Solaris Volume Manager Administration Guide.

SPARC : panique possible du système suite à son arrêt à l'aide d'une combinaison de touches (5061679)

SI vous tentez d'arrêter le système en appuyant sur la combinaison de touches Stop+A ou L1+A, le système risque de paniquer. Un message similaire s'affiche :


panic[cpu2]/thread=2a100337d40: pcisch2 (pci@9,700000): 
consistent dma sync timeout

Solution : n'utilisez pas les séquences clavier pour forcer le système à entrer dans la mémoire PROM OpenBoot.

Échec de l'utilisation de la commande ipfs avec l'option -W (5040248)

La commande ipfs enregistre et récupère les informations concernant l'état de Network Address Translation (NAT) et des tables d'état du filtrage des paquets. Cet utilitaire empêche l'interruption des connexions réseau si le système se réinitialise. Si vous exécutez la commande avec l'option -W, ipfs ne parvient pas à enregistrer les tables d'état du noyau. Le message d'erreur suivant s'affiche :


state:SIOCSTGET: Bad address

Solution : aucune.

La commande kill -HUP n'exécute pas toujours l'agent pour qu'il relise le fichier de configuration snmpd.conf (4988483)

Après avoir modifié le contenu du fichier snmpd.conf, vous pouvez exécuter la commande kill -HUP snmp Process ID. Cette commande arrête le processus snmp. Puis, elle envoie un signal à l'agent maître de System Management Agent (snmpd) pour qu'il relise snmpd.conf et applique les modifications que vous y avez apportées. La commande peut ne pas exécuter l'agent maître pour qu'il relise le fichier de configuration. Par conséquent, l'utilisation de la commande ne peut pas toujours activer les modifications dans le fichier de configuration.

Plutôt que d'utiliser la commande kill -HUP, redémarrez System Management Agent après avoir ajouté des modifications à snmpd.conf. Procédez comme suit :

  1. Prenez le rôle de superutilisateur.

  2. Tapez la commande suivante :

    # /etc/init.d/init.sma restart

x86 : échec de l'initialisation de la partition de service en cas d'activation de la touche F4 pendant l'initialisation du BIOS (4782757, 5051157)

Vous initialisez un serveur Sun LX50 qui comporte une partition Service et sur lequel Solaris 10 sur x86 est installé. Vous avez la possibilité d’initialiser la partition de service à l’aide de la touche F4. Cependant, cela efface le contenu de l’écran. Le système ne parvient pas à initialiser la partition de service.

Solution : n'appuyez pas sur la touche F4 lorsque l'écran d'initialisation du BIOS apparaît. Après quelques secondes, l'écran affichant les informations sur la partition de disque actuelle apparaît. Sélectionnez le chiffre dans la colonne Part# correspondant à type=DIAGNOSTIC type=DIAGNOSTIC puis appuyez sur la touche Entrée. le système initialise la partition de service.

Le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs d'interface de programmation d'application com.sun (4619576)

Le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs indiqués pour l'interface com.sun.wbem.provider ou l'interface com.sun.wbem.provider20. Même si vous créez une instance Solaris_ProviderPath pour un fournisseur qui est écrit pour ces interfaces, le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne localise pas le fournisseur.

Solution : pour permettre au démon de localiser un tel fournisseur, arrêtez et redémarrez le démon Solaris WBEM Services 2.5.


# /etc/init.d/init.wbem stop

# /etc/init.d/init.wbem start

Remarque –

Si vous utilisez l'API javax pour développer votre fournisseur, vous n'avez pas besoin d'arrêter puis de redémarrer le démon Solaris WBEM Services 2.5. De fait, ce dernier reconnaît les fournisseurs javax de façon dynamique.


Certains appels de méthodes d'API com.sun échouent avec le protocole XML/HTTP (4497393, 4497399, 4497406, 4497411)

Si vous décidez d'utiliser l'interface de programmation d'application com.sun plutôt que l'API javax pour développer votre logiciel WBEM, seul l'appel de méthode distant (RIM) CIM est totalement pris en charge. Il n'est pas certain que d'autres protocoles tels que XML/HTTP fonctionnent tout à fait avec l'API com.sun.

Le tableau suivant répertorie des exemples d'appels qui sont exécutés avec succès sous RMI, mais échouent sous XML/HTTP.

Appel de méthode 

Message d'erreur 

CIMClient.close()

NullPointerException

CIMClient.execQuery()

CIM_ERR_QUERY_LANGUAGE_NOT_SUPPORTED

CIMClient.getInstance()

CIM_ERR_FAILED

CIMClient.invokeMethod()

XMLERROR: ClassCastException

Modification impossible des propriétés de montage de système de fichiers avec l'outil de montage et de partage de Solaris Management Console (4466829)

L'outil de montage et de partage de Solaris Management Console ne peut pas modifier les options de montage sur des systèmes de fichiers critiques tels que root (/), /usr et /var.

Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :