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Notes de produit d'Oracle® VM Server for SPARC 3.1.1.2, 3.1.1.1, 3.1.1 et 3.1
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Utilisation de cette documentation

Chapitre 1 Notes de version d'Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.2, 3.1.1.1, 3.1.1 et 3.1

Mise à jour de maintenance d'Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.2

Mise à jour de maintenance d'Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.1

Nouveautés dans cette version

Nouveautés de la mise à jour de maintenance d'Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.1

Nouveautés d'Oracle VM Server for SPARC 3.1.1

Nouveautés d'Oracle VM Server for SPARC 3.1

Configuration système requise

Plates-formes prises en charge

Logiciels et patchs requis

Versions du SE Oracle Solaris requises

Versions du SE Oracle Solaris requises pour la mise à jour de maintenance d'Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.1

Versions du SE Oracle Solaris requises pour Oracle VM Server for SPARC 3.1.1

Versions du SE Oracle Solaris requises pour Oracle VM Server for SPARC 3.1

Logiciels requis pour activer les dernières fonctionnalités d'Oracle VM Server for SPARC

Patchs du microprogramme système requis

Version logicielle minimale requise

Configuration matérielle et logicielle requise pour les E/S directes

Configuration matérielle et logicielle SR-IOV PCIe

Configuration logicielle et matérielle requise pour les domaines root non primary

Configuration matérielle et logicielle requise pour le mode de récupération

Emplacement du logiciel Oracle VM Server for SPARC

Emplacement des patchs

Emplacement de la documentation

Logiciels connexes

Logiciels compatibles avec le logiciel Oracle VM Server for SPARC

Logiciels de contrôleur système utilisés avec Oracle VM Server for SPARC

Logiciel facultatif

Mise à niveau vers le logiciel Oracle VM Server for SPARC actuel

Mise à niveau vers le logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.1

Mise à niveau vers le logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1.1

Mise à niveau vers le logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1

Fonctionnalités Oracle VM Server for SPARC en phase d'abandon

Problèmes connus

Problèmes d'ordre général

Impossible de dissocier des domaines lorsqu'ils se fournissent mutuellement des services

Impossible pour un domaine d'exécuter le SE Oracle Solaris 10 si plus de 1 024 CPU sont associés

Eviter la création d'une configuration où deux domaines se fournissent mutuellement des services

Mise à niveau à partir d'un SE Oracle Solaris 10 antérieur au SE Oracle Solaris 10 5/08

Les termes Processeur de service et Contrôleur système sont utilisés de manière interchangeable

Dans certaines circonstances, la configuration ou les métapériphériques Solaris Volume Manager d'un domaine invité peuvent être perdus

Détection de la configuration ou des métapériphériques Solaris Volume Manager d'un domaine invité

Taille de la mémoire requise

Initialisation d'un grand nombre de domaines

Arrêt correct et cycle d'alimentation d'un système Oracle VM Server for SPARC

Mise hors tension d'un système comportant plusieurs domaines actifs

Arrêt et redémarrage du système

Taille de la mémoire requise différente de la mémoire allouée

Persistance des variables Logical Domains

Sun SNMP Management Agent d'Oracle ne prend pas en charge plusieurs domaines

Reconfiguration retardée

Unités cryptographiques

Commande ldmp2v convert : des messages d'avertissement VxVM durant une initialisation

Configuration requise pour le partitionnement forcé Oracle des licences logicielles

Option de mise à niveau absente lors de l'utilisation de ldmp2v prepare -R

Parfois, le bloc de mémoire ajouté de manière dynamique ne peut être supprimé dynamiquement que dans sa totalité.

ldmp2v : la méthode d'archivage ufsdump n'est plus utilisée avec cette commande

Une seule opération de configuration de CPU peut être exécutée durant une reconfiguration retardée

Le démon ldmd d'Oracle VM Server for SPARC 3.1 ne démarre pas si plusieurs commutateurs virtuels sont assignés à un seul adaptateur réseau

Compatibilité du disque d'initialisation d'Oracle Solaris

Restrictions de la migration de domaine

Restrictions de version pour la migration

Restrictions de la CPU pour la migration

Restrictions applicables aux versions pour la migration entre CPU

Les domaines auxquels une seule CPU virtuelle a été assignée peuvent paniquer lors d'une migration en direct

Problèmes liés à Oracle VM Server for SPARC MIB

La commande snmptable ne fonctionne pas avec l'option Version 2 ou Version 3

Problèmes liés à SR-IOV

Une panique de déroutement incorrect survient rarement lors de la réinitialisation d'un domaine root Oracle Solaris 10 dont les fonctions virtuelles SR-IOV sont assignées à des domaines invités

prtdiag peut provoquer la panique d'un domaine root Oracle Solaris 10 après la destruction des fonctions virtuelles SR-IOV

Blocage du domaine de contrôle lors de l'arrêt ou du démarrage de domaines d'E/S

Affichage d'avertissements sur la console lors de la création de fonctions virtuelles Fibre Channel

La modification de la configuration des fonctions physiques de Fibre Channel prend quelques minutes

Les restrictions de la fonction SR-IOV du Système Fujitsu M10 sont différentes

Problèmes liés à SR-IOV InfiniBand

Affichage de messages induisant en erreur pour les opérations SR-IOV InfiniBand

Bogues liés au logiciel Oracle VM Server for SPARC

Bogues liés au logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.2

Panne système lors de l'application de la contrainte whole-core à un domaine primary à coeur partiel

La commande format se bloque après la migration d'un domaine invité ou une console de domaine invité ne tire pas parti des entrées

Les zones de noyau bloquent la migration en direct des domaines hôtes

Bogues liés au logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1.1.1

La migration en direct peut échouer avec le message Unable to restore ldc resource state on target Domain Migration of LDom failed

Le mode de récupération échoue avec la commande ldmd en mode de maintenance lorsque le commutateur virtuel net-dev manque

La migration vers un système SPARC M5 ou SPARC T5 peut paniquer avec le message suspend: get stick freq failed

Le Logical Domains Manager n'empêche pas la création de dépendances circulaires

Bogues liés au logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1.1

De très grands nombres de LDC peuvent entraîner des problèmes relatifs à Oracle Solaris dans les domaines invités.

La fonction physique Fibre Channel est défaillante et désactivée par FMA

Problèmes de protocole de transfert LDC de réseau virtuel en cas d'un nombre important de périphériques de réseau virtuel

Le microprogramme des cartes Sun Storage 16 Gb Fibre Channel Universal HBA ne prend pas en charge les contrôles de la bande passante

L'ajout de mémoire après une migration entre plusieurs CPU peut provoquer une panique du domaine invité

Chemin de périphérique incorrect pour les fonctions virtuelles Fibre Channel dans un domaine root

ldmd vide le coeur lors de la tentative d'association d'un domaine en état d'association ou de dissociation

Bogues liés au logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1

Des problèmes peuvent survenir lorsque l'architecture FMA détecte de la mémoire défectueuse

Impossible de démarrer le service ldmd en raison d'un retard de la création de virtual-channel@0:hvctl

Affinité médiocre sur le domaine de contrôle lorsque vous affectez de la mémoire avant d'affecter des CPU dans le cadre d'une reconfiguration retardée

Impossible d'installer le SE Oracle Solaris 11.1 à l'aide d'une étiquette de disque GPT EFI sur un disque virtuel à tranche unique.

Après sa migration, un domaine peut paniquer lors de l'initialisation après avoir été démarré ou réinitialisé

La taille du tampon de description de la machine préallouée est utilisée lors de la migration

La tentative de redimensionnement des CPU virtuelles d'un domaine invité en cas de réussite de l'opération de reconfiguration de coeur peut échouer

Oracle Solaris 10 : un domaine root non primary se bloque à l'initialisation lors d'une réinitialisation de primary si failure-policy=reset

Un blocage du réseau virtuel empêche la migration de domaine

La sortie ldmpower n'inclut pas toujours les horodatages

mac_do_softlso abandonne les paquets LSO

Echec de la migration : Invalid Shutdown-group: 0

La configuration enregistrée automatiquement n'est pas mise à jour après la suppression d'une fonction virtuelle ou d'un périphérique PCIe

L'échec de la commande ldmp2v convert provoque une mise à niveau en boucle

Les migrations de domaines à partir de systèmes SPARC T4 exécutant le microprogramme système 8.3 vers des systèmes SPARC T5, SPARC M5 ou SPARC M6 sont autorisées à tort

Panique de domaine invité à lgrp_lineage_add(mutex_enter: bad mutex, lp=10351178)

Domaines invités en état de transition après la réinitialisation du domaine primary

Dans de rares circonstances, une panique se produit lorsque le pilote du périphérique réseau virtuel fonctionne en mode TxDring

Les domaines auxquels une seule CPU virtuelle a été assignée peuvent paniquer lors d'une migration en direct

La commande ldm migrate -n devrait échouer en cas de migration de CPU à CPU à partir d'un système SPARC T5, SPARC M5 ou SPARC M6 vers un système UltraSPARC T2 ou SPARC T3

Le mode de récupération devrait prendre en charge la suppression d'emplacements PCIe dans les domaines root non primary

ldm list n'affiche pas la propriété evacuated pour les périphériques d'E/S physiques

Une adresse physique non valide est reçue pendant la migration d'un domaine

La panique send_mondo_set: timeout se produit en cas d'utilisation de la commande ldm stop sur un domaine invité soumis à une charge de travail importante

Des sous-périphériques subordonnés à un périphérique PCIe retournent à l'état

Le message WARNING: ddi_intr_alloc: cannot fit into interrupt pool signifie que l'approvisionnement d'interruptions est épuisé lorsque les pilotes de périphériques d'E/S ont été joints

SPARC M5-32 et SPARC M6-32 : panic: mpo_cpu_add: Cannot read MD

SPARC M5-32 et SPARC M6-32 : problème lié aux disques accessibles via plusieurs chemins d'E/S directs

Le périphérique ixgbevf des domaines SR-IOV risque d'être désactivé après la réinitialisation du domaine primary

Après la réinitialisation du domaine primary d'Oracle Solaris 10 1/13, une interface de fonction virtuelle risque de ne pas être automatiquement raccordée ou de ne pas se voir attribuer d'adresse IP

Oracle Solaris 10 uniquement : mutex_enter: bad mutex panique dans le domaine primary lors de la réinitialisation ou de l'arrêt

SPARC M5-32 et SPARC M6-32 : le contrôleur LSI-SAS est exporté de façon incorrecte avec SR-IOV

SPARC T5-8 : les données de temps de disponibilité affichent une valeur nulle pour certaines commandes de liste ldm

Impossible de définir un MTU Jumbo pour les fonctions virtuelles sxge dans le domaine primary d'un système SPARC T5-1B

ldmd ne peut pas définir les valeurs des propriétés mac-addr et alt-mac-addr pour le périphérique sxge

Deux propriétés sont manquantes dans la sortie ldm list-io -d d'un périphérique sxge sur SPARC T5-1B

ldm ne parvient pas à évacuer un coeur défectueux d'un domaine invité

Les opérations de DR de mémoire se bloquent lorsque la mémoire est réduite à moins de quatre giga-octets

La reconfiguration dynamique de CPU d'un très grand nombre de CPU virtuelles peut échouer

Le délai d'attente de la migration d'un domaine invité avec réseaux virtuels HIO et cpu-arch=generic expire lors de l'attente de la suspension du domaine

SPARCT4-4 : impossible d'associer un domaine invité

Panique du domaine invité lorsque la propriété threading est modifiée de max-throughput à max-ipc

Le domaine de contrôle se bloque lors d'une réinitialisation avec deux domaines d'E/S directs actifs

Absence d'un message d'erreur lorsqu'un ajout de reconfiguration dynamique de mémoire est en partie réussi

Panique du domaine primary ou invité en cas de migration ou d'annulation de la liaison d'un domaine invité comportant des périphériques réseau d'E/S hybrides

Echec de la recréation d'un domaine avec des fonctions virtuelles PCIe à partir d'un fichier XML

Emission de messages d'erreur incorrects lorsque le domaine de contrôle utilise des coeurs partiels au lieu de coeurs complets

La commande ldm init-system peut ne pas correctement restaurer une configuration de domaine sur lesquels des modifications d'E/S physiques ont été apportées

Arrêt brutal et redémarrage possibles de Logical Domains Manager en cas de modification simultanée de nombreux domaines

La commande ldm list -o n'accepte plus les abréviations pour format

Domaine de contrôle nécessitant le coeur le plus bas du système

Non-réactivité des commandes ldm exécutées sur le système cible après annulation d'une migration

Non-fonctionnement de certaines cartes Emulex lorsqu'elles sont assignées à un domaine d'E/S

Panique du domaine invité lors de l'exécution de la commande cputrack lors de l'une migration vers un système SPARC T4

Oracle Solaris 11 : signalement d'usurpation et d'échec RD Oracle Solaris par les DRM

Limitation du nombre maximum de fonctions virtuelles qu'il est possible d'affecter à un domaine

Signalement, au terme de la migration, de temps de disponibilité aléatoires par un domaine invité recourant à la migration entre plusieurs CPU

Oracle Solaris 10 : panique susceptible d'être entraînée par le pilote ixgbe lorsque l'initialisation se fait à partir d'une carte Intel Dual Port Ethernet Controller X540

La console de domaine invité se bloque de manière aléatoire sur les systèmes SPARC T4

Destruction de l'ensemble des fonctions virtuelles et renvoi des emplacements vers le domaine root n'entraînant aucune restauration des ressources de complexe root

Désactivation conseillée de l'option ldm remove-io des cartes PCIe possédant des ponts PCIe vers PCI

Echec probable de la commande ldm stop en cas d'émission immédiatement après une commande ldm start

init-system ne restaure pas les contraintes de coeur nommées pour les domaines invités à partir des fichiers XML enregistrés

Panique du système lors de la réinitialisation d'un domaine primary possédant un très grand nombre de fonctions virtuelles affectées

Echec de l'autorisation des transitions DR whole-core par le coeur partiel primary

Affichage de l'état UNK ou INV par la commande ldm list-io après l'initialisation

La migration d'un domaine à mémoire très volumineuse sur un serveur SPARC T4-4 a pour effet de paniquer le domaine sur le système cible

Echec de la suppression d'un grand nombre de CPU d'un domaine invité

Impossible d'utiliser les opérations d'enfichage à chaud d'Oracle Solaris pour supprimer à chaud un périphérique d'extrémité PCIe

Panique de la commande nxge lors de la migration d'un domaine invité comportant des périphériques réseau virtuels d'E/S virtuels et hybrides

Blocage de toutes les commandes ldm lorsque des ressources NFS partagées sont absentes des migrations

Le service d'agent de Logical Domains n'est pas disponible en ligne si le service de journal système n'est pas en ligne

Un interblocage de noyau provoque le blocage de la machine pendant une migration

La stratégie DRM et la sortie ldm list présentent un nombre de CPU virtuelles différent du nombre de CPU virtuelles réellement contenues dans le domaine invité

Migration en direct d'un domaine dépendant d'un domaine maître inactif sur la machine cible entraînant l'erreur de la commande ldmd avec une erreur de segmentation

Echec du rétablissement du nombre par défaut de CPU virtuelles pour un domaine migré par la stratégie DRM lorsque la stratégie a été supprimée ou qu'elle a expiré

Echec de délai d'attente de CPU virtuelles lors de la reconfiguration dynamique

Motif de l'échec de migration non signalé lorsque l'adresse MAC du système entre en conflit avec une autre adresse MAC

Des opérations de migration simultanées dans des

Echec de la suppression d'un grand nombre de CPU d'un domaine de contrôle

Le système exécutant le SE Oracle Solaris 10 8/11 sur lequel la stratégie élastique est définie peut se bloquer

La commande pkgadd ne parvient pas à définir les entrées ACL sur /var/svc/manifest/platform/sun4v/ldmd.xml

SPARC T3-1 : problème lié aux disques accessibles via plusieurs chemins d'E/S directes

Les opérations de suppression de la reconfiguration dynamique de la mémoire avec plusieurs instances nxge NIU associées peuvent se bloquer indéfiniment et ne pas s'effectuer entièrement

L'exécution de la commande ldm stop -a sur des domaines participant à une relation maître-esclave laisse l'esclave avec l'indicateur défini sur stopping

La migration d'un domaine sur laquelle une stratégie DRM par défaut est active entraîne l'assignation de toutes les CPU disponibles à un domaine cible

Une adresse MAC en cours d'utilisation peut être réaffectée

Impossible de créer une configuration de domaine sur le processeur de service pour ldmconfig

La migration non coopérative de domaines Oracle Solaris peut se bloquer si cpu0 est hors ligne

La reconfiguration dynamique de la mémoire est désactivée à la suite de l'annulation d'une migration

Echec possible de la reconfiguration dynamique des valeurs MTU de périphériques réseau virtuel

Un domaine migré avec des MAU contient une seule CPU lorsque le SE cible ne prend pas en charge la reconfiguration dynamique d'unités cryptographiques

Le message d'échec de migration concernant de réels échecs de liaison de mémoire d'adresses manque de clarté

La suppression dynamique de toutes les unités cryptographiques d'un domaine entraîne l'arrêt de SSH

La carte fibre 10 Gigabit Ethernet double, PCI Express Atlas affiche quatre sous-périphériques dans la sortie ldm list-io -l

Utilisation du mpgroup Logical Domains avec configuration de baie de stockage MPXIO permettant une grande disponibilité du disque

ldm : ces commandes mettent beaucoup de temps à répondre lorsque plusieurs domaines sont initialisés

Oracle Solaris 11 : les zones configurées à l'aide d'une interface réseau automatique risquent de ne pas pouvoir démarrer

Oracle Solaris 10 : les périphériques réseau virtuels ne sont pas créés correctement sur le domaine de contrôle

Les cartes NIU/XAUI récemment ajoutées ne sont pas visibles pour le SE hôte si le logiciel Logical Domains est configuré

Panique possible du domaine d'E/S ou du domaine invité lors d'une initialisation à partir de e1000g

Les liaisons de groupe de consoles et de port explicites ne sont pas migrées

La migration n'échoue pas si un vdsdev a un moteur de traitement différent sur la cible

La migration ne permet pas toujours la liaison de mémoire si la quantité de mémoire disponible est suffisante sur la cible

Logical Domains Manager ne démarre pas si la machine n'est pas mise en réseau et qu'un client NIS est exécuté

Logical Domains Manager affiche les domaines migrés à l'état de transition lorsqu'ils sont déjà initialisés

Impossible de se connecter à la console d'un domaine migré sauf si le service vntsd est redémarré

Il arrive que l'exécution de la commande uadmin 1 0 à partir d'un système Logical Domains ne retourne pas le système à l'invite OK

Logical Domains Manager met parfois plus de 15 minutes pour arrêter un domaine

La commande scadm peut se bloquer à la suite d'une réinitialisation d'un contrôleur système ou d'un processeur de service

Une installation réseau simultanée de plusieurs domaines échoue lorsqu'il s'agit d'un groupe de consoles commun

Un domaine invité comportant un nombre trop important de réseaux virtuels sur le même réseau utilisant DHCP peut devenir non réactif

Les variables OpenBoot PROM ne peuvent pas être modifiées par la commande eeprom lorsque Logical Domains Manager est en cours d'exécution

Impossible de définir des clés de sécurité durant l'exécution de Logical Domains

Le comportement de la commande ldm stop-domain n'est pas toujours très clair

Problèmes identifiés dans la documentation

ldm1M Page de manuel : Décrire les restrictions d'utilisation de la propriété mblock

ldm1M Page de manuel : Améliorer la description de la commande ldm list -o status

Page de manuel ldm1M : seule la commande ldm add-spconfig -r permet d'effectuer une reprise manuelle

La configuration système requise du SE SR-IOV Fibre Channel dans le Guide d'administration d'Oracle VM Server for SPARC 3.1 est incorrecte

Problèmes résolus

Problèmes résolus dans la version 3.1.1.2 d'Oracle VM Server for SPARC

Problèmes résolus dans la version 3.1.1.1 d'Oracle VM Server for SPARC

Problèmes résolus dans la version 3.1.1 d'Oracle VM Server for SPARC

Problèmes résolus dans la version 3.1.0.1 d'Oracle VM Server for SPARC

Problèmes résolus dans la version 3.1 d'Oracle VM Server for SPARC

Problèmes d'ordre général

Cette section décrit les problèmes matériels et logiciels connus pour cette version du logiciel Oracle VM Server for SPARC qui ne concernent pas qu'un numéro de bogue particulier. Des solutions sont proposées, le cas échéant.

Impossible de dissocier des domaines lorsqu'ils se fournissent mutuellement des services

 

Ne créez pas de dépendance circulaire entre deux domaines où chaque domaine fournit des services à l'autre. Une telle configuration crée une condition de point de panne unique où une interruption de service dans un domaine entraîne l'indisponibilité de l'autre domaine. Les configurations de dépendance circulaire vous empêchent également de dissocier les domaines suite à leur association initiale.

Le Logical Domains Manager n'empêche pas la création de dépendances de domaines circulaires.

S'il est impossible de dissocier les domaines en raison d'une dépendance circulaire, retirez les périphériques causant la dépendance puis tentez de dissocier les domaines.

Impossible pour un domaine d'exécuter le SE Oracle Solaris 10 si plus de 1 024 CPU sont associés

 

Un domaine invité associé à plus de 1 024 CPU ne peut pas exécuter le SE Oracle Solaris 10. De plus, vous ne pouvez pas utiliser la reconfiguration dynamique de CPU pour définir un nombre de CPU inférieur à 1 024 pour exécuter le SE Oracle Solaris 10.

Pour contourner ce problème, dissociez le domaine invité, retirez les CPU jusqu'à ce que vous n'en ayez plus que 1 024, pour associez à nouveau le domaine invité. Vous pourrez ensuite exécuter le SE Oracle Solaris 10 sur ce domaine invité.

Eviter la création d'une configuration où deux domaines se fournissent mutuellement des services

Evitez de créer une configuration où deux domaines se fournissent mutuellement des services. Si tel est le cas, une interruption de service dans un domaine met hors service l'autre domaine. De plus, de tels domaines ne peuvent pas être dissociés s'ils sont associés avec une configuration de ce type. Actuellement, Logical Domains Manager ne bloque pas de telles dépendances circulaires.

Si vous ne pouvez pas dissocier un domaine à cause de ce type de dépendance, supprimez les périphériques qui provoquent des dépendances circulaires puis tentez une nouvelle opération de dissociation.

Mise à niveau à partir d'un SE Oracle Solaris 10 antérieur au SE Oracle Solaris 10 5/08

Si le domaine de contrôle est mis à niveau à partir d'une version du SE Oracle Solaris 10 antérieure au SE Oracle Solaris 10 5/08 (ou sans le patch 127127-11) et si les volumes du gestionnaire de volumes ont été exportés en tant que disques virtuels, les moteurs de traitement des disques virtuels doivent être ré-exportés avec options=slice après la mise à niveau du Logical Domains Manager. Reportez-vous à la section Exportation de volumes et rétrocompatibilité du Guide d'administration d'Oracle VM Server for SPARC 3.1 .

Les termes Processeur de service et Contrôleur système sont utilisés de manière interchangeable

Pour les besoins de la documentation d'Oracle VM Server for SPARC les termes Processeur de service et Contrôleur système sont utilisés de manière interchangeable.

Dans certaines circonstances, la configuration ou les métapériphériques Solaris Volume Manager d'un domaine invité peuvent être perdus

Si un domaine de service exécute une version du SE Oracle Solaris 10 antérieure à SE Oracle Solaris 10 1/13 et qu'il exporte une tranche de disque physique sous forme de disque virtuel vers un domaine invité, ce disque virtuel est présenté sur le domaine invité avec un ID de périphérique incorrect. Si ce domaine de service est ensuite mis à niveau vers SE Oracle Solaris 10 1/13, la tranche de disque physique exportée sous forme de disque virtuel est présentée sur le domaine invité sans ID de périphérique.

L'absence d'ID de périphérique pour le disque virtuel peut être à l'origine de problèmes au niveau des applications qui tentent de référencer l'ID de périphérique de disques virtuels. En particulier, Solaris Volume Manager risque de ne plus pouvoir détecter sa configuration ou d'accéder à ses métapériphériques.

Solution de contournement : après avoir mis à niveau un domaine de service vers SE Oracle Solaris 10 1/13, si un domaine invité ne parvient pas à détecter sa configuration ou ses métapériphériques Solaris Volume Manager, effectuez la procédure suivante.

Détection de la configuration ou des métapériphériques Solaris Volume Manager d'un domaine invité

  1. Initialisez le domaine invité.
  2. Désactivez la fonction devid de Solaris Volume Manager en ajoutant les lignes suivantes au fichier /kernel/drv/md.conf :
    md_devid_destroy=1;
    md_keep_repl_state=1;
  3. Réinitialisez le domaine invité.

    Après l'initialisation du domaine, la configuration et les métapériphériques de Solaris Volume Manager devraient être disponibles.

  4. Examinez la configuration de Solaris Volume Manager pour vous assurer qu'elle est correcte.
  5. Réactivez la fonction devid de Solaris Volume Manager en supprimant du fichier /kernel/drv/md.conf les deux lignes que vous avez ajoutées à l'étape 2.
  6. Réinitialisez le domaine invité.

    Lors de la réinitialisation, des messages semblables aux suivants s'affichent 

    NOTICE: mddb: unable to get devid for 'vdc', 0x10

    Il n'y a rien d'anormal à cela dans la mesure où aucun problème n'est signalé.

Taille de la mémoire requise

Le logiciel Oracle VM Server for SPARC n'impose aucune limitation de taille pour la mémoire lors de la création d'un domaine. La taille de la mémoire requise est une caractéristique du système d'exploitation hôte. Certaines fonctions d'Oracle VM Server for SPARC risquent de ne pas fonctionner si la quantité de mémoire présente est inférieure à la taille recommandée. Pour le SE Oracle Solaris 10, reportez-vous à la section Configuration système requise et recommandations du Guide d'installation d'Oracle Solaris 10 8/11 : Planification d'installation et de mise à niveau . Pour connaître la configuration système requise et les recommandations pour le SE Oracle Solaris 11, reportez-vous aux sections Oracle Solaris 11 Release Notes et Oracle Solaris 11.1 Release Notes .

La PROM OpenBoot a une contrainte de taille minimale pour un domaine. Actuellement, cette limite est de 12 méga-octets. Si vous avez un domaine dont la taille est inférieure, Logical Domains Manager étend automatiquement celui-ci à 12 Mo. La taille minimale d'un Système Fujitsu M10 est limitée à 256 Mo. Reportez-vous aux notes de version de votre microprogramme système pour connaître la taille de la mémoire requise

La fonction de reconfiguration dynamique (DR) de la mémoire applique un alignement de 256 Mo sur l'adresse et la taille de la mémoire impliquées dans une opération donnée. Reportez-vous à la section Alignement de la mémoire du Guide d'administration d'Oracle VM Server for SPARC 3.1 .

Initialisation d'un grand nombre de domaines

Si des CPU virtuelles non allouées sont disponibles, assignez-les au domaine de service afin de contribuer au traitement des demandes d'E/S virtuelles. Attribuez 4 à 8 CPU virtuelles au domaine de service si vous créez plus de 32 domaines. Dans les cas où les configurations de domaines maximales ne disposent que d'une CPU dans le domaine de service, ne placez pas une contrainte inutile sur cette CPU lors de la configuration et de l'utilisation du domaine. Les services de commutateur virtuel (vsw) doivent être répartis sur l'ensemble des adaptateurs réseau disponibles dans la machine. Par exemple, si vous initialisez 128 domaines sur un serveur Sun SPARC Enterprise T5240, créez quatre services vsw, chacun servant 32 instances réseau virtuelles (vnet). L'attribution de plus de 32 instances vnet par service vsw peut entraîner un blocage forcé du domaine du service.

Pour exécuter les configurations maximales, une machine nécessite une quantité de mémoire suffisante pour prendre en charge les domaines invités. La quantité de mémoire dépend de votre plate-forme et de votre SE. Reportez-vous à la documentation relative à votre plate-forme, Oracle Solaris 10 8/11 Installation Guide: Planning for Installation and Upgrade , Installing Oracle Solaris 11 Systems et Installing Oracle Solaris 11.1 Systems .

La mémoire libre et l'espace de swap utilisés dans un domaine invité augmentent lorsque les services vsw utilisés par le domaine fournissent des services à de nombreux réseaux virtuels (dans plusieurs domaines). Ceci est dû aux liaisons de poste à poste entre toutes les instances vnet connectées à vsw. Le domaine de service bénéficie d'une quantité de mémoire supplémentaire. La valeur minimale recommandée est 4 Go lorsque vous exécutez plus de 64 domaines. Démarrez les domaines par groupe de 10 ou moins et attendez qu'ils s'initialisent avant de démarrer le lot suivant. Ce conseil est également valable pour les systèmes d'exploitation des domaines. Vous pouvez réduire le nombre de liaisons en désactivant les liens inter-vnet. Reportez-vous à la section Canaux LDC Inter-Vnet du Guide d'administration d'Oracle VM Server for SPARC 3.1 .

Arrêt correct et cycle d'alimentation d'un système Oracle VM Server for SPARC

Si vous avez effectué des changements de configuration depuis le dernier enregistrement d'une configuration sur le contrôleur système, avant d'éteindre ou d'effectuer un cycle d'alimentation d'un système Oracle VM Server for SPARC, veillez à enregistrer la dernière configuration que vous souhaitez conserver.

Mise hors tension d'un système comportant plusieurs domaines actifs

  1. Arrêtez et dissociez tous les domaines non E/S.
  2. Arrêtez et dissociez tous les domaines d'E/S actifs.
  3. Arrêtez le domaine primary.

    Puisqu'aucun autre domaine n'est lié, le microprogramme met automatiquement le système hors tension.

Arrêt et redémarrage du système

  1. Arrêtez et dissociez tous les domaines non E/S.
  2. Arrêtez et dissociez tous les domaines d'E/S actifs.
  3. Réinitialisez le domaine primary.

    Puisqu'aucun autre domaine n'est lié, le microprogramme effectue automatiquement un cycle d'alimentation du système avant de le réinitialiser. Lorsque le système redémarre, il initialise la dernière configuration de domaine enregistrée ou explicitement définie.

Taille de la mémoire requise différente de la mémoire allouée

Dans certaines circonstances, Logical Domains Manager arrondit l'allocation de mémoire requise au multiple supérieur suivant de 8 kilo-octets ou 4 mégaoctets. L'exemple suivant présente une sortie de la commande ldm list-domain -l, où la valeur de contrainte est inférieure à la taille réelle allouée :

Memory:
          Constraints: 1965 M
          raddr          paddr5          size
          0x1000000      0x291000000     1968M

Persistance des variables Logical Domains

Les mises à jour de variables persistent après la réinitialisation du domaine, mais pas après un cycle d'alimentation du système, à moins qu'elles ne soient lancées à partir du microprogramme OpenBoot sur le domaine de contrôle ou suivies de l'enregistrement de la configuration sur le contrôleur système.

Les mises à jour de variables effectuées à l'aide de l'une de ces méthodes doivent toujours persister après les réinitialisations du domaine. Les mises à jour de variables s'appliquent toujours dans toutes les configurations de domaine ultérieures enregistrées sur le contrôleur système.

Si vous modifiez l'heure ou la date sur un domaine logique, par exemple en utilisant la commande ntpdate, le changement persiste après toutes les réinitialisations du domaine, mais pas après un cycle d'alimentation de l'hôte. Pour que les changements de date et d'heure persistent, enregistrez la configuration avec le changement en question sur le contrôleur système et initialisez à partir de cette configuration.

Les ID de bogue suivants ont été créés pour résoudre ces problèmes : 15375997, 15387338, 15387606 et 15415199.

Sun SNMP Management Agent d'Oracle ne prend pas en charge plusieurs domaines

Sun SNMP (Simple Network Management Protocol) Management Agent ne prend pas en charge plusieurs domaines. Seul un domaine global est pris en charge.

Reconfiguration retardée

Lorsqu'un domaine primary est en état de reconfiguration retardée, l'alimentation des ressources gérées par Oracle VM Server for SPARC est uniquement gérée après la réinitialisation du domaine primary. Les ressources gérées directement par le SE, telles que les CPU gérés par le Power Aware Dispatcher Solaris ne sont pas affectées par cet état.

Unités cryptographiques

Les unités cryptographiques discrètes sont uniquement présentes sur les systèmes UltraSPARC T2, UltraSPARC T2 Plus et SPARC T3.

La reconfiguration dynamique des unités cryptographiques vous permet d'ajouter ou de supprimer des unités cryptographiques d'un domaine. Logical Domains Manager détecte automatiquement si un domaine permet la reconfiguration dynamique des unités cryptographiques et active la fonctionnalité pour ce domaine uniquement. De plus, la reconfiguration dynamique des CPU n'est plus désactivée dans les domaines dont des unités cryptographiques sont liées et exécutent une version appropriée du SE Oracle Solaris.

Commande ldmp2v convert : des messages d'avertissement VxVM durant une initialisation

L'exécution de Veritas Volume Manager (VxVM) 5.x sur le SE Oracle Solaris 10 est la seule version prise en charge (testée) pour l'outil Oracle VM Server for SPARC P2V. Les versions antérieures de VxVM, comme 3.x et 4.x exécutées sur les systèmes d'exploitation Solaris 8 et Solaris 9 peuvent également fonctionner. Dans ces cas, la première initialisation après avoir exécuté la commande ldmp2v convert peut engendrer des messages d'avertissement concernant les pilotes VxVM. Vous pouvez ignorer ces messages. Vous pouvez supprimer les anciens packages VRTS* après l'initialisation du domaine invité.

Boot device: disk0:a File and args:
SunOS Release 5.10 Version Generic_139555-08 64-bit
Copyright 1983-2009 Sun Microsystems, Inc. All rights reserved.
Use is subject to license terms.
Hostname: normaal
Configuring devices.
/kernel/drv/sparcv9/vxdmp: undefined symbol 'romp'
WARNING: mod_load: cannot load module 'vxdmp'
WARNING: vxdmp: unable to resolve dependency, module 'misc/ted' not found
/kernel/drv/sparcv9/vxdmp: undefined symbol 'romp'
WARNING: mod_load: cannot load module 'vxdmp'
WARNING: vxdmp: unable to resolve dependency, module 'misc/ted' not found
/kernel/drv/sparcv9/vxio: undefined symbol 'romp'
WARNING: mod_load: cannot load module 'vxio'
WARNING: vxio: unable to resolve dependency, module 'drv/vxdmp' not found
WARNING: vxspec : CANNOT INITIALIZE vxio DRIVER
WARNING: VxVM vxspec V-5-0-0 vxspec: vxio not loaded. Aborting vxspec load
WARNING: vxspec : CANNOT INITIALIZE vxio DRIVER
WARNING: VxVM vxspec V-5-0-0 vxspec: vxio not loaded. Aborting vxspec load
WARNING: vxspec : CANNOT INITIALIZE vxio DRIVER
WARNING: VxVM vxspec V-5-0-0 vxspec: vxio not loaded. Aborting vxspec load
WARNING: vxspec : CANNOT INITIALIZE vxio DRIVER
WARNING: VxVM vxspec V-5-0-0 vxspec: vxio not loaded. Aborting vxspec load
WARNING: vxspec : CANNOT INITIALIZE vxio DRIVER
WARNING: VxVM vxspec V-5-0-0 vxspec: vxio not loaded. Aborting vxspec load
WARNING: vxspec : CANNOT INITIALIZE vxio DRIVER
WARNING: VxVM vxspec V-5-0-0 vxspec: vxio not loaded. Aborting vxspec load
WARNING: vxspec : CANNOT INITIALIZE vxio DRIVER
NOTICE: VxVM not started

Configuration requise pour le partitionnement forcé Oracle des licences logicielles

Pour plus d'informations sur les conditions requises pour le partitionnement forcé des licences Oracle, reportez-vous à la section Partitionnement : partitionnement du serveur/matériel.

Option de mise à niveau absente lors de l'utilisation de ldmp2v prepare -R

Le programme d'installation Oracle Solaris ne comporte pas l'option de mise à niveau lorsque le repère de partition de la tranche sur laquelle réside le système de fichiers root (/) n'est pas défini sur root. Cette situation se produit si le repère n'est pas défini de manière explicite lors de l'étiquetage du disque d'initialisation de l'invité. Vous pouvez utiliser la commande format pour définir le repère de partition comme suit 

AVAILABLE DISK SELECTIONS:
0. c0d0 <SUN-DiskImage-10GB cyl 282 alt 2 hd 96 sec 768>
  /virtual-devices@100/channel-devices@200/disk@0
1. c4t2d0 <SUN146G cyl 14087 alt 2 hd 24 sec 848>
  /pci@400/pci@0/pci@1/scsi@0/sd@2,0
2. c4t3d0 <SUN146G cyl 14087 alt 2 hd 24 sec 848>
  /pci@400/pci@0/pci@1/scsi@0/sd@3,0
Specify disk (enter its number)[0]: 0
selecting c0d0
[disk formatted, no defect list found]
format> p


PARTITION MENU:
0      - change `0' partition
1      - change `1' partition
2      - change `2' partition
3      - change `3' partition
4      - change `4' partition
5      - change `5' partition
6      - change `6' partition
7      - change `7' partition
select - select a predefined table
modify - modify a predefined partition table
name   - name the current table
print  - display the current table
label  - write partition map and label to the disk
!<cmd> - execute <cmd>, then return
quit

partition> 0
Part      Tag    Flag     Cylinders       Size            Blocks
0 unassigned    wm       0              0         (0/0/0)          0

Enter partition id tag[unassigned]: root
Enter partition permission flags[wm]:
Enter new starting cyl[0]: 0
Enter partition size[0b, 0c, 0e, 0.00mb, 0.00gb]: 8g
partition> label
Ready to label disk, continue? y

partition>

Parfois, le bloc de mémoire ajouté de manière dynamique ne peut être supprimé dynamiquement que dans sa totalité.

En raison de la manière dont le SE Oracle Solaris traite les métadonnées pour la gestion de la mémoire ajoutée de manière dynamique, vous pourrez peut-être uniquement supprimer le bloc de mémoire entier qui a été précédemment ajouté de manière dynamique plutôt qu'un sous-ensemble correct de cette mémoire.

Cette situation se présente si un domaine dont la taille de mémoire est petite est dynamiquement augmenté, comme indiqué dans l'exemple suivant.

primary# ldm list ldom1
NAME  STATE FLAGS   CONS VCPU MEMORY UTIL UPTIME
ldom1 active -n--   5000 2    2G     0.4% 23h

primary# ldm add-mem 16G ldom1

primary# ldm rm-mem 8G ldom1
Memory removal failed because all of the memory is in use.

primary# ldm rm-mem 16G ldom1

primary# ldm list ldom1
NAME  STATE FLAGS   CONS VCPU MEMORY UTIL UPTIME
ldom1 active -n--   5000 2    2G     0.4% 23h

Solution de contournement : utilisez la commande ldm add-mem pour ajouter de la mémoire de manière séquentielle par blocs de petite taille plutôt que par blocs de plus grande taille que vous pourriez souhaiter supprimer à l'avenir.

ldmp2v : la méthode d'archivage ufsdump n'est plus utilisée avec cette commande

La restauration des archives ufsdump sur un disque virtuel soutenu par un fichier sur un système de fichiers UFS risque de provoquer le blocage du système. Dans ce cas, la commande ldmp2v prepare se ferme. Il est possible que vous rencontriez ce problème si vous restaurez manuellement des archives ufsdump pour préparer la commande ldmp2v prepare -R /altroot lorsque le disque virtuel est un fichier sur un système de fichiers UFS. En raison de la compatibilité avec les archives ufsdump crées précédemment, vous pouvez toujours utiliser la commande ldmp2v prepare pour restaurer des archives ufsdump sur les disques virtuels qui ne sont pas soutenus par un fichier sur un système de fichiers UFS. Toutefois, l'utilisation des archives ufsdump n'est pas recommandée.

Une seule opération de configuration de CPU peut être exécutée durant une reconfiguration retardée

N'essayez pas d'exécuter plusieurs opérations de configuration de CPU sur le domaine primary alors que sa reconfiguration est retardée. Si vous tentez d'effectuer plusieurs demandes de configuration de CPU, celles-ci seront rejetées.

Solution de contournement : effectuez l'une des opérations suivantes 

Le démon ldmd d'Oracle VM Server for SPARC 3.1 ne démarre pas si plusieurs commutateurs virtuels sont assignés à un seul adaptateur réseau

Le logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.0 offre par inadvertance la possibilité d'assigner plusieurs commutateurs virtuels à un même adaptateur réseau. Cette possibilité n'est destinée qu'à être utilisée sous certaines conditions par le logiciel Oracle VM Manager.

Le logiciel Oracle VM Server for SPARC 3.1 a rétabli le comportement d'origine, qui n'autorise pas l'assignation de plusieurs commutateurs virtuels à un seul adaptateur réseau. Toutefois, si vous avez configuré votre système Oracle VM Server for SPARC 3.0 de manière à ce qu'il assigne plusieurs commutateurs virtuels à un seul adaptateur réseau, le démon ldmd ne démarre pas lorsque vous effectuez la mise à niveau vers Oracle VM Server for SPARC 3.1.

Solution de contournement : effectuez les opérations suivantes :

  1. Réactivez temporairement cette possibilité sur votre système Oracle VM Server for SPARC 3.1 pour permettre au démon ldmd de démarrer.

    # svccfg -s ldoms/ldmd setprop ldmd/ovm_manager=true
    # svcadm refresh ldmd
    # svcadm disable ldmd
    # svcadm enable ldmd
  2. Mettez à jour la configuration de votre système de manière à ce qu'elle n'autorise l'affectation que d'un seul commutateur virtuel à un périphérique réseau.

  3. Désactivez cette possibilité sur votre système Oracle VM Server for SPARC 3.1.

    # svccfg -s ldoms/ldmd setprop ldmd/ovm_manager=false
    # svcadm refresh ldmd
    # svcadm disable ldmd
    # svcadm enable ldmd

    Il est primordial que vous affectiez la valeur false à la propriété ovm_manager, car cette propriété pourrait avoir d'autres effets secondaires dans les prochaines versions d'Oracle VM Server for SPARC.

Compatibilité du disque d'initialisation d'Oracle Solaris

Par le passé, le SE Oracle Solaris était installé sur un disque d'initialisation configuré avec une étiquette de disque VTOC SMI. A partir du SE Oracle Solaris 11.1, le SE est installé sur un disque d'initialisation configuré par défaut avec une étiquette GPT (GUID partition table, table de partition GUID) de type EFI (Extensible Firmware Interface). Si le microprogramme ne prend pas en charge EFI, le disque est configuré avec une étiquette de disque VTOC SMI. Cette situation concerne uniquement les serveurs SPARC T4 exécutant au moins le microprogramme système 8.4.0, les serveurs SPARC T5, SPARC M5 ou SPARC M6 exécutant au moins la version 9.1.0 du microprogramme système et les Systèmes Fujitsu M10 exécutant au moins XCP2230.

Ainsi, un disque d'initialisation Oracle Solaris 11.1 créé sur un système SPARC T4, SPARC T5, SPARC M5, SPARC M6 ou un Système Fujitsu M10 ne peut pas être utilisé sur un serveur plus ancien ou sur un serveur exécutant un microprogramme plus ancien.

Cette restriction réduit les possibilités d'effectuer des migrations à froid ou des migrations directes pour déplacer un domaine d'un serveur récent vers un serveur plus ancien. Cette restriction vous empêche également d'utiliser une image de disque d'initialisation GPT EFI sur un ancien serveur.

Pour déterminer si un disque d'initialisation Oracle Solaris 11.1 est compatible avec votre serveur et le microprogramme dont celui-ci est équipé, assurez-vous que le SE Oracle Solaris 11.1 est installé sur un disque configuré avec une étiquette de disque VTOC SMI.