Ce chapitre répertorie l'ensemble des mots-clés et des valeurs utilisables dans le fichier rules, dans les profils, ainsi que dans les scripts de début et de fin.
Dans le cas de l'installation d'un pool racine Solaris ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart pour connaître les restrictions et voir des exemples de profil. Vous pouvez également consulter le Tableau 8–2 pour obtenir une liste des mots-clés spécifiques au format ZFS et des mots-clés pouvant être utilisés au sein d'un profil.
Le Tableau 8–1 répertorie les mots-clés et les valeurs que vous pouvez utiliser dans le fichier de rules. Pour connaître les instructions détaillées de création d'un fichier rules, reportez-vous à la rubrique Création du fichier rules.
Tableau 8–1 Descriptions des mots-clés et des valeurs des règles
Mot-clé |
Valeur |
Correspondances |
||
---|---|---|---|---|
signe moins (-) |
Tout (Anything). Le mot-clé any fonctionne à chaque fois. |
|||
type_processeur Les valeurs valides de type_processeur sont les suivantes :
|
Type de processeur d'un système donné. La commande uname -p identifie le type de processeur dont un système est équipé. |
|||
nom_disque_sélectionné plage_taille nom_disque_sélectionné : nom d'un disque sous la forme c xtyd z, comme c0t3d0 ou c0d0, ou le terme spécial rootdisk. Si vous utilisez rootdisk, la séquence d'identification du disque procède dans l'ordre suivant :
plage_taille : taille du disque, exprimée impérativement en Mo (x-x). Remarque – Lorsque vous calculez la valeur plage_taille, rappelez-vous qu'un Mo correspond à 1 048 576 octets. Il est fréquent que l'espace disque d'un disque de "535 Mo" soit en fait limité à 510 millions d'octets. Le programme JumpStart considère le disque « 535 Mo » comme un disque de 510 Mo étant donné que : 535,000,000 / 1,048,576 = 510. Un disque « 535 Mo » ne correspond pas à une plage_taille égale à 530–550 Mo. |
Nom et taille du disque d'un système exprimée en Mo. Exemple :
Dans cet exemple, le programme JumpStart recherche un disque système nommé c0t3d0. Vous pouvez y enregistrer entre 250 et 300 Mo d'informations. Exemple :
Dans cet exemple, le programme JumpStart recherche le disque comme suit :
|
|||
nom_domaine_sélectionné |
Nom de domaine d'un système, qui contrôle la façon dont un service d'attribution de noms détermine les informations. Si vous disposez déjà d'un système installé, la commande domainname identifie son nom de domaine. |
|||
adresse_IP_sélectionnée |
Adresse IP d'un système donné. |
|||
nom_hôte_sélectionné |
Il s'agit du nom d'hôte d'un système donné. Si vous disposez déjà d'un système installé, la commande uname -n identifie son nom d'hôte. |
|||
tranche version tranche – Nom de tranche de disque dans le format cwtx dysz, tel que c0t3d0s5, ou le terme spécial any ou rootdisk. Si vous utilisez any, le programme JumpStart cherche à établir une correspondance avec l'ensemble des disques du système, dans l'ordre de sonde du noyau. Si rootdisk est utilisé, le disque à faire correspondre est déterminé dans l'ordre suivant :
version : nom d'une version ou termes spéciaux any ou upgrade. Le terme spécial any reconnaît toutes les versions de Solaris ou de SunOS. Si upgrade est utilisé, toute version Solaris prise en charge et pouvant être mise à niveau est mise en correspondance. Si le programme JumpStart détecte une version de Solaris mais qu'il ne parvient pas à en déterminer le numéro de version, il renvoie SystemV. |
Disque dont le système de fichiers racine (/) correspond à une version particulière du logiciel Solaris. Exemple :
Dans cet exemple, le programme JumpStart recherche un système comportant un système de fichiers racine (/) Solaris sur c0t3d0s1. |
|||
groupe_plates-formes_sélectionné Les valeurs correctes sont sun4u, i86pc et prep. La liste des systèmes et leur groupe de plates-formes correspondant figure dans le document Guide de la plate-forme matérielle Sun Solaris sur le site Web http://docs.sun.com. |
Groupe de plates-formes d'un système. Si vous disposez d'un système déjà installé, la commande arch -k ou la commande uname -m en identifie le groupe de plates-formes. |
|||
mém_physique La valeur correspondante doit être une plage de valeurs exprimées en Mo, x- x, ou une taille donnée, en Mo. |
Taille de mémoire physique d'un système, exprimée en Mo. Exemple :
Dans cet exemple, le système recherché doit avoir une mémoire physique dont la taille est comprise entre 64 et 128 Mo. Si un système est déjà installé, la sortie de la commande prtconf, ligne 2, indique la taille de la mémoire physique du système. |
|||
nom_plate_forme_sélectionnée |
Il s'agit du nom de la plate-forme d'un système. Reportez-vous au document Guide de la plate-forme matérielle Sun Solaris sur le site Web http://docs.sun.com qui contient la liste des noms de plates-formes valides. Pour connaître le nom de la plate-forme d'un système installé, utilisez la commande uname -i ou reportez-vous à la ligne 5 du résultat de la commande prtconf. Remarque – Remplacez les espaces du nom_plate_forme_sélectionnée par des traits de soulignement (_), le cas échéant. Exemple : SUNW,Sun_4_50 |
|||
id_réseau |
Identifiant du réseau d'un système que le programme JumpStart détermine en associant (opérateur logique AND) l'adresse IP du système et son masque de sous-réseau. Exemple :
Dans cet exemple, le système recherché doit avoir 192.168.2.8 comme adresse IP, si le masque de sous-réseau est 255.255.255.0. |
|||
Solaris_x |
Version du logiciel Solaris installée sur un système donné. Exemple :
Dans l'exemple, le programme JumpStart tente de faire correspondre un système au système d'exploitation Solaris 10 10/08 installé. |
|||
mot_clé_sonde |
Mot-clé de sonde valide ou mot-clé de sonde personnalisé valide. Exemple :
Cet exemple renvoie la taille des disques d'un système en Mo conformément à l'ordre de sonde du noyau, par exemple, c0t3d0s1, c0t4d0s0, sur un système SPARC. Le programme JumpStart définit les variables d'environnement SI_DISKLIST, SI_DISKSIZES, SI_NUMDISKS et SI_TOTALDISK. Remarque – Le mot-clé probe est unique en soi, puisqu'il ne cherche à établir aucune correspondance avec un attribut donné, pas plus qu'à exécuter un profil. Le mot-clé probe renvoie une valeur. Par conséquent, le mot-clé de règle probe ne vous permet pas de définir des scripts de début, des profils ni des scripts de fin. Les mots-clés de sondes sont décrits au Chapitre5Création de mots-clés de règles et de sondes personnalisés – Tâches. |
|||
plage_taille La valeur doit être exprimée sous la forme d'une plage de mégaoctets (x- x). Remarque – Lorsque vous calculez la valeur plage_taille, rappelez-vous qu'un Mo correspond à 1 048 576 octets. Il est fréquent que l'espace disque d'un disque de “535 Mo” soit en fait limité à 510 millions d'octets. Le programme JumpStart considère le disque « 535 Mo » comme un disque de 510 Mo étant donné que : 535,000,000 / 1,048,576 = 510. Un disque « 535 Mo » ne correspond pas à une plage_taille égale à 530–550 Mo. |
Espace disque total d'un système donné, exprimé en Mo. L'espace disque total inclut la taille des disques opérationnels, reliés à un système donné. Exemple :
Dans cet exemple, le programme JumpStart recherche un système dont l'espace disque total est compris entre 300 et 500 Mo. |
Cette rubrique décrit les mots-clés et les valeurs utilisables dans un profil. Pour obtenir les instructions de création d'un profil, reportez-vous à la rubrique Création d'un profil. Ces mots de passe sont utilisés pour installer les systèmes de fichiers UFS et ZFS. Si le mot de passe peut être utilisé dans un profil ZFS, le terme « ZFS » est indiqué.
Le Tableau 8–2 permet de déterminer rapidement quels mots-clés vous pouvez utiliser en fonction du scénario d'installation. Les mot-clés s'appliquent uniquement à une installation initiale, sauf si cela est indiqué. Ces mots-clés sont également adaptés à un système de fichiers UFS, à moins qu'un mot-clé ne soit mentionné comme pouvant être utilisé dans un profil de pool racine ZFS.
Tableau 8–2 Présentation des mots-clés de profil
Configurations d'installation |
||||||
---|---|---|---|---|---|---|
Mot-clé de profil |
Système autonome (hors réseau) |
Système autonome (en réseau) ou serveur |
Serveur OS |
Mise à niveau |
Mise à niveau avec réallocation d'espace disque |
Peut être utilisé pour un pool racine ZFS |
archive_location (installation d'archives Solaris Flash) |
X |
X | ||||
backup_media |
X | |||||
boot_device (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
||
bootenv (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
||
client_arch |
X | |||||
client_root |
X | |||||
client_swap |
X | |||||
cluster (ajout de groupes de logiciels) (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
||
cluster (ajout ou suppression de clusters) (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
X |
X |
dontuse (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
||
fdisk (x86 uniquement) (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
||
filesys (montage de systèmes de fichiers distants) (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
|||
filesys (création de systèmes de fichiers locaux) |
X |
X |
X | |||
filesys (création de systèmes de fichiers mis en miroirs) |
X |
X |
X |
|
| |
forced_deployment (archives différentielles d'installation Solaris Flash) |
X |
X |
|
|
| |
geo(UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
X |
X |
install_type (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
X |
X |
layout_constraint |
X | |||||
local_customization (archives d'installation Solaris Flash) |
X |
X |
|
|
| |
locale(UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
X |
X |
metadb (création de répliques de bases de données d'état) |
X |
X |
X |
|
| |
no_master_check (archives différentielles d'installation Solaris Flash) |
X |
X |
|
|
| |
no_content_check (installation d'archives différentielles Solaris Flash) |
X |
X |
|
|
| |
num_clients |
X | |||||
package (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
X |
X |
partitioning |
X |
X |
X |
|
| |
patch |
X |
X |
X |
X |
X | |
pool (pools racines ZFS uniquement) |
X |
X |
X |
X |
||
root_device (UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
X |
X |
system_type |
X |
X |
X |
|
| |
usedisk(UFS et ZFS) |
X |
X |
X |
X |
archive_location retrieval_type location |
Les valeurs de type_récupération et emplacement dépendent de l'emplacement de l'archive Solaris Flash. Les sections suivantes répertorient les valeurs utilisables pour type_récupération et emplacement, ainsi que des exemples d'utilisation du mot-clé archive_location.
Les caractéristiques des emplacements sont indiquées dans les sections suivantes.
L'archive Solaris Flash ne peut pas être créée correctement lorsqu'une zone non globale est installée. La fonction Solaris Flash n'est pas compatible avec la technologie de partitionnement Solaris Zones. Si vous créez une archive Solaris Flash, l'archive résultante n'est pas installée correctement lorsqu'elle est déployée dans les conditions suivantes :
L'archive est créée dans une zone non globale.
L'archive est créée dans une zone globale ayant des zones non globales installées.
Si votre archive est stockée sur un serveur NFS, utilisez la syntaxe suivante pour le mot-clé archive_location :
archive_location nfs server_name:/path/filename retry n |
Nom du serveur sur lequel vous avez stocké l'archive.
Emplacement de l'archive à récupérer à partir du serveur indiqué. Si le chemin d'accès comporte $HOST, les utilitaires d'installation Solaris Flash remplacent $HOST par le nom du système clone que vous installez.
Nom du fichier d'archive Solaris Flash.
Mot-clé facultatif. La lettre n indique le nombre maximal de tentatives de montage de l'archive par les utilitaires Solaris Flash.
archive_location nfs golden:/archives/usrarchive archive_location nfs://golden/archives/usrarchive
Si votre archive est stockée sur un serveur HTTP, utilisez la syntaxe suivante pour le mot-clé archive_location :
archive_location http://server_name:port/path/filename optional_keywords |
Si votre archive est stockée sur un serveur HTTPS, utilisez la syntaxe suivante pour le mot-clé archive_location.
archive_location https://server_name:port/path/filename optional_keywords |
Nom du serveur sur lequel vous avez stocké l'archive.
Port facultatif. port peut être un numéro de port ou le nom d'un service TCP dont le numéro du port est déterminé au cours de l'exécution.
Si vous ne spécifiez pas de port, les utilitaires d'installation Solaris Flash utilisent le numéro de port HTTP par défaut, soit 80.
Emplacement de l'archive à récupérer à partir du serveur indiqué. Si le chemin d'accès comporte $HOST, les utilitaires d'installation Solaris Flash remplacent $HOST par le nom du système clone que vous installez.
Nom du fichier d'archive Solaris Flash.
Mots-clés facultatifs que vous pouvez spécifier lorsque vous récupérez une archive Solaris Flash à partir d'un serveur HTTP.
archive_location http://silver/archives/usrarchive.flar timeout 5
Exemple du mot-clé auth basic mot_de_passe nom_utilisateur :
archive_location http://silver/archives/usrarchive.flar timeout 5 user1 secret
Si votre archive est stockée sur un serveur FTP, utilisez la syntaxe suivante pour le mot-clé archive_location :
archive_location ftp://user_name:password@server_name:port/path/filename optional_keywords |
Nom d'utilisateur et mot de passe nécessaires pour accéder au serveur FTP dans le fichier profil.
Nom du serveur sur lequel vous avez stocké l'archive.
Port facultatif. port peut être un numéro de port ou le nom d'un service TCP dont le numéro du port est déterminé au cours de l'exécution.
Si vous ne spécifiez pas de port, les utilitaires d'installation Solaris Flash utilisent le numéro de port FTP par défaut, soit 21.
Emplacement de l'archive à récupérer à partir du serveur indiqué. Si le chemin d'accès comporte $HOST, les utilitaires d'installation Solaris Flash remplacent $HOST par le nom du système clone que vous installez.
Nom du fichier d'archive Solaris Flash.
Mots-clés facultatifs que vous pouvez spécifier lorsque vous récupérez une archive Solaris Flash à partir d'un serveur FTP.
archive_location ftp://user1:secret@silver/archives/usrarchive.flar timeout 5
Si votre archive est stockée sur une bande, utilisez la syntaxe suivante pour le mot-clé archive_location :
archive_location local_tape device position |
Nom du lecteur de bande où vous avez stocké l'archive Solaris Flash. Si le nom du périphérique est un chemin d'accès canonique, les utilitaires d'installation Solaris Flash récupèrent l'archive à partir du chemin d'accès au nœud du périphérique. Si le nom de périphérique fourni n'est pas un chemin d'accès canonique, les utilitaires d'installation Solaris Flash ajoutent /dev/rmt/ au chemin d'accès.
Désigne l'emplacement de l'unité de bande où vous avez enregistré l'archive. Si vous ne précisez pas de position, les utilitaires d'installation Solaris Flash tentent de récupérer l'archive à partir de la position actuelle sur l'unité de bande. En spécifiant une position, vous pouvez placer un script de début ou un fichier sysidcfg avant l'archive sur l'unité de bande.
archive_location local_tape /dev/rmt/0n 5 archive_location local_tape 0n 5
Vous pouvez récupérer une archive Solaris Flash d'un périphérique local si vous l'avez stockée sur un périphérique à accès aléatoire, orienté système de fichiers, par exemple une disquette ou un DVD. Utilisez la syntaxe suivante pour le mot-clé archive_location .
Vous pouvez récupérer une archive sur un périphérique orienté flux, une bande par exemple, en utilisant la même syntaxe que pour une bande locale.
archive_location local_device device path/filename file_system_type |
Nom du lecteur où vous avez stocké l'archive Solaris Flash. Si le nom du périphérique est un chemin canonique, le périphérique est monté directement. Si le nom de périphérique fourni n'est pas un chemin d'accès canonique, les utilitaires d'installation Solaris Flash ajoutent /dev/dsk/ au chemin d'accès.
Chemin d'accès à l'archive Solaris Flash, en partant de la racine du système de fichiers sur le périphérique spécifié. Si le chemin d'accès comporte $HOST, les utilitaires d'installation Solaris Flash remplacent $HOST par le nom du système clone que vous installez.
Nom du fichier d'archive Solaris Flash.
Spécifie le type de système de fichiers sur le périphérique. Si vous n'indiquez pas de type de système de fichiers, les utilitaires d'installation Solaris Flash tentent de monter un système de fichiers UFS. Si le montage du système de fichiers UFS échoue, les utilitaires d'installation Solaris Flash tentent de monter un système de fichiers HSFS.
Pour récupérer une archive depuis un disque dur local formaté en système de fichiers UFS, utilisez la commande suivante :
archive_location local_device c0t0d0s0 /archives/$HOST
Pour récupérer une archive depuis un CD-ROM local avec système de fichiers HSFS, utilisez la commande suivante :
archive_location local_device c0t0d0s0 /archives/usrarchive
Vous pouvez récupérer une archive stockée dans la miniracine à partir de laquelle vous avez initialisé le système clone, comme vous le feriez pour un fichier local. Quand vous effectuez une installation JumpStart personnalisée, vous initialisez votre système à partir d'un CD ou d'une miniracine NFS. Le logiciel d'installation est chargé et exécuté à partir de cette miniracine. Par conséquent, une archive Solaris Flash stockée sur DVD, CD ou dans la miniracine NFS est accessible en tant que fichier local. Utilisez la syntaxe ci-après pour le mot-clé archive_location.
archive_location local_file path/filename |
Emplacement de l'archive. Le système doit pouvoir accéder au chemin indiqué, en tant que fichier local, lors de l'initialisation du système à partir du CD 1 du logiciel Solaris ou du DVD du système d'exploitation Solaris. Le système ne peut pas accéder au fichier /net ou à un autre répertoire monté automatiquement lorsqu'il est initialisé à partir du CD 1 du logiciel Solaris ou du DVD du système d'exploitation Solaris.
Nom du fichier d'archive Solaris Flash.
archive_location local_file /archives/usrarchive
backup_media type path |
le mot-clé backup_media s'applique uniquement à une mise à niveau avec réallocation d'espace disque.
Le mot-clé backup_media identifie le média sur lequel les systèmes de fichiers seront sauvegardés dès lors qu'une réallocation de l'espace disque s'impose au cours d'une mise à niveau, en raison d'un espace disponible insuffisant. Si vous avez besoin de plusieurs bandes ou de plusieurs disquettes, le système vous invite à les insérer au cours de la mise à niveau.
Valeur type valide |
Valeur chemin valide |
Spécification |
---|---|---|
local_tape |
/dev/rmt/n |
Lecteur de bande local du système que vous mettez à niveau. chemin doit être le chemin du périphérique du lecteur de bandes, exprimé par un caractère. La lettre n indique le numéro de l'unité de bande. |
local_diskette |
/dev/rdisketten |
Unité de disquette locale du système que vous mettez à niveau. chemin doit être le chemin du lecteur de disquette exprimé par un caractère. n est le numéro du lecteur de disquette. Les disquettes que vous utilisez pour effectuer des sauvegardes doivent impérativement être formatées. |
local_filesystem |
/dev/dsk/cwt xdys z /système_fichiers |
Système de fichiers local du système que vous mettez à niveau. Vous ne pouvez pas spécifier ici un système de fichiers local sur lequel la mise à niveau aura une incidence. chemin peut être le chemin d'accès du périphérique en mode caractère. t x dans /dev/dsk/c wtx dys z n'est pas forcément utile, par exemple. Où chemin peut être le chemin d'accès absolu à un système de fichiers monté par le fichier /etc/vfstab. |
remote_filesystem |
hôte:/système_fichiers |
Système de fichiers NFS d'un système distant. chemin doit comporter le nom ou l'adresse IP du système distant, hôte, ainsi que le chemin d'accès absolu au système de fichiers NFS, système_fichiers. Le système de fichiers NFS doit comporter un accès en lecture et en écriture (read/write). |
remote_system |
utilisateur@hôte :/répertoire |
Répertoire d'un système distant accessible par un shell distant, rsh. Le système que vous mettez à niveau doit pouvoir accéder au système distant par le biais du fichier .rhosts du système distant. chemin doit comporter le nom de l'hôte du système distant, ainsi que le chemin d'accès absolu au répertoire répertoire. Si vous n'avez pas défini de nom d'utilisateur utilisateur, root est utilisé par défaut. |
backup_media local_tape /dev/rmt/0 backup_media local_diskette /dev/rdiskette1 backup_media local_filesystem /dev/dsk/c0t3d0s4 backup_media local_filesystem /export backup_media remote_filesystem system1:/export/temp backup_media remote_system user1@system1:/export/temp
Le mot-clé boot_device peut être utilisé lors de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
boot_device device eeprom |
boot_device désigne le périphérique sur lequel le programme JumpStart va installer le système de fichiers racine (/) et le périphérique d'initialisation du système. boot_device doit détecter tous les mots-clés filesys qui spécifient le système de fichiers racine (/) ainsi que le mot-clé root_device.
Si vous ne définissez pas le mot-clé boot_device dans un profil, le mot-clé boot_device suivant est défini par défaut au cours de l'installation :
boot_device any update |
Utilisez l'une des valeurs indiquées ci-dessous.
Tranche de disque dans laquelle le programme JumpStart place le système de fichiers racine ( /) , par exemple c0t0d0s0.
Disque sur lequel le programme JumpStart place le système de fichiers racine (/ ), par exemple c0d0.
Le programme JumpStart place le système de fichiers racine (/) sur le périphérique d'initialisation existant du système.
Le programme JumpStart définit l'emplacement du système de fichiers racine ( /). Il tente d'utiliser le périphérique d'initialisation existant du système. Il peut choisir un autre périphérique d'initialisation, au besoin.
Décidez de conserver en l'état la mémoire EEPROM du système ou de la mettre à jour.
La valeur eeprom vous permet de mettre à jour la mémoire EEPROM de votre système si vous changez de périphérique d'initialisation du système. Une fois la mémoire EEPROM du système mise à jour, le système peut s'initialiser automatiquement à partir du nouveau périphérique d'initialisation.
x86 : vous devez spécifier la valeur preserve.
Le programme JumpStart met à jour la mémoire EEPROM du système sur le périphérique d'initialisation indiqué, de sorte que le système installé s'initialise automatiquement à partir de ce périphérique.
La valeur affectée au périphérique d'initialisation est conservée comme telle dans la mémoire EEPROM du système. Si vous spécifiez un nouveau périphérique d'initialisation sans changer la mémoire EEPROM de votre système, vous devez changer manuellement la mémoire EEPROM de votre système pour qu'il puisse s'initialiser automatiquement à partir du nouveau périphérique d'initialisation.
boot_device c0t0d0s2 update
Le mot-clé bootenv peut être utilisé pour un système de fichiers UFS ou une installation de pool racine ZFS. Son utilisation diffère dans le cas d'une installation ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la façon dont le mot-clé bootenv peut être utilisé lors de l'installation d'un pool racine ZFS, consultez la section Mots-clés JumpStart pour un pool racine (/) système de fichiers ZFS (référence)
bootenv createbe bename new_BE_name filesystem mountpoint:device:fs_options [filesystem...] |
Le mot-clé bootenv createbe permet de créer rapidement un environnement d'initialisation vide et inactif lors de l'installation du système d'exploitation Solaris. Vous devez au minimum créer le système de fichiers racine (/). Les tranches sont réservées aux systèmes de fichiers spécifiés, mais aucun de ces derniers n'est copié. Un nom est attribué à l'environnement d'initialisation, mais celui-ci ne sera véritablement créé qu'après l'installation d'une archive Solaris Flash. Une fois l'archive installée, les systèmes de fichiers sont installés sur les tranches réservées. Voici la liste des valeurs de bename et filesystem.
bename spécifie le nom du nouvel environnement d'initialisation à créer. nouveau_nom_BE ne peut pas dépasser 30 caractères, ne peut contenir que des caractères alphanumériques et ne peut pas contenir de caractères multioctets. Le nom doit être unique sur le système.
filesystem détermine le type et le nombre de systèmes de fichiers créés dans le nouvel environnement d'initialisation. Au moins une tranche qui contient le système de fichiers racine (/) doit être définie. Les systèmes de fichiers peuvent être sur le même disque ou répartis entre plusieurs disques.
point_montage peut désigner n'importe quel point de montage valide ou – (un trait d'union), qui désigne une tranche de swap.
périphérique doit être disponible lorsque le système d'exploitation en cours d'installation est initialisé pour la première fois. Le périphérique n'a aucune relation avec les périphériques de stockage spéciaux de JumpStart tels que free . Le périphérique ne peut pas être un volume Solaris Volume Manager ou Veritas Volume Manager. périphérique est le nom d'un périphérique disque sous la forme /dev/dsk/cwtxd ysz.
options_fs peut correspondre à l'un des éléments suivants :
ufs, désignant un système de fichiers UFS.
swap, désignant un système de fichiers swap. Le point de montage du swap doit être – (trait d'union).
Vous pouvez consulter un exemple de profil et d'utilisation de ce mot-clé aux références suivantes :
Exemple de profil | |
Pour un exemple d'utilisation de Solaris Live Upgrade pour la création, la mise à niveau et l'activation d'environnements d'initialisation inactifs | |
Pour un exemple d'utilisation d'une archive Solaris Flash |
client_arch karch_value ... |
client_arch indique que le serveur du système d'exploitation doit prendre en charge un groupe de plates-formes différent de celui que le serveur utilise. Si vous ne spécifiez pas client_arch dans le profil, tout client sans disque utilisant le serveur du système d'exploitation doit contenir le même groupe de plates-formes que le serveur. Vous devez spécifier chaque groupe de plates-formes que vous souhaitez voir pris en charge par le serveur de système d'exploitation.
Les valeurs valides de valeur_karch sont sun4u et i86pc. Pour obtenir la liste complète des noms de plates-formes et des divers systèmes, reportez-vous au document Guide de la plate-forme matérielle Sun Solaris sur le site Web http://docs.sun.com.
Vous ne pouvez utiliser client_arch que lorsque system_type est défini comme server.
client_root root_size |
client_root définit la quantité d'espace racine, taille_racine en Mo, à allouer à chaque client. Si vous ne précisez pas client_root dans le profil d'un serveur, le logiciel d'installation affecte automatiquement 15 Mo d'espace racine par client. Le programme d'installation associe la taille de l'espace racine du poste client au mot-clé num_clients pour déterminer l'espace à réserver au système de fichiers /export/root.
Vous ne pouvez utiliser client_root que lorsque system_type est défini comme server.
client_swap swap_size |
client_swap définit la quantité d'espace de swap, taille_swap en Mo, à allouer à chaque client sans disque. Si vous ne spécifiez pas client_swap dans le profil, 32 Mo d'espace de swap sont affectés par défaut.
Vous ne pouvez utiliser client_swap que lorsque system_type est défini comme server.
Dans l'exemple suivant, un espace swap de 64 Mo est affecté à chaque poste client sans disque.
client_swap 64
Si un profil ne précise pas la taille du swap, le programme JumpStart la détermine en fonction de la mémoire physique du système. Le Tableau 8–5 indique le mode de paramétrage de la taille d'espace swap au cours de l'installation JumpStart personnalisée.
Tableau 8–5 Détermination de la taille swap
Mémoire physique (en Mo) |
Espace swap (en Mo) |
---|---|
16–64 |
32 |
64–128 |
64 |
128–512 |
128 |
Supérieure à 512 |
256 |
Pour la taille d'espace swap, le programme JumpStart utilise au maximum 20 % du disque sur lequel le fichier swap est installé. L'affectation sera différente si le disque contient de l'espace disponible après configuration des autres systèmes de fichiers. Si de l'espace est disponible, le programme JumpStart l'affecte à l'espace swap, et si possible, attribue la quantité indiquée dans le Tableau 8–5.
Les tailles cumulées de la mémoire physique et du swap doivent impérativement atteindre 32 Mo au minimum.
Le mot-clé cluster peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la façon dont le mot-clé cluster peut être utilisé dans un profil pour l'installation d'un pool racine ZFS, reportez-vous à la section Exemples de profils JumpStart pour un pool racine ZFS
cluster group_name |
Le mot-clé cluster désigne le groupe de logiciels que vous souhaitez installer sur le système.
Un groupe de logiciels est un métacluster qui contient des clusters et des packages. Pour installer le groupe de logiciels, utilisez le mot-clé cluster et la variable nom_groupe. Ce mot-clé cluster ne peut être installé que lors d'une installation initiale. Ce mot-clé cluster fait référence aux métaclusters dans le fichier clustertoc(4).
Un cluster est un ensemble de packages appelé SUNWnom. Pour installer un cluster, utilisez le mot-clé cluster et la variable nom_cluster. Vous pouvez ajouter ou supprimer un cluster dans un groupe de logiciels (métacluster) dans une installation initiale ou une mise à niveau.
Le tableau ci-dessous répertorie le nom_groupe de chaque groupe de logiciels .
Groupe de logiciels |
nom_groupe |
---|---|
Groupe de logiciels Support réseau limité |
SUNWCrnet |
Groupe de logiciels Support système noyau |
SUNWCreq |
Groupe de logiciels Solaris Utilisateur final |
SUNWCuser |
Groupe de logiciels Solaris Développeur |
SUNWCprog |
Groupe de logiciels Solaris complet |
SUNWCall |
Groupe de logiciels Solaris complet plus support OEM |
SUNWCXall |
Les limitations suivantes s'appliquent :
Vous ne pouvez indiquer qu'un seul groupe de logiciels dans un profil.
Le groupe de logiciels doit être défini avant les autres entrées de cluster et de package.
Si vous ne précisez aucun groupe de logiciels dans le profil à l'aide du mot-clé cluster, le groupe de logiciels pour utilisateur final, SUNWCuser, sera installé sur votre système.
Pour plus d'informations sur les groupes de logiciels, reportez-vous à la section Espace disque requis pour chaque groupe de logiciels du Guide d’installation de Solaris 10 10/08 : planification d’installation et de mise à niveau.
cluster cluster_name add_delete_switch |
Le mot-clé cluster peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la façon dont le mot-clé cluster peut être utilisé dans un profil pour l'installation d'un pool racine ZFS, reportez-vous à la section Exemples de profils JumpStart pour un pool racine ZFS
cluster indique si un cluster doit être ajouté ou supprimé du groupe de logiciels à installer sur le système.
Le nom du cluster doit avoir le format SUNWC nom.
Mot-clé facultatif qui indique si le cluster spécifié doit être ajouté ou supprimé. Utilisez la valeur add ou delete. Si vous ne spécifiez aucune valeur entre add et delete, add est utilisé par défaut.
Lorsque vous utilisez cluster lors d'une mise à niveau, les conditions suivantes s'appliquent :
Tous les clusters présents sur votre système sont mis à niveau automatiquement.
Si vous définissez nom_cluster add et que le cluster n'est pas installé sur le système, le cluster est installé.
Si vous définissez nom_cluster delete et que le cluster est installé sur le système, le package est supprimé avant la mise à niveau.
Un groupe de logiciels est un métacluster qui contient des clusters et des packages. Pour installer le groupe de logiciels, utilisez le mot-clé cluster et la variable nom_groupe. Ce mot-clé cluster ne peut être installé que lors d'une installation initiale. Ce mot-clé cluster fait référence aux métaclusters dans le fichier clustertoc(4).
Un cluster est un ensemble de packages. Vous pouvez regroupe les clusters pour constituer un groupe de logiciels (métacluster). Un nom de cluster a toujours le format SUNW<nom>. Pour installer un cluster, utilisez le mot-clé cluster et la variable nom_cluster. Vous pouvez ajouter ou supprimer un cluster dans un groupe de logiciels (métacluster) dans une installation initiale ou une mise à niveau.
Le mot-clé dontuse peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
dontuse disk_name ... |
Par défaut, le programme JumpStart utilise tous les disques opérationnels de votre système, si vous spécifiez partitioning default. dontuse désigne le ou les disque(s) que vous ne souhaitez pas voir utilisé(s) par le programme JumpStart. nom_disque doit être formulé sous la forme cxt ydzor c ydz, c0t0d0 par exemple.
Vous ne pouvez pas spécifier le mot-clé dontuse et le mot-clé usedisk dans le même profil.
Le mot-clé fdisk peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
fdisk disk_name type size |
fdisk définit la configuration des partitions fdisk sur un système x86. Vous pouvez spécifier fdisk autant de fois que nécessaire. Lorsque fdisk partitionne un système x86, les conséquences sont les suivantes :
Toutes les partitions fdisk du disque sont préservées, à moins que vous n'en supprimiez avec le mot-clé fdisk en affectant à taille la valeur 0 ou delete. Toutes les partitions fdisk existantes sont supprimées si vous affectez la valeur all à taille.
Une partition fdisk Solaris comportant un système de fichiers racine (/) est toujours désignée comme étant la partition active du disque.
Par défaut, le système s'initialise à partir de la partition active.
Si vous ne spécifiez pas le mot-clé fdisk dans votre profil, le mot-clé fdisk utilisé par défaut par l'installation est :
fdisk all solaris maxfree
Les entrées fdisk sont traitées dans l'ordre de leur apparition dans le profil.
Utilisez les valeurs suivantes pour spécifier où vous souhaitez créer une partition fdisk ou celle que vous souhaitez supprimer :
cxt ydz ou c ydz – Disque spécifique, par exemple c0t3d0.
rootdisk – Variable contenant la valeur du disque racine du système, c'est-à-dire l'emplacement réservé à l'installation. Le disque racine est déterminé par le programme JumpStart comme indiqué dans la section Comment déterminer le disque racine d'un système.
all– Tous les disques sélectionnés.
Utilisez les valeurs suivantes pour spécifier le type de partition fdisk que vous souhaitez créer sur le disque spécifié, ou que vous souhaitez supprimer :
solaris– Partition fdisk Solaris (de type SUNIXOS fdisk).
dosprimary : alias pour les partitions principales DOS fdisk, et non pour les partitions fdisk qui sont étendues ou réservées aux données DOS. Lorsque vous supprimez des partitions fdisk en affectant la valeur à taille la valeur delete, dosprimary sert de pseudo aux types fdisk DOSHUGE, DOSOS12 et DOSOS16. Lorsque vous créez une partition fdisk, dosprimary sert de pseudo à la partition fdisk DOSHUGE.
DDD – Partition fdisk entière. DDD est un entier compris entre 1 et 255 inclus.
Vous ne pouvez définir cette valeur que si taille a la valeur delete.
0xHH – Partition fdisk hexadécimale. HH est un nombre hexadécimal compris entre 01 et FF.
Vous ne pouvez définir cette valeur que si taille a la valeur delete.
Le tableau ci-dessous présente les correspondances entières et hexadécimales des divers types de partitions fdisk.
Type fdisk |
DDD |
HH |
---|---|---|
DOSOS12 |
1 |
01 |
PCIXOS |
2 |
02 |
DOSOS16 |
4 |
04 |
EXTDOS |
5 |
05 |
DOSHUGE |
6 |
06 |
DOSDATA |
86 |
56 |
Autre système d'exploitation |
98 |
62 |
UNIXOS |
99 |
63 |
Utilisez l'une des valeurs indiquées ci-dessous.
DDD– Une partition fdisk, d'une taille de DDD Mo, est créée sur le disque spécifié. DDD doit être un entier. Le programme JumpStart arrondit automatiquement la valeur au cylindre supérieur. La valeur 0 a les mêmes effets que la valeur delete.
all : une partition fdisk est créée sur l'ensemble du disque. Toutes les partitions fdisk existantes sont supprimées.
vous ne pouvez spécifier la valeur all qu'en présence d'un type solaris.
maxfree– Une partition fdisk est créée dans le plus grand espace disponible contigu du disque spécifié. Si le disque comporte déjà une partition fdisk du type indiqué, elle sera utilisée d'office. Dans ce cas, le programme ne crée pas de nouvelle partition fdisk sur le disque.
Le disque doit comporter au moins une partition fdisk non utilisée. Il faut également suffisamment d'espace disponible sur le disque, sans quoi l'installation échoue. La valeur maxfree ne peut être définie que si type a la valeur solaris ou dosprimary.
delete : toutes les partitions fdisk du type spécifié sont supprimées du disque spécifié.
Le mot-clé filesys peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
filesys server:path server_address mount_pt_name mount_options |
Dès lors qu'il utilise filesys avec les valeurs répertoriées, le programme JumpStart configure le système installé de manière à ce qu'il monte automatiquement les systèmes de fichiers distants, à l'initialisation. Vous pouvez spécifier filesys autant de fois que nécessaire.
Nom du serveur sur lequel réside le système de fichiers distant, suivi de deux-points.
Nom du point de montage du système de fichiers distant. Par exemple, /usr ou /export/home
Adresse IP du serveur défini dans serveur : chemin. Si le réseau n'exécute aucun service d'attribution de noms, vous pouvez utiliser la valeur adresse_serveur pour enregistrer le nom d'hôte du serveur et son adresse IP dans le fichier /etc/hosts. Si vous décidez de ne pas indiquer l'adresse IP du serveur, entrez le signe moins (-). Par exemple, si le réseau exécute un service d'attribution de noms, vous n'êtes pas tenu de préciser l'adresse IP du serveur.
Nom du point de montage effectif du système de fichiers distant.
Une ou plusieurs options de montage. Identique à l'option -o de la commande mount(1M) Les options de montage sont ajoutées à l'entrée /etc/vfstab correspondant au nom_point_montage spécifié.
Si vous devez indiquer plusieurs options de montage, séparez-les par une virgule, sans jamais laisser d'espace (ro,quota, par exemple).
filesys sherlock:/export/home/user2 - /home
filesys slice size file_system optional_parameters |
Le programme Jumpstart utilise filesys avec les valeurs répertoriées pour créer des systèmes de fichiers locaux, au cours de l'installation. Vous pouvez spécifier filesys autant de fois que nécessaire.
Utilisez l'une des valeurs indiquées ci-dessous.
Le programme JumpStart place le système de fichiers sur n'importe quel disque.
Vous ne pouvez pas définir any lorsque size a la valeur existing, all, free, début : taille ou ignore.
Tranche de disque sur laquelle le programme JumpStart place le système de fichiers, par exemple, c0t0d0s0 ou c0d0s0.
Variable qui contient la valeur du disque racine du système, laquelle est déterminée par le programme JumpStart comme indiqué dans la section Comment déterminer le disque racine d'un système. Le suffixe sn désigne une tranche spécifique du disque.
Le disque racine est déterminé par le programme JumpStart et indique l'emplacement d'installation du système d'exploitation. Le fichier rules utilise un mot-clé de sonde, rootdisk, mais celui-ci n'est pas appliqué de la même manière que le mot-clé rootdisk employé dans le profil JumpStart. Vous ne pouvez pas définir l'emplacement d'installation en spécifiant le mot-clé de sonde rootdisk dans le fichier rules. Le mot-clé de sonde rootdisk détermine la source de l'initialisation au cours de l'installation. Voir le Tableau 8–10.
Utilisez l'une des valeurs indiquées ci-dessous.
La taille du système de fichiers est définie sur num en Mo.
La taille actuelle du système de fichiers existant est utilisée.
Lorsque vous utilisez la valeur existing, vous pouvez changer le nom d'une tranche existante en spécifiant système_fichiers avec un autre nom_point_montage.
Selon le logiciel sélectionné, la taille du système de fichiers peut être déterminée automatiquement.
La tranche spécifiée utilise l'ensemble du disque pour le système de fichiers. Si vous indiquez la valeur all, aucun autre système de fichiers ne peut être placé sur le disque spécifié.
Le système de fichiers occupe la totalité de l'espace non utilisé du disque.
Si vous avez défini filesys par free, l'entrée filesys doit être la dernière entrée de votre profil.
Le système de fichiers est partitionné de manière explicite. début indique le cylindre où débute la tranche, et taille indique le nombre de cylindres occupés par la tranche.
La valeur système_fichiers est facultative et utilisée lorsque tranche a la valeur any ou cwtx dysz. Si vous ne spécifiez pas système_fichiers, unnamed est défini par défaut. Si vous définissez unnamed, vous ne pouvez pas définir la valeur paramètres_facultatifs. Utilisez l'une des valeurs indiquées ci-dessous.
Nom du point de montage du système de fichiers, par exemple, /var.
La tranche spécifiée est utilisée comme swap.
La tranche spécifiée est définie comme une représentation de région de disque. La valeur de VTOC est V_BACKUP. Par défaut, la tranche 2 est une tranche de recouvrement représentant l'intégralité du disque.
Vous ne pouvez spécifier overlap que si taille a la valeur existing, all ou début: taille.
La tranche spécifiée étant définie comme une tranche brute, aucun nom de montage ne correspond à cette tranche. Si vous ne spécifiez pas système_fichiers, unnamed est configuré par défaut.
La tranche spécifiée n'est ni utilisée ni reconnue par le programme JumpStart. Vous pouvez utiliser cette option pour indiquer que vous souhaitez que le système de fichiers d'un disque soit ignoré pendant l'installation. Le programme JumpStart crée un nouveau système de fichiers sur le même disque, qui porte le même nom. Vous ne pouvez utiliser ignore que lorsque partitioning existing est spécifié.
Utilisez l'une des valeurs indiquées ci-dessous.
Le système de la tranche spécifiée est conservé.
preserve ne peut être défini que si taille a la valeur existing et tranche a la valeur cwtx dysz.
Une ou plusieurs options de montage. Identique à l'option -o de la commande mount(1M) Les options de montage sont ajoutées à l'entrée /etc/vfstab correspondant au nom_point_montage spécifié.
si vous devez indiquer plusieurs options de montage, séparez-les par une virgule, sans jamais laisser d'espace (ro,quota, par exemple).
filesys mirror[:name]slice [slice] size file_system optional_parameters |
Le programme JumpStart crée les volumes RAID-1et RAID-0 nécessaires à la création d'un système de fichiers miroir à l'aide des mots-clés filesys mirror avec les valeurs répertoriées. Ces mots-clés peuvent être définis plusieurs fois, afin de créer des volumes RAID-1 (miroirs) pour différents systèmes de fichiers.
filesys mirror n'est pris en charge que dans le cadre d'une installation initiale.
Ce mot-clé facultatif permet de nommer le volume RAID-1 (miroir). Les noms de miroir doivent débuter par la lettre « d », suivie d'un nombre compris entre 0 et 127, par exemple, d100. Si vous n'attribuez pas de nom au miroir, le programme JumpStart personnalisé le fait pour vous. Pour plus d'informations sur l'attribution de noms aux miroirs, reportez-vous à la section Contraintes et directives liées à l’attribution de noms aux volumes RAID dans le cadre des méthodes JumpStart personnalisée et Solaris Live Upgrade du Guide d’installation de Solaris 10 10/08 : planification d’installation et de mise à niveau.
Cette valeur indique la tranche de disque sur laquelle le programme JumpStart personnalisé place le système de fichiers à mettre en miroir. La valeur de la tranche doit correspondre au format cwtxdysz, par exemple c0t0d0s0 ou c0t0d0s5. Le programme JumpStart personnalisé crée un volume RAID-0 (concaténation à une tranche) sur la tranche, et un volume RAID-1 pour mettre la concaténation en miroir. Vous pouvez spécifier jusqu'à deux tranches pour deux volumes RAID-0.
Cette valeur spécifie la taille en méga-octets du système de fichiers.
Cette valeur indique le système de fichiers que vous dupliquez. Le programme JumpStart personnalisé crée le volume RAID-1 à partir des tranches spécifiées et monte le volume RAID-1 sur le système de fichiers indiqué. Outre les systèmes de fichiers vitaux, tels que racine (/), /usr et /var, il est aussi possible de définir swap comme système de fichiers.
Une ou plusieurs options de montage. Identique à l'option -o de la commande mount(1M) Les options de montage sont ajoutées à l'entrée /etc/vfstab du système_fichiers spécifié. Si vous devez indiquer plusieurs options de montage, séparez-les par une virgule, sans jamais laisser d'espace (ro,quota, par exemple).
Pour plus d'informations sur la création de systèmes de fichiers mis en miroir lors de l'installation, reportez-vous au Chapitre 9, Création de volumes RAID-1 (miroirs) au cours de l’installation - Présentation du Guide d’installation de Solaris 10 10/08 : planification d’installation et de mise à niveau.
forced_deployment |
forced_deployment force l'installation d'une archive différentielle Solaris Flash sur un système clone différent de celui escompté par le logiciel.
Si vous utilisez forced_deployment, tous les nouveaux fichiers sont supprimés afin d'amener le système clone à l'état attendu. Si vous n'êtes pas sûr de vouloir supprimer ces fichiers, utilisez l'option par défaut qui protège ces nouveaux fichiers en stoppant l'installation.
Le mot-clé geo peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
geo region |
geo définit les environnements linguistiques locaux à installer sur un système ou à ajouter lors de la mise à niveau d'un système. région définit une zone géographique qui contient les environnements linguistiques locaux à installer. Les valeurs que vous pouvez définir pour région sont répertoriées dans le tableau suivant.
Valeur |
Description |
---|---|
N_Africa |
Afrique du Nord, y compris l'Égypte |
C_America |
Amérique Centrale, y compris le Costa Rica, le Salvador, le Guatemala, le Mexique, le Nicaragua et Panama |
N_America |
Amérique du Nord, y compris le Canada et les États-Unis |
S_America |
Amérique du Sud, y compris l'Argentine, la Bolivie, le Brésil, le Chili, la Colombie, l'Équateur, le Paraguay, le Pérou, l'Uruguay et le Venezuela |
Asia |
Asie, y compris le Japon, la République de Corée, la République Populaire de Chine, Taïwan et la Thaïlande |
Ausi |
Asie australe, y compris l'Australie et la Nouvelle-Zélande |
C_Europe |
Europe Centrale, y compris l'Autriche, la République Tchèque, l'Allemagne, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la Suisse |
E_Europe |
Europe de l'Est, y compris l'Albanie, la Bosnie, la Bulgarie, la Croatie, l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Macédoine, la Roumanie, la Russie, la Serbie, la Slovénie et la Turquie |
N_Europe |
Europe du Nord, y compris le Danemark, la Finlande, l'Islande, la Norvège et la Suède |
S_Europe |
Europe du Sud, y compris la Grèce, l'Italie, le Portugal et l'Espagne |
W_Europe |
Europe de l'Ouest, y compris la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, l'Irlande et les Pays Bas |
M_East |
Moyen-Orient, y compris l'Israël |
Vous trouverez la liste complète des valeurs des paramètres régionaux qui composent chaque environnement linguistique indiqué ci-dessus dans le International Language Environments Guide .
Vous pouvez spécifier un mot-clé geo pour chaque environnement linguistique que vous souhaitez ajouter sur un système.
Le mot-clé install_type peut être utilisé pour un système de fichiers UFS ou une installation de pool racine ZFS. Son utilisation se limite aux installations ZFS. Vous ne pouvez utiliser l'option intial_installque pour une installation ZFS.
Si vous souhaitez faire migrer votre système de fichiers UFS vers un pool racine ZFS ou mettre à niveau un pool racine ZFS, vous devez utiliser Solaris Live Upgrade. Reportez-vous au Chapitre 11, Solaris Live Upgrade et ZFS (Présentation) du Guide d’installation de Solaris 10 10/08 : Solaris Live Upgrade et planification de la mise à niveau.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la façon dont le mot-clé install_type peut être utilisé lors de l'installation d'un pool racine ZFS, consultez la section Mots-clés JumpStart pour un pool racine (/) système de fichiers ZFS (référence)
install_type initial_upgrade_flash_switch |
Le mot-clé install_type détermine s'il faut effacer et installer un nouveau SE Solaris sur le système, mettre à niveau le SE Solaris existant ou installer une archive Solaris Flash sur le système.
Vous devez impérativement spécifier install_type comme premier mot-clé de profil dans chaque profil.
Vous devez utiliser l'une des options suivantes pour mise_à_niveau_flash_initiale :
Indique qu'il faut effectuer une installation initiale du SE Solaris.
Indique qu'il faut effectuer une mise à niveau du SE Solaris.
Indique qu'il convient d'installer une archive Solaris Flash écrasant tous les fichiers.
Indique qu'il convient d'installer une archive différentielle Solaris Flash écrasant uniquement les fichiers spécifiés.
Certains mots-clés de profil ne peuvent être utilisés qu'avec l'option initial_install. Certains mots-clés de profils peuvent être utilisés uniquement avec l'option upgrade . Certains mots-clés de profils ne peuvent être utilisés qu'avec l'option flash_install.
layout_constraint slice constraint minimum_size |
layout_constraint désigne la contrainte de configuration automatique d'un système de fichiers dès lors que la fonction de configuration automatique doit réallouer de l'espace au cours d'une mise à niveau, en raison d'un espace disque insuffisant.
Indique la tranche du disque du système de fichier sur laquelle la contrainte doit être spécifiée. Vous devez définir la tranche de disque du système dans le format c wtxd ysz ou c xdys z.
Utilisez l'une des contraintes suivantes pour le système de fichiers spécifié :
La configuration automatique peut déplacer le système de fichiers et en changer la taille. La contrainte changeable ne peut être spécifiée que sur des systèmes de fichiers montés par le fichier /etc/vfstab. Vous pouvez changer la taille d'un système de fichiers en définissant la valeur taille_minimale correspondante.
Si vous repérez un système de fichiers comme étant modifiable (changeable) sans spécifier de taille_minimale, la taille minimale du système de fichiers est réglée sur 10 pour cent de plus que la taille minimale requise. Par exemple, si la taille minimale d'un système de fichiers est de 100 Mo, sa taille modifiée sera de 110 Mo. Si vous avez spécifié une taille_minimale, tout l'espace restant, taille d'origine moins taille minimale, est affecté à d'autres systèmes de fichiers.
La configuration automatique peut déplacer le système de fichiers sur une autre tranche du même disque ou sur un autre disque. La taille du système de fichiers reste la même.
La configuration automatique peut utiliser tout l'espace du système de fichiers pour réallouer de l'espace. Vous perdez toutes les données du système de fichiers. La contrainte available ne peut être spécifiée que sur des systèmes de fichiers qui ne sont pas montés par le fichier /etc/vfstab.
La configuration automatique réduit le système de fichiers spécifié et le déplace dans le système de fichiers parent. Vous pouvez utiliser l'option collapse pour réduire le nombre de systèmes de fichiers d'un système, dans le cadre d'une mise à niveau. Par exemple, si les systèmes de fichiers /usr et /usr/share figurent sur un système, réduire /usr/share revient à le placer dans le système de fichiers parent /usr. La contrainte collapse ne peut être spécifiée que sur des systèmes de fichiers montés par le fichier /etc/vfstab.
Indique la taille d'un système de fichiers une fois que la configuration automatique a achevé la réallocation d'espace. L'option taille_minimale vous permet de changer la taille d'un système de fichiers. La taille du système de fichiers peut être supérieure si de l'espace non affecté y est ajouté. En revanche, la taille du système de fichiers ne peut en aucun cas être inférieure à la valeur spécifiée. La valeur taille_minimale est facultative. N'utilisez cette valeur que si vous avez repéré un système de fichiers comme étant modifiable (changeable) et que sa taille minimale ne peut être inférieure aux besoins de ce système de fichiers en fonction du contenu existant.
layout_constraint c0t3d0s1 changeable 200 layout_constraint c0t3d0s4 movable layout_constraint c0t3d1s3 available layout_constraint c0t2d0s1 collapse
local_customization local_directory |
Avant d'installer une archive Solaris Flash sur un système clone, vous pouvez créer des scripts personnalisés pour conserver les configurations locales sur le système clone. Le mot-clé local_customization désigne le répertoire dans lequel vous avez sauvegardé ces scripts. répertoire_local est le chemin d'accès au script du système clone.
Pour plus d'informations sur les script de prédéploiement et de postdéploiement, reportez-vous à la section Création de scripts de personnalisation du Guide d’installation de Solaris 10 10/08 : Archives Solaris Flash - Création et installation.
Le mot-clé locale peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
locale locale_name |
Le mot-clé locale s'applique aussi bien à la procédure d'installation qu'à la procédure de mise à niveau.
locale désigne les packages linguistiques à installer ou ajouter lors d'une mise à niveau pour la valeur nom_version_localisée spécifiée. Les valeurs de nom_version_localisée sont celles utilisées pour la variable environnementale $LANG. Le International Language Environments Guide contient la liste des valeurs de version localisée valides.
Les conditions ci-après s'appliquent lorsque vous utilisez le mot-clé locale :
Si vous avez préconfiguré une version localisée par défaut, celle-ci est installée automatiquement. Les packages de langue anglaise sont installés par défaut.
Vous pouvez spécifier un mot-clé locale pour chaque version localisée que vous souhaitez ajouter sur un système.
metadb slice [size size-in-blocks] [count number-of-replicas]
Le mot-clé metadb vous permet de créer des répliques de bases de données d'état Solaris Volume Manager (mediates) au cours de l'installation JumpStart personnalisée. Vous pouvez utiliser le mot de passe metadb plusieurs fois dans votre fichier de profil pour créer des répliques de bases de données d'état sur différentes tranches de disque.
Vous devez spécifier la tranche de disque sur laquelle le programme JumpStart personnalisé doit placer la réplique de la base de données d'état. La valeur tranche doit avoir le format cwtxd ysz.
Le mot-clé facultatif sizepermet de spécifier la taille en blocs de la réplique de base de données d'état à créer. Si vous ne spécifiez pas de valeur size, le programme JumpStart personnalisé utilise une taille par défaut de 8192 blocs.
Le nombre de répliques de bases de données d'état à créer peut être spécifié en définissant la valeur du mot-clé facultatif count dans le profil. Si vous ne spécifiez pas de valeur count, le programme JumpStart personnalisé crée trois répliques de base de données d'état par défaut.
Pour plus d'informations sur la création de répliques de bases de données d'état Solaris Volume Manager lors de l’installation, reportez-vous à la section Instructions et conditions relatives aux répliques de bases de données d’état du Guide d’installation de Solaris 10 10/08 : planification d’installation et de mise à niveau.
no_content_check |
Au cours de l'installation d'un système clone avec une archive différentielle Solaris Flash, vous pouvez utiliser le mot-clé no_content_check pour ignorer la validation fichier par fichier. La validation fichier par fichier vous garantit que le système clone est bien un double du système maître. Évitez d'avoir recours à ce mot -clé si vous n'êtes pas sûr que le système clone soit un double du système maître original.
Si vous utilisez no_content_check, tous les nouveaux fichiers sont supprimés de manière à amener le système clone à l'état attendu. Si vous n'êtes pas sûr de vouloir supprimer ces fichiers, utilisez l'option par défaut qui protège ces nouveaux fichiers en stoppant l'installation.
Pour plus d'informations sur l'installation d'archives différentielles Solaris Flash, reportez-vous à la section SPARC : préparation d'un système en vue de l'installation d'une archive Solaris Flash à l'aide d'une méthode Jumpstart personnalisée.
no_master_check |
Lors de l'installation d’un système clone avec une archive différentielle Solaris Flash, vous pouvez utiliser le mot-clé no_master_check pour ne pas vérifier si le système a été créé depuis le système maître d'origine. Évitez d'avoir recours à ce mot -clé si vous n'êtes pas sûr que le système clone soit un double du système maître original.
Pour plus d'informations sur l'installation d'archives différentielles Solaris Flash, reportez-vous à la section SPARC : préparation d'un système en vue de l'installation d'une archive Solaris Flash à l'aide d'une méthode Jumpstart personnalisée.
num_clients client_num |
Lorsqu'un serveur est installé, de l'espace est alloué aux systèmes de fichiers racine (/) et swap de chaque client sans disque. num_clients définit le nombre de postes clients sans disque, nb_clients, pris en charge par un serveur. Si vous ne spécifiez pas num_clients dans votre profil, la valeur utilisée par défaut est de cinq postes clients sans disque.
Vous ne pouvez utiliser num_clients que lorsque system_type est défini comme server.
Le mot-clé package peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
package package_name [add [retrieval_type location]| delete] |
le mot-clé package s'applique aussi bien à la procédure d'installation qu'à la procédure de mise à niveau. Le mot-clé package vous permet d'effectuer les opérations suivantes :
ajout d'un package au groupe de logiciels de la distribution Solaris à installer ;
ajout d'un package au groupe de logiciels hors de la distribution qui est en cours d'installation ;
exclusion ou suppression d'un package du groupe de logiciels à installer ou à mettre à niveau ;
ajout d'un package hors de la distribution qui est installée lors de l'installation d'une archive Solaris Flash.
Définit le nom de package dans le format SUNW nom. Pour de plus amples informations sur les packages et leur nom, utilisez la commande pkginfo -l sur un système installé.
Indique si le package spécifié doit être ajouté ou supprimé. Si vous ne spécifiez aucune valeur entre add et delete, add est utilisé par défaut.
Vous pouvez ajouter plusieurs packages en ajoutant une autre entrée de package au profil et en n'indiquant pas d'emplacement. L'emplacement du package précédent est utilisé pour tous les packages suivants si vous le laissez vide.
Permet de spécifier l'ajout d'un ou de plusieurs packages situés hors de la distribution Solaris en cours d'installation. Les valeurs type_récupération et emplacement dépendent de l'emplacement de stockage du package. Les sections suivantes répertorient les valeurs que vous pouvez utiliser pour type_récupération et emplacement, ainsi que des exemples d'utilisation du mot-clé package_name.
Si le package est stocké sur un serveur NFS, servez-vous de l'une des syntaxes suivantes pour le mot-clé package :
package package_name add nfs server_name:/path [retry n] package package_name add nfs://server_name:/path [retry n] |
Définit le nom de package dans le format SUNW nom. Pour de plus amples informations sur les packages et leur nom, utilisez la commande pkginfo -l sur un système installé.
Indique le nom du serveur sur lequel se trouve le package.
Indique l'emplacement du répertoire contenant le package sur le serveur spécifié. Si le chemin contient $HOST, $HOST est remplacé par le nom du système hôte que vous installez.
Mot-clé facultatif. n représente le nombre maximal de tentatives de montage du répertoire par l'installation.
Dans cet exemple, le mot-clé de profil package ajoute le package SUNWnew depuis l'emplacement NFS nfs://golden/packages/Solaris_10/ . Si un montage échoue, il y a cinq tentatives de montage NFS.
package SUNWnew add nfs golden:/packages/Solaris_10 retry 5
Si le package est stocké sur un serveur HTTP, servez-vous de l'une des syntaxes suivantes pour le mot-clé package :
package package_name add http://server_name[:port] path optional_keywords package package_name add http server_name[:port] path optional_keywords |
Définit le nom de package dans le format SUNW nom. Pour de plus amples informations sur les packages et leur nom, utilisez la commande pkginfo -l sur un système installé.
Indique le nom du serveur sur lequel se trouve le package.
Port facultatif. port peut être un numéro de port ou le nom d'un service TCP dont le numéro du port est déterminé au cours de l'exécution.
Si vous n'indiquez pas de port, le numéro de port HTTP par défaut 80 est utilisé.
Indique l'emplacement du package à récupérer à partir du serveur spécifié. Lors de l'utilisation d'un serveur HTTP, le package doit être au format de flux de données de package.
Indique les mots-clés facultatifs à utiliser lorsque vous récupérez un package à partir d'un serveur HTTP.
Mot-clé |
Définition de la valeur |
---|---|
timeout min |
Le mot-clé timeout permet d'indiquer en minutes la durée maximale autorisée sans réception de données depuis le serveur HTTP. Si le délai expire, la connexion est fermée, réouverte et elle reprend. Si vous indiquez une valeur timeout nulle (zéro), la connexion n'est pas réouverte. En cas de reconnexion temporisée, l'extraction du package reprend au début du package et les données récupérées avant l'expiration du délai sont ignorées. |
proxy hôte:port |
Le mot-clé proxy permet de spécifier un hôte et un port proxy. Vous pouvez utiliser un hôte de proxy pour récupérer un package Solaris de l'autre côté d'un pare-feu. Vous devez indiquer un port proxy quand vous spécifiez le mot-clé proxy. |
Dans cet exemple, le mot-clé de profil package ajoute tous les packages figurant dans le répertoire Solaris 10 depuis l'emplacement HTTP http://package.central/Solaris_10. Si au bout de cinq minutes aucune donnée n'est reçue, les données du package sont à nouveau récupérées. Les anciennes données du package sont ignorées. Vous pouvez utiliser l'une des syntaxes suivantes :
package SUNWnew add http package.central/Solaris_10 timeout 5
package SUNWnew add http://package.central/Solaris_10 timeout 5
Dans cet exemple, le mot-clé de profil package ajoute tous les packages figurant dans le répertoire Solaris_10 depuis l'emplacement HTTP http://package.central/Solaris_10. Le package est récupéré à travers le pare-feu grâce au mot-clé proxy.
package SUNWnew add http://package.central/Solaris_10 proxy webcache.east:8080
Vous pouvez récupérer un package Solaris d'un périphérique local si vous l'avez stocké sur un périphérique à accès aléatoire, orienté système de fichiers, par exemple une disquette ou un DVD. Utilisez la syntaxe ci-dessous avec le mot-clé package :
package package_name add local_device device path file_system_type
Définit le nom de package dans le format SUNW nom. Pour de plus amples informations sur les packages et leur nom, utilisez la commande pkginfo -l sur un système installé.
Indique le nom du lecteur sur lequel se trouve le package Solaris. Si le nom du périphérique est un chemin canonique, le périphérique est monté directement. Si vous définissez un nom de périphérique qui n'est pas un chemin canonique, l'utilitaire d'installation ajoute /dev/dsk/ au chemin.
Définit le chemin d'accès au package Solaris par rapport au système de fichiers racine ( /) sur le périphérique que vous avez défini.
Spécifie le type de système de fichiers sur le périphérique. Si vous n'indiquez pas de type de système de fichiers, l'utilitaire d'installation tente de monter un système de fichiers UFS. Si le montage du système de fichiers UFS échoue, l'utilitaire d'installation tente de monter un système de fichiers HSFS.
Dans cet exemple, le mot-clé de profil package ajoute le package SUNWnew depuis le répertoire /Solaris_10/Product du périphérique local c0t6d0s0. Il s'agit d'un système de fichiers UFS.
package SUNWnew add local_device c0t6d0s0 /Solaris_10/Product ufs
Dans cet exemple, le mot-clé de profil package ajoute le package SUNWnew depuis le répertoire /Solaris_10/Product du périphérique local c0t6d0s0. Il s'agit d'un système de fichiers HSFS.
package SUNWnew add local_device c0t6d0s0 /Solaris_10/Product hsfs
Un package peut être installé à partir de la miniracine utilisée pour initialiser le système. Quand vous effectuez une installation JumpStart personnalisée, vous initialisez votre système à partir d'un CD ou d'une miniracine NFS. Le logiciel d'installation est chargé et exécuté à partir de cette miniracine. Par conséquent, un package stocké sur DVD, CD ou dans la miniracine NFS est accessible en tant que fichier local. Utilisez la syntaxe ci-dessous avec le mot-clé package :
package package_name add local_file path |
Définit le nom de package dans le format SUNW nom. Pour de plus amples informations sur les packages et leur nom, utilisez la commande pkginfo -l sur un système installé.
Indique l'emplacement du package. Le système doit pouvoir accéder au chemin indiqué, en tant que fichier local, lors de l'initialisation du système à partir du CD 1 du logiciel Solaris ou du DVD du système d'exploitation Solaris. Le système n'a pas accès à /net lorsqu'il est initialisé à partir du CD 1 du logiciel Solaris ou du DVD du système d'exploitation Solaris.
Dans cet exemple, le mot-clé package ajoute le package SUNWnew depuis le répertoire /Solaris_10/Product .
package SUNWnew add local_file /Solaris_10/Product
Prenez note des contraintes suivantes lorsque vous utilisez le mot-clé package :
Certains packages sont nécessaires et ne peuvent être supprimés.
Vous ne pouvez pas ajouter ou supprimer individuellement des packages de localisation en utilisant le mot-clé de profil package. Pour ajouter des packages de localisation, utilisez le mot-clé de profil locale.
Les packages ne peuvent pas être récupérés à partir d'un emplacement sur serveur FTP ou d'une sauvegarde locale, par exemple sur bande.
Il est impossible d'ajouter à partir d'autres emplacements les packages contenus dans la distribution Solaris en cours d'installation. Si un package contenu dans la distribution Solaris est spécifié, il ne peut pas être suivi par un autre emplacement, par souci de cohérence avec le système installé.
Pour effectuer une installation sans intervention manuelle, le package doit pouvoir être installé à l'aide de la commande pkgadd. Le même fichier admin doit être utilisé pour installer les packages du groupe de logiciels et le package qui se trouve dans un autre emplacement.
Si le type de récupération est HTTP, le package doit alors être au format de flux.
Si le type de récupération est serveur NFS, périphérique local ou fichier local, le package doit alors suivre le format standard de package avec un nom de répertoire identique au package en cours d'installation.
Le package n'est pas installé s'il est ajouté à partir d'un autre emplacement et qu'il dépend d'un autre package qui n'est pas installé. Un message d'erreur est consigné dans le fichier journal d'installation ou de mise à niveau.
Si le package est installé avec une archive Solaris Flash, suivez les instructions ci-dessous :
Tout package installé doit être compatible avec l'archive.
Si un package se trouve dans l'archive, JumpStart écrase le package existant.
Si vous utilisez package pour une mise à niveau, le programme JumpStart effectue les actions suivantes :
Tous les packages existants sur votre système sont mis à niveau automatiquement.
Si vous définissez nom_package add et que le package n'est pas installé sur le système, le package est installé.
Si vous définissez nom_package delete et que le package est installé sur le système, le package est supprimé avant la mise à niveau.
Si vous définissez nom_package delete et que le package n'est pas installé, le package n'est pas installé s'il fait partie d'un cluster devant être installé.
partitioning type |
partitioning définit la manière dont les disques sont divisés en tranches pour les systèmes de fichiers au cours de l'installation.
Si vous ne précisez pas partitioning dans votre profil, le type de partitionnement par défaut (default) est utilisé.
Utilisez l'une des valeurs indiquées ci-dessous.
Le programme JumpStart sélectionne des disques et crée les systèmes de fichiers sur lesquels installer le logiciel spécifié, à l'exception des systèmes de fichiers spécifiés par les mots-clés filesys. rootdisk est le premier disque sélectionné. Le programme JumpStart utilise d'autres disques si le logiciel spécifié est trop lourd pour être installé sur rootdisk.
Le programme JumpStart utilise les systèmes de fichiers existant sur les disques du système. Tous les systèmes de fichiers sont conservés, à l'exception de /, /usr, /usr/openwin, /opt et /var. Le programme JumpStart utilise le dernier champ de point de montage du superbloc de systèmes de fichiers afin de déterminer le point de montage de systèmes de fichiers représenté par la tranche.
Lorsque vous utilisez les mots-clés filesys et partitioning existing, vous devez affecter à taille la valeur existing.
Le programme JumpStart crée sur les disques les systèmes de fichiers spécifiés par les mots-clés filesys. Si vous ne spécifiez que le système de fichiers racine (/) avec le mot-clé filesys, l'intégralité du logiciel Solaris est installée dans le système de fichiers racine (/).
Si vous utilisez la valeur de profil explicit, vous devez utiliser le mot-clé filesys pour spécifier les disques à utiliser et les systèmes de fichiers à créer.
patch patch_id_list | patch_file patch_location optional_keywords] |
Indique les ID des patchs à installer. Les ID des patchs Solaris doivent être séparés par une virgule. Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans la liste. N'ajoutez pas d'espace après la virgule, par exemple : 112467-01,112765-02.
Fichier contenant la liste des patchs, qui se trouve dans emplacement_patch . Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans le fichier.
Indique l'emplacement des patchs. Les emplacements autorisés sont les suivants :
Serveur NFS
Serveur HTTP
un périphérique local ;
Fichier local
Les mots-clés facultatifs dépendent de l'emplacement de stockage des patchs. Les sections suivantes décrivent les emplacements possibles et les mots-clés facultatifs.
Si le patch est stocké sur un serveur NFS, servez-vous de l'une des syntaxes suivantes pour le mot-clé patch :
patch patch_id_list | patch_file nfs server_name:/patch_directory [retry n] patch patch_id_list | patch_file nfs://server_name/patch_director [retry n] |
Indique les ID des patchs à installer. Les ID des patchs Solaris doivent être séparés par une virgule. Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans la liste.
Fichier contenant la liste des patchs, qui se trouve dans emplacement_patch . Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans le fichier.
Indique le nom du serveur sur lequel se trouve le patch.
Indique l'emplacement du répertoire de patchs sur le serveur spécifié. Les patchs doivent être au format standard de patch.
Mot-clé facultatif. n est le nombre de tentatives de montage du répertoire par l'utilitaire d'installation.
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute tous les patchs figurant dans le fichier patch depuis le répertoire des patchs NFS nfs://patch_master/Solaris/v10/patches. Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans le fichier patch. Si un montage échoue, il y a cinq tentatives de montage NFS.
patch patch_file nfs://patch_master/Solaris/v10/patches retry 5
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute les patchs 112467–01 et 112765–02 depuis le répertoire des patchs /Solaris/v10/patches sur le serveur patch_master.
patch 112467-01,112765-02 nfs patch_master:/Solaris/v10/patches
Si le patch est stocké sur un serveur HTTP, servez-vous de l'une des syntaxes suivantes pour le mot-clé patch :
patch patch_id_list | patch_file http://server_name [:port] patch_directory optional_http_keywords |
patch patch_id_list | patch_file http server_name [:port] patch_directory optional_http_keywords |
Indique les ID des patchs à installer. Les ID des patchs Solaris doivent être séparés par une virgule. Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans la liste. N'ajoutez pas d'espace après la virgule, par exemple : 112467-01,112765-02.
Fichier contenant la liste des patchs, qui se trouve dans emplacement_patch . Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans le fichier.
Indique le nom du serveur sur lequel se trouve le patch.
Port facultatif. port peut être un numéro de port ou le nom d'un service TCP dont le numéro du port est déterminé au cours de l'exécution.
Si vous n'indiquez pas de port, le numéro de port HTTP par défaut 80 est utilisé.
Indique l'emplacement du répertoire de patchs à récupérer à partir du serveur spécifié. Lorsque vous utilisez un serveur HTTP, le patch doit être au format JAR.
Indique les mots-clés facultatifs à utiliser lorsque vous récupérez un patch à partir d'un serveur HTTP.
Mot-clé |
Définition de la valeur |
---|---|
timeout min |
Le mot-clé timeout permet d'indiquer en minutes la durée maximale autorisée sans réception de données depuis le serveur HTTP. Si le délai expire, la connexion est fermée, réouverte et elle reprend. Si vous indiquez une valeur timeout nulle (zéro), la connexion n'est pas réouverte. En cas de reconnexion temporisée, l'extraction du package reprend au début du package et les données récupérées avant l'expiration du délai sont ignorées. |
proxy hôte:port |
Le mot-clé proxy permet de spécifier un hôte et un port proxy. Vous pouvez utiliser un hôte de proxy pour récupérer un package Solaris de l'autre côté d'un pare-feu. Vous devez indiquer un port proxy quand vous spécifiez le mot-clé proxy. |
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute tous les patchs figurant dans le fichier patch_file depuis l'emplacement HTTP http://patch.central/Solaris/v10/patches. Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans le fichier patch. Si au bout de cinq minutes aucune donnée n'est reçue, les données du patch sont à nouveau récupérées. Les anciennes données du patch sont ignorées.
patch patch_file http://patch.central/Solaris/v10/patches timeout 5
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute les patchs 112467–01 and 112765–02 depuis l'emplacement des patchs http://patch_master/Solaris/v10/patches .
patch 112467-01,112765-02 http://patch.central/Solaris/v10/patches
Vous pouvez récupérer un package Solaris d'un périphérique local si vous l'avez stocké sur un périphérique à accès aléatoire, orienté système de fichiers, par exemple une disquette ou un DVD. Utilisez la syntaxe ci-dessous avec le mot-clé patch :
patch patch_id_list | patch_file local_device \ device path file_system_type |
Indique les ID des patchs à installer. Les ID des patchs Solaris doivent être séparés par une virgule. Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans la liste. N'ajoutez pas d'espace après la virgule, par exemple : 112467-01,112765-02.
Fichier contenant la liste des patchs, qui se trouve dans emplacement_patch . Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans le fichier.
Indique le nom du lecteur sur lequel se trouve le package Solaris. Si le nom du périphérique est un chemin canonique, le périphérique est monté directement. Si vous définissez un nom de périphérique qui n'est pas un chemin canonique, l'utilitaire d'installation ajoute /dev/dsk/ au chemin.
Définit le chemin d'accès au patch Solaris par rapport au système de fichiers racine ( /) sur le périphérique spécifié.
Spécifie le type de système de fichiers sur le périphérique. Si vous n'indiquez pas de type de système de fichiers, l'utilitaire d'installation tente de monter un système de fichiers UFS. Si le montage du système de fichiers UFS échoue, l'utilitaire d'installation tente de monter un système de fichiers HSFS.
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute tous les patchs répertoriés dans le fichier patch_file du répertoire /Solaris_10/patches du périphérique local c0t6d0s0. Le ficher patch détermine l'ordre des patchs à installer.
patch patch_file c0t6d0s0 /Solaris_10/patches
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute les patchs 112467–01 et 112765–02 depuis le répertoire des patchs /Solaris_10/patches du périphérique local c0t6d0s0.
patch 112467-01,112765-02 local_device c0t6d0s0 /Solaris_10/patches
Un patch peut être installé à partir de la miniracine utilisée pour initialiser le système. Quand vous effectuez une installation JumpStart personnalisée, vous initialisez votre système à partir d'un CD ou d'une miniracine NFS. Le logiciel d'installation est chargé et exécuté à partir de cette miniracine. Par conséquent, un patch que vous stocké sur le DVD ou le CD ou dans la miniracine est accessible sous le forme d'un fichier local. Utilisez la syntaxe ci-dessous avec le mot-clé patch :
patch patch_id_list | patch_file local_file patch _directory
Indique les ID des patchs à installer. Les ID des patchs Solaris doivent être séparés par une virgule. Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans la liste. N'ajoutez pas d'espace après la virgule, par exemple : 112467-01,112765-02.
Fichier contenant la liste des patchs, qui se trouve dans emplacement_patch . Les patchs sont installés dans l'ordre indiqué dans le fichier.
Spécifie l'emplacement du répertoire de patchs. Le système doit pouvoir accéder au répertoire de patchs indiqué, en tant que fichier local, lors de l'initialisation du système à partir du CD 1 du logiciel Solaris ou du DVD du système d'exploitation Solaris. Le système n'a pas accès à /net lorsqu'il est initialisé à partir du CD 1 du logiciel Solaris ou du DVD du système d'exploitation Solaris.
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute tous les patchs figurant dans le fichier patch_file depuis le répertoire /Solaris_10/patches . Le ficher patch détermine l'ordre des patchs à installer.
patch patch_cal_file /Solaris_10/patches
Dans cet exemple, le mot-clé de profil patch ajoute les patchs 112467–01 et 112765–02 depuis le répertoire des patchs /Solaris_10/patches.
patch 112467-01,112765-02 local_file /Solaris_10/patches
Tenez compte des limitations suivantes lorsque vous utilisez le mot-clé patch :
Les patchs ne peuvent pas être récupérés à partir d'un emplacement FTP ou d'une sauvegarde locale, par exemple sur bande.
Il est impossible d'ajouter des patchs signés.
Les patchs doivent pouvoir être installés à l'aide de la commande patchadd.
Si le patch dépend d'un autre patch qui n'est pas installé, il ne sera pas installé. Un message d'erreur est consigné dans le fichier journal d'installation ou de mise à niveau.
Vous devez définir l'ordre approprié d'installation des patchs.
Le mot-clé pool définit l'installation d'un pool racine ZFS. Le pool est installé avec un groupe de logiciels spécifié au moyen du mot-clé cluster. Les options poolsize, swapsize, dumpsize et vdevlist sont nécessaires à la création d'un nouveau pool racine.
Pour obtenir une description complète du mot-clé pool et des autres mots-clés pouvant être utilisés pour un pool racine ZFS, consultez la section pool Mot-clé de profil (ZFS uniquement).
Le mot-clé root_device peut être utilisé lors de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est limitée à un système unique pour les installations ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la façon dont le mot-clé root_device peut être utilisé lors de l'installation d'un pool racine ZFS, consultez la section Mots-clés JumpStart pour un pool racine (/) système de fichiers ZFS (référence)
root_device slice |
root_device désigne le disque racine du système. La section Comment déterminer le disque racine d'un système contient des informations supplémentaires.
Le disque racine est déterminé par le programme JumpStart et indique l'emplacement d'installation du système d'exploitation. Le fichier rules utilise un mot-clé de sonde, « rootdisk », mais celui-ci n'est pas appliqué de la même manière que le mot-clé « rootdisk » employé dans le profil JumpStart. Vous ne pouvez pas définir l'emplacement d'installation en spécifiant le mot-clé de sonde rootdisk dans le fichier rules. Le mot-clé de sonde rootdisk détermine la source de l'initialisation au cours de l'installation. Voir le Tableau 8–10.
Dans le cadre de la mise à niveau d'un système, root_device désigne le système de fichiers racine (/) ainsi que les systèmes de fichiers montés par le fichier /etc/vfstab pour être mis à niveau. Vous devez impérativement spécifier root_device si plusieurs systèmes de fichiers racine (/) d'un système peuvent être mis à niveau. Vous devez définir tranche dans le format cwt xdys z ou cxd ysz.
Lorsque vous utilisez le mot-clé root_device, tenez compte des informations suivantes :
Si vous spécifiez root_device sur un système équipé d'un seul disque, il est impératif que root_device désigne ce disque unique. De plus, tous les mots-clés filesys spécifiant le système de fichiers racine (/) doivent correspondre à root_device.
Si vous effectuez la mise à niveau d'un volume RAID-1 (miroir), la valeur spécifiée pour root_device doit correspondre à une face du miroir. L'autre face du miroir fait l'objet d'une mise à niveau automatique.
root_device c0t0d0s2
Le disque racine d'un système est le disque qui contient le système de fichiers racine (/). Dans un profil, vous pouvez utiliser la variable rootdisk à la place du nom d'un disque, que le programme JumpStart considère alors comme disque racine du système. Le Tableau 8–8 décrit la procédure de détermination du disque racine du système pour l'installation.
Le programme JumpStart ne détermine la taille du disque racine d'un système que dans le cas d'une installation initiale. Vous ne pouvez pas modifier le disque racine d'un système au cours d'une mise à niveau.
Étape |
Action |
---|---|
1 |
Si le mot-clé root_device est spécifié dans le profil, le programme JumpStart associe rootdisk au périphérique racine. |
2 |
Si vous n'avez pas défini rootdisk et que le mot-clé boot_device est spécifié dans votre profil, le programme JumpStart associe rootdisk au périphérique d'initialisation. |
3 |
Si rootdisk n'est pas défini et qu'une entrée filesys c wtxd ysz taille / est définie dans le profil, le programme JumpStart affecte à rootdisk le disque défini dans l'entrée. |
4 |
Si vous n'avez pas défini rootdisk et qu'une entrée rootdisk.sn figure dans le profil, le programme JumpStart recherche un système de fichiers racine existant sur la tranche spécifiée des disques du système, dans l'ordre de sonde du noyau. Le programme JumpStart considère alors le disque qu'il trouve comme rootdisk. |
5 |
Si vous n'avez pas défini rootdisk mais que partitioning existing figure dans votre profil, le programme JumpStart recherche un système de fichiers racine existant sur les disques du système, dans l'ordre de sonde du noyau. Une erreur survient s'il ne trouve aucun système de fichiers racine ou s'il en trouve plusieurs. S'il trouve un système de fichiers racine, le programme JumpStart considère le disque correspondant comme rootdisk. |
6 |
Si rootdisk n'est pas défini, le programme JumpStart affecte à rootdisk le disque où le système de fichiers racine (/) est installé. |
system_type type_switch |
system_type définit le type du système sur lequel le système d'exploitation Solaris doit être installé.
choix_type correspond à l'option standalone ou server que vous utilisez pour définir le type du système sur lequel le système d'exploitation Solaris est installé. Si vous ne spécifiez pas de system_type dans votre profil, le type standalone est utilisé par défaut.
Le mot-clé usedisk peut être utilisé dans le cadre de l'installation d'un système de fichiers UFS ou d'un pool racine ZFS. L'utilisation de ce mot-clé est la même pour les installations UFS et ZFS.
Pour une liste complète des mots-clés pouvant être utilisés pour une installation UFS ou ZFS, reportez-vous au Tableau 8–2.
Pour obtenir des informations sur la réalisation d'une installation ZFS, reportez-vous au Chapitre9Installation d'un pool racine ZFS à l'aide de JumpStart.
usedisk disk_name ... |
Par défaut, le programme JumpStart utilise tous les disques opérationnels de votre système, si vous spécifiez partitioning default. Le mot-clé de profil usedisk désigne un ou plusieurs disques que vous souhaitez que le programme JumpStart utilise. Vous devez spécifier, par exemple, nom_disque sous la forme cxtydz ou cydz ou bien c0t0d0 ou c0d0s0.
Si vous définissez usedisk dans un profil, le programme JumpStart utilise uniquement les disques que vous définissez après le mot-clé usedisk.
Vous ne pouvez pas spécifier le mot-clé dontuse et le mot-clé usedisk dans le même profil.
Vous pouvez employer des variables d'environnement dans vos scripts de début et de fin. Un script de début peut, par exemple, extraire la taille d'un disque, SI_DISKSIZES, pour savoir s'il est possible d'installer ou non des packages particuliers sur un système. Il procède ensuite ou non à leur installation.
Ces variables d'environnement regroupent des informations relatives à un système donné. Elles sont définies ou non en fonction des mots-clés de règles et des valeurs utilisés dans le fichier rules.
Par exemple, les informations relatives au système d'exploitation installé sur un système sont uniquement disponibles dans SI_INSTALLED après l'utilisation du mot-clé installed .
Le Tableau 8–9 décrit ces variables ainsi que les valeurs correspondantes.
Tableau 8–9 Variables environnementales d'une installation
Variable d'environnement |
Valeur |
---|---|
SI_ARCH |
L'architecture matérielle du poste client de l'installation. La variable SI_ARCH est définie si le mot-clé arch figure dans le fichier rules. |
SI_BEGIN |
Le nom du script de début, le cas échéant. |
SI_CLASS |
Le nom du profil utilisé pour installer le poste client de l'installation. |
SI_DISKLIST |
Une liste des noms des disques du poste client de l'installation, séparés par une virgule. La variable SI_DISKLIST est définie si le mot-clé disksize est employé et renseigné dans le fichier rules. Les variables SI_DISKLIST et SI_NUMDISKS permettent de déterminer le disque physique à utiliser pour rootdisk. rootdisk est décrit dans Comment déterminer le disque racine d'un système. |
SI_DISKSIZES |
Une liste des tailles des disques du poste client de l'installation, séparées par une virgule. La variable SI_DISKSIZES est définie si le mot-clé disksize est employé et renseigné dans le fichier rules. |
SI_DOMAINNAME |
Nom du domaine. La variable SI_DOMAINNAME est définie si le mot-clé domainname est employé et renseigné dans le fichier rules. |
SI_FINISH |
Le nom du script de fin, le cas échéant. |
SI_HOSTADDRESS |
Adresse IP du poste client de l'installation. |
SI_HOSTNAME |
Le nom d'hôte du poste client de l'installation. La variable SI_HOSTNAME est définie si le mot-clé hostname est employé et renseigné dans le fichier rules. |
SI_INSTALLED |
Nom du périphérique d'un disque disposant d'un système d'exploitation spécifique, par exemple Solaris, SunOS ou System V. La variable SI_INSTALLED est définie lorsque le mot-clé installed est employé et renseigné dans le fichier rules. . SI_INST_OS et SI_INST_VER servent à déterminer la valeur de SI_INSTALLED. |
SI_INST_OS |
Le nom du système d'exploitation. SI_INST_OS et SI_INST_VER servent à déterminer la valeur de SI_INSTALLED. |
SI_INST_VER |
La version du système d'exploitation. SI_INST_OS et SI_INST_VER servent à déterminer la valeur de SI_INSTALLED. |
SI_KARCH |
L'architecture du noyau du poste client de l'installation. La variable SI_KARCH est définie lorsque le mot-clé karch est utilisé et défini dans le fichier rules. |
SI_MEMSIZE |
La quantité de mémoire physique du poste client de l'installation. La variable SI_MEMSIZE est définie si le mot-clé memsize est employé et renseigné dans le fichier rules. |
SI_MODEL |
Le nom du modèle du poste client de l'installation. La variable SI_MODEL est définie si le mot-clé model est employé et indiqué dans le fichier rules. |
SI_NETWORK |
L'identifiant réseau du poste client de l'installation. La variable SI_NETWORK est définie si le mot-clé network est employé et indiqué dans le fichier rules. |
SI_NUMDISKS |
Le nombre de disques dont est équipé le poste client de l'installation. La variable SI_NUMDISKS est définie lorsque le mot-clé disksize est utilisé et concorde dans le fichier rules. Les variables SI_DISKLIST et SI_NUMDISKS servent à déterminer le disque physique à utiliser comme rootdisk. rootdisk est décrit dans la section Comment déterminer le disque racine d'un système. |
SI_OSNAME |
Version du système d'exploitation qui figure sur l'image du logiciel Solaris. Vous pouvez, par exemple, utiliser la variable SI_OSNAME dans un script si vous installez le logiciel Solaris sur des systèmes équipés de la version du système d'exploitation de l'image du DVD du système d'exploitation Solaris ou du 1 du logiciel Solaris CD. |
SI_ROOTDISK |
Nom d'unité du disque représenté par le nom logique rootdisk. La variable SI_ROOTDISK est définie lorsque le mot-clé disksize ou installed est affecté de la valeur rootdisk dans le fichier rules. La variable SI_ROOTDISK définit le périphérique à partir duquel l'initialisation a lieu au cours de l'installation. Remarque – Vous ne pouvez pas définir l'emplacement d'installation en spécifiant le mot-clé de sonde rootdisk dans le fichier rules. Pour plus d'informations sur la variable « rootdisk » définie dans un profil, reportez-vous à la section Comment déterminer le disque racine d'un système. |
SI_ROOTDISKSIZE |
Disque du disque représenté par le nom logique rootdisk . La variable SI_ROOTDISKSIZE est définie lorsque le mot-clé disksize ou installed est affecté de la valeur rootdisk dans le fichier rules. |
SI_TOTALDISK |
La quantité totale d'espace disque du client d'installation. La variable SI_TOTALDISK est définie si le mot-clé totaldisk est employé et renseigné dans le fichier rules. |
Le Tableau 8–10 décrit chaque mot-clé de règle et son mot-clé de sonde équivalent.
Placez toujours les mots-clés de sonde au début du fichier rules ou tout du moins dans les premières lignes.
Mot-clé de règle |
Mot-clé de sonde équivalent |
Description du mot-clé de sonde |
---|---|---|
Aucune |
|
|
Détermine l'architecture du noyau, i386 ou SPARC, et définit SI_ARCH. |
||
Indique la taille en Mo de chaque disque figurant sur un système, dans l'ordre de sonde du noyau, c0t3d0s0, c0t3d0s1, c0t4d0s0. disksize sets SI_DISKLIST , SI_DISKSIZES, SI_NUMDISKS, and SI_TOTALDISK . |
||
Indique le nom de domaine NIS ou NIS+ d'un système ou renvoie une valeur nulle, et définit SI_DOMAINNAME. Le mot-clé domainname renvoie le résultat de la commande domainname(1M). |
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Indique l'adresse IP d'un système, soit la première adresse qui figure dans le résultat de la commande ifconfig(1M) -a en dehors de lo0, et définit SI_HOSTADDRESS. |
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Indique le nom d'hôte d'un système obtenu par uname(1) -n et définit SI_HOSTNAME . |
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Indique le nom de la version du SE Solaris installée sur le système et définit SI_ROOTDISK et SI_INSTALLED. Si le programme JumpStart détecte une version de Solaris mais qu'il ne parvient pas à en déterminer le numéro de version, il renvoie SystemV. |
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Indique le groupe de plates-formes d'un système, par exemple i86pc ou sun4u, et définit SI_KARCH. Pour la liste des noms de plates-formes, reportez-vous au document Guide de la plate-forme matérielle Sun Solaris sur le site Web http://docs.sun.com. |
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Indique la taille en Mo de la mémoire physique d'un système et définit SI_MEMSIZE . |
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Indique le nom de la plate-forme d'un système et définit SI_MODEL. Pour la liste des noms de plates-formes, reportez-vous au document Guide de la plate-forme matérielle Sun Solaris sur le site Web http://docs.sun.com. |
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Indique l'identifiant du réseau d'un système, que le programme JumpStart détermine en associant (au moyen de l'opérateur logique AND) l'adresse IP du système et son masque de sous-réseau. L'adresse IP et le masque de sous-réseau du système sont extraits de la première adresse répertoriée dans les résultats de ifconfig(1M) -a à l'exception de lo0. Le mot-clé network définit SI_NETWORK. |
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Indique la version et le nom du système d'exploitation Solaris du CD et définit SI_OSNAME. Si le programme JumpStart détecte une version de Solaris mais qu'il ne parvient pas à en déterminer le numéro de version, il renvoie SystemV. |
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Renvoie le nom et la taille (exprimé en Mo) du disque racine du système et détermine SI_ROOTDISK. |
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Renvoie l'espace disque total sur un système (exprimé en Mo) et détermine SI_TOTALDISK. L'espace disque total inclut la taille des disques opérationnels, reliés à un système donné. |