Ne spécifiez rien dans le script qui puisse empêcher le montage des systèmes de fichiers sur /a au cours d'une installation initiale ou d'une mise à niveau. Si le programme JumpStart ne parvient pas à monter les systèmes de fichiers sur /a, une erreur se produit, entraînant l'échec de l'installation.
Lors de l'installation, la sortie du script de début est stockée dans /tmp/begin.log. L'installation étant achevée, le fichier journal est redirigé vers /var/sadm/system/logs/begin.log.
Assurez-vous que root possède le script de début et que les autorisations sont définies sur 644.
Vous pouvez utiliser des variables environnementales JumpStart personnalisées dans vos scripts de début. Pour obtenir une liste de variables environnementales, reportez-vous à la section Variables d'environnement de la méthode JumpStart personnalisée.
Enregistrez vos scripts de début dans le répertoire JumpStart.
Pour la version Solaris 10, un exemple de script JumpStart, set_nfs4_domain, avait été prévu sur le média fourni pour empêcher l'affichage d'invites au cours d'une installation JumpStart. Ce script avait pour effet de supprimer l'invite NFSv4 pendant l'installation. Ce script n'est plus nécessaire. Depuis la version Solaris 10 5/09, il suffit d'employer le mot-clé sysidcfg, nfs4_domain, pour éviter d'obtenir l'invite. Le script set_nfs4_domain ne permet plus de supprimer une invite.
Si des zones non globales ont été installées et que le fichier sysidcfg contient le mot-clé nfs4_domain, la première initialisation d'une zone non globale définit le domaine. Si ce n'est pas le cas, le programme d'installation interactif de Solaris s'affiche et vous invite à spécifier un nom de domaine pour poursuivre le processus d'initialisation.
Reportez-vous à la section Mot-clé nfs4_domain du Guide d’installation de Solaris 10 10/09 : installations réseau.