Ce chapitre présente brièvement les nouvelles fonctions et les fonctions optimisées disponibles dans l'environnement d'exploitation Solaris 9. Vous trouverez, dans le Chapitre 1, un descriptif des améliorations supplémentaires disponibles dans les versions de mise à jour de Solaris 9.
Pour de plus amples informations sur les fonctions disponibles sous Solaris 7 et Solaris 8, reportez-vous aux annexes du manuel Nouveautés de l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02.
Description |
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Gestionnaire de ressources Solaris 9 Le Gestionnaire de ressources de Solaris 9 optimise la gestion des ressources système et permet aux administrateurs système de :
Les outils de contrôle des ressources vous permettent de définir des contraintes au niveau des ressources système utilisées par les processus et les tâches. Les tâches sont des ensembles de processus associés à une activité unique. Les pools de ressources permettent de partitionner les ressources système telles que les processeurs et de conserver ces partitions d'un redémarrage à l'autre. Un nouveau programmateur, le FSS (fair share scheduler), a été ajouté afin d'assurer le partage équitable et précis des ressources de l'unité centrale dans un système. Ces fonctions vous aident à gérer la répartition des ressources entre les applications dans un environnement de consolidation des serveurs. Dans la version Solaris 9, vous pouvez administrer la fonctionnalité dans son ensemble par le biais d'une interface de ligne de commande. Il est également possible de contrôler la performance et de paramétrer les ressources depuis Solaris Management Console. Pour de plus amples informations sur la gestion des ressources, reportez-vous au System Administration Guide: Resource Management and Network Services et les pages de manuel suivantes : |
Classe de programmation FX (priorité fixe) Le programmateur FX fournit une règle de programmation des processus dont les priorités de programmation doivent être contrôlées par l'utilisateur ou l'application. La priorité des processus exécutés sous FX est fixe. Le système ne la modifie pas automatiquement. La classe FX possède la même gamme de priorités que les classes TS, IA et FSS. Pour de plus amples informations sur le programmateur FX, consultez le Programming Interfaces Guide et le Multithreaded Programming Guide. Vous pouvez également consulter les pages priocntl(1) et dispadmin(1M) du manuel. Pour les limitations imposées par l'utilisation conjointe des programmateurs FX et FSS sur le même système, consultez la rubrique "Fair Share Scheduler" du System Administration Guide: Resource Management and Network Services. |
Nouvelles options d'affichage des commandes df, du et ls Les commandes df, du et ls -l disposent d'une nouvelle option -h qui permet d'afficher l'espace disque et la taille des fichiers et des systèmes de fichiers par puissance de 1 024. Cette option simplifie l'interprétation du résultat des commandes df, du et ls -l en mentionnant l'espace disque en Ko, Mo, Go ou To si la taille du fichier ou du répertoire est supérieure à 1 024 octets. Pour de plus amples informations, consultez les pages df(1M), du(1) et ls(1) du manuel. |
Amélioration du dépannage des processus à l'aide des commandes pargs et preap Deux nouvelles commandes, pargs et preap, simplifient le dépannage des processus. Utilisez la commande pargs pour imprimer les arguments et les variables d'environnement associés à un processus productif ou à un fichier core. Employez la commande preap pour supprimer les processus zombis. Pour de plus amples informations concernant l'utilisation de ces commandes, consultez les pages preap(1) et proc(1) du manuel. |
Description des fonctions |
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Sun ONE Directory Server Solaris 9 propose une version intégrée de Sun ONE Directory Server (anciennement iPlanet Directory Server). Il s'agit d'un serveur d'annuaire LDAP (Lightweight Directory Access Protocol). Sun ONE Directory Server est un puissant serveur d'annuaire distribué conçu pour gérer un annuaire d'utilisateurs et de ressources commun à toute l'entreprise. Ce service d'annuaire souple peut être utilisé pour des applications intranets, des réseaux reliant votre entreprise et ses partenaires commerciaux et des applications de commerce électronique afin de joindre les clients via Internet. Le serveur est géré par le biais de Sun ONE Console, l'interface graphique utilisateur de Sun ONE Directory Server. Les administrateurs utilisent cette console pour accorder des droits d'accès, gérer les bases de données, configurer l'annuaire et répliquer les données dans plusieurs serveurs d'annuaire. Les utilisateurs accèdent aux données par le biais d'une application client LDAP, par exemple l'une des applications créées à l'aide des kits de développement logiciels Sun ONE (SDK) pour C et le langage de programmation Java. La configuration de Sun ONE Directory Server a été simplifiée à l'aide de la commande idsconfig. Les informations relatives à la configuration du serveur et du client sont disponibles dans le System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). Consultez également l'iPlanet Directory Server 5.1 Collection à l'adresse http://docs.sun.com . Elle propose notamment les documents suivants :
Sun ONE Directory Server 5.1 est intégré à Solaris 9. Pour de plus amples informations concernant les conditions d'octroi de la licence, veuillez vous rapporter à la licence du code binaire. Remarque : les modifications suivantes ont été introduites dans la dénomination des composants de Sun ONE (Sun Open Net Environment) :
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Prise en charge du service d'attribution des noms pour le protocole LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) La prise en charge du service d'attribution des noms a été optimisée dans la version Solaris 9. Vous constaterez notamment les modifications suivantes :
Pour de plus amples informations sur les fonctions de sécurité de Solaris 9, y compris sur le client LDAP sécurisé, consultez la rubrique Amélioration de la sécurité. Pour de plus amples informations, reportez-vous au System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). |
Outils de migration de NIS+ vers LDAP La version Solaris 9 annonce la fin de la prise en charge de NIS+ et le passage à l'environnement d'attribution de noms basé sur LDAP. Cette version propose des outils de migration permettant le passage de NIS+ à LDAP. Pour de plus amples informations concernant l'annonce NIS+, visitez le site suivant : http://www.sun.com/directory/nisplus/transition.html Vous trouverez une explication détaillée de la procédure de migration du service d'attribution de noms NIS+ vers LDAP dans le System Administration Guide: Naming and Directory Services (FNS and NIS+). Remarque : dans la version de mise à jour 9/02 de Solaris 9, l'annexe "Transitioning From NIS+ to LDAP" a été déplacée. Elle se trouve maintenant dans le System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). |
Architecture de sécurité IP pour IPv6 la plate-forme de sécurité IPsec a été optimisée dans Solaris 9 pour garantir la sécurité des datagrammes IPv6 acheminés entre les machines. Dans Solaris 9, seule l'utilisation des clés manuelles est prise en charge lors de l'utilisation de IPsec pour IPv6. Remarque : la plate-forme de sécurité IPsec pour IPv4 a été introduite dans Solaris 8. Le protocole IKE (Internet Key Exchange) est disponible pour IPv4. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "IPsec (Overview)" du System Administration Guide: IP Services. |
Amélioration de la commande inetd La commande de mise en réseau inetd a été optimisée pour prendre en charge les requêtes entrantes de contrôle et de filtrage pour les services réseau. Le serveur peut être configuré de manière à consigner le nom d'hôte du client réalisant les requêtes entrantes et à optimiser ainsi la sécurité du réseau. La commande inetd utilise le même mécanisme que l'utilitaire Tcp-wrappers 7.6. Pour de plus amples informations sur Tcp-wrappers 7.6, consultez la rubrique Gratuiciel. Pour de plus amples informations, consultez les pages inetd(1M), hosts_access(4) et hosts_options(4) du manuel. |
Client FTP Solaris Le client FTP Solaris a été optimisé pour inclure la prise en charge des opérations suivantes :
Pour de plus amples informations sur la commande ftp, consultez la page ftp(1) du manuel. |
Amélioration des protocoles TFTP (Trivial File Transfer Protocols) Le client et le serveur TFTP Solaris ont été optimisés pour prendre en charge les extensions de type TFTP, les négociations de la taille des blocs, les temps morts et la taille du transfert. Pour de plus amples informations, consultez les pages tftp( 1) et in.tftpd( 1M) du manuel. Vous pouvez également vous reporter aux RFC 2347, 2348 et 2349. |
Prise en charge de IPv6 via ATM La prise en charge de IPv6 via les réseaux ATM (Asynchronous Transfer Mode) comme indiqué dans la RFC 2492 a été introduite dans Solaris 9. Pour de plus amples informations, consultez le System Administration Guide: IP Services. |
Amélioration de la capture de paquets snoop L'outil de capture et d'affichage de paquets snoop a été amélioré pour déchiffrer et filtrer les paquets AppleTalk et SCTP. Pour de plus amples informations sur cette commande, reportez-vous à la page snoop(1M) du manuel. |
Solaris PPP 4.0 Solaris PPP 4.0 permet à un système installé sur un site particulier de communiquer avec un système installé sur un site distant par l'intermédiaire de lignes téléphoniques ou de liaisons de communication louées. Cette mise en oeuvre du protocole PPP (Point-to-Point Protocol) est basée sur le protocole PPP de l'ANU (Australian National University), largement utilisé, et constitue une nouveauté pour l'environnement d'exploitation Solaris. PPP 4.0 peut être aisément configuré à l'aide d'un ensemble de fichiers. Il prend en charge les communications synchrones et asynchrones et assure les authentifications PAP (Password Authentication Protocol) et CHAP (Challenge-Handshake Authentication Protocol). Solaris PPP 4.0 étant très configurable, les clients peuvent facilement personnaliser le protocole PPP en fonction de leurs besoins en matière de communication à distance. Le script de conversion asppp2pppd, qui permet de passer aisément de l'ancien Solaris PPP (asppp) au Solaris PPP 4.0, est également fourni. PPP 4.0 présente désormais une fonction PPPoE permettant d'utiliser l'encapsulation avec PPP. La prise en charge de PPPoE a été introduite dans la version Solaris 8 10/01. Pour de plus amples informations, consultez le module PPP dans le System Administration Guide: Resource Management and Network Services, ainsi que la page pppd(1M) du manuel. Pour toute information concernant les conditions d'octroi de licence, reportez-vous à la documentation fournie aux adresses suivantes : /var/sadm/pkg/SUNWpppd/install/copyright /var/sadm/pkg/SUNWpppdu/install/copyright /var/sadm/pkg/SUNWpppg/install/copyright |
Sun Internet FTP Server Sun Internet FTP ServerTM, appelé ci-dessous "serveur FTP", est entièrement compatible avec le logiciel FTP Solaris 8 et offre de nouvelles capacités et des performances optimales aux utilisateurs de Solaris 9. Le serveur FTP Solaris 9 est basé sur le ftpd de la WU. Développé à l'origine par l'Université de Washington (WU), le ftpd de la WU est très utilisé pour distribuer de grandes quantités de données via Internet et constitue la norme de prédilection des sites FTP volumineux. |
Extensions de la bibliothèque RPC de Sun Un protocole asynchrone est venu compléter la bibliothèque RPC ONC+TM de Sun. Des interfaces de programmation ont été ajoutées aux ITRPC (Transport Independent Remote Procedure Calls) pour fournir des services de messagerie asynchrones et unilatéraux et des E/S non bloquantes. Pour de plus amples informations sur le développement d'ONC+, reportez-vous au ONC+ Developer's Guide. |
Amélioration de sendmail Les nouvelles fonctions suivantes sont disponibles dans la commande sendmail version 8.12, incluse dans l'environnement d'exploitation Solaris 9 :
Les informations suivantes peuvent s'avérer d'un intérêt particulier :
Pour de plus amples informations, consultez "Mail Services Topics" dans le System Administration Guide: Resource Management and Network Services. Les chapitres relatifs aux services de messagerie fournissent des synthèses, des procédures de configuration, de modification et de dépannage de votre service de messagerie, des informations de fond, ainsi que des détails concernant toutes les nouvelles fonctions. Remarque : la version 8.10 de sendmail a été présentée pour la première fois dans l'environnement d'exploitation Solaris 8 4/01. La version 8.12 de sendmail est disponible dans l'environnement d'exploitation Solaris 9. |
Solaris NCA (Network Cache and Accelerator) Solaris NCA (Network Cache and Accelerator) a été optimisé grâce à l'ajout d'une interface de sockets vers NCA, par le biais de laquelle tout serveur Web peut communiquer au prix de modifications minimes. Les serveurs Web tels qu'Apache, Sun ONE Web Server (anciennement iPlanet Web Server) et Zeus peuvent tirer parti des performances de NCA en utilisant des fonctions de bibliothèque de sockets standard. Par ailleurs, NCA prend également en charge les fichiers d'envoi vectorisés, qui permettent d'utiliser AF_NCA. Enfin, la commande ncab2clf a été optimisée par l'ajout de nouvelles options permettant d'ignorer certains enregistrements antérieurs à une date donnée et de traiter certains enregistrements lors de la conversion des journaux. Pour de plus amples informations concernant NCA, consultez la rubrique "Managing Web Cache Servers" du System Administration Guide: Resource Management and Network Services. |
Multi-acheminement sur réseau IP Le multi-acheminement sur réseau IP (IP Network Multipathing) permet à votre système de résister à un point de panne unique sur une carte réseau et offre un trafic accru. Depuis Solaris 8 10/00, le système bascule automatiquement tous les accès réseau de la carte défectueuse vers une autre carte qui doit être connectée à la même liaison IP. Ce processus garantit un accès ininterrompu au réseau. Si plusieurs cartes réseau sont connectées à la même liaison IP, vous pouvez augmenter le trafic en le répartissant sur les différentes cartes réseau disponibles. Depuis Solaris 8 4/01, la reconfiguration dynamique (DR) utilise le multi-acheminement sur réseau IP pour mettre hors service un périphérique réseau spécifique sans affecter les utilisateurs IP existants. La version Solaris 8 7/01 a introduit la nouvelle fonction IPMP Reboot Safe qui permet d'enregistrer l'adresse IP dans les conditions suivantes : lorsqu'une carte d'interface réseau est supprimée du système via la reconfiguration dynamique et qu'une réinitialisation a lieu avant la réinsertion d'une carte réseau opérationnelle, le système tente, en vain, d'établir une interface avec la carte manquante. Plutôt que de perdre l'adresse IP, la fonction IPMP Reboot Safe la transfère vers une autre carte réseau du groupe d'interfaces IPMP. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "IP Network Multipathing Topics" du System Administration Guide: IP Services. |
SPARC : prise en charge de la notification DLPI "Link-Down" et "Link-Up" dans le multi-acheminement sur réseau IP Les notifications "Link-down" pemettent au démon de multi-acheminement sur réseau IP de détecter plus rapidement les pannes des liaisons physiques. Lorsqu'une interface réseau est lancée, le démon de multi-acheminement sur IP tente d'activer les notifications "Link-Up" et "Link-Down" depuis le gestionnaire d'interface réseau. Une notification "link-down" est générée lorsque l'interface détecte la perte de la liaison physique avec le réseau. Une notification "Link-Up" est générée lorsque la liaison physique est rétablie. Le gestionnaire doit prendre en charge cette fonction pour que la procédure de notification soit opérationnelle. Le drapeau RUNNING est désactivé lors de la réception d'une notification "Link-Down" et activé lors de la réception d'une notification "Link-Up". Le démon de multi-acheminement sur IP utilise l'indicateur RUNNING pour refléter le statut de la liaison physique. Pour de plus amples informations, consultez les chapitres du System Administration Guide: IP Services relatifs au multi-acheminement sur réseau IP. |
Mobile IP (Internet Protocol) Le protocole Mobile IP (Internet Protocol) permet d'échanger des informations avec des ordinateurs mobiles et des systèmes sans fil. L'ordinateur mobile peut se déplacer et se connecter à un réseau étranger sans perdre l'accès à son réseau initial. La mise en oeuvre Solaris de Mobile IP prend uniquement IPv4 en charge. Depuis la version Solaris 8 4/01, Mobile IP permet aux administrateurs système de configurer des tunnels de retour. En configurant un tunnel de retour entre l'adresse de traitement du noeud mobile et l'agent d'accueil, vous avez l'assurance que l'adresse source du paquet de données IP est correcte du point de vue de la topologie. Les tunnels de retour permettent également aux administrateurs système d'attribuer des adresses privées aux noeuds mobiles. Pour de plus amples informations sur le protocole Mobile IP, consultez la rubrique "Mobile IP Topics" du System Administration Guide: IP Services. |
Avertissements de l'agent Mobile IP par le biais d'interfaces dynamiques Les interfaces créées de manière dynamique sont configurées après le démarrage du démon mipagent. Vous pouvez dès lors configurer l'agent tiers pour qu'il émette des avertissements par le biais d'une interface créée de manière dynamique. Vous pouvez également activer ou désactiver certains affichages par le biais des interfaces ad hoc. Pour de plus amples informations sur Mobile IP, consultez la rubrique "Mobile IP Topics" du System Administration Guide: IP Services. |
BIND (Berkeley Internet Name Domain) Une version mise à jour de BIND (Berkeley Internet Name Domain) a été intégrée à la révision Solaris 9. Cette mise à jour porte le numéro de version 8.2.4. La fonctionnalité BIND comporte les options suivantes :
Pour de plus amples informations, reportez-vous au System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). |
Gratuiciel de réseau Pour de plus amples informations sur GNU wget 1.6, Ncftp Client 3.0.3 et Samba 2.2.2 dans Solaris 9, consultez la rubrique Gratuiciel.
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Description des fonctions |
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Solaris Volume Manager Solaris Volume Manager propose des outils de gestion de stockage qui vous permettent de créer et gérer des volumes RAID 0, RAID 1 et RAID 5, ainsi que des périphériques transactionnels (de connexion) et des partitions souples. Solaris Volume Manager allie toutes les capacités de Solstice DiskSuiteTM aux options suivantes :
Solaris 9 prend en charge la mise à niveau des systèmes existants sur lesquels tourne Solstice DiskSuite (SDS) vers Solaris Volume Manager sans modifier la configuration. Les mises à niveau des systèmes de fichiers racines répliqués sont prises en charge intégralement et automatiquement. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris Volume Manager Administration Guide. |
Format diff uniformisé Les commandes diff et sccs-sccsdiff ont été mises à jour pour inclure la prise en charge du format diff uniformisé de style GNU, dans lequel les lignes de contexte sont imprimées une seule fois dans la liste des différences. Pour de plus amples informations sur ces commandes, consultez les pages diff(1) et sccs-sccsdiff (1) du manuel. |
Fonction de rotation des fichiers de consignation génériques Une fonction de rotation des fichiers de consignation génériques est disponible dans Solaris 9. Les administrateurs système peuvent utiliser cette fonction pour préserver et faire tourner les fichiers système et les fichiers de consignation d'une application. Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages logadm(1M) et logadm.conf(4) du manuel. |
Solaris Management Console Solaris Management Console 2.1 est une "application parapluie" basée sur l'interface graphique utilisateur qui sert de point de départ à différents outils de gestion. Elle est fournie avec une boîte à outils par défaut qui contient les éléments suivants :
Vous pouvez ajouter ou supprimer des outils de la boîte à outils par défaut ou en créer une nouvelle à l'aide de l'Editeur de boîte à outils de la console pour gérer un autre ensemble d'outils. Vous pouvez également gérer des clients sans disque, mais uniquement via une interface de ligne de commande. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Solaris Management Console (Overview)" du System Administration Guide: Basic Administration. |
Patch Manager Le Patch Manager gère les patchs créés pour l'environnement d'exploitation Solaris 9 et les versions compatibles. Vous pouvez afficher les patchs installés et leurs propriétés, ajouter des patchs sur un ou plusieurs systèmes simultanément, supprimer des patchs, analyser les besoins des systèmes en termes de patchs et télécharger les patchs depuis le service SunSolve Online. La nouvelle commande smpatch installe des patchs sur une ou plusieurs machines, analyse les besoins en patchs et télécharge les patchs requis. Consultez la page smpatch(1M) du manuel pour de plus amples informations. |
Solaris WBEM Services 2.5 Solaris WBEM Services 2.5 est une implémentation de la gestion de réseau basée sur le Web (WBEM) de Sun Microsystems. WBEM regroupe des technologies Internet et de gestion dans le but d'uniformiser les environnements informatiques d'entreprise. La version de Solaris WBEM Services utilisée dans Solaris 9 est la mise à jour 2.5. Vous trouverez de plus amples informations dans la rubrique Outils de gestion de réseau basée sur le Web. |
Le CIM Object Manager répond désormais au port HTTP 5988 Le CIM Object Manager répond aux connexions RMI (Remote Method Invocation) du port RMI 5987 et, désormais, aux connexions XML/HTTP du port HTTP 5988. Sous Solaris 8 et ses mises à jour, le CIM Object Manager répond aux connexions XML/HTTP du port HTTP 80 par défaut. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris WBEM Services Administration Guide. |
Adaptateur SNMP pour WBEM Destiné aux administrateurs système, l'adaptateur SNMP pour WBEM permet aux applications de gestion SNMP (Simple Network Management Protocol) d'accéder aux informations d'administration système fournies par Solaris WBEM Services. Utilisé avec l'agent maître SEA (SolsticeTM Enterprise Agent), l'adaptateur SNMP pour WBEM mappe les requêtes SNMP dans des propriétés ou instances WBEM CIM (Common Information Model) équivalentes. L'adaptateur SNMP pour WBEM remappe également la réponse du CIM Object Manager dans une réponse SNMP qui est renvoyée à l'application de gestion. Un fichier de mappage contient l'identificateur de l'objet (OID) correspondant, le nom de classe, le nom de propriété et le type de langage de description de syntaxe abstraite (numéro 1) pour chaque objet. Le Solaris WBEM Services Administration Guide contient des informations concernant l'adaptateur SNMP pour WBEM. |
Version 3.0 de la base d'enregistrement des produits Solaris La version 3.0 de ce produit comprend les nouvelles fonctions suivantes :
Pour de plus amples informations, consultez le System Administration Guide: Basic Administration. |
Modification des groupes de logiciels dans le programme Solaris Web Start La méthode d'installation Solaris Web Start a été mise à jour pour vous permettre de modifier le groupe de logiciels Solaris sélectionné en ajoutant ou en supprimant des modules. Pour de plus amples informations, consultez le System Administration Guide: Basic Administration. |
Outils d'administration système gratuits Pour de plus amples informations sur GNU grep 2.4.2 et GNU tar 1.13, consultez la rubrique Gratuiciel. GNU grep 2.4.2 est un système de recherche selon modèle. GNU tar 1.13 est un archiveur. |
Description des fonctions |
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Attributs de fichiers étendus Les systèmes de fichiers UFS, NFS et TMPFS ont été améliorés pour inclure des attributs de fichiers étendus permettant aux développeurs de lier des attributs spécifiques à un fichier. Par exemple, le développeur d'un gestionnaire de fichiers dédié à un système de multifenêtrage peut décider de lier une icône d'affichage à un fichier. Les attributs étendus sont représentés logiquement sous la forme de fichiers dans un répertoire caché associé au fichier cible. Vous pouvez utiliser l'API des attributs de fichiers étendus et différentes commandes shell pour ajouter et manipuler des attributs de système de fichiers. Consultez les pages fsattr(5), openat(2) et runat(1) du manuel pour de plus amples informations. Bon nombre de commandes des systèmes de fichiers Solaris proposent une option sensible aux attributs permettant d'interroger, de copier ou de rechercher des attributs de fichiers. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la commande spécifique au système de fichiers dans les pages du manuel. Consultez également le System Administration Guide: Basic Administration pour de plus amples informations. |
Parallélisation améliorée des E/S UFS directes Les performances des E/S directes utilisées par les applications de base de données pour accéder aux données de systèmes de fichiers non mises en cache ont été améliorées en autorisant les accès simultanés en écriture et en lecture aux fichiers UFS standard. Auparavant, toute opération de mise à jour des données du fichier verrouillait tous les accès en écriture et en lecture jusqu'à son terme. Consultez le System Administration Guide: Basic Administration et la page mount_ufs(1M) du manuel pour de plus amples informations. |
Amélioration du DNLC Le DNLC (directory name look-up cache) a été optimisé afin d'améliorer les performances lors de l'accès aux fichiers dans des répertoires contenant plus de 1000 fichiers. Il s'agit d'un service général de systèmes de fichiers qui met en cache le nom des répertoires les plus récemment utilisés, ainsi que les noeuds virtuels qui y sont associés. Les entrées de répertoire UFS sont enregistrées de manière linéaire sur le disque. Ceci signifie que, pour localiser une entrée, il est nécessaire de rechercher son nom dans toutes les entrées. Pour ajouter une nouvelle entrée, il convient de passer tout le répertoire en revue afin de s'assurer que le nom n'existe pas. Pour résoudre ce problème de performance, l'ensemble des répertoires est mis en cache par le DNLC. Cette version possède une autre fonction qui consiste en la mise en cache d'objets de fichiers qui ont été recherchés mais n'existent pas. Cette fonction, appelée "mise en cache négative", peut s'avérer utile étant donné que certaines applications vérifient à plusieurs reprises l'existence d'un fichier. De nouveaux paramètres ajustables sont désormais concernés par l'amélioration du DNLC. Ces paramètres étant configurés de façon optimale, ne les modifiez pas à la légère. Consultez le Solaris Tunable Parameters Reference Manual pour de plus amples informations. |
Cliché UFS (fssnap) Vous pouvez utiliser la commande fssnap pour créer un cliché d'un système de fichiers. Un cliché est une image temporaire d'un système de fichiers réalisée à des fins de sauvegarde. Lorsque vous exécutez la commande fssnap, elle crée une unité virtuelle et un fichier de stockage de sauvegarde. Vous pouvez sauvegarder l'unité virtuelle, qui ressemble à une unité réelle et se comporte de même, à l'aide d'une commande de sauvegarde Solaris existante. Le fichier de stockage est un fichier bitmap contenant une copie des données pré-cliché qui ont été modifiées depuis que le cliché a été pris. Consultez le System Administration Guide: Basic Administration et la page fssnap(1M) du manuel pour de plus amples informations. |
Mise à jour de la commande mkfs La commande mkfs a été mise à jour pour améliorer les performances lors de la création de systèmes de fichiers. Les améliorations apportées à mkfs la rendent souvent 10 fois plus rapide que dans les versions précédentes de Solaris. Ces améliorations sont perceptibles lors de la création de systèmes de fichiers de petite taille ou volumineux. Cependant, elles offrent une efficacité maximale sur les systèmes dotés de disques rapides ou de forte capacité. |
Description des fonctions |
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Solaris Live Upgrade 2.0 Solaris Live Upgrade permet de mettre à niveau un système d'exploitation avec un minimum d'indisponibilité. Vous pouvez dupliquer votre environnement d'initialisation en cours puis, sans interrompre son fonctionnement, mettre à niveau l'environnement dupliqué. L'environnement d'initialisation dupliqué sera activé à la réinitialisation du système, dont il deviendra alors l'environnement d'initialisation actif. En cas de panne, il vous suffit de redémarrer le système pour revenir rapidement à l'environnement d'initialisation initial. Vous évitez ainsi les interruptions de service associées aux procédures de test et d'évaluation habituelles. Outre la mise à niveau d'un environnement d'initialisation, vous pouvez installer une archive flash Web Start sur un environnement d'initialisation inactif. Lorsque vous réinitialisez le système, la configuration que vous avez installée sur un environnement d'initialisation inactif est activée. La version Solaris 9 comprend plusieurs améliorations Live Upgrade qui s'appliquent uniquement à l'interface de ligne de commande. Elles concernent les points suivants :
Pour de plus amples informations sur Solaris Live Upgrade, consultez la rubrique "Solaris Live Upgrade - Rubriques" du Guide d'installation de Solaris 9. Remarque : notez que, dans les versions de mises à jour de Solaris 9, Web Start Flash s'appelle maintenant Solaris Flash. |
Fonction d'installation "Web Start Flash" La fonction d'installation "Web Start Flash" vous permet de créer une installation de référence de l'environnement d'exploitation Solaris sur une machine, puis de la reproduire sur d'autres machines. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Fonction d'installation Solaris Flash (Rubriques)" du Guide d'installation de Solaris 9. Remarque : notez que, dans les versions de mises à jour de Solaris 9, Web Start Flash s'appelle maintenant Solaris Flash. |
Récupération d'archives Web Start Flash via FTP Le programme Web Start Flash a été mis à jour pour vous permettre de récupérer une archive Web Start Flash à l'aide de FTP. Lorsque vous installez une archive, vous pouvez spécifier son emplacement sur un serveur FTP Pour de plus amples informations sur la récupération d'une archive depuis un serveur FTP, consultez le Guide d'installation de Solaris 9. Remarque : notez que, dans les versions de mises à jour de Solaris 9, Web Start Flash s'appelle maintenant Solaris Flash. |
Installation minimale Des fichiers constituant plusieurs fonctions dans le groupe logiciel principal, ou métacluster, sont à présent déplacés dans un module distinct, organisé plus logiquement. Vous pouvez également exclure ces modules de l'environnement d'exploitation Solaris lorsque vous installez le logiciel Solaris. ou les supprimer à l'aide de la commande pkgrm après installation. Consultez la page pkgrm(1M) du manuel. Les fichiers constituant les fonctions suivantes sont déplacés vers de nouveaux modules ou d'autres modules existants :
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IA : initialisation réseau PXE L'environnement Intel PXE (Pre-boot eXecution Environment) vous permet d'initialiser un système Solaris 8 IA directement à partir du réseau, sans utiliser de disquette d'initialisation Solaris. Le système IA doit gérer PXE. Le cas échéant, activez l'utilisation de PXE par le système à l'aide de l'outil de configuration du BIOS du système ou de l'outil de configuration de la carte réseau. La disquette d'initialisation de Solaris reste utilisable pour les systèmes qui ne prennent pas en charge cette fonction. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Guide d'installation de Solaris 9. |
Noms de modules plus longs L'utilitaire pkgmk peut maintenant être utilisé pour créer des modules avec des noms pouvant comporter jusqu'à 32 caractères. Consultez les pages pkgmk(1) et pkgadd(1M) du manuel. |
Installation à l'aide du DVD Solaris Vous pouvez maintenant installer l'environnement d'exploitation Solaris et les logiciels supplémentaires depuis le DVD. Le DVD vous permet d'effectuer soit une installation SolarisTM Web Start soit JumpStartTM personnalisée. Le DVD Solaris contient le logiciel Solaris, le logiciel ExtraValue et la documentation Solaris. Pour de plus amples informations, consultez le Guide d'installation de Solaris 9. |
Utilisation du fichier sysidcfg par Solaris Web Start La méthode d'installation Solaris Web Start a été modifiée de manière à utiliser le fichier sysidcfg pour configurer les informations système lors d'une installation et d'une mise à jour. Si vous créez un fichier sysidcfg contenant des informations de configuration pour votre système, le programme Solaris Web Start ne vous invite pas à entrer les informations système pendant l'installation. Pour de plus amples informations, consultez le Guide d'installation de Solaris 9. |
Améliorations du programme Solaris Web Start La méthode d'installation Solaris Web Start a été mise à jour pour que vous puissiez exécuter les fonctions suivantes pendant l'installation ou la mise à jour de Solaris.
Pour de plus amples informations, consultez le Guide d'installation de Solaris 9. |
Ajout de fuseaux horaires aux sélections Le nombre de fuseaux horaires disponibles dans l'environnement d'exploitation Solaris 9 a considérablement augmenté. Lorsque vous installez l'environnement d'exploitation Solaris, vous pouvez sélectionner des fuseaux horaires en fonction de la région géographique. Les sélections de fuseaux horaires dans les listes de pays et de continents ont été élargies. Pour de plus amples informations, consultez le Guide d'installation de Solaris 9. |
Solaris "Web Start Wizards" SDK 3.0.1 Solaris Web Start WizardsTM SDK simplifie l'installation, la configuration et l'administration de la version native de Solaris, de Java et des applications non-Java. Les développeurs peuvent faire coexister, sur un même support, les versions Solaris et Microsoft Windows de leurs applications grâce à Solaris Web Start Wizards L'assistant d'installation gère les spécificités des plates-formes. Web Start Wizards SDK 3.0.1 est désormais inclus dans Solaris 9 et peut être installé à l'aide du programme d'installation Solaris Web Start. |
Nouvelles options d'initialisation pour une installation JumpStart personnalisée De nouvelles options ont été ajoutées. Elles sont destinées à être utilisées à l'aide de la commande boot lorsque vous effectuez une installation JumpStart personnalisée. La commande boot permet de spécifier l'emplacement des fichiers de configuration à utiliser pour effectuer l'installation. Vous pouvez spécifier le chemin d'accès d'un serveur HTTP, d'un serveur NFS ou d'un fichier disponible sur un système local. Si vous ne connaissez pas le chemin d'accès aux fichiers, vous pouvez faire en sorte que le programme d'installation émette l'invite correspondante après initialisation et connexion de la machine au réseau. L'option nowin vous permet d'indiquer au programme JumpStart personnalisé de ne pas démarrer le programme X. Celui-ci n'étant pas nécessaire pour procéder à une installation JumpStart personnalisée, vous pouvez réduire la durée de l'installation grâce à l'option nowin. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique " Installation JumpStart personnalisée - Rubriques" du Guide d'installation de Solaris 9. |
Mise à niveau des miroirs Solaris 9 prend désormais en charge les mises à niveau de l'environnement d'exploitation des miroirs racine et métapériphériques créés par Solaris Volume Manager (anciennement, Solstice DiskSuite). Si vous mettez à niveau un système qui possède un métapériphérique créé par Solaris volume Manager, il n'est plus nécessaire de modifier le fichier vfstab. Le miroir racine est détecté et l'environnement d'exploitation du miroir est mis à niveau comme dans le cas d'une mise à niveau habituelle sans métapériphériques. |
Routage par défaut à l'aide des services d'identification du système Les utilitaires d'identification du système tentent automatiquement de déterminer le routeur par défaut pendant l'installation. Pour de plus amples informations sur la procédure d'installation, consultez le Guide d'installation de Solaris 9. |
Configuration à l'aide des outils d'identification du système Les services d'identification du système peuvent désormais configurer les systèmes en tant que clients LDAP. Les versions Solaris précédentes permettaient uniquement la configuration d'une machine en tant que client NIS, NIS+ ou DNS. Pour de plus amples informations sur l'installation, reportez-vous au Guide d'installation de Solaris 9. |
Analyseur de patchs L'analyseur de patchs est désormais disponible lorsque vous utilisez le programme Solaris Web Start pour mettre à niveau une version Solaris Update. Il effectue une analyse de votre système pour déterminer quels patchs seraient supprimés ou déclassés en cas de mise à niveau vers la nouvelle version de Solaris. Il n'est pas nécessaire d'utiliser l'analyseur de patchs lorsque vous passez à Solaris 9. Pour de plus amples informations, consultez le Guide d'installation de Solaris 9. |
Description des fonctions |
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SPARC : MPSS (Multiple Page Size Support) La prise en charge de plusieurs formats de page (MPSS) permet à un programme d'utiliser tout format reconnu par le matériel afin d'accéder aux segments de la mémoire virtuelle. Précédemment, la commande mmap() permettait seulement à un programme de configurer des piles, des structures de données de segment ou des pages de mémoire anonymes à l'aide de pages de 8 Ko. Vous pouvez utiliser MPSS pour exécuter d'anciennes applications avec un paramétrage de format de page spécifique ; elles bénéficieront pleinement de cette amélioration. L'utilisation de tailles de page plus grandes devrait améliorer de façon significative les performances des programmes qui requièrent de gros volumes de mémoire. Pour de plus amples informations, consultez les pages pagesize(1), mpss.so.1(1), ppgsz(1) et mmap(2) du manuel. |
Amélioration de la bibliothèque multithreading Cette version comprend une bibliothèque multithreading améliorée et plus rapide, disponible sous la forme de libthread dans les versions antérieures de Solaris. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Multithreaded Programming Guide et à la page du manuel portant sur threads (3THR). |
Solaris NCA (Network Cache and Accelerator) Solaris NCA (Network Cache and Accelerator) a été optimisé grâce à l'ajout d'une interface de sockets vers NCA, qui permet à tout serveur web de communiquer avec NCA au prix de modifications minimes. Reportez-vous à la rubrique Réseau. |
SPARC : amélioration des performances des serveurs L'algorithme qui contrôle les pages virtuelles et physiques, ainsi que la manière dont elles sont mises en cache, a été amélioré. Ces améliorations augmentent d'environ 10 % les performances système pour les charges utilisateur habituelles des serveurs. |
DISM (Dynamic Intimate Shared Memory) La mémoire DISM (Dynamic Intimate Shared Memory) permet à une base de données d'étendre ou de réduire de façon dynamique la taille du segment de données partagées, éliminant ainsi les problèmes de configuration incorrecte et de vulnérabilité aux attaques de type refus de service que présente ISM (Intimate Shared Memory). L'ISM est un segment de mémoire partagée composé de vastes pages de mémoire verrouillées. Le nombre de pages verrouillées d'ISM est constant et ne peut être modifié. La DISM est une mémoire ISM partagée et paginable, dans laquelle le nombre de pages verrouillées est variable et peut être modifié. La DISM gère ainsi la libération ou l'ajout de mémoire physique au système via la reconfiguration dynamique. La taille de la DISM peut inclure la mémoire physique disponible plus l'espace de swap sur le disque. Reportez-vous à la page shmop(2) du manuel. |
Description des fonctions |
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Service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) Le service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) permet aux systèmes hôte d'obtenir des adresses IP et des informations sur la configuration du réseau Elles leur sont fournies par un serveur réseau lors de l'initialisation. Le service DHCP de Solaris a subi diverses améliorations pour pouvoir assurer la prise en charge d'un plus grand nombre de clients :
Par ailleurs, le serveur Solaris DHCP prend maintenant en charge les mises à jour DNS dynamiques. Vous pouvez demander au service DHCP de mettre à jour le service DNS avec les noms de machine des clients DHCP qui requièrent un nom de machine particulier. Le client Solaris DHCP peut désormais être configuré pour demander un nom de machine particulier. Pour de plus amples informations, reportez-vous au System Administration Guide: IP Services. |
Gestion des clients sans disque La gestion des clients sans disque est possible via la ligne de commande. Vous pouvez gérer les clients sans disque, répertorier les services de système d'exploitation pour les clients sans disque et gérer les patchs sur tous les clients sans disque existants. Pour de plus amples informations sur la gestion des clients sans disque, consultez la rubrique "Managing Diskless Clients (Tasks)" du System Administration Guide: Basic Administration. |
Description des fonctions |
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Protocole IKE (Internet Key Exchange) Le protocole IKE (Internet Key Exchange) automatise la gestion des clés pour IPsec. Il remplace l'affectation et le rafraîchissement manuels des clés sur un réseau IPv4, ce qui permet à l'administrateur de gérer davantage de réseaux sécurisés. Les administrateurs système utilisent IPsec pour configurer des réseaux IPv4 sécurisés. Le démon in.iked assure la dérivation de la clé, l'authentication et la protection de l'authentication au démarrage. Il est configurable. L'administrateur effectue les paramétrages dans un fichier de configuration. Une fois les paramétrages effectués, aucun rafraîchissement manuel de la clé n'est nécessaire. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Internet Key Exchange" du System Administration Guide: IP Services. |
Solaris Secure Shell Secure Shell permet à l'utilisateur d'accéder à un hôte distant en toute sécurité via un réseau non sécurisé. Les transferts de données et les sessions réseau interactives sont protégées contre toute forme d'interception, de piratage ou d'attaques intermédiaires. Solaris 9 Secure Shell prend en charge les versions de protocole SSHv1 et SSHv2. Une authentification stricte utilisant la cryptographie à clé publique est fournie. Le système X Window et les autres services réseau peuvent être encapsulés en toute sécurité par le biais de connexions Secure Shell pour une protection supplémentaire. Le serveur Secure Shell sshd prend en charge les requêtes de contrôle et de filtrage entrantes pour les services réseau. Le serveur peut être configuré de manière à consigner le nom d'hôte du client réalisant les requêtes entrantes et à optimiser ainsi la sécurité du réseau. sshd utilise le même mécanisme que l'utilitaire Tcp-wrappers 7.6 décrit dans la rubrique Gratuiciel. Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages sshd(1M), hosts_access(4) et hosts_options(4) du manuel, ainsi qu'à la rubrique "Using Secure Shell (Tasks)" du System Administration Guide: Security Services. |
Centre Kerberos de distribution des clés (KDC) et outils administratifs Les administrateurs système peuvent améliorer la sécurité du système à l'aide de l'authentification Kerberos V5, de même que la confidentialité et de l'intégrité. NFS constitue un exemple d'application sécurisée par Kerberos V5. La liste suivante illustre les nouvelles fonctions de Kerberos V5.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la rubrique "Administering the Kerberos Database" du System Administration Guide: Security Services. |
Client LDAP sécurisé Solaris 9 comprend de nouvelles fonctions pour la sécurité basée sur le client LDAP. Une nouvelle bibliothèque LDAP fournit des mécanismes de cryptage SSL (TLS) et CRAM-MD5. Ces mécanismes permettent à l'utilisateur de déployer ses méthodes de chiffrement par le biais du câble qui relie les clients LDAP et le serveur LDAP. Pour de plus amples informations concernant Sun ONE Directory Server 5.1 (anciennement iPlanet Directory Server 5.1), le serveur d'annuaire LDAP, consultez la rubrique Réseau. |
Module de chiffrement pour IPsec et Kerberos Le chiffrement inclus dans Solaris 9 possède une clé pouvant atteindre une longueur maximum de 128 bits. Auparavant, les modules de chiffrement étaient uniquement disponibles sous la forme d'un kit de chiffrement Solaris sur CD ou de fichiers téléchargeables sur le Web. Un certain nombre de ces algorithmes sont maintenant intégrés à l'environnement d'exploitation Solaris 9. Ils incluent une prise en charge de la confidentialité DES à 56 bits pour Kerberos, ainsi qu'une prise en charge DES à 56 bits et DES triple à 3 clés pour IPsec. Remarque : la prise en charge du chiffrement supérieur à 128 bits avec IPsec est également incluse dans le kit de chiffrement Solaris sur CD et dans les fichiers téléchargeables sur le Web. IPsec prend en charge les standards de chiffrement AES (Advanced Encryption Standard) à 128, 192 ou 256 bits, ainsi que le chiffrement Blowfish de 32 à 448 bits par incrément de 8 bits. Pour de plus amples informations sur la prise en charge d'IPsec, consultez la rubrique "IPsec (Overview)" du System Administration Guide: IP Services. Pour de plus amples informations sur la prise en charge de Kerberos, consultez la rubrique "Introduction to SEAM" du System Administration Guide: Security Services. |
Architecture de sécurité IP pour IPv6 La plate-forme de sécurité IPsec a été optimisée dans Solaris 9 pour garantir la sécurité des datagrammes IPv6 acheminés entre les machines. Dans Solaris 9, seule l'utilisation des clés manuelles est prise en charge lors de l'utilisation de IPsec pour IPv6. Remarque : la plate-forme de sécurité IPsec pour IPv4 a été introduite dans Solaris 8. Le protocole IKE (Internet Key Exchange) est disponible pour IPv4. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "IPsec (Overview)" du System Administration Guide: IP Services. |
Améliorations de RBAC (Role-Based Access Control) Les bases de données RBAC peuvent être gérées par le biais de l'interface graphique Solaris Management Console. Les droits peuvent ensuite être affectés par défaut dans le fichier policy.conf. Par ailleurs, ces droits peuvent désormais en contenir d'autres. Pour de plus amples informations sur RBAC, consultez la rubrique "Role-Based Access Control (Overview)" du System Administration Guide: Security Services. Pour de plus amples informations sur Solaris Management Console, consultez la rubrique Outils d'administration système. |
Options de sécurité de la connexion Xserver De nouvelles options permettent aux administrateurs système de n'autoriser que les connexions cryptées avec le serveur Solaris X. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique Fonctions de Solaris 9 destinées aux utilisateurs du bureau. |
GSS-API (Generic Security Services Application Programming Interface) L'interface GSS-API (Generic Security Services Application Programming Interface) est une plate-forme de sécurité permettant aux applications de protéger les données qu'elles transmettent. Elle leur fournit des services d'authentification, d'intégrité et de confidentialité et leur permet d'être entièrement génériques en matière de sécurité. Autrement dit, elles n'ont à vérifier ni la plate-forme sous-jacente (par exemple Solaris), ni le mécanisme de sécurité utilisé (par exemple Kerberos). Les applications qui utilisent l'interface GSS-API bénéficient ainsi d'une excellente portabilité. Pour plus d'informations, reportez-vous au document GSS-API Programming Guide. |
Logiciel de sécurité supplémentaire Pour de plus amples informations sur SunScreen TM 3.2, un pare-feu, consultez la rubrique Logiciels supplémentaires. Consultez également la rubrique Gratuiciel pour de plus amples informations sur le gratuiciel Tcp-wrappers 7.6 dans Solaris 9. Tcp-wrappers 7.6 est un petit programme démon qui contrôle et filtre les requêtes entrantes pour les services de réseau. |
Description des fonctions |
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Ecriture de systèmes de fichiers sur CD à l'aide de la commande cdrw La commande cdrw vous permet d'écrire des systèmes de fichiers sur CD au format ISO 9660 avec des extensions Rock Ridge ou Joliet sur des périphériques CD-R ou CD-RW. Vous pouvez utiliser la commande cdrw pour :
Pour de plus amples informations sur les périphériques CD-R ou CD-RW recommandés, visitez le site : http://www.sun.com/io_technologies/pci/removable.html Pour de plus amples informations sur l'utilisation de cette commande, consultez la page cdrw(1) du manuel. |
Amélioration de la gestion des supports amovibles Dans cette version, les fonctions de gestion des volumes ont été améliorées pour prendre intégralement en charge les supports amovibles. Cette amélioration signifie que les supports suivants sont installés et disponibles pour la lecture :
Grâce aux améliorations apportées au CDE (Common Desktop Environment) et à la ligne de commande Solaris vous pouvez :
Pour de plus amples informations sur la gestion des supports amovibles à l'aide de l'interface de ligne de commande, consultez le System Administration Guide: Basic Administration. Pour de plus amples informations sur la gestion des supports amovibles à l'aide du gestionnaire de fichiers CDE, reportez-vous au Solaris CDE - Guide de l'utilisateur. |
Description des fonctions |
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SPARC : gestionnaire de trafic Sun StorEdge La fonction Gestionnaire de trafic Sun StorEdgeTM prend en charge les chemins d'accès multiples pour les périphériques d'E/S tels que les périphériques de stockage accessibles via Fibre Channel. Cette fonction équilibre la charge de travail à travers plusieurs périphériques et augmente la fiabilité en redirigeant les requêtes reçues d'une carte d'interface ou un périphérique de stockage défectueux vers une carte ou un périphérique opérationnel. |
SPARC : gestionnaire de trafic Sun StorEdge Depuis Solaris 8 7/01, l'environnement d'exploitation Solaris intègre la prise en charge du gestionnaire SunTM Gigaswift 1000Base-T Ethernet. Ce produit optimise les performances d'une liaison Ethernet cuivre à paire torsadée de 1 Go. Pour de plus amples informations, consultez la page ce(7D) du manuel. |
SPARC : périphériques USB Cette version comprend une prise en charge pour les périphériques USB tels que les claviers, souris, périphériques audio, unités de stockage de masse et imprimantes. Les systèmes Sun qui prennent en charge les périphériques USB sont les suivants :
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SPARC : utilisation d'unités USB de stockage de masse De nombreuses unités USB de stockage de masse sont prises en charge dans l'environnement Solaris 9. Certains périphériques USB non compatibles peuvent fonctionner. Pour déterminer si un périphérique donné peut être pris en charge, reportez-vous aux informations figurant dans le fichier /kernel/drv/scsa2usb.conf . Pour de plus amples informations, consultez le System Administration Guide: Basic Administration. |
SPARC : connexion de périphériques USB enfichables à chaud à l'aide de la commande cfgadm La commande cfgadm permet de brancher un périphérique USB sans avoir à quitter le système. Vous pouvez également utiliser la commande cfgadm pour connecter logiquement un périphérique USB enfichable à chaud sans débrancher le périphérique physiquement. Ce scénario est utile en cas de réinitialisation d'un périphérique USB à distance. Pour de plus amples informations, consultez la page cfgadm_usb(1M) du manuel. |
SPARC : prise en charge des imprimantes USB Vous pouvez utiliser le Gestionnaire d'impression Solaris pour configurer une imprimante attachée à un système équipé de ports USB. Les nouveaux noms logiques des périphériques des imprimantes USB sont : /dev/printers/[0...N]* Lorsque vous ajoutez une imprimante USB à un serveur d'imprimantes, sélectionnez l'un de ces périphériques pour une imprimante USB sous Port d'imprimante sur l'écran Ajouter nouvelle imprimante. Pour de plus amples informations sur l'utilisation du Gestionnaire d'impression Solaris pour la configuration des imprimantes, consultez le System Administration Guide: Advanced Administration. Le pilote d'impression USB de Solaris 9 prend en charge toutes les imprimantes compatibles USB. Vérifiez cependant la liste des imprimantes PostScriptTM recommandées figurant à la page usbprn(7D) du manuel. Pour de plus amples informations et consignes de sécurité relatives à la connexion d'imprimantes USB enfichables à chaud, consultez la rubrique "Notes and Diagnostics" de la page usbprn(7D) du manuel. |
RCM (Reconfiguration Coordination Manager) La reconfiguration dynamique des ressources système vous permet de reconfigurer les composants du système sans interrompre le fonctionnement de celui-ci. Cette fonction est disponible depuis l'introduction de la commande cfgadm dans Solaris 8. Le coordinateur de la reconfiguration (ou RCM, pour Reconfiguration Coordination Manager) est la structure qui gère le retrait dynamique de composants système. A l'aide de RCM, vous pouvez enregistrer et libérer des ressources système de manière organisée. Auparavant, il était nécessaire de libérer manuellement les ressources utilisées par des applications pour pouvoir les reconfigurer de manière dynamique. Il était également possible d'utiliser la commande cfgadm avec l'option - f pour forcer une opération de reconfiguration, mais avec pour conséquence de laisser les applications dans un état inconnu. De la même manière, la libération manuelle des ressources utilisées par une application est une source d'erreur fréquente. La nouvelle fonction de script RCM vous permet d'écrire vos propres scripts afin d'arrêter les applications ou de libérer proprement les périphériques que celles-ci utilisent pendant la reconfiguration dynamique. Si une demande de reconfiguration concerne des ressources enregistrées par un script, RCM démarre celui-ci automatiquement. Consultez le System Administration Guide: Basic Administration et la page rcmscript(4) du manuel pour de plus amples informations. |
Amélioration du programme mp Dans la version améliorée du programme mp(1), la commande mp a été modifiée afin de fonctionner en tant que client du serveur d'impression X. Avec un serveur d'impression X configuré correctement et exécuté sur la machine hôte, la commande mp permet d'imprimer dans tout langage de description pris en charge par le serveur d'impression X. Les nouvelles options -D et -P sont utilisées pour exécuter la commande mp en tant que client du serveur d'impression X. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Print Filter Enhancement With" du International Language Environments Guide. |
SPARC : nouveaux messages d'erreur générés par la reconfiguration dynamique Le logiciel de reconfiguration dynamique a été optimisé pour améliorer le dépannage des problèmes de reconfiguration dynamique. Consultez le System Administration Guide: Basic Administration ainsi que la page cfgadm(1M) du manuel pour de plus amples informations. |
Description des fonctions |
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Compatibilité des interfaces de programmation d'applications Solaris et Linux Plusieurs gratuiciels précédemment disponibles sur le CD Solaris 8 Software Companion sont désormais intégrés à l'environnement d'exploitation Solaris 9. Aussi, les développeurs de logiciels peuvent désormais développer et compiler leurs applications gratuites plus aisément sous Solaris. Les bibliothèques gratuites comprennent :
Pour de plus amples informations sur les gratuiciels disponibles sur le support Solaris, reportez-vous à la rubrique Gratuiciel. |
Sélection de la sortie XML pour les messages Live Upgrade Si vous utilisez Solaris Live Upgrade au niveau de la ligne de commande, vous pouvez désormais sélectionner la sortie XML à l'aide de l'option - X. Cette option doit être utilisée pour écrire des programmes ou des scripts shell utilisant Solaris Live Upgrade en tant qu'outil. Si le texte correspond à la sortie par défaut, l'option -X permet de créer le langage XML approprié à l'analyse et à l'interprétation par la machine. La sortie de l'option -X est en XML pour tous les messages (d'erreur, d'avertissement, d'informations et d'ordre général) Consultez la page lucreate( 1M) du manuel. |
SPARC : MPSS (Multiple Page Size Support) Multiple Page Size Support (MPSS) permet à un programme d'utiliser n'importe quelle taille de page prise en charge par le matériel pour accéder à des portions de mémoire virtuelle. Précédemment, la commande mmap() permettait seulement à un programme de configurer des piles, des structures de données de segment ou des pages de mémoire anonymes à l'aide de pages de 8 Ko. Vous pouvez désormais ajuster les performances des applications volumineuses et gourmandes en mémoire pour utiliser n'importe quelle taille de page prise en charge par le matériel pour configurer des piles, des structures de données de segment ou une mémoire utilisateur /dev/zero avec la commande mmap(). L'utilisation de tailles de page plus grandes devrait améliorer de façon significative les performances des programmes qui requièrent de gros volumes de mémoire. Pour de plus amples informations, consultez les pages du manuel pagesize( 1), mpss.so.1( 1), ppgsz( 1), memcntl( 2), mmap( 2) et getpagesizes( 3C). |
Amélioration de la bibliothèque multithreading Solaris 9 intègre une bibliothèque multithreading plus rapide et optimisée, précédemment disponible dans Solaris en tant qu'alternative libthread. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Multithreaded Programming Guide et à la page threads (3THR) du manuel. |
Perl Version 5.6.1 Une nouvelle version du langage Perl (Practical Extraction and Report Language) est disponible par défaut dans Solaris 9. La nouvelle version par défaut de Perl est la version 5.6.1. Solaris 9 intègre également une version précédente de Perl (version 5.005_03), précédemment incluse dans Solaris 8. Pour de plus amples informations, consultez la page perl(1) du manuel. |
Format diff uniformisé Les commandes diff et sccs-sccsdiff ont été mises à jour pour inclure la prise en charge du format diff uniformisé de style GNU, dans lequel les lignes de contexte sont imprimées une seule fois dans la liste des différences. Pour de plus amples informations sur ces commandes, consultez les pages diff(1) et sccs-sccsdiff (1) du manuel. |
Structure Sysevent La structure sysevent permet de notifier aux applications qui doivent en être informées divers événements système survenus au niveau de l'utilisateur et du noyau. Il peut s'agir de modifications d'état, d'erreurs ou de pannes logicielles ou matérielles. Composants de la structure sysevent :
Le démon syseventd (niveau utilisateur) accepte la visualisation de buffers d'événements système à partir du noyau. Une fois que syseventd a autorisé la visualisation d'un buffer d'événements, le démon tente de le propager à tous les abonnés concernés par l'événement final. La commande syseventadm permet de configurer des spécifications d'événements utilisées par la suite pour appeler des commandes, des applications ou des scripts en réponse à un événement système. Pour de plus amples informations sur le noyau sysevent et les API de bibliothèque, consultez les pages syseventadm(1M), syseventconfd(1M) et syseventd (1M) du manuel. Reportez-vous à ddi_log_sysevent(9F) pour de plus amples informations sur la consignation des notifications d'événements au niveau des gestionnaires. |
PRNG (Kernel Pseudo-Random Number Generator) Disponible sur les périphériques /dev/random et /dev/urandom, Solaris Pseudo-Random Number Generator (PRNG) fournit aux ISV une interface standard, afin d'accéder aux opérations cryptographiques, aux applications scientifiques et aux outils de simulation. Le PRNG fonctionne à partir du noyau de Solaris et protège le contenu du groupe d'entropies. PRNG rassemble les données entropiques à partir des pages de mémoire du noyau et préserve en permanence un caractère aléatoire très élevé. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page random( 7D) du manuel. |
SPARC : interface d'applications vers RSM (Remote Shared Memory) sur les grappes Cette interface est très utile pour développer des applications qui étendent l'utilisation d'un environnement Sun Cluster. Avec la nouvelle API Remote Shared Memory (RSM), vous pouvez programmer vos applications de manière à réduire la durée de transmission des messages sur les interconnexions de grappe haute vitesse. De telles applications orientées grappe peuvent réduire de manière significative le temps nécessaire pour répondre aux événements dans une configuration de grappe. Sun Cluster 3.0 doit être installé. Les applications Sun Cluster existantes doivent être modifiées pour tirer profit de cette nouvelle interface. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Programming Interfaces Guide. Reportez-vous également aux pages du manuel portant sur librsm(3LIB) et à la rubrique 3 ” Extended Library Functions” (3RSM) qui contient des références à RSM. |
Version compatible GNU des fonctions API gettext() Solaris 9 propose une version compatible GNU des fonctions API gettext() tout en restant rétrocompatible avec les fonctions API gettext() de Solaris.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page gettext (3C) du manuel. |
Attributs de fichiers étendus Les systèmes de fichiers UFS, NFS et TMPFS ont été améliorés pour inclure des attributs de fichiers étendus permettant aux développeurs d'applications d'associer des attributs spécifiques à un fichier. Par exemple, le développeur d'un gestionnaire de fichiers dédié à un système de multifenêtrage peut décider de lier une icône d'affichage à un fichier. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique Amélioration des systèmes de fichiers. |
Classe de programmation FX (priorité fixe) Le programmateur FX fournit une règle de programmation des processus dont les priorités de programmation doivent être contrôlées par l'utilisateur ou l'application. Consultez la rubrique Amélioration des ressources système. |
Service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) Le service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) permet aux systèmes hôte d'obtenir des adresses IP et des informations sur la configuration du réseau à un serveur réseau au moment de leur initialisation. Avant la version Solaris 8 7/01, il était seulement possible d'enregistrer les données de configuration DHCP dans des fichiers texte ou sur un système NIS+. Dans la version actuelle, l'accès aux données du service DHCP de Solaris a été revu pour utiliser une structure modulaire. Le service DHCP fournit une API qui vous permet d'écrire des objets partagés prenant en charge n'importe quel moyen de stockage disponible pour stocker les données DHCP. Le Solaris DHCP Service Developer's Guide présente la structure d'accès aux données utilisées par les services DHCP de Solaris, des instructions générales à l'attention des développeurs et une liste des fonctions API que vous pouvez utiliser pour écrire un module qui prend en charge un nouveau mode de stockage de données. Pour de plus amples informations, consultez le Solaris DHCP Service Developer's Guide. |
Solaris "Web Start Wizards" SDK 3.0.1 Solaris Web Start Wizards simplifie l'installation, la configuration et l'administration des applications Solaris native, Java et non-Java. Sous Solaris Web Start Wizards, les développeurs peuvent réunir les versions Solaris et Microsoft Windows de leurs applications dans le même kit. L'assistant d'installation gère les spécificités des plates-formes. Web Start Wizards SDK 3.0.1 est désormais inclus dans Solaris 9 et peut être installé à l'aide du programme d'installation Solaris Web Start. |
Débogueur modulaire (mdb) mdb est un utilitaire extensible de modification et de débogage de bas niveau du système d'exploitation opérationnel, des vidages mémoire sur incident du système d'exploitation, des processus utilisateur, des vidages d'image mémoire des processus utilisateur et des fichiers objets. Sous Solaris 9, mdb fournit un nouveau support de débogage symbolique du noyau de Solaris, de nouvelles commandes de débogage du noyau, de nouvelles fonctions de contrôle et de vérification des processus utilisateur en cours d'exécution et la possibilité de contrôler les fichiers et les périphériques de disque brut. Les pages Solaris Modular Debugger Guide et mdb(1) du manuel fournissent de plus amples informations. |
Améliorations audio De nouveaux répertoires audio ont été ajoutés à l'environnement d'exploitation Solaris 9. /usr/include/audio est un nouveau répertoire réservé aux fichiers d'en-tête audio des applications. Le format de fichier audio possède un nouveau fichier d'en-tête, /usr/include/audio/au.h, et une page du manuel, au(4). /usr/share/audio est un nouveau réceptacle de dépôt de divers fichiers audio. Les fichiers audio du répertoire /usr/demo/SOUND/sounds y ont été transférés. Un lien symbolique a été créé entre /usr/demo/SOUNDS/sounds et /usr/share/audio/samples/au de sorte que les applications et les scripts en cours s'exécutent sans dysfonctionnement. De nombreuses corrections ont été apportées aux bogues des modules audio résidents afin d'en améliorer la fiabilité. Pour de plus amples informations, consultez le System Administration Guide: Basic Administration . |
Appel système vectorisé :sendfilev() L'appel système vectorisé sendfilev() permet d'obtenir de meilleures performances en matière d'envoi de données à partir de fichiers ou de caches d'applications. Par exemple, en matière de performances Web, un serveur Web peut construire une réponse HTTP dans un même appel système ; cette réponse comprend un en-tête, des données, un bloc de fin et des inclusions côté serveur. Cette fonction confère à Solaris Network Cache and Accelerator (NCA) des performances optimales, car l'appel système sendfilev() permet, en réponse, le renvoi de nombreux blocs de données issus de divers fichiers. Pour de plus amples informations, consultez les pages sendfilev (3EXT) et sendfile(3EXT) du manuel. |
Vérification de la conformité avec l'utilitaire appcert L'utilitaire appcert permet de vérifier la conformité d'un fichier objet à Solaris ABI. La conformité à Solaris ABI augmente sensiblement les probabilités qu'une application soit compatible avec les futures versions du logiciel Solaris. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Using appcert" du Programming Interfaces Guide. |
GSS-API (Generic Security Services Application Programming Interface) L'interface GSS-API (Generic Security Services Application Programming Interface) est une plate-forme de sécurité permettant aux applications de protéger les données qu'elles transmettent. Reportez-vous à la rubrique Amélioration de la sécurité. |
Description des fonctions |
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Solaris WBEM Services 2.5 Solaris WBEM Services 2.5 est une implémentation de la gestion de réseau basée sur le Web (WBEM) de Sun Microsystems. WBEM regroupe des technologies Internet et de gestion dans le but d'uniformiser les environnements informatiques d'entreprise. Développé par DMTF (Distributed Management Task Force), WBEM permet aux entreprises de fournir un ensemble intégré d'outils de gestion basés sur des standards prenant en charge et promouvant les technologies WWW. La version Solaris WBEM Services de Solaris 9 a été mise à jour. Il s'agit de la version 2.5. Pour de plus amples informations sur WBEM, les développeurs peuvent se reporter au Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Ajout d'une nouvelle API de groupage WBEM L'API client de la gestion de réseau Java basée sur le Web prend désormais en charge le groupage par un client de plusieurs opérations CIM (Common Interface Model) sous une même "requête/réponse". Le Gestionnaire d'objets CIM accepte et gère désormais ces requêtes groupées. Cette fonction est décrite dans la Distributed Management Task Force (DMTF) Specification for CIM Operations Over HTTP. Par conséquent, le nombre d'appels distants que doit passer le client est moindre. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Amélioration de WBEM CIM WorkShop CIM WorkShop fournit une interface graphique utilisateur dédiée à l'outil de développement WBEM au moyen de laquelle les développeurs de tests, de systèmes et d'applications réseau peuvent visualiser et créer des classes et des instances WBEM. CIM WorkShop permet de :
Améliorations et nouvelles fonctions disponibles dans CIM Workshop :
Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Ajout de la prise en charge des événements d'indication de processus WBEM (extrinsèque) Les services d'événements WBEM permettent à présent aux applications client de recevoir des indications de façon asynchrone lorsque les conditions d'intérêt sont remplies. Cependant, les seules indications prises en charge appartiennent aux indications du cycle de vie de la classe relatives aux informations sur la modification, la création et la suppression d'une instance. Bien que cette classe d'indications soit vaste et très flexible, la surveillance peut impliquer la nécessité d'éditer des indications n'entrant pas dans cette catégorie. À la vue de cette exigence, DMTF a introduit la hiérarchie d'indication de processus comme une extension à la hiérarchie d'indication actuelle. Les indications de processus des services WBEM gèrent désormais cette hiérarchie étendue. Ces indications sont une implémentation de Sun Microsystems de la portion d'indication de processus d'un modèle d'événement. La classe d'indication de processus correspond à la superclasse de toutes les indications éditées par la surveillance, qui comprend également les indications de cycles. Le processus d'abonnement aux indications de processus est identique au processus d'abonnement aux indications de cycle de vie. Pour de plus amples informations, consultez le Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Amélioration de la commande WBEM mofcomp Le compilateur MOF (Managed Object Format - mofcomp) permet désormais d'indiquer un espace de noms sur la ligne de commande. Si ce dernier n'existe pas, il est tout simplement créé. En outre, le compilateur MOF génère désormais des fichiers source de classe et une interface Java. Cette fonction vous permet d'utiliser les interfaces Java standard au lieu des interfaces API d'éléments et de modèles d'objet CIM. Une interface et un fichier de classe sont générés par CIMClass. L'interface est générée pour vous permettre de créer différentes implémentations tout en préservant l'interopérabilité. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Ajout de nouvelles démos au Java WBEM SDK Le Java WBEM Software Developer Kit (SDK) comprend désormais un nouvel exemple d'applet Java et des démos de programme. Ceux-ci sont disponibles sous /usr/demo/wbem. Les démos de programme Java WBEM SDK vous apprennent à utiliser les événements, les requêtes et la fonction de groupage. Vous pouvez également vous appuyer sur ces démos pour développer vos propres programmes. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Solaris WBEM SDK Solaris WBEM SDK intègre des API utilisées par les développeurs pour créer des applications. Ces dernières, en s'appuyant sur la gestion de réseau basée sur le Web, peuvent accéder aux données et gérer les ressources de l'environnement d'exploitation Solaris. Solaris WBEM SDK intègre également CIM WorkShop, une application Java que les développeurs utilisent pour créer des applications WBEM et afficher les démos WBEM client et fournisseur incluses dans le logiciel. Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Nouveaux Solaris Providers Les nouveaux Solaris Providers permettent aux développeurs de créer des logiciels qui contiennent et définissent des informations relatives aux périphériques gérés dans un environnement CIM (Common Information Model). Un Solaris Provider fournit au Gestionnaire d'objets CIM des instances de ressources gérées sous l'environnement d'exploitation Solaris. Cinq nouveaux Solaris Providers sont disponibles sous Solaris 9 :
Pour de plus amples informations, reportez-vous au Solaris WBEM SDK Developer's Guide. |
Description des fonctions |
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FBPM (Frame Buffer Power Management) Certains périphériques (quelques lecteurs de bandes et mémoires d'écran notamment) peuvent ne plus être alimentés, même pendant un cycle d'alimentation, lorsque leur gestionnaire est déconnecté. La nouvelle interface, ddi_removing_power, vérifie cette éventualité dans le cadre de la mise hors tension de l'ordinateur au moyen de la fonction Interrompre. Il est possible de configurer la nouvelle propriété no-involuntary-power-cycles pour s'assurer que le périphérique n'est pas arrêté involontairement. Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages ddi_removing_power(9F) et no-involuntary-power-cycles(9P) du manuel. |
SPARC : gestionnaire de trafic Sun StorEdge Le gestionnaire de trafic Sun StorEdge prend en charge les chemins d'accès multiples pour les périphériques d'E/S, tels que les périphériques de stockage accessibles via Fibre Channel. Cette fonction équilibre la charge de travail à travers plusieurs périphériques et augmente la fiabilité en redirigeant les requêtes reçues d'une carte d'interface ou d'un périphérique de stockage défectueux vers une carte ou un périphérique opérationnel. |
SPARC : atelier d'injection d'erreurs des gestionnaires L'atelier d'injection d'erreurs des gestionnaires est un outil de développement des gestionnaires de périphériques Solaris. L'atelier injecte une large gamme de défauts matériels simulés pendant les accès du gestionnaire au matériel. Il teste ainsi l'incidence de l'état de dysfonctionnement sur un gestionnaire de périphériques SPARC. Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages th_define(1M) et th_manage( 1M) du manuel. |
Module GLD (Generic LAN Driver) Les développeurs de gestionnaires peuvent utiliser le GLD (Generic LAN driver) pour mettre en oeuvre la plupart des STREAMS et la fonctionnalité DLPI (Data Link Provider Interface) d'un gestionnaire de réseau Solaris. Avant la révision 10/00 de Solaris 8, le module GLD n'était disponible que pour les gestionnaires de réseau de Solaris Edition pour plate-forme Intel. Ce module est désormais disponible dans les gestionnaires de réseau de Solaris Edition pour plate-forme SPARC. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Drivers for Network Devices" du Writing Device Drivers. |
Description des fonctions |
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JavaHelp v. 1.1.2 JavaHelpTM v. 1.1.2 est une aide indépendante de toute plate-forme, extensible et complète qui permet aux développeurs et créateurs d'intégrer une aide en ligne aux applets, composants, applications, systèmes d'exploitation et périphériques. Pour de plus amples informations, consultez le site Web suivant : |
Java 2 SDK, Standard Edition v. 1.4.0 Java 2 SDK Standard Edition v. 1.4.0, J2SETM 1.4.0, est une version mise à niveau dédiée à Java 2 SDK, Standard Edition. Cette mise à niveau comprend de nouvelles fonctions de plate-forme ainsi que de nouveaux outils et utilitaires. Pour de plus amples informations sur ces améliorations, consultez la documentation de la plate-forme J2SE 1.4.0 sur le site Web suivant : |
Prise en charge de JSP 1.2 et Java Servlet 2.3 sur le serveur Web Apache Jakarta Tomcat 4.0.1 et le mod_jserv ont été ajoutés au serveur Web Apache qui prend désormais en charge JavaServer Pages (JSP Version 1.2) et Java Servlets Version 2.3. Les fichiers suivants sont enregistrés dans /etc/apache :
Lisez le fichier README.Solaris pour obtenir des informations sur l'activation du support Tomcat et consultez le site Web ci-après pour obtenir des informations sur la configuration : http://jakarta.apache.org/tomcat/tomcat-4.0-doc/index.html. Tomcat et le module mod-jserv (de même que l'intégralité du logiciel Apache) intègrent une architecture ouverte. Leur code source est mis à jour par un groupe externe à Sun qui cherche à préserver la compatibilité existante avec les versions précédentes. |
Description des fonctions |
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Prise en charge de l'émulateur de terminal Xterm pour les jeux de caractères multi-octets L'émulateur de terminal Xterm prend désormais en charge les jeux de caractères multi-octets. Cette fonction permet d'utiliser les fenêtres d'Xterm avec les paramètres locaux UTF-8 et d'autres paramètres locaux multi-octets. La ligne de commande et les ressources Xterm intègrent deux nouvelles options de spécification des jeux de polices X. Reportez-vous à la page du manuel Xterm pour de plus amples informations. |
Gestionnaire de l'espace de travail graphique Le Gestionnaire de l'espace de travail offre :
En outre, vous pouvez désormais afficher plus de neuf espaces de travail et la boîte de dialogue Options a été ajoutée au Gestionnaire de l'espace de travail graphique, vous offrant ainsi plusieurs options d'affichage supplémentaires. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Gestionnaire de l'espace de travail graphique" du Solaris CDE - Guide de l'utilisateur. |
Gestionnaire de l'espace de travail Le Gestionnaire de l'espace de travail fournit une interface graphique pour contrôler le comportement des espaces de travail et leur nombre. Vous pouvez ajouter et supprimer des espaces de travail en utilisant un curseur. et afficher le Gestionnaire de l'espace de travail graphique dans la Zone de commutation d'espace de travail du Tableau de bord. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la rubrique "Gestionnaire de l'espace de travail" du Solaris CDE - Guide de l'utilisateur. |
Liste des fenêtres La Liste des fenêtres répertorie les applications en cours d'exécution. Elle permet d'accéder à n'importe quelle application par simple clic de la souris, même si cette application ne se trouve pas sur l'espace de travail actuel. Cette liste permet également d'effectuer des actions sur les fenêtres d'un groupe sélectionné d'applications. Vous pouvez afficher la colonne relative aux espaces de travail si vous le souhaitez. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la rubrique "Liste des fenêtres" du Solaris CDE - Guide de l'utilisateur. |
Standards Energy Star Les standards X11R6.4 incluent désormais la gestion de l'alimentation des accélérateurs graphiques (ou FBPM, pour Frame Buffer Power Management). FBPM est une extension du système de gestion de l'alimentation des écrans (ou DPMS, pour Display Power Management System). Cette amélioration a été ajoutée pour des raisons de conformité avec le programme Energy Star du gouvernement des Etats-Unis ; elle fonctionne uniquement avec les matériels conformes Energy Star. |
Format d'impression des fichiers ne répondant pas au standard ISO-1 dtlp utilise mp avant de transmettre le résultat d'une commande à lp. Cette fonction permet d'imprimer correctement de nombreux fichiers texte standard non-ISO-1 sous CDE. Le même effet de filtrage est également appliqué pour l'impression des messages électroniques dtmail. Pour de plus amples informations, consultez la page mp(1) du manuel. |
Ajout de plusieurs fichiers à des messages Cette fonction vous permet de laisser ouverte la boîte de dialogue "Programme courrier - Pièces jointes - Ajouter" et d'ajouter ainsi deux fichiers, ou davantage, à un message. Il n'est donc plus nécessaire de sélectionner plusieurs fois l'option Ajouter fichier dans le menu Pièces jointes. Pour de plus amples informations sur le Programme courrier, reportez-vous à la rubrique "Utilisation du programme courrier" du Solaris CDE - Guide de l'utilisateur. |
Gestionnaire de support amovible Le Gestionnaire de support amovible centralise dans une même fenêtre l'accès aux périphériques amovibles. Il vous permet de formater les supports, de consulter leurs propriétés, d'afficher les structures de répertoires qu'ils contiennent et, le cas échéant, de les protéger et de les diviser en tranches. Consultez la rubrique Gestion des supports amovibles et "Utilisation du gestionnaire de support amovible" du Solaris CDE - Guide de l'utilisateur. |
Améliorations audio Des répertoires audio ont été ajoutés à l'environnement d'exploitation Solaris 9. /usr/include/audio est un nouveau répertoire réservé aux fichiers d'en-tête audio des applications. Le format de fichier audio possède un nouveau fichier d'en-tête, /usr/include/audio/au.h et une page au(4) du manuel. /usr/share/audio est un nouveau réceptacle de dépôt de divers fichiers audio. Les fichiers audio du répertoire /usr/demo/SOUND/sounds y ont été transférés. Un lien symbolique a été créé entre /usr/demo/SOUNDS/sounds et /usr/share/audio/samples/au de sorte que les applications et les scripts déjà existants s'exécutent sans dysfonctionnement. De nombreuses corrections ont été apportées aux bogues des modules audio résidents afin d'en améliorer la fiabilité. Pour de plus amples informations, consultez le System Administration Guide: Basic Administration. |
Logiciel de bureau gratuit Consultez la rubrique Gratuiciel pour de plus amples informations sur GNU grep 2.4.2, GNU tar 1.13, GNU wget 1.6 et Ncftp Client 3.0.3 dans Solaris 9.
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L'environnement d'exploitation Solaris 9 prend désormais en charge 162 environnements localisés représentant 39 langues. Ces environnements sont disponibles sur le DVD Solaris 9, sur les CD Solaris 9 et les CD de versions localisées Solaris 9. La rubrique suivante fournit des informations sur les fonctions de prise en charge des langues.
Pour de plus amples informations, consultez le International Language Environments Guide.
Description |
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Optimisation de l'interopérabilité des données L'interopérabilité des données avec les autres environnements a été améliorée dans Solaris 9 par l'ajout de nouveaux utilitaires iconv de conversion des données entre UTF-8 et les codes natifs suivants : HKSCS, GB18030, ISO 8859-11 et Hindi. Par ailleurs, la prise en charge du japonais a été étendue aux modules iconv de conversion des jeux de codes locaux japonais Solaris et des jeux de codes de mainframe japonais Fujitsu, Hitachi et NEC. Pour de plus amples informations sur la prise en charge des langues sous Solaris 9, consultez le International Language Environments Guide. |
Nouvelles polices TrueType Les jeux de codes des nouvelles polices TrueType ont un aspect standard. En outre, ces nouvelles polices prennent en charge les mêmes polices de caractères quels que soient les jeux de codes. Les polices TrueType sont identiques à toutes les langues européennes. Chaque langue asiatique possède son propre fichier de polices TrueType. Pour de plus amples informations, reportez-vous au International Language Environments Guide. |
Prise en charge étendue d'Unicode Solaris 9 offre une plus vaste prise en charge Unicode avec l'ajout de nouveaux paramètres Unicode locaux (UTF-8) pour la Thailande, l'Inde, Hong Kong, la Turquie, l'Egypte, le Brésil, la Finlande et la Belgique wallonne. Pour de plus amples informations sur la prise en charge Unicode sous Solaris 9, consultez le International Language Environments Guide. |
Amélioration des filtres d'impression et du programme mp Le programme mp accepte les fichiers texte internationaux de plusieurs environnements localisés Solaris et produit un résultat adapté à l'environnement localisé spécifié. Le programme mp prenant en charge la présentation de texte complexe (CTL), la sortie reproduit la présentation spécifique du texte, telle que la forme et le rendu bidirectionnels du texte. Suivant la configuration des polices du système de fichiers mp par systèmes de paramètres locaux, le fichier de sortie PostScript peut contenir des glyphes issues du programme résident évolutif Solaris ou des polices bitmap. Pour de plus amples informations, consultez la rubrique "Print Filter Enhancement With" du International Language Environments Guide. |
Nouveaux modules iconv Les modules iconv permettent la conversion entre les données sources encodées et Unicode. Les modules iconv suivants ont été ajoutés afin d'assurer la prise en charge de nouvelles tables de caractères :
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Amélioration de la conversion des codes Dtpad Ouvrir/Enregistrer fichier Les améliorations comprennent l'ajout d'une option "encodage" à la boîte de dialogue Ouvrir/Enregistrer fichier, qui prend en charge les modifications d'encodage des fichiers avec l'utilitaire iconv. Cette option permet aux utilisateurs d'ouvrir ou d'enregistrer des fichiers dans différents encodages, par exemple UTF-8 et UTF-16. Consultez la page iconv(3C) du manuel. |
Description |
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Prise en charge de nouveaux claviers européens et du Moyen-Orient Solaris 9 intègre désormais la prise en charge du turcQ, du turcF et de l'arabe pour les claviers Sun I/O et du turcQ, du turcF, du belge et de l'arabe pour les claviers USB Sun Ray. Pour de plus amples informations, consultez le International Language Environments Guide. |
Nouveaux environnements localisés Unicode (UTF-8) pour l'Europe et le Proche-Orient Dans Solaris 8 10/00, le russe, le polonais et deux nouveaux environnements localisés pour le catalan ont été ajoutés aux environnements localisés des langues européennes et du Proche-Orient. Dans Solaris 8 4/01, deux langues ont été ajoutées : le turc (UTF-8) et le russe (UTF-8). Dans Solaris 9, les environnements localisés UTF-8 ont été ajoutés pour la Turquie, l'Egypte, le Brésil, la Finlande et le français de Belgique. Voici les noms des environnements localisés :
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Prise en charge par défaut de la monnaie européenne Dans les environnements localisés suivants, l'unité monétaire nationale a été remplacée par le symbole de l'euro :
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Description |
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Répertoire ExtraValue |
Solaris 9 comporte un répertoire ExtraValue contenant deux sous-répertoires, CoBundled et Early Access. Le répertoire CoBundled contient des logiciels précédemment fournis séparément, comme SunScreen 3.2 et Web Start Wizards SDK 3.0.1. Le répertoire Early Access contient des logiciels d'évaluation, comme Netscape 6.2.1. Remarque : dans la version de mise à jour 9/02 de Solaris 9, Netscape 6.2.3 figure dans le répertoire CoBundled. Dans la version de mise à jour 12/02 de Solaris 9, Netscape 6.2.3 est inclus dans l'environnement d'exploitation Solaris. Les répertoires CoBundled et Early Access se trouvent dans le répertoire Solaris_9 : Solaris_9/ExtraValue/EarlyAccess et Solaris_9/ExtraValue/CoBundled. Les répertoires se trouvent sur le DVD Solaris 9 et sur le CD Solaris 2 sur 2. Pour de plus amples informations sur Web Start Wizards, consultez la rubrique Installation. |
SunScreen 3.2 SunScreen 3.2 est un pare-feu dynamique et à filtrage de paquets assurant une protection à grande vitesse de votre serveur Solaris. Voici une partie des fonctions de SunScreen 3.2 :
SunScreen 3.2 peut fonctionner en mode furtif, sans adresse IP visible. SunScreen offre aussi un mode de routage traditionnel, chaque interface protégeant les différents sous-réseaux. Sun recommande aux clients de mettre en place des pare-feu à différents endroits de l'architecture réseau, y compris sur les hôtes et les serveurs. |
Netscape 6.2.1 pour l'environnement d'exploitation Solaris Vous trouverez Netscape 6.2.1 Enterprise, le navigateur le plus personnalisable, le plus pratique et le plus connecté, dans le répertoire Early Access de Solaris 9. Par ailleurs, il sera mis à la disposition des utilisateurs de Solaris 7 et de Solaris 8. Netscape 6.2.1 est le premier logiciel Internet à intégrer, de manière homogène, la navigation, le courrier électronique et la messagerie instantanée. Netscape 6.2.1 comprend les nouvelles caractéristiques suivantes :
Remarque : dans la version de mise à jour 9/02 de Solaris 9, Netscape figure dans le répertoire CoBundled. Netscape 6.2.3 est fourni avec cette version. Dans la version de mise à jour 12/02 de Solaris 9, Netscape 6.2.3 est fourni avec l'environnement d'exploitation Solaris. De plus amples informations sont disponibles à l'adresse suivante : http://www.sun.com/solaris/netscape. |
Solaris 9 comporte un CD d'accompagnement (Companion CD) qui inclut les logiciels supplémentaires suivants :
Les logiciels fournis sur le CD d'accompagnement ont été révisés pour les versions mises à jour de Solaris 9. Pour afficher la liste des logiciels supplémentaires et télécharger des logiciels, consultez la page suivante : http://www.sun.com/software/solaris/freeware.html.
Description |
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Logiciels d'accessibilité – Destinés aux utilisateurs ayant des besoins particuliers, logiciels d'assistance Open Source comme Emacspeak, le navigateur W3 et UnWindows. |
Outils d'administration – Outils d'administration système tels que ethereal , sudo et rpm. |
Logiciels d'infrastructure Web – Logiciels de serveur (démons) destinés à l'hébergement de services Web et Internet. |
Environnement bureau et gestionnaires X Window – Logiciel fournissant l'interface graphique utilisateur nécessaire pour lancer des applications, gérer les fichiers, déplacer les icônes, etc. Plusieurs modules Window Manager sont compris, ainsi que K-Desktop Environment. |
Applications bureau – Applications graphiques bureau, comprenant des logiciels de productivité et multimédia. |
Utilitaires et outils de lignes de commande – Utilitaires et outils de lignes de commande, par exemple les modules *utils du projet GNU. |
Editeurs – Applications servant à écrire des documents texte et des programmes logiciels. |
Outils de sécurité – Outils destinés à garantir la sécurité, la surveillance et la détection sur le système et le réseau, par exemple snort, nmap et tcpdump. |
Messagerie – Applications côté client et outils pour courrier électronique, WWW, actualités et "chat". |
Langues – Compilateur gcc et plusieurs langages de programmation de haut niveau. |
Bibliothèques de programmation – Collections de bibliothèques intégrant des routines logicielles destinées aux programmeurs. |
Outils de programmation – Outils destinés aux développeurs de logiciels, par exemple autoconf, automake et cvs. |
Description |
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GNOME 2.0 Desktop pour l'environnement d'exploitation Solaris GNOME 2.0 est un bureau utilisateur avancé qui sera bientôt compris dans l'environnement d'exploitation Solaris 9. GNOME 2.0 est conçu pour s'intégrer sans fil à Internet. et regroupe des fonctions utilisateur éprouvées qui accroîtront votre productivité personnelle. Basé sur un logiciel source libre, GNOME est en passe de devenir un produit standard sur de nombreuses plates-formes UNIX. GNOME 2.0 desktop propose un grand nombre de nouvelles fonctions, parmi lesquelles nous pouvons citer :
Test de GNOME 2.0 Desktop : vous pouvez télécharger une version bêta de GNOME 2.0 Desktop à l'adresse suivante : http://www.sun.com/gnome/ . Ce freeware vous permet d'évaluer et de tester les capacités de GNOME 2.0 Desktop avant toute disponibilité générale. |