Le programme d'installation JumpStart personnalisée garantit que des modules peuvent être ajoutés ou retirés tout en faisant partie des utilitaires d'installation traditionnels de Solaris indiqués ci-dessous.
Programme d'installation JumpStart personnalisée.
Programme suninstall de Solaris.
Méthode d'installation Solaris Web Start.
Le programme d'installation JumpStart personnalisée garantit également que le module peut participer aux mises à niveau Solaris. Pour qu'un module soit conforme au programme d'installation JumpStart personnalisée, il doit également respecter les conditions de conformité d'environnement d'initialisation inactif définies dans la rubrique Exigences d'environnement d'initialisation inactif pour le programme d'installation JumpStart personnalisée et pour Solaris Live Upgrade.
Pour pouvoir utiliser correctement le programme d'installation JumpStart personnalisée, des modules doivent être ajoutés ou retirés sans que l'utilisateur ne soit invité à entrer d'informations. Pour empêcher toute interaction de l'utilisateur, créez un nouveau fichier d'administration à l'aide de la commande pkgadd -a. L'option -a définit le fichier d'administration de l'installation qui sera utilisé à la place du fichier par défaut. Si vous utilisez le fichier par défaut, le système risque de vous inviter à entrer un plus grand nombre d'informations. Vous pouvez créer un fichier d'administration indiquant à la commande pkgadd qu'elle doit ignorer ces contrôles, et installer le module sans confirmation de l'utilisateur. Pour de plus amples informations, consultez les pages admin(4) ou pkgadd(1M) du manuel.
Les exemples suivants montrent comment utiliser le fichier d'administration pkgadd.
Si aucun fichier de ce type n'existe, pkgadd emploie /var/sadm/install/admin/default. Si vous utilisez ce fichier, une intervention de l'utilisateur pourrait être requise.
# pkgadd |
Si un fichier d'administration relatif est mentionné dans la ligne de commande, pkgadd recherche le nom du fichier dans /var/sadm/install/admin et l'utilise. Dans cet exemple, le fichier d'administration relatif est appelé nocheck et pkgadd recherche /var/sadm/install/admin/nocheck.
# pkgadd -a nocheck |
Si un fichier absolu existe, pkgadd l'utilise. Dans cet exemple, pkgadd recherche le fichier d'administration nocheck dans /tmp.
# pkgadd -a /tmp/nocheck |
Vous trouverez ci-dessous un exemple de fichier d'administration d'installation requérant une intervention réduite de la part de l'utilisateur au niveau de l'utilitaire pkgadd. Excepté si le module requiert plus d'espace que celui qui est disponible sur le système, l'utilitaire pkgadd utilise ce fichier et procède à l'installation du module sans inviter l'utilisateur à entrer d'autres d'informations.
mail= instance=overwrite partial=nocheck runlevel=nocheck idepend=nocheck space=ask setuid=nocheck confiict=nocheck action=nocheck basedir=default