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Guide d'administration d'Oracle VM Server for SPARC 2.0
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Informations document

Préface

1.  Présentation du logiciel Oracle VM Server for SPARC

2.  Installation et activation du logiciel

3.  Sécurité

4.  Configuration des services et du domaine de contrôle

5.  Configuration des domaines invités

Création et démarrage d'un domaine invité

Création et démarrage d'un domaine invité

Installation du SE Oracle Solaris sur un domaine invité

Installation du SolOS; sur un domaine invité à partir d'un DVD

Installation du SE Oracle Solaris sur un domaine invité à partir d'un fichier ISO de Oracle Solaris

Réalisation d'une opération JumpStart sur un domaine invité

6.  Configuration des domaines d'E/S

7.  Utilisation des disques virtuels

8.  Utilisation des réseaux virtuels

9.  Migration des domaines

10.  Gestion des ressources

11.  Gestion des configurations

12.  Réalisation d'autres tâches d'administration

A.  Outil de conversion physique-à-virtuel Oracle VM Server for SPARC

B.  Assistant de configuration Oracle VM Server for SPARC

C.  Recherche du gestionnaire de domaines logiques

D.  Utilisation de l'interface XML avec le gestionnaire de domaines logiques

E.  Schémas XML du gestionnaire de domaines logiques

Glossaire

Index

Création et démarrage d'un domaine invité

Le domaine invité doit exécuter le système d'exploitation qui comprend la plate-forme sun4v et les périphériques virtuels présentés par l'hyperviseur. Actuellement, cela signifie que vous devez exécuter au moins le SE Oracle Solaris 10 11/06. L'exécution du SE Oracle Solaris 10 9/10 vous fournit toutes les fonctions d'Oracle VM Server for SPARC 2.0. Reportez-vous aux Notes de version Oracle VM Server for SPARC 2.0 pour obtenir les patchs pouvant être nécessaires. Une fois les services par défaut créés et les ressources réallouées à partir du domaine de contrôle, vous pouvez créer et démarrer un domaine invité.

Création et démarrage d'un domaine invité

  1. Créez un domaine logique.

    Par exemple, la commande suivante crée un domaine invité nommé ldg1.

    primary# ldm add-domain ldg1
  2. Ajoutez des CPU au domaine invité.

    Par exemple, la commande suivante ajoute huit CPU virtuels au domaine invité ldg1.

    primary# ldm add-vcpu 8 ldg1
  3. Ajoutez de la mémoire au domaine invité.

    Par exemple, la commande suivante ajoute 2 giga-octets de mémoire au domaine invité ldg1.

    primary# ldm add-memory 2G ldg1
  4. Ajoutez un périphérique de réseau virtuel au domaine invité.

    Par exemple, la commande suivante ajoute un périphérique de réseau virtuel avec ces paramètres au domaine invité ldg1.

    primary# ldm add-vnet vnet1 primary-vsw0 ldg1

    où :

    • vnet1 est un nom d'interface unique vers le domaine logique, assigné à cette instance de périphérique de réseau virtuel pour référence sur les sous-commandes ultérieures set-vnet ou remove-vnet.

    • primary-vsw0 est le nom du service réseau existant (commutateur virtuel) auquel se connecter.


    Remarque - Les étapes 5 et 6 sont des instructions simplifiées pour ajouter un périphérique de serveur de disque virtuel (vdsdev) au domaine principal et un disque virtuel (vdisk) au domaine invité. Pour en savoir plus sur l'utilisation des volumes et des systèmes de fichiers ZFS en tant que disques virtuels, reportez-vous aux sections Exportation d'un volume ZFS en tant que disque à segment unique et Utilisation de ZFS avec les disques virtuels.


  5. Indiquez le périphérique que le serveur de disque virtuel doit exporter en tant que disque virtuel sur le domaine invité.

    Vous pouvez exporter un disque physique, un segment de disque ou un fichier en tant que périphérique en mode bloc. Les exemples suivants présentent un disque physique et un fichier.

    • Exemple de disque physique. Le premier exemple ajoute un disque physique avec ces paramètres.

      primary# ldm add-vdsdev /dev/dsk/c2t1d0s2 vol1@primary-vds0

      où :

      • /dev/dsk/c2td0s2 est le nom du chemin du périphérique physique réel. Lors de l'ajout d'un périphérique, le nom de chemin doit être associé au nom du périphérique.

      • vol1 est un nom unique que vous définissez pour le périphérique ajouté au serveur de disque virtuel. Le nom de volume doit être unique pour cette instance de serveur de disque virtuel, car ce nom est exporté par le serveur de disque virtuel sur les clients pour l'ajout. Lors de l'ajout d'un périphérique, le nom de volume doit être associé au nom du chemin du périphérique réel.

      • primary-vds0 est le nom du serveur de disque virtuel auquel ajouter ce périphérique.

    • Exemple de fichier. Le second exemple est l'exportation d'un fichier en tant que périphérique en mode bloc.

      primary# ldm add-vdsdev backend vol1@primary-vds0

      où :

      • backend est le nom du chemin du fichier réel exporté en tant que périphérique en mode bloc. Lors de l'ajout d'un périphérique, le moteur de traitement doit être associé au nom du périphérique.

      • vol1 est un nom unique que vous définissez pour le périphérique ajouté au serveur de disque virtuel. Le nom de volume doit être unique pour cette instance de serveur de disque virtuel, car ce nom est exporté par le serveur de disque virtuel sur les clients pour l'ajout. Lors de l'ajout d'un périphérique, le nom de volume doit être associé au nom du chemin du périphérique réel.

      • primary-vds0 est le nom du serveur de disque virtuel auquel ajouter ce périphérique.

  6. Ajoutez un disque virtuel au domaine invité.

    L'exemple suivant ajout un disque virtuel au domaine invité ldg1.

    primary# ldm add-vdisk vdisk1 vol1@primary-vds0 ldg1

    où :

    • vdisk1 est le nom du disque virtuel.

    • vol1 est le nom du volume existant auquel se connecter.

    • primary-vds0 est le nom du serveur de disque virtuel existant auquel se connecter.


    Remarque - Les disques virtuels sont des blocs génériques associés à différents types de périphériques physiques, volumes ou fichiers. Un disque virtuel n'est pas synonyme de disque SCSI et, par conséquent, exclut l'ID cible dans l'étiquette de disque. Les disques virtuels dans un domaine logique ont le format suivant : cNdNsN, où cNest le contrôleur virtuel, dN est le numéro du disque virtuel et sN est le segment.


  7. Définissez les variables auto-boot? et boot-device pour le domaine invité.

    Le premier exemple de commande définit auto-boot? sur true pour le domaine invité ldg1.

    primary# ldm set-var auto-boot\?=true ldg1

    Le second exemple de commande définit boot-device sur vdisk pour le domaine invité ldg1.

    primary# ldm set-var boot-device=vdisk1 ldg1
  8. Liez les ressources au domaine invité ldg1, puis répertoriez le domaine pour vérifier qu'il est associé.
    primary# ldm bind-domain ldg1
    primary# ldm list-domain ldg1
    NAME          STATE    FLAGS  CONS   VCPU MEMORY   UTIL  UPTIME
    ldg1          bound    -----  5000   8    2G
  9. Pour trouver le port de la console du domaine invité, vous pouvez consulter la sortie de la sous-commande précédente list-domain.

    Vous pouvez voir sous le titre CONS que le domaine logique invité 1 (ldg1) a sa sortie de console associée au port 5000.

  10. Connectez-vous à la console d'un domaine invité à partir d'un autre terminal en vous connectant au domaine de contrôle et en vous connectant directement au port de la console sur l'hôte local.
    $ ssh hostname.domain-name
    $ telnet localhost 5000
  11. Démarrez le domaine invité ldg1.
    primary# ldm start-domain ldg1