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Notes de version d'Oracle VM Server for SPARC 2.1 Oracle VM Server for SPARC (Français) |
1. Notes de version d'Oracle VM Server for SPARC 2.1
Plates-formes prises en charge
Oracle Solaris OS requis et recommandé
Logiciels requis pour activer les fonctionnalités d'Oracle VM Server for SPARC 2.1.
Patches de microprogramme système requis et recommandés
Version logicielle minimale requise
Configuration matérielle et logicielle requise pour les E/S directes
Conditions préalables à la migration de domaine en direct
Emplacement du logiciel Oracle VM Server for SPARC 2.1
Emplacement de la documentation
Logiciels compatibles avec le Logical Domains Manager
Logiciels de contrôleur système utilisés avec le logiciel Logical Domains
Assignation de ressources physiques à des domaines
Gestion des ressources physiques sur le domaine de contrôle
Restrictions de gestion des ressources physiques sur les domaines
Mise à niveau du logiciel Oracle VM Server for SPARC 2.1
Le mode évitement MMU E/S n'est plus nécessaire
Les termes Processeur de service et Contrôleur système sont utilisés de manière interchangeable
Canaux de domaines logiques et Logical Domains
Initialisation d'un grand nombre de domaines
Arrêt et mise sous tension progressive d'un système Logical Domains
Taille de la mémoire requise différente de la mémoire allouée
Persistance des variables Logical Domains
Sun SNMP Management Agent d'Oracle ne prend pas en charge plusieurs domaines
Fault Management (Gestion des pannes)
ldmp2v convert : des messages d'avertissement VxVM durant une initialisation avec cette commande
Suppression de l'outil Assistant de configuration graphique
Option de mise à niveau absente lors de l'utilisation de ldmp2v prepare -R
ldmp2v : la méthode d'archivage ufsdump n'est plus utilisée avec cette commande
Restrictions de la migration de domaine
Restrictions de version pour la migration
Restrictions de la CPU pour la migration
Problèmes liés à la MIB Oracle VM Server for SPARC
Valeur de propriété ldomCryptoRpReserved incorrecte
La commande snmptable ne fonctionne pas avec l'option Version 2 ou Version 3
Bogues liés au logiciel Oracle VM Server for SPARC 2.1
Les noyaux nommés peuvent désactiver toutes les CPU en mode de liaison
Un domaine principal à noyau partiel pour permettre des transitions DR à noyau complet
Prise en charge de ldmconfig uniquement sur les systèmes Oracle Solaris 10
MIB Oracle VM Server for SPARC est pris en charge uniquement sur les systèmes Oracle Solaris 10.
Suppression d'un grand nombre de CPU du domaine invité
Le mode de threading de la CPU n'est pas restauré après l'annulation de la migration d'un domaine.
Opération d'arrêt d'un domaine à mémoire volumineuse très longue en mode élastique
install-ldm se bloque lors de son exécution avec un chemin absolu à partir d'un autre répertoire.
La validation de disque virtuel échoue pour un disque physique sans tranche 2
Lorsque la situation incoming_migration_enabled=false se présente, les migrations sortantes échouent
Une configuration SP incorrecte est utilisée comme configuration par défaut
La commande ldmd ne supprime pas les noyaux d'un domaine ayant des noyaux partiels
Un interblocage de noyau provoque le blocage de la machine pendant une migration
Échec de délai d'attente de CPU virtuelles lors de la reconfiguration dynamique
Suppression d'un grand nombre de CPU du domaine de contrôle
SPARC T3 : Oracle VM Server for SPARC se bloque lors de l'exécution d'opérations de mémoire
SPARC T3-1 : Détection et gestion des disques accessibles via plusieurs voies d'E/S directes
ldmd signale à tort une utilisation à 100 % de la CPU sur un domaine
Les domaines invités ne peuvent pas s'initialiser à partir d'un périphérique DVD exporté
Impossible de supprimer des unités cryptographiques du domaine principal
Une adresse MAC en cours d'utilisation peut être réaffectée
ldmconfig ne peut pas créer une configuration de domaine sur le processeur de service
La migration non coopérative de domaines Oracle Solaris peut se bloquer si cpu0 est hors ligne
La reconfiguration dynamique de la mémoire est désactivée à la suite de l'annulation d'une migration
Échec possible de la reconfiguration dynamique des valeurs MTU de périphériques réseau virtuel
La DR de la mémoire n'est pas prise en charge avec certaines configurations de mémoire physique
La suppression dynamique de toutes les unités cryptographiques d'un domaine entraîne l'arrêt de SSH
ldm : ces commandes mettent beaucoup de temps à répondre lorsque plusieurs domaines sont initialisés
Les périphériques réseau virtuels ne sont pas créés correctement sur le domaine de contrôle
Panique possible du domaine d'E/S ou du domaine invité lors d'une initialisation à partir de e1000g
Les liaisons de groupe de consoles et de port explicites ne sont pas migrées
La base de données de contraintes n'est pas synchronisée avec la configuration enregistrée
La migration n'échoue pas si un vdsdev a un moteur de traitement différent sur la cible
Impossible de se connecter à la console d'un domaine migré sauf si le service vntsd est redémarré
Le Logical Domains Manager met parfois plus de 15 minutes pour éteindre un domaine
ldc_close: (0xb) unregister failed, 11 Messages d'avertissement
Impossible de définir des clés de sécurité durant l'exécution de Logical Domains
Le comportement de la commande ldm stop-domain n'est pas toujours très clair
Blocage possible du SE invité en cas d'opérations simultanées
Il arrive que la reconfiguration dynamique ne parvienne pas à supprimer toutes les CPU demandées
Erreurs identifiées dans la documentation
Référence croisée incorrecte pour les informations de logiciels requis
Description erronée de la commande ldm stop
Nom du package Logical Domains Manager incorrect dans la procédure de mise à niveau
Le gestionnaire de domaines sélectionne automatiquement les ressources physiques à assigner à un domaine. Vous pouvez également choisir explicitement les ressources physiques à assigner à un domaine. Outre pour le domaine de contrôle, cette capacité est disponible quand le domaine exécute le SE Oracle Solaris 10 ou Oracle Solaris 11 sur toute plate-forme qui prend en charge le logiciel Oracle VM Server for SPARC 2.1. Pour le domaine de contrôle, cette capacité est uniquement disponible quand il exécute le SE Oracle Solaris 11.
Remarque - Cette capacité est uniquement disponible avec le Oracle Solaris 11 SRU 4.
Les ressources que vous assignez explicitement sont appelées ressources nommées. Les ressources qui sont assignées automatiquement sont appelées ressources anonymes.
![]() | Attention - La capacité à assigner des ressources nommées est prévue pour n'être utilisée que par des administrateurs spécialisés car elle demande une planification minutieuse. |
Vous pouvez assigner explicitement des ressources physiques pour le domaine de contrôle et les domaines invités. Comme le domaine de contrôle reste actif, il peut éventuellement être en mode de reconfiguration différée avant de procéder à des assignations de ressources physiques. Sinon, le mode de reconfiguration différée est automatiquement déclenché quand vous effectuez des assignations physiques. Reportez-vous à la section Gestion des ressources physiques sur le domaine de contrôle. Pour plus d'informations sur les restrictions de ressources physiques, reportez-vous à la section Restrictions de gestion des ressources physiques sur les domaines.
Vous pouvez assigner explicitement les ressources physiques suivantes pour le domaine de contrôle et les domaines invités :
CPU physiques. Assignez les ID principaux physiques au domaine en définissant la propriété cid. Vous pouvez définir cette propriété en exécutant les commandes suivantes :
# ldm add-core cid=core-ID[,core-ID[,...]] ldom # ldm set-core cid=core-ID[,core-ID[,...]] ldom # ldm rm-core [-f] cid=core-ID[,core-ID[,...]] ldom
Si vous spécifiez un ID principal en tant que valeur de la propriété cid, core-ID est explicitement assigné à ou supprimé du domaine.
Mémoire physique. Assignez un jeu de régions de mémoire physique à un domaine en définissant la propriété mblock. Chaque région de mémoire physique est spécifiée en tant qu'adresse de démarrage de mémoire physique et en tant que taille. Vous pouvez définir cette propriété en exécutant les commandes suivantes :
# ldm add-mem mblock=PA-start:size[,PA-start:size[,...]] ldom # ldm set-mem mblock=PA-start:size[,PA-start:size[,...]] ldom # ldm rm-mem mblock=PA-start:size[,PA-start:size[,...]] ldom
Pour assigner un bloc de mémoire ou le retirer d'un domaine, définissez la propriété mblock. Une valeur valide inclut une adresse de démarrage de mémoire physique (PA-start) et une taille de bloc de mémoire (size) séparées par deux points (:).
Remarque - Vous ne pouvez pas utiliser la reconfiguration dynamique pour déplacer les ressources de mémoire et de noyau entre des domaines en cours d'exécution quand vous définissez la propriété mblock ou cid, respectivement. Pour déplacer des ressources entre domaines, assurez-vous que les domaines sont dans un état lié ou non lié. Pour plus d'informations sur la gestion de ressources physiques sur le domaine de contrôle, reportez-vous à la section Gestion des ressources physiques sur le domaine de contrôle.
Vous pouvez utiliser la commande ldm list-constraints pour afficher les contraintes de ressources pour les domaines. La contrainte physical-bindings spécifie les types de ressource qui ont été physiquement assignés à un domaine. Quand un domaine est créé, la contrainte physical-bindings est non définie jusqu'à ce qu'une ressource physique soit assignée à ce domaine. En définissant la propriété mblock, la contrainte physical-bindings est définie sur memory. De même, en définissant la propriété cid, la contrainte physical-bindings est définie sur core. Si les propriétés cid et mblock sont définies, la contrainte physical-bindings est définie sur core,memory.
Pour modifier la contrainte physical-bindings pour un type de ressource sur le domaine de contrôle, vous devez préalablement retirer toutes les ressources de ce type en définissant le nombre de ressources sur zéro. Utilisez l'une des méthodes suivantes :
Définissez le nombre de ressources sur 0 à l'aide de la commande ldm set-core 0 ou ldm set-mem 0.
Retirez toutes les contraintes physical-bindings spécifiées pour un type de ressource particulier.
Pour retirer tous les noyaux nommés et les blocs de mémoire, exécutez les commandes ldm set-core cid= et ldm set-mem mblock=, respectivement. Pour retirer tous les noyaux anonymes et les blocs de mémoire, exécutez les commandes ldm set-core 0 et ldm set-mem 0, respectivement.
Comme le domaine de contrôle doit avoir des CPU et de la mémoire alloués, le fait de spécifier cid= ou mblock= sur le domaine de contrôle renvoie une erreur.
Supprimez chaque ressource du domaine individuellement.
Si vous utilisez la commande ldm add-mem ou la commande ldm set-mem pour assigner plusieurs blocs de mémoire, les adresses et les tailles sont vérifiées immédiatement. De plus, un domaine auquel des noyaux partiels sont assignés peut utiliser les sémantiques de noyau complet uniquement si les CPU restantes de ces noyaux sont libres et disponibles.
Comme le domaine de contrôle reste toujours actif, il peut éventuellement être en mode de reconfiguration différée avant de procéder à des assignations de ressources physiques. Quand vous assignez des ressources physiques explicitement, le domaine de contrôle est automatiquement placé en mode de reconfiguration différée et la contrainte physical-bindings est définie.
Si physical-bindings=core, l'exécution de la commande ldm set-core cid=core-ID primary ou de la commande ldm set-vcpu CPU-count primary entraîne l'effacement de la contrainte physical-bindings au redémarrage suivant. Si la contrainte physical-bindings n'est pas définie sur core, exécutez la commande ldm set-core cid=core-ID primary pour définir physical-bindings=core au redémarrage suivant.
Si physical-bindings=memory, l'exécution de la commande ldm set-mem size primary entraîne l'effacement de la contrainte physical-bindings au redémarrage suivant. Si la contrainte physical-bindings n'est pas définie sur memory, exécutez la commande ldm set-mem mblock=PA-start:size primary pour définir la contrainte physical-bindings au redémarrage suivant.
Remarque - Quand le domaine de contrôle est en mode de reconfiguration différée, vous pouvez effectuer des assignations de mémoire illimitée à l'aide des commandes ldm add-mem et ldm rm-mem sur le domaine de contrôle. Cependant, vous pouvez uniquement effectuer une assignation de noyau au domaine de contrôle à l'aide de la commande ldm set-core.
Les restrictions suivantes s'appliquent à l'assignation de ressources physiques sur des domaines :
Vous ne pouvez pas créer de liaisons de mémoire physique ou non physique ou des liaisons de noyau physique ou non physique dans le même domaine. Cependant, vous pouvez avoir des liaisons de mémoire physique ou non physique ou des liaisons de noyau physique ou non physique dans le même domaine.
Quand vous ajoutez une ressource physique à un domaine, le type de ressource correspondant devient limité en tant que liaison physique.
Les tentatives d'ajout ou de suppression de CPU individuelles dans un domaine où physical-bindings=core échoueront.
Pour les ressources non liées, l'allocation et la vérification des ressources peuvent uniquement se produire quand vous exécutez la commande ldm bind.
Quand vous supprimez de la mémoire physique d'un domaine, vous devez supprimer exactement le bloc de mémoire physique qui a été ajouté précédemment.
Les plages de mémoire physique ne doivent pas se superposer.
Vous ne pouvez pas utiliser la commande ldm add-vcpu -c ou la commande ldm set-vcpu -c pour assigner une ressource physique à un domaine.