Ce chapitre traite des problèmes d'exécution.
Certains des problèmes et bogues répertoriés dans ce chapitre ont été corrigés dans les versions suivantes de Solaris10. Si vous avez effectué une mise à niveau de votre logiciel Solaris, certains problèmes et bogues évoqués dans ce chapitre ne sont peut-être plus d'actualité. Pour savoir quels bogues et problèmes ne s'appliquent plus à votre logiciel Solaris10 spécifique, reportez-vous à l'Annexe A, Tableau des bogues intégrés au système d'exploitation Solaris 10.
Les bogues suivants dans Solaris 10 s'appliquent à Common Desktop Environment (CDE).
Les chipsets graphiques intégrés Intel i810 et i815 ne sont pas pris en charge par le serveur Xorg X Window System. Ils sont en revanche pris en charge par le serveur Xsun. Pour configurer le serveur Xsun de sorte qu'il utilise ces chipsets, procédez comme suit :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Exécutez le programme permettant de configurer le clavier, l'affichage et la souris.
# kdmconfig |
Sur l'écran Introduction and X Server Selection, sélectionnez le serveur Xsun.
Sur l'écran View and Edit Window System Configuration, Intel i810/i815 (4Mo) doit être automatiquement sélectionné et affiché en tant que périphérique vidéo.
Si les chipsets Intel i810 et i815 ne sont pas automatiquement sélectionnés, sélectionnez l'option Change Video Device/Monitor.
Sur l'écran Video Device Selection, sélectionnez l'option Intel i810/i815 (4Mo).
Sélectionnez d'autres options de kdmconfig.
Si le système x86 utilise Xorg en tant que serveur X par défaut, la police arabe (iso7759-6) n'apparaît pas dans l'environnement linguistique ar. Cette erreur ne se produit pas si vous utilisez XSun à la place de XOrg.
Solution : Procédez comme indiqué ci-dessous.
En qualité de superutilisateur, modifiez /usr/dt/config/Xservers.
Annulez le commentaire ou ajoutez la ligne suivante :
:0 Local local_uid@console root /usr/openwin/bin/Xsun :0 -nobanner -defdepth 24 |
Commentez la ligne suivante :
:0 Local local_uid@console root /usr/X11/bin/Xorg :0 |
Redémarrez le système.
Vous pouvez également vous connecter à des environnements linguistiques ar_EG.UTF-8 ou à d'autres environnements UTF-8.
Certaines combinaisons de touches de composition peuvent ne pas fonctionner dans des environnements linguistiques n'ayant pas recours aux méthodes d'entrée par clavier, comme par exemple l'environnement linguistique C. L'erreur se produit si l'une des configurations système suivantes est utilisée dans ces environnements linguistiques :
Système utilisant le serveur X Xorg sur Solaris10 pour x86
Système utilisant un serveur X Xsun avec l'extension X Keyboard (XKB) activée sur Solaris10 pour SPARC et x86
Les combinaisons de touches de composition de ces systèmes échouent surtout si la touche Maj est nécessaire pour taper un des caractères.
Solution : Sélectionnez l'une des options suivantes :
Utilisez une combinaison de touches de composition qui ne comporte pas la touche Maj.
Pour plus d'informations, consultez Annexe C, Compose Key Sequences du Solaris Common Desktop Environment: User’s Guide. L'annexe fournit une liste des combinaisons disponibles, certaines d'entre elles comportant des combinaisons qui n'ont pas recours à la touche Maj.
Connectez-vous par le biais d'un environnement linguistique qui a recours à la méthode d'entrée au clavier, comme c'est le cas avec n'importe quel environnement UTF-8 disponible.
Si vous avez recours à la méthode d'installation JumpStart, le processus peut s'appuyer sur un fichier de configuration d'identification système (sysidcfg). Ce fichier sert à générer un fichier de configuration Xsun spécifique à un système. La partie dédiée à la configuration Xsun d'un fichier sysidcfg est créée par la commande kdmconfig -d nomdufichier. Cependant, sur les systèmes qui utilisent le serveur Xorg par défaut, la commande ne crée pas de fichier comportant des informations de configuration Xorg. Par conséquent, vous ne pouvez pas avoir recours à la méthode JumpStart sur ces systèmes sans mesures de préparation préalables.
Solution : avant de mettre en œuvre la méthode d'installation JumpStart sur un système qui a recours au serveur Xorg, effectuez la procédure suivante.
Préparez un fichier xorg.conf spécifique à utiliser sur le système. Stockez ce fichier dans le répertoire JumpStart du serveur JumpStart.
Pour des instructions sur la création d'un fichier xorg.conf et sur l'accès aux informations Xorg, reportez-vous à la rubrique x86 : Le programme qui configure le clavier, l'affichage et la souris ne fonctionne pas avec le serveur X (6178669).
Créez un script de fin qui copie le fichier xorg.conf dans le répertoire /etc/X11 du système que vous voulez installer. Le script peut, par exemple, inclure la ligne suivante :
cp ${SI_CONFIG_DIR}/xorg.conf /etc/X11/Xorg.conf |
Dans le fichier de règles JumpStart personnalisé, ajoutez le script de fin dans l'entrée des règles pour les systèmes du type de celui que vous voulez installer.
Effectuez l'installation JumpStart personnalisée.
Pour obtenir des instructions concernant une installation JumpStart personnalisée, consultez le manuel Guide d’installation Solaris 10 : Installation JumpStart personnalisée et installation avancée. Le chapitre 4 contient des informations sur le fichier des règles JumpStart et le chapitre 5 une section sur les scripts de fin.
Les instructions fournies dans le programme kdmconfig pour configurer le serveur Xorg sont incomplètes. Le programme répertorie les instructions de base permettant de générer un fichier xorg.conf. Cependant, des informations essentielles manquent. Par exemple, des options du fichier xorg.conf sont remplacées par d'autres à plusieurs endroits :
les options de ligne de commande ;
les informations détectées par le serveur Xorg lorsque le serveur démarre ;
les scripts de démarrage pour le serveur Xorg qui peuvent comporter la transmission d'arguments de remplacement.
Pour plus d'informations sur la configuration de serveurs Xorg, reportez-vous aux sources suivantes :
page man Xorg(1x) dans le répertoire /usr/X11/man ;
pages man pour les systèmes de bureau qui utilisent le serveur X, par exemple :
dtlogin(1X) dans le répertoire /usr/dt/man ;
gdm(1) dans le répertoire /usr/share/man directory.
Si ces répertoires ne sont pas dans le chemin man, vous avez deux possibilités :
ajoutez le répertoire à la configuration de la variable d'environnement MANPATH ou
utilisez l'option de répertoire -M de la commande man.
Certains scripts qui démarrent le serveur Xorg ont recours aux propriétés de référentiel smf(5). Le référentiel FMRI svc:/applications/x11/x11-server sert surtout au stockage des propriétés du serveur X. Les propriétés suivantes s'appliquent au serveur Xorg :
options/xserver ;
options/default_depth ;
options/server_args.
En devenant superutilisateur vous pouvez définir et récupérer ces propriétés à l'aide de la commande svccfg comme le montre l'exemple suivant :
# svccfg svc:> select application/x11/x11-server svc:/application/x11/x11-server> listprop options/default_depth options/default_depth integer 24 svc:/application/x11/x11-server> setprop options/default_depth = 8 svc:/application/x11/x11-server> listprop options/default_depth options/default_depth integer 8 svc:/application/x11/x11-server> end # |
Dans la version Solaris10 actuelle, Xorg remplace Xsun en tant que serveur X par défaut. Le programme qui configure le clavier, l'affichage et la souris ( kdmconfig ) s'applique uniquement au serveur Xsun et n'a aucune incidence sur la configuration du serveur Xorg. Vous ne pouvez donc pas utiliser la commande kdmconfig pour configurer le serveur Xorg. Alors que kdmconfig vous permet de sélectionner le serveur à utiliser, kdmconfig configure uniquement le serveur Xsun.
Solution : pour configurer le serveur Xorg, procédez comme suit :
Créez un fichier xorg.conf avec l'une de ces commandes :
/usr/X11/bin/Xorg -configure
/usr/X11/bin/xorgconfig
/usr/X11/bin/xorgcfg
Modifiez comme il se doit le fichier xorg.conf.
Déplacez le fichier xorg.conf dans /etc/X11/xorg.conf .
Pour plus de détails concernant la configuration du serveur Xorg, consultez les pages man Xorg dans /usr/X11/man. Ce répertoire ne se trouve pas dans le chemin de la page man par défaut. Pour afficher ces pages man, vous pouvez au choix :
ajouter le chemin aux paramètres de la variable d'environnement MANPATH ;
utiliser la syntaxe man -M /usr/X11/man.
Les options de ligne de commande Xorg peuvent remplacer les paramètres xorg.conf. Reportez-vous aux pages man pour plus d'informations sur les options à utiliser avec Xorg.
Les environnements linguistiques UTF-8 suivants sont absents lorsque le serveur de connexion démarre et que le service de connexion à Common Desktop Environment (CDE) est lancé :
ar_SA.UTF-8 ;
el_GR.UTF-8 ;
nl_BE.UTF-8 ;
nl_NL.UTF-8 ;
pt_PT.UTF-8 ;
Solution : Pour utiliser ces environnements linguistiques, connectez-vous à un autre environnement linguistique UTF-8. Indiquez ensuite la variable LC_ALL sur la ligne de commande. Exemple :
export LC_ALL=ar_SA.UTF-8
la solution s'applique à tous les systèmes SPARC. Ces environnements linguistiques ne sont pas disponibles dans les systèmes x86.
La fonction d'exécution automatique du média amovible de l'environnement de bureau CDE a été temporairement supprimée du logiciel Solaris10.
Solution : pour utiliser la fonctionnalité d'exécution automatique d'un CD ou d'un autre volume amovible, veuillez procéder comme indiqué ci-dessous.
Exécutez le programme volstart à partir du niveau supérieur du système de fichiers du support amovible.
Suivez les instructions fournies avec le CD pour l'accès depuis l'extérieur du CDE.
Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer, puis restaurer sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.
Solution : Supprimez manuellement la dernière entrée sur l'organiseur avant de lancer la synchronisation.
Si vous échangez des données multioctet entre un PDA et Solaris CDE, vous risquez d'altérer ces données dans les deux environnements.
Solution : Sauvegardez vos données sur votre ordinateur personnel à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde PDA avant d'exécuter l'application Solaris PDASync. Si vous échangez accidentellement des données multioctet et qu'elles sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.
Les bogues suivants ont été identifiés dans la version Solaris10.
Si vous supprimez le package SUNWsdocs puis essayez de supprimer les autres packages de documentation, la suppression échoue. Ce problème survient parce que le package SUNWsdocs est installé avec n'importe quelle collection et constitue le point d'entrée du navigateur.
Solution : si vous avez supprimé le module SUNWsdocs, réinstallez-le à partir du support de documentation, puis supprimez les autres modules de documentation.
Sur les systèmes fonctionnant avec la version Solaris10 actuelle, les documents PDF sur le CD de documentation du programme ne sont pas accessibles dans les environnements linguistiques européens suivants :
de (allemand) ;
es (espagnol) ;
fr (français)
it (italien) ;
sv (suédois).
Solution : Choisissez l' un des palliatifs suivants.
Sur les plates-formes x86, définissez la variable d'environnement LC_ALL avec la valeur C acroread. Par exemple, dans le C Shell, entrez la commande suivante dans la fenêtre de terminal :
% env LC_ALL=C acroread |
Sur les systèmes SPARC, réalisez une mise à niveau vers Adobe Acrobat Reader 5.0 ou version ultérieure.
Les bogues de systèmes de fichiers suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Après avoir mis à niveau un serveur NFSv4 à partir de Solaris Express 11/04 ou de versions antérieures de Solaris10, des erreurs EACCES peuvent se produire sur les programmes. En outre, des répertoires sont anormalement vides.
Pour ces erreurs, démontez et remontez les systèmes de fichiers clients. Si le démontage échoue, il peut être nécessaire de démonter le système de fichiers concerné à l'aide de la commande umount -f. Vous pouvez également réinitialiser le client.
Les fonctions de la liste de contrôle d'accès NFSv4 (ACL, Access Control List) peuvent ne pas fonctionner correctement si des versions antérieures de Solaris10 sont installées sur les clients et les serveurs du réseau. Les fonctions ACL concernées et les utilitaires de ligne de commande qui ont recours à ces fonctions sont :
acl() ;
facl() ;
getfacl ;
setfacl.
Pour plus d'informations concernant ces fonctions et ces utilitaires, reportez-vous à leurs pages man respectives.
Des erreurs peuvent par exemple être observées sur un réseau avec la configuration suivante :
un client fonctionnant avec le logiciel Solaris10 bêta ;
un serveur fonctionnant avec le logiciel Solaris10.
Le tableau suivant indique les résultats des fonctions ACL dans des configurations client-serveur avec différentes versions de Solaris10.
Opération |
Système d'exploitation client S10 |
Système d'exploitation serveur S10 |
Résultat |
---|---|---|---|
obtenir ACL |
S10 bêta |
Système d'exploitation S10 |
ACL * fabriquée |
obtenir ACL |
Système d'exploitation S10 |
S10 bêta |
fonctionne correctement |
définir ACL |
S10 bêta |
Système d'exploitation S10 |
fonctionne correctement |
définir ACL |
Système d'exploitation S10 |
S10 bêta |
Erreur : EOPNOTSUP |
Solution : pour que la fonctionnalité ACL NFSv4 fonctionne correctement, effectuez une installation complète du Solaris 10 sur le serveur et le client.
Dans la version Solaris10 actuelle, l'implémentation de l'ACL NFSv4 est désormais conforme aux spécifications RFC 3530. Cependant, des erreurs se produisent pour les clients NFSv4 qui fonctionnent avec les versions Solaris10 bêta 2 ou bêta 1. Ces clients ne peuvent pas créer de fichiers sur les serveurs NFSv4 qui fonctionnent avec la version Solaris10 actuelle. Le message d'erreur suivant apparaît :
NFS getacl failed for server_name: error 9 (RPC: Program/version mismatch) |
Solution : Aucune.
Le système ne peut pas générer le vidage de la mémoire sur une partition dont la taille est supérieure ou égale à 1 To. Si un périphérique de cette taille se trouve sur un système, la réinitialisation du système à la suite d'une panique peut entraîner ce qui suit :
le système n'enregistre pas le vidage de la mémoire ;
Le message suivant s'affiche :
0% done: 0 pages dumped, compression ratio 0.00, dump failed: error 6 |
Solution : configurez la taille du périphérique de vidage de votre système de sorte qu'elle soit inférieure à 1 To.
Si vous utilisez la commande smosservice pour ajouter des services du système d'exploitation à un système de fichiers UFS, un message indiquant que l'espace disque disponible est insuffisant s'affiche. Cette erreur est propre aux systèmes de fichiers UFS sur des disques portant l'étiquette EFI.
Solution : recourez à la solution suivante :
Appliquez l'étiquette de disque SMI VTOC.
Recréez le système de fichiers.
Réexécutez la commande smosservice.
Les problèmes et bogues liés au matériel suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Solaris 10 comporte une nouvelle structure cryptographique. Cependant, les versions 1.0 et 1.1 du logiciel et du microprogramme de la carte Sun Crypto Accelerator 4000 n'utilisent pas cette structure. Par conséquent, ces versions ne sont pas prises en charge dans Solaris 10.
La version 2.0 utilise la nouvelle structure. Cette version est disponible gratuitement pour les utilisateurs de la carte Sun Crypto Accelerator 4000 qui envisagent d'installer le Solaris 10. En raison du contrôle exercé sur l'exportation de la carte Sun Crypto Accelerator 4000, vous devez contacter les services clientèle destinés aux entreprises Sun Enterprise ou votre distributeur local pour vous procurer cette mise à niveau. Des informations supplémentaires sont disponibles sur la page Web de Sun Crypto Accelerator 4000 du site des produits de Sun.
La prise en charge de certains contrôleurs USB 2.0 a été désactivée en raison d'incompatibilités entre ces périphériques et le pilote EHCI. Le message suivant s'affiche :
Due to recently discovered incompatibilities with this USB controller, USB2.x transfer support has been disabled. This device will continue to function as a USB1.x controller. If you are interested in enabling USB2.x support please refer to the ehci(7D) man page. Please refer to www.sun.com/io for Solaris Ready products and to www.sun.com/bigadmin/hcl for additional compatible USB products. |
Les dernières informations concernant les périphériques USB sont disponibles sur le site http://www.sun.com/io_technologies/USB-Faq.html.
Cette version de Solaris prend en charge les périphériques USB 1.1 et USB 2.0. Le tableau suivant résume les périphériques USB fonctionnant sur des configurations spécifiques. Les connexions peuvent se faire directement sur l'ordinateur ou via un hub USB. Notez que les périphériques et hubs USB 1.1 sont à basse ou haute vitesse. Les périphériques et hubs USB 2.0 sont à haute vitesse. Pour plus de détails sur les ports et les vitesses de fonctionnement, reportez-vous au document System Administration Guide: Devices and File Systems.
Tableau 3–1 Périphériques USB et configurations
Périphériques USB |
Types de connexion |
---|---|
Périphériques de stockage USB 2.0 |
Directe, hub USB 1.1, hub USB 2.0 |
Périphériques USB 1.1 sauf audio |
Directe, hub USB 1.1, hub USB 2.0 |
Périphériques audio USB 1.1 |
Directe, hub USB 1.1 |
Périphériques audio USB 2.0 |
Non pris en charge |
La liste suivante décrit les limites avec certains pilotes et interfaces dans cette version de Solaris10 pour les plates-formes x86 :
Cette fonctionnalité est désactivée pour tous les types de périphériques. Dans le code DDI_SUSPEND de la fonction detach(), vous devez renvoyer DDI_FAILURE.
Cette fonctionnalité n'est pas disponible pour les périphériques USB. Ne créez pas de composants de gestion d'énergie. Écrivez le pilote de manière que les fonctions pm_raise_power() et pm_lower_power() soient appelées seulement lorsque les composants de gestion d'énergie sont créés.
La fonction de gestion d'énergie des périphériques interactifs tels que les médias amovibles est liée à la gestion d'énergie de l'écran et de sa carte graphique. Si votre écran est actif, les périphériques tels que les lecteurs de CD-ROM et de disquettes restent en mode plein régime. Ces périphériques peuvent passer en mode bas régime sur un système sans écran. Pour réalimenter en énergie le lecteur de CD ou de disquettes, tapez volcheck pour obtenir le dernier état de chaque périphérique amovible.
Vous pouvez également désactiver la gestion de l'énergie sur le système à l'aide de l'interface graphique Dtpower. Ce faisant, ces périphériques fonctionneront constamment à plein régime.
Par défaut, le programme kdmconfig spécifie Generic US-English(104-Key) comme type de clavier connecté au système. Si le clavier du système n'est pas un clavier anglais-US, vous devez dans ce cas spécifier manuellement le clavier au cours de l'installation. Sinon, l'installation continue avec une spécification de clavier par défaut ne correspondant pas au type de clavier du système.
Solution 1 : si le clavier du système n'est pas un clavier anglais-US, effectuez la procédure suivante au cours de l'installation :
Lorsque la fenêtre de configuration du système proposée pour l'installation s'affiche, appuyez sur Échap.
Les informations sur cette fenêtre, comportant le type de clavier, sont affichées pendant 30 secondes. Si vous voulez changer les paramètres de la configuration, appuyez sur Échap avant la fin de ce laps de temps. Sinon, l'installation continue avec les paramètres affichés.
Changez le type de clavier en choisissant le type correspondant au clavier de votre système.
Appuyez sur Entrée pour accepter le changement et poursuivre l'installation.
Solution 2 : si vous souhaitez modifier le type de clavier d'un système exécutant déjà Solaris 10, servez-vous du programme kdmconfig. Choisissez l'option qui s'applique au type de serveur X fonctionnant sur votre système.
Si le serveur Xsun est installé sur votre système, procédez comme suit :
Exécutez la commande kdmconfig.
À l'aide de l'option Change Keyboard, changez le type de clavier.
Enregistrez la configuration.
Si le serveur Xorg est installé sur votre système, procédez comme suit :
Exécutez la commande kdmconfig.
Sélectionnez le serveur Xsun.
À l'aide de l'option Change Keyboard, changez le type de clavier.
Enregistrez la configuration.
Exécutez de nouveau la commande kdmconfig pour activer le serveur Xorg.
Le pilote jfca pour les adaptateurs de bus hôte suivants peut provoquer une panique du système ou des échecs E/S lorsque ces HBA sont connectés à des lecteurs de bandes :
SG-PCI1FC-JF2
SG-PCI2FC-JF2
Le pilote jfca des HBA peut se trouver confronter à une situation dans laquelle certaines opérations risquant de provoquer des erreurs sont exécutées. Ces opérations sont les suivantes :
Réinitialisation de liens ;
Réinitialisation de la boucle ;
Réinitialisation de la commutation ;
Échecs de liens répétés.
Des messages d'erreur semblables à ceux des exemples suivants peuvent s'afficher :
Messages d'échec E/S
jfca: [ID 277337 kern.info] jfca4: Sequencer-detected error. Recover immediately. last message repeated 18376 times jfca: [ID 716917 kern.notice] jfca4: ExgWarning: SendVerify(1): SHOULD ABORT THE ORIG I/O PKG=30007520bd8! scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@1e,600000/SUNW,jfca@3,1/fp@0,0/st@w2100001086108 628,1 (st3): SCSI transport failed: reason 'timeout': giving up |
Message de panique du système
panic[cpu1]/thread=2a100497cc0: BAD TRAP: type=31 rp=2a1004978d0 addr=a8 mmu_fsr=0 occurred in module "jfca" due to a NULL pointer dereference |
Solution : ne connectez aucun lecteur de bandes à l'adaptateur (HBA) SG-PCI1FC-JF2 ou SG-PCI2FC-JF2.
Si vous utilisez des périphériques USB 1.x en aval d'un hub USB 2.0, une panique du système peut se produire. Le message d'erreur suivant est l'un des messages pouvant s'afficher :
BAD TRAP: type=31 rp=2a100f8d6a0 addr=38 mmu_fsr=0 occurred in module "usba" due to a NULL pointer |
Solution : n'utilisez aucune des configurations de connexion suivantes avec les périphériques USB 1.x :
les périphériques USB 1.x avec une connexion à un hub USB 2.0 connecté à un port système USB 2.0 ;
les périphériques USB 1.x connectés aux ports d'une carte PCI USB 2.0.
À la place, connectez directement les périphériques USB 1.x aux ports USB 1.1 du système. Vous pouvez également utiliser un hub USB 1.1 externe connecté à un port système USB 2.0 ou un port de carte PCI.
Pour obtenir des informations appropriées, consultez les sites suivants :
http://www.sun.com/io pour les produits Solaris Ready ;
http://www.sun.com/bigadmin/hcl pour découvrir plus de produits USB compatibles ;
http://www.sun.com/io_technologies/USB-Faq.html pour obtenir des informations récentes concernant les périphériques USB.
Le logiciel système dans le contrôleur ICH5R de certaines cartes mères ne parvient pas à prendre le contrôle du matériel EHCI à partir du BIOS. Le message d'erreur suivant apparaît :
ehci_init_ctrl: Unable to take control from BIOS. EHCI support disabled. |
Par conséquent, vous ne pouvez pas utiliser le pilote EHCI.
Pour obtenir des informations appropriées, consultez les sites suivants :
http://www.sun.com/io pour les produits Solaris Ready ;
http://www.sun.com/bigadmin/hcl pour découvrir plus de produits USB compatibles ;
http://www.sun.com/io_technologies/USB-Faq.html pour obtenir des informations récentes concernant les périphériques USB.
Solution : Aucune.
Le système peut paniquer si vous utilisez les périphériques de stockage FireWire-1394 avec le démon du volume de média amovible (vold). Les disques durs et les lecteurs de CD ou DVD sont des exemples de périphériques de stockage de ce type. Le message d'erreur pouvant s'afficher comprend l'entrée “bad mutex.”
Solution : effectuez la procédure suivante avant de connecter des périphériques de stockage FireWire–1394 au système :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Arrêtez le démon de la gestion du volume pour désactiver la gestion des médias amovibles :
# /etc/init.d/volmgt stop |
Pour plus d'informations concernant le démon, consultez la page man vold(1M).
Si vous suspendez le fonctionnement d'un périphérique USB en cours de lecture ou d'enregistrement à l'aide de la commande sdtaudiocontrol, par exemple, le pilote peut se bloquer. Vous devez alors réinitialiser le système.
Solution : ne suspendez pas les périphériques audio USB en cours de fonctionnement.
Pour obtenir des informations appropriées, consultez les sites suivants :
http://www.sun.com/io pour les produits Solaris Ready ;
http://www.sun.com/bigadmin/hcl pour découvrir plus de produits USB compatibles ;
http://www.sun.com/io_technologies/USB-Faq.html pour obtenir des informations récentes concernant les périphériques USB.
Un conflit de bus se produit si des cartes Quad Fast-Ethernet (QFE) partagent le même bus avec l'un des adaptateurs suivants :
adaptateur Sun GigaSwift ;
adaptateur Sun Dual Gigabit Ethernet et Dual SCSI/P ;
adaptateur Sun Quad Gigaswift Ethernet.
Le paramètre infinite-burst du pilote ce utilisé par ces adaptateurs est activé par défaut. Par conséquent, le délai sur le bus pour permettre aux ports QFE de le partager est insuffisant ou il est écoulé.
Solution : ne placez pas les cartes QFE sur le même bus que les adaptateurs réseau de la liste.
Si la touche Verr. num est activée alors que vous utilisez certaines applications Java, d'autres touches peuvent cesser de fonctionner. Il s'agit des touches suivantes :
Retour arrière
Supprimer
Entrer
Onglet
Zéro sur le pavé numérique
Solution : désactivez la touche Verr. num.
Une carte GigaSwift Fast ou Gigabit Ethernet dotée d'un ID de révision (rev_id ) inférieur à 32 peut provoquer une panique du système. Ce problème se produit sur les systèmes suivants fonctionnant avec le Solaris 10 :
Sun BladeTM 1500 ;
Sun Blade 2500 ;
Sun Fire V210 ;
Sun Fire V240 ;
NetraTM 240 ;
Sun Fire V440 ;
Netra 440.
Le message d'erreur suivant apparaît :
panic: pcisch-1: Fatal PCI bus error(s) |
Solution : Procédez comme indiqué ci-dessous.
Déterminez le paramètre rev_id du périphérique.
kstat ce:instance | grep rev |
Si rev_id est inférieur à 32, remplacez la carte par un modèle dont le paramètre rev_id est supérieur ou égal à 32.
La carte d'origine est toujours utilisable sur les systèmes x86 ou sur les systèmes SPARC plus anciens qui ne figurent pas dans la liste précédente.
La fonction DDI hat_getkpfnum() est obsolète. Les développeurs doivent mettre à jour les pilotes de leurs périphériques de manière qu'ils n'utilisent pas l'interface DDI de la fonction hat_getkpfnum(). Si les pilotes utilisent la fonction hat_getkpfnum,() des avertissements semblables à ceux de l'exemple suivant s'affichent :
WARNING: Module mydrv is using the obsolete hat_getkpfnum(9F) interface in a way that will not be supported in a future release of Solaris. Please contact the vendor that supplied the module for assistance, or consult the Writing Device Drivers guide, available from http://www.sun.com for migration advice. --- Callstack of bad caller: hat_getkpfnum_badcall+93 hat_getkpfnum+6e mydrv_setup_tx_ring+2d mydrv_do_attach+84 mydrv_attach+242 devi_attach+6f attach_node+62 i_ndi_config_node+82 i_ddi_attachchild+4a devi_attach_node+4b devi_attach_children+57 config_immediate_children+6e devi_config_common+77 mt_config_thread+8b |
Pour déterminer si un pilote utilise la fonction hat_getkpfnum(), consultez le code source du pilote ou examinez les symboles de celui-ci à l'aide de la fonction nm(). En vous basant sur le pilote mydrv comme exemple, tapez la syntaxe suivante :
% nm /usr/kernel/drv/mydrv | grep hat_getkpfnum |
Pour des conseils concernant la migration de pilotes à partir de hat_getkpfnum(), reportez-vous à l'Annexe B, Summary of Solaris DDI/DKI Services du Writing Device Drivers.
Certains systèmes dotés de matériel USB 2.0 peuvent s'interrompre fréquemment ou paniquer lors de l'exécution de cette version de Solaris. Ces problèmes sont associés aux périphériques USB 2.0 non basés sur le chipset NEC. Lorsque ces problèmes se produisent, le message d'erreur suivant concernant l'interface du contrôleur hôte amélioré (EHCI, Enhanced Host Controller Interface) s'affiche :
WARNING: /pci@0,0/pci8086,244e@1e/pci925,1234@2,2 (ehci1): This controller is not supported. Please refer to www.sun.com/io for Solaris Ready products and to www.sun.com/bidadmin/hcl for additional compatible USB products |
Solution : Selon la configuration matérielle de votre système, choisissez l'une des options suivantes :
Remplacez le matériel contrôleur hôte USB 2.0 par du matériel basé sur le chipset NEC, celui-ci fonctionnant bien avec le système d'exploitation Solaris.
Sur les systèmes dont le matériel contrôleur hôte USB 2.0 est intégré à la carte mère et disposant d'emplacements PCI libres, procédez comme suit :
Ajoutez une carte PCI USB 2.0 basée sur la puce NEC.
Prenez le rôle de superutilisateur.
Désactivez l'USB 2.0 sur la carte mère et activez la prise en charge de l'USB 2.0 par la carte PCI uniquement. Exécutez les commandes suivantes\~:
# update_drv -d -i '"pciclass,0c0320"' usba10_ehci # update_drv -a -i '"pci1033,e0"' usba10_ehci # reboot |
Pour un fonctionnement plus rapide, connectez vos périphériques USB 2.0 aux ports de la carte plutôt qu'aux ports d'origine de la carte mère.
Même si vous ne pouvez pas ajouter de nouveau matériel USB à votre système, vous pouvez toujours désactiver votre EHCI système comme suit :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Exécutez les commandes suivantes\~:
# update_drv -d -i '"pciclass,0c0320"' usba10_ehci # reboot |
les ports USB 2.0 sont commandés par deux éléments matériels associés :
l'interface EHCI pour vitesse élevée ;
l'interface de contrôleur hôte ouverte OHCI (Open Host Controller Interface) ou l'interface de contrôleur hôte universelle UHCI (Universal Host Controller Interface) pour basse vitesse et pleine vitesse.
Les systèmes x86 incluent des pilotes pour ces deux interfaces. Les systèmes SPARC ne prennent en charge que le matériel de contrôleur hôte USB 1.1 OHCI. Par conséquent, seul le matériel USB disposant de contrôleurs associés OHCI continue de fonctionner sur les systèmes SPARC dont le contrôleur associé EHCI est désactivé. Les ports du matériel USB restent opérationnels même lorsque le contrôleur EHCI est désactivé, à condition que votre système inclue les pilotes OHCI ou UHCI appropriés. USB Les périphériques USB 2.0 connectés à ces ports ne fonctionnent qu'à la vitesse d'un périphérique USB 1.1.
Pour vérifier si les contrôleurs hôtes EHCI et OHCI figurent sur votre système SPARC, entrez :
# prtconf -D
Vérifiez que le résultat des entrées EHCI à côté d'une ou plusieurs entrées OHCI correspond à l'exemple suivant :
pci, instance #0 (driver name: pci_pci) usb, instance #0 (driver name: usba10_ohci) usb, instance #1 (driver name: usba10_ohci) usb, instance #0 (driver name: usba10_ehci) |
L'utilisation de deux cartes Adaptec SCSI Card 39320D sur un serveur Sun Fire V65x peut provoquer la panique de ce système. La panique se produit lors de la réinitialisation du système à la suite de l'installation du logiciel Solaris10. Le message d'erreur suivant apparaît :
Initializing system Please wait... 1 run-time error M6111: MATH - floating-point error: stack underflow |
Solution : retirez la seconde carte Adaptec.
Le système d'exploitation Solaris sur x86 ne prend pas en charge l'arrêt logiciel du système provoqué par une commande. Une commande d'arrêt équivaut à appuyer sur le bouton de marche/arrêt pour mettre le système hors tension. Sur les systèmes x86, l'exécution de cette commande pendant le fonctionnement du système d'exploitation Solaris éteint immédiatement l'ordinateur sans arrêter correctement le système d'exploitation. Cet arrêt incorrect peut endommager le système de fichiers.
Solution : avant d'éteindre l'ordinateur, arrêtez d'abord le système d'exploitation. Procédez comme suit :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Utilisez une des commandes disponibles pour arrêter correctement le système d'exploitation Solaris, par exemple les commandes init, halt ou shutdown. Exemple :
# shutdown |
Après l'arrêt complet du système d'exploitation, vous pouvez éteindre l'ordinateur de l'une des deux manières suivantes :
Si le système prend en charge l'arrêt logiciel, exécutez la commande pour éteindre l'ordinateur.
Si le système ne prend pas en charge l'arrêt logiciel, éteignez manuellement l'ordinateur à l'aide de l'interrupteur.
Pour plus d'informations sur les commandes permettant d'arrêter le système d'exploitation, consultez les pages man des commandes init(1M), halt(1M) et shutdown(1M). Pour plus d'informations concernant la mise hors tension de votre système, reportez-vous aux manuels du système.
La valeur par défaut du délai d'attente de la partie SCSI de la carte SunSwiftTM PCI Ethernet/SCSI (X1032A) ne correspond pas au délai d'attente du lecteur SCSI DVD-ROM de Sun (X6168A). Avec un média marginal, le lecteur de DVD-ROM rencontre parfois des erreurs de délai d'attente. Les seules exceptions étant les systèmes Sun Fire 6800, 4810, 4800 et 3800. Ces systèmes remplacent la valeur de délai d'attente SCSI à l'aide de OpenBoot PROM.
Solution : pour d'autres plates-formes, utilisez les interfaces SCSI intégrées ou les adaptateurs SCSI compatibles avec les lecteurs de DVD-ROM, comme dans les exemples suivants :
X1018A (SBus : F501-2739-xx)
X6540A (PCI : F375-0005-xx)
Cette section contient des informations importantes pour les utilisateurs de iPlanetTM Directory Server 5.1 qui procèdent à la mise à niveau vers Solaris10.
Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System remplace iPlanet Directory Server 5.1 qui était intégré au système d'exploitation Solaris 9. Dans Solaris 10, ce nouveau serveur d'annuaire peut être installé comme partie intégrante de Sun Java Enterprise System.
Pour plus d'informations concernant le serveur d'annuaire Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System, consultez la documentation de Sun Java System sur le site http://docs.sun.com.
Solaris 10 continue de prendre en charge Directory Server 5.1. Il peut être cependant nécessaire d'installer Directory Server 5.1 dans les cas suivants :
Vous devez récupérer des données Directory Server 5.1.
Vous voulez faire migrer des données vers Directory Server 5 2005Q1.
Dans la version Solaris10, l'installation de Directory Server 5.1 s'effectue manuellement. Procédez comme indiqué ci-dessous.
Insérez le CD Logiciel Solaris 10 - 4 dans le lecteur de CD-ROM.
Prenez le rôle de superutilisateur.
Dans une fenêtre du terminal, installez Directory Server.
# cd /cdrom/cdrom0/Solaris_10/Product/ # pkgadd -d . IPLTnls IPLTnspr IPLTnss IPLTjss IPLTpldap \ IPLTdsr IPLTdsu IPLTadmin IPLTcons IPLTadcon IPLTdscon \ IPLTadman IPLTdsman |
Pour installer les packages de la version localisée en chinois simplifié, exécutez la commande supplémentaire ci-dessous :
# pkgadd -d . IPLTcdsu IPLTcadmin IPLTccons IPLTcadcon \ IPLTcdscon IPLTcadman IPLTcdsman |
Pour installer les packages de la version localisée en japonais, exécutez la commande supplémentaire ci-dessous :
# pkgadd -d . IPLTjdsu IPLTjadmin IPLTjcons IPLTjadcon \ IPLTjdscon IPLTjadman IPLTjdsman |
Une fois l'installation terminée, configurez iPlanet Directory Server 5.1. Reportez-vous au Chapitre 11, Sun ONE Directory Server Configuration du System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP).
Les formats des bases de données des deux versions de Directory Server sont incompatibles. Par conséquent, si vous êtes un utilisateur de Directory Server 5.1, Sun vous recommande de migrer la base de données vers une base de données formatée pour Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System .
Pour que la migration puisse s'effectuer, les deux versions de Directory Server doivent exister dans le système qui a été mis à niveau vers le Solaris 10. Si vous êtes un utilisateur de DS 5.1, mais que vous utilisez le format de distribution d'archives compressé (.tar.gz), vous pouvez passer immédiatement aux instructions de migration de l'étape 2.
Dans une fenêtre du terminal, vérifiez si les packages iPlanet Directory Server 5.1 sont présents sur votre système.
$ pkginfo | grep IPLT |
Si les packages suivants sont présents sur le système, passez directement à l'étape 2 pour procéder à la migration. La liste ci-dessous contient les packages iPlanet Directory Server 5.1 présents sur le système.
system IPLTadcon Administration Server Console system IPLTadman Administration Server Documentation system IPLTadmin Administration Server system IPLTcons Console Client Base system IPLTdscon Directory Server Console system IPLTdsman Directory Server Documentation system IPLTdsr Directory Server (root) system IPLTdsu Directory Server (usr) system IPLTjss Network Security Services for Java system IPLTnls Nationalization Languages and Localization Support system IPLTnspr Portable Runtime Interface system IPLTnss Network Security Services system IPLTpldap PerLDAP $ |
Si les packages n'existent pas, installez-les. Reportez-vous à l'étape 4 de la procédure de la section précédente Installation de Directory Server 5.1. Une fois l'installation terminée, passez à l'étape 2 pour procéder à la migration.
Migrez la base de données iPlanet Directory Server 5.1 vers la version actuelle. Pour plus d'instructions, reportez-vous à la documentation pour le serveur d'annuaire Sun Java System sur le site suivant : http://docs.sun.com/coll/DirectoryServer_05q1.
Après la migration de vos données, continuez à sauvegarder les données d'annuaire comme vous le faisiez avant la migration. Toute reprise sur sinistre peut nécessiter la base de données migrée.
Les problèmes suivants concernent le débogueur du noyau.
Après l'exécution de plusieurs cycles de suspension et de reprise sur un système dont le débogeur de noyau est actif (kmdb), il peut arriver que le système panique. La panique se produit lors de la phase de reprise du cycle. En général, ce problème se produit sur des systèmes qui ont subi entre 20 et 50 cycles de suspension/reprise. Le système génère un message de panique.
Solution : désactivez kmdb sur tous les systèmes devant utiliser le module de suspension et de reprise (cpr).
Un système qui exécute le débogueur de noyau Solaris pour déboguer un système en direct peut effectuer une boucle avec des messages d'erreur incomplets. Cette boucle se produit lorsque la CPU maîtresse d'OpenBoot PROM est changée. La réinitialisation du système restaure le fonctionnement de celui-ci. Cependant, toute trace de l'échec d'origine est perdue. Par conséquent, il n'est pas possible d'effectuer un diagnostic de la réinitialisation fatale.
Solution : lorsque le système est au niveau de la PROM, l'invite ok d'OpenBoot s'affiche. Dans un système avec plusieurs CPU, l'invite ok est précédée d'un chiffre entre accolades. Ce chiffre indique la CPU qui est active dans le système. Pour exécuter la session de débogage au niveau de la PROM, procédez comme suit.
Augmentez la valeur de pil à f en tapant la commande suivante :
{0} ok h# 0f pil! |
Utilisez la commande switch-cpu pour commuter entre la CPU active et d'autres CPU. Par exemple, pour commuter de la CPU n°0 à la CPU n°1, tapez la commande suivante :
(0) ok 1 switch-cpu |
L'invite ok est maintenant précédée du chiffre de la CPU vers laquelle vous avez permuté.
{1} ok |
Exécutez le débogueur.
À la fin de la session de débogage, exécutez une commande reset-all pour rétablir le système en utilisation normale.
Assurez-vous de mettre à niveau le système vers la dernière version d'OpenBoot PROM.
Cette section décrit les problèmes de localisation s'appliquant au Solaris 10.
Sur le menu Language de l'écran de connexion, les environnements linguistiques UTF-8 sont marqués comme option recommandée. Par exemple, pour les environnements linguistiques en japonais, l'écran doit se présenter comme suit :
ja_JP.eucJP -------------- Japanese EUC ja_JP.PCK --------------- Japanese PCK ja_JP.UTF-8 (Recommended) - Japanese UTF-8 |
L'utilisation des environnements linguistiques UTF-8 est recommandée pour les utilisateurs de Java Desktop System (JDS), car JDS a recours à UTF-8/Unicode pour le codage interne des caractères. Cette recommandation s'applique également à l'annonce de produits qui ne seront plus pris en charge pour les environnements linguistiques non UTF-8. Reportez-vous à Environnements linguistiques anciens ou traditionnels non UTF-8.
Lors de la migration vers un environnement linguistique UTF-8, les fichiers affectent la méthode utilisée pour l'importation ou l'exportation des données.
Les fichiers Microsoft Office sont codés en Unicode. Les applications StarOffice peuvent lire les fichiers codés en Unicode et écrire dedans.
Les fichiers HTML créés à l'aide d'éditeurs HTML tels que Mozilla Composer ou enregistrés dans un navigateur Web contiennent généralement une balise de codage charset. Après l'exportation ou l'importation, vous pouvez parcourir de tels fichiers HTML à l'aide du navigateur Web Mozilla ou les modifier à l'aide de Mozilla Composer, suivant la balise de codage du fichier HTML.
Certains fichiers HTML peuvent s'afficher dans des caractères inexploitables. Ce problème est généralement lié à l'un des motifs suivants :
La balise de codage charset est incorrecte.
La balise de codage charset est manquante.
Pour retrouver la balise de codage charset au sein du fichier HTML, réalisez les opérations suivantes :
Ouvrez le fichier dans Mozilla.
Appuyez sur les touches Ctrl-i ou cliquez sur View pour ouvrir le menu View.
Cliquez sur Page Info.
Les informations charset figurent en bas de l'onglet General, par exemple :
Content-Type text/html; charset=us-ascii |
Si la chaîne charset=us-ascii ne correspond pas au codage réel du fichier, celui-ci peut paraître corrompu. Pour modifier les codes du fichier HTML, procédez comme suit :
Ouvrez le fichier dans Mozilla Composer.
Ouvrez le menu Fichier.
Sélectionnez Save as Charset.
Sélectionnez le codage approprié. Mozilla Composer convertit automatiquement le codage et la balise charset comme il se doit.
Les e-mails envoyés par modern comportent la balise MIME charset. Or, les applications d'e-mail et de calendrier acceptent les balises MIME charset. Vous n'avez donc pas besoin d'exécuter une conversion de codage.
Les fichiers ordinaires ne comportent pas de balise charset. Si les fichiers ne sont pas codés en UTF-8, il est nécessaire de convertir le codage. Par exemple, pour convertir un fichier ordinaire codé en big5 en chinois traditionnel vers UTF-8, exécutez la commande suivante :
iconv -f big5 -t UTF-8 inputfilename > outputfilename |
Vous pouvez également utiliser File System Examiner pour la conversion de codage.
Vous pouvez utiliser Text Editor pour lire et écrire le texte de codage des caractères automatiquement ou par la spécification explicite d'un codage lors de l'ouverture ou de l'enregistrement d'un fichier.
Pour démarrer Text Editor, cliquez sur Lancer, puis sur Applications->Accessoires->Text Editor.
Si les noms de fichiers et de dossiers utilisant des caractères multi-octets n'utilisent pas le codage UTF-8, une conversion de codage est nécessaire. Vous pouvez utiliser File System Examiner pour convertir les noms de fichiers et de dossiers, ainsi que le contenu des fichiers ordinaires du codage d'origine des caractères en codage UTF-8. Pour plus d'informations, reportez-vous à l'aide en ligne de File System Examiner.
Pour démarrer File Systems Examiner, cliquez sur Lancer, puis sur Applications->Utilitaires->File System Examiner.
Lorsque vous accédez à des noms de fichiers ou de dossiers non-UTF-8 sous Microsoft Windows via SMB à l'aide du Gestionnaire de fichiers, vous pouvez le faire sans conversion de codage.
Pour les applications qui ne sont pas prêtes pour une migration vers Unicode UTF-8, vous pouvez créer un programme de lancement sur un panneau avant pour exécuter l'application dans des environnements linguistiques anciens. Vous pouvez également lancer les applications directement à partir de la ligne de commande. Pour créer un programme de lancement pour une application, procédez comme suit :
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le panneau où vous souhaitez placer le programme de lancement.
Sélectionnez Add to Panel->Launcher.
Utilisez le format suivant pour saisir l'entrée dans le champ Command de la boîte de dialogue Create Launcher :
env LANG=locale LC_ALL= locale application name |
Par exemple, si vous souhaitez lancer une application appelée motif-app à partir de /usr/dt/bin dans l'environnement linguistique Chinese Big5, saisissez le texte suivant dans le champ Command de la boîte de dialogue Create Launcher :
env LANG=zh_TW.BIG5 LC_ALL=zh_TW.BIG5 /usr/dt/bin/motif-app |
Cliquez sur OK pour créer le programme de lancement sur le panneau.
Lorsqu'il vous faut exécuter des applications à interface de ligne de commande (CLI, command line interface) spécifiques à un environnement linguistique ancien, commencez par ouvrir une fenêtre Terminal dans l'environnement linguistique ancien, puis exécutez les applications CLI dans la même fenêtre Terminal. Pour ouvrir une fenêtre Terminal dans un environnement linguistique ancien, saisissez la commande suivante :
eng LANG=locale LC_ALL=locale GNOME-TERMINAL –disbable-factory. |
Au lieu d'ouvrir une nouvelle fenêtre Terminal dans un environnement linguistique ancien, vous pouvez faire passer le paramètre d'environnement linguistique de UTF-8 vers un environnement linguistique ancien dans la fenêtre Terminal active. Pour cela, il suffit de changer de codage dans le menu Set Character Encoding dans la fenêtre Terminal. Ensuite, il faut également définir les variables d'environnement LANG et LANG sur le shell actif.
Le système d'exploitation Solaris inclut la prise en charge logicielle de trois nouvelles configurations de clavier : les claviers estonien et français du Canada de type 6 et le clavier de programmation polonais de type 5.
Ce logiciel offrira aux utilisateurs canadiens, estoniens et polonais une plus grande flexibilité d'entrées de claviers en leur permettant d'adapter les configurations de claviers américains standard à leurs propres besoins linguistiques.
Le matériel pour ces trois nouveaux types de claviers n'est pas disponible pour le moment.
Solution : pour tirer le meilleur profit de ce nouveau logiciel clavier, modifiez le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map en procédant de l'une des manières proposées ci-dessous.
Pour le clavier estonien de type 6, faites les modifications suivantes :
Remplacez l'entrée US6.kt par Estonia6.kt dans le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
6 0 Estonia6.kt |
Ajoutez les entrées suivantes au fichier /usr/openwin/lib/locale/iso8859-15/Compose :
<scaron> |
: "/xa8" |
scaron |
<scaron> |
: "/xa6" |
scaron |
<scaron> |
: "/270" |
scaron |
<scaron> |
: "/264" |
scaron |
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Pour le clavier français du canada de type 6, faites les modifications suivantes :
Remplacez l'entrée US6.kt par Canada6.kt dans le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
6 0 Canada6.kt |
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Si vous utilisez le clavier polonais de type 5 existant, effectuez les modifications suivantes :
Remplacez l'entrée Poland5.kt par Poland5_pr.kt dans le fichier /usr/openwin/ share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
4 52 Poland5_pr.kt |
si vous utilisez un clavier à commutateurs dip, vérifiez que les touches sont définies sur la bonne valeur binaire pour l'entrée du tableau de touches polonaises (binaire 52) avant de redémarrer le système.
Si vous utilisez un clavier américain standard de type 5, remplacez l'entrée US5.kt par Poland5_pr.kt dans le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
4 33 Poland5_pr.kt |
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Dans tous les environnements linguistiques, le visualisateur de documents ne peut pas imprimer les fichiers localisés qui sont au format PDF (Portable Document Format).
Solution : Choisissez l' une des solutions de rechange suivantes:
Sur les systèmes SPARC, utilisez Acrobat Reader pour imprimer les fichiers PDF localisés.
Sur les systèmes x86, utilisez StarOffice pour créer, puis imprimer des fichiers PDF.
Le processus de connexion à certains environnements linguistiques non UTF-8 peut se bloquer sur certains systèmes x86. Les environnements linguistiques suivants sont des exemples d'environnements pour lesquels cette erreur est observée :
zh_CN.EUC
zh_TW.BIG5.
ko_KR.EUC
Solution : dans le menu Language de la fenêtre de connexion, choisissez les environnements linguistiques UTF-8.
Lorsqu'elle recrée le fichier /usr/sadm/lib/localeadm/locales.list, la commande localeadm -l n'inclut pas l'environnement linguistique coréen. Par conséquent, même si l'environnement linguistique coréen est installé sur un système, il ne figure pas dans la liste lorsque vous exécutez la commande localeadm -l. De plus, si vous tentez de le supprimer à l'aide de la commande localeadm -r ko après qu'elle a dressé la liste des environnements linguistiques installés, le message d'erreur suivant s'affiche :
Region korean is not installed on this machine. Exiting. |
Solution : pour mettre à jour correctement le fichier /usr/sadm/lib/localeadm/locales.list, exécutez la commande localeadm -a ko. Vous pouvez ensuite supprimer les environnements linguistiques coréens à l'aide de localeadm - r ko.
Vous pouvez également procéder comme suit :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Modifiez le fichier /usr/sadm/lib/localeadm/locales.list en ajoutant l'entrée suivante :
Korean (korean)
Les touches spéciales situées à gauche du clavier ne fonctionnent pas avec les associations de touches des claviers européens. Ce problème concerne tous les environnements linguistiques européens.
Solution : Utilisez des raccourcis clavier au lieu des touches spéciales. L'exemple suivant répertorie différents raccourcis clavier et les fonctions correspondantes :
Ctrl-Z - Annuler
Ctrl-C - Copier
Ctrl-V - Coller
Alt-Tab permet de passer d'une fenêtre à l'autre.
Dans tous les environnements linguistiques, les touches Alt et Maj risquent de ne pas fonctionner en tant que touches de commutation lorsque vous utilisez la méthode d'entrée Internet/Intranet. Par exemple, la combinaison Maj-flèche de direction risque de ne pas vous permettre de sélectionner du texte. Cette combinaison risque d'insérer des caractères latins à la place.
Solution : Utilisez une autre méthode d'entrée : la méthode par défaut, par exemple. Pour changer de méthode d'entrée, cliquez avec le bouton droit sur un objet et sélectionnez Input method.
Les imprimantes postscript n'intègrent pas les caractères chinois et coréens. Par conséquent, dans les environnements linguistiques chinois et coréen, si vous lancez une impression à partir du navigateur Mozilla, les caractères s'impriment sous la forme de rectangles. Pour pouvoir imprimer un fichier, le système CUPS (Common UNIX Printer System) doit commencer par convertir les polices postscript Mozilla.
Solution : Procédez comme suit.
Cliquez sur Launch => Preferences => Printers.
Cliquez avec le bouton droit sur l'icône de l'imprimante PostScript, puis sélectionnez le menu Properties.
Cliquez sur l'onglet Avancé.
Réglez Ghostscript pre-filtering sur Convert to PS level 1.
Le tri ne fonctionne pas correctement dans les environnements localisés UTF-8 européens.
Solution : Avant d'effectuer un tri dans un environnement localisé UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE sur l'équivalent ISO1.
# echo $LC_COLLATE > es_ES.UTF-8 # LC_COLLATE=es_ES.IS08859-1 # export LC_COLLATE |
Vous pouvez alors lancer le tri.
Les bogues de réseau suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Les programmes soixante-quatre bits qui créent les sockets PF_ROUTE et qui analysent le contenu des messages RTM_IFINFO dans la structure if_msghdr_t risquent de ne pas fonctionner correctement à moins qu'ils ne soient recompilés.
Dans cette version de Solaris, la transmission IP est désactivée par défaut. Cette configuration s'applique à IPv4 et IPv6 indépendamment des autres configurations du système. Les systèmes avec plusieurs interfaces IP, qui transmettaient les paquets IP, ne disposent plus par défaut de cette fonction automatique. Pour activer la transmission IP sur des systèmes à multi-hébergement, les administrateurs doivent manuellement effectuer davantage d'opérations de configuration.
Solution : la commande routeadm active la transmission IP. Les modifications apportées à la configuration résultant de l'utilisation de la commande routeadm subsistent après plusieurs réinitialisations du système.
Pour activer la transmission IPv4, tapez routeadm -e ipv4-forwarding .
Pour activer la transmission IPv6, tapez routeadm -e ipv4-forwarding.
Pour appliquer la configuration de transmission IP activée au système en cours de fonctionnement, tapez routeadm -u.
Pour plus d'informations concernant la transmission IP, consultez la page man routeadm(1M).
Vous pouvez configurer une zone de manière que l'adresse IP de la zone fasse partie d'un groupe de multiacheminement sur réseau IP. Le processus de configuration est décrit dans la section How to Extend IP Network Multipathing Functionality to Non-Global Zones du System Administration Guide: Solaris Containers-Resource Management and Solaris Zones.
Lorsque toutes les interfaces réseau du groupe de multiacheminement sur réseau IP échouent, une zone ne s'initialise pas si elle comporte une adresse IP faisant partie de ce groupe.
L'exemple suivant montre le résultat obtenu si vous tentez d'initialiser la zone.
# zoneadm -z my-zone boot zoneadm: zone 'my-zone': bge0:1: could not set default interface for multicast: Invalid argument zoneadm: zone 'my-zone': call to zoneadmd failed |
Solution : réparez au moins une interface réseau dans le groupe.
Lors de l'initialisation du système, il peut arriver que plusieurs instances ne se connectent pas à leur instance Émulation LAN (LANE, LAN Emulation) si plus de huit instances LANE se trouvent sur un seul adaptateur. Ce bogue ne se produit pas au niveau multiutilisateur.
Solution : pour réinitialiser votre réseau SunATM, procédez comme suit :
Vérifiez le problème en exécutant une commande lanestat - a.
La valeur VCI (Virtual Circuit Identifier) des instances qui ne sont pas connectées est 0 pour le serveur LES (LAN Emulation Server ) et le serveur BUS (Broadcast and Unknown Address Server).
Arrêtez et redémarrez le réseau SunATM.
# /etc/init.d/sunatm stop # /etc/init.d/sunatm start |
Réinitialisez les masques de réseau ou d'autres configurations réseau pour les interfaces SunATM.
Si vous configurez plusieurs tunnels IP entre deux noeuds IP et si vous activez ip_strict_dst_multihoming ou d'autres filtres IP, ceci peut engendrer une perte de paquets.
Solution : Choisissez :
Commencez par configurer un seul tunnel entre deux noeuds IP. Ajoutez des adresses au tunnel au moyen de la commande ifconfig et de l'option addif.
Ne validez pas ip_strict_dst_multihoming sur des tunnels entre deux noeuds IP.
Les problèmes de sécurité suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Une fois le module PAM de gestion des comptes de LDAP (pam_ldap) activé, les utilisateurs doivent posséder un mot de passe pour pouvoir se connecter au système. Par conséquent, les connexions sans mot de passe échouent, y compris celles utilisant les outils suivants :
Remote shell (rsh) ;
Remote login (rlogin) ;
Secure shell (ssh).
Solution : Aucune.
Les fichiers de sortie générés par la commande encrypt() sont traités par la commande decrypt() correspondante. La version actuelle utilise une nouvelle version de encrypt() et de decrypt(). Ces commandes traitent des fichiers dont le format diffère des fichiers générés et traités par les versions précédentes. Les données chiffrées à l'aide de la version précédente de encrypt() ne sont plus reconnues correctement par la nouvelle version de decrypt().
Pour plus d'informations, reportez-vous aux pages man encrypt(1) et decrypt(1).
Solution : pour convertir des anciennes données chiffrées et les traiter avec la nouvelle version de encrypt() et decrypt(), procédez comme suit :
Déchiffrez les données existantes à l'aide de la version précédente de decrypt().
Rechiffrez les mêmes données à l'aide de la nouvelle commande encrypt().
Un système Sun StorEdgeTM T3 peut paniquer si une application utilise l'interface HTTP pour envoyer des jetons avec des paramètres hors des limites fixées.
Cette section décrit les problèmes liés au module de gestion des services de Solaris 10. Pour plus d'informations concernant cette fonctionnalité du système d'exploitation de Solaris, reportez-vous à la section Solaris Service Manager du Nouveautés de Solaris 10.
Lorsque le système se réinitialise après une installation de Solaris 10, une erreur peut se produire avec les services dépendants. La sous-commande svccfg import peut ne pas parvenir à activer les services dépendants qui ont été déclarés dans un fichier global du service. Par conséquent, les services dépendants risquent de ne pas démarrer dans l'ordre et peuvent générer des messages d'erreur qui font référence à ces services.
Solution : exécutez la commande svcadm refresh pour le service dépendant. Exemple :
svcadm refresh dependent FMRI |
Les développeurs de logiciels peuvent éviter ce problème avec les solutions suivantes :
Déclarez les services dépendants au niveau de l'instance plutôt qu'au niveau du service.
Pour les installations en direct, activez un script de post-installation d'un package pour exécuter la commande svcadm refresh dependent FMRI.
Pour les installations qui ont recours à un environnement d'initialisation secondaire, ajoutez la commande svcadm refresh dependent FMRI au fichier /var/svc/profile/upgrade.
Lorsqu'un hôte ne dispose pas d'imprimantes locales configurées, deux services d'impression, ipp-listener et rfc1179, sont définis par défaut sur hors ligne. Ces services sont automatiquement en ligne une fois que les imprimantes locales sont configurée sur l'hôte. Les paramètres hors ligne de ces services n'indiquent aucune erreur. Par conséquent, aucune intervention de l'utilisateur n'est nécessaire.
Solution : Aucune.
Sur les systèmes qui n'utilisent aucun service d'information réseau (NIS) ou aucun service de noms NIS+, les services NFS et autofs sont désactivés. Ce problème est dû à la dépendance de ces services par rapport au démon keyserv. Le démon keyserv s'appuie sur le nom de domaine RPC, qui n'est pas appliqué sur les systèmes n'utilisant ni les services NIS, ni les services NIS+. Par conséquent, l'échec du démon keyserv désactive les services NFS et autofs.
Solution : pour activer les services, procédez comme suit :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Exécutez les commandes suivantes\~:
# svcadm disable network/rpc/keyserv # svcadm disable -t network/nfs/client:default # svcadm enable network/nfs/client:default # svcadm disable -t network/nfs/server:default # svcadm enable network/nfs/server:default # svcadm disable -t network/rpc/gss:ticotsord # svcadm enable network/rpc/gss:ticotsord |
Lors du démarrage d'un système, il arrive parfois que les services de connexion, tels que la connexion à la console ou une connexion ssh, démarrent avant que les systèmes de fichiers distants et les services d'attribution de noms soient disponibles. Par conséquent, il peut arriver que le nom de l'utilisateur ne soit pas reconnu ou que le répertoire d'accueil de l'utilisateur ne soit pas disponible.
Solution : si l'erreur se produit, attendez quelques secondes, puis reconnectez-vous. Vous pouvez également vous connecter à partir d'un compte local pour visualiser l'état du système.
Les bogues de carte à puce suivants s'appliquent au Solaris 10.
Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.
Solution : pour déverrouiller votre système, procédez comme indiqué ci-dessous.
Connectez-vous à distance à la machine sur laquelle le processus ocfserv a été interrompu.
Prenez le rôle de superutilisateur.
Arrêtez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal.
# pkill dtsession |
ocfserv redémarre et la connexion à l’aide d’une carte à puce ainsi que la capacité sont rétablies.
L'option de menu Editer le fichier config de la console de gestion des cartes à puces ne modifie pas les fichiers de configuration de carte à puce situés dans /etc/smartcard/opencard.properties . Si vous sélectionnez cette option de menu, un avertissement apparaît vous demandant de ne pas continuer sauf demande contraire du support technique.
Solution : n'utilisez pas l'option de menu Éditer le fichier config dans la console de gestion des cartes à puce. Pour de plus amples informations sur la configuration des cartes à puce, consultez le document Solaris Smartcard Administration Guide.
La section suivante décrit les changements de comportement dans certaines commandes et standards du Solaris 10.
Le Solaris 10 comporte Bash 2.0.5b. Ce shell n'exporte plus automatiquement les variables suivantes dans l'environnement :
HOSTNAME
HOSTTYPE
MACHTYPE
OSTYPE
Ce nouveau comportement s'applique même si le shell attribue des valeurs par défaut à ces variables.
Solution : exportez ces variables manuellement.
Le comportement de /usr/bin/ln a changé de manière à adhérer à tous les standards de SVID3 à XCU6. Si vous utilisez la commande ln sans l'option -f pour créer un lien vers un fichier cible existant, le lien n'est pas établi. À la place, un message de diagnostic est écrit pour signaler une erreur de standard et la commande lie les fichiers source restants. Enfin, la commande ln se ferme et affiche une valeur d'erreur.
Par exemple, si le fichier b existe, la syntaxe ln a b génère le message suivant :
ln: b: File exists |
Ce changement de comportement a une incidence sur les scripts de shell existants ou les programmes qui comportent la commande ln sans l'option -f. Les scripts qui fonctionnaient auparavant peuvent maintenant échouer dans le Solaris 10.
Solution : utilisez l'option -f avec la commande ln. Si vous disposez de scripts qui exécutent l'utilitaire de liens, modifiez ces scripts pour qu'ils soient conformes au nouveau comportement de cette commande.
Dans le Solaris 10, tcsh a été mis à niveau vers la version 6.12. Cette version n'accepte plus les variables d'environnement dont le nom comporte un tiret ou un signe égal. Les scripts qui contiennent les lignes setenv et qui fonctionnent dans les versions antérieures de Solaris peuvent générer des erreurs dans la version actuelle du Solaris10. Le message d'erreur suivant apparaît :
setenv: Syntax error |
Pour plus d'informations, consultez la page man tcsh pour le Solaris 10.
Solution : n'utilisez pas de tirets ni de signes égal dans les variables d'environnement.
Les applications créées en stricte conformité avec le standard C sont concernées par les changements de comportement de certaines fonctions de bibliothèque. Par exemple, des applications compilées à l'aide du mode de compilation cc -Xc ou c89. Le comportement des fonctions de bibliothèque suivantes a changé :
fgetc() ;
fgets() ;
fgetwc() ;
fgetws() ;
getc() ;
getchar() ;
gets() ;
getwc() ;
getwchar() ;
getws().
Selon l'interprétation formelle du standard 1990 C, une fois qu'une condition de marquage de fin de fichier end-of-file est appliquée, aucune donnée ne doit plus être retournée du fichier à la suite d'opérations d'entrée ; sauf si le pointeur de fichier est repositionné ou si l'erreur ou les indicateurs de fin de fichier sont explicitement supprimés par l'application.
Le comportement de tous les autres modes de compilation ne changent pas. En particulier, les interfaces peuvent lire les dernières données écrites en provenance du flux après que l'indicateur de fin de fichier end-of-file a été appliqué.
Solution : appelez fseek() ou clearerr() sur le flux pour lire les données supplémentaires après que la condition EOF a été signalée sur celui-ci.
En raison d'ID utilisateur et d'ID processeur plus grands, ainsi que d'un temps d'exécution cumulatif plus long, les colonnes de sortie de la commande ps ont été élargies. Par conséquent, les scripts des utilisateurs ne doivent pas être destinés à des colonnes de sortie fixes.
Solution : les scripts doivent utiliser l'option -o de la commande ps.
Pour plus d'informations, consultez la page manps(1) .
La commande ping -v échoue lorsqu'elle est appliquée à des adresses qui utilisent la version 6 du protocole Internet IP (IPv6). Le message d'erreur suivant apparaît :
ping: setsockopt IPV6_RECVRTHDRDSTOPTS Invalid argument |
Solution : Aucune. Pour obtenir les mêmes informations de paquet ICMP que celles fournies par la commande ping -v, utilisez la commande snoop .
Les bogues suivants s'appliquent à la version du Solaris10.
Si vous possédez un fichier racine (/) en miroir de Solaris Volume Manager au sein duquel le système de fichiers ne commence pas au cylindre 0, vous ne devez connecter aucun sous-miroir commençant au cylindre 0.
Si vous tentez de connecter un sous-miroir commençant au cylindre 0 sur un miroir dont le sous-miroir original ne commence pas sur ce cylindre, le message d'erreur suivant s'affiche :
can't attach labeled submirror to an unlabeled mirror |
Solution : Choisissez l' une des solutions de rechange suivantes:
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir commencent au cylindre 0.
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir ne commencent pas au cylindre 0.
par défaut, la procédure d'installation de JumpStart commence la copie sur le cylindre 0 et place le système de fichiers racine (/) ailleurs sur le disque. Habituellement, la tranche 0 est démarrée au cylindre 0. Des problèmes peuvent survenir avec la mise en miroir d'une installation JumpStart par défaut avec la racine en tranche 0, mais sans le cylindre 0, vers un disque classique de tranche 0 démarrant au cylindre 0. Cette mise en miroir engendre l'affichage d'un message d'erreur au moment où vous tentez de connecter un second sous-miroir. Pour de plus amples informations sur le comportement par défaut des programmes d'installation de Solaris, reportez-vous aux guides d'installation de Solaris10.
Dans les environnements linguistiques autres que l'anglais, la commande metassist de Solaris Volume Manager peut ne pas parvenir à créer des volumes. Par exemple, si LANG est défini sur ja (japonais), le message d'erreur suivant s'affiche :
xmlEncodeEntitiesReentrant : input not UTF-8 Syntax of value for attribute read on mirror is not valid Value "XXXXXX"(unknown word) for attribute read on mirror is not among the enumerated set Syntax of value for attribute write on mirror is not valid Value "XXXXXX"(Parallel in Japanse) for attribute write on mirror is not among the enumerated set metassist: XXXXXX(invalid in Japanese) volume-config |
Solution : En tant que superutilisateur, définissez la variable LANG sur LANG=C.
Pour les shells Bourne, Korn et Bash, utilisez la commande suivante :
# LANG=C; export LANG |
Pour le shell C, utilisez la commande suivante :
# setenv LANG C |
La création de configurations de volume Solaris Volume Manager avec la commande metassist peut échouer si un disque non formaté se trouve dans le système. Le message d'erreur suivant apparaît :
metassist: failed to repartition disk |
Solution : formatez manuellement les disques non formatés avant d'exécuter la commande metassist.
Si vous créez un volume RAID-1 (miroir) ou RAID-5 avec Solaris Volume Manager dans un jeu de disques construit au sommet d'une partition logicielle, les disques hot spare ne fonctionnent pas correctement.
Voici une liste non exhaustive des problèmes susceptibles d'apparaître :
Le disque hot spare risque de ne pas être activé.
L'état du disque hot spare peut changer, indiquant que le périphérique est endommagé.
Un disque hot spare est utilisé, mais il est resynchronisé à partir de l'unité incorrecte.
Un disque hot spare en cours d'utilisation a échoué, mais son état défectueux n'est pas rapporté.
Solution : N'utilisez pas cette configuration pour créer un volume Solaris Volume Manager RAID-1 ou RAID-5 en jeux de disques.
Vous ne pouvez pas remplacer un disque défectueux par un disque qui a été configuré à l'aide du logiciel Solaris Volume Manager. Le nouveau disque doit être inconnu du logiciel Solaris Volume Manager. Si vous déplacez physiquement un disque d'un connecteur d'extension vers un autre sur un système Sun StorEdge A5x00, la commande metadevadm échoue. Cette défaillance survient lorsque le nom du périphérique logique de la tranche n'existe plus. L'identificateur de périphérique du disque reste cependant présent sur la copie du métapériphérique. Le message suivant s'affiche:
Unnamed device detected. Please run 'devfsadm && metadevadm -r to resolve. |
vous pouvez simultanément accéder au disque à son nouvel emplacement. Cependant, vous devez utiliser l'ancien nom de disque logique pour accéder à la tranche.
Solution : replacez le disque dans son connecteur d'extension initial.
Si vous retirez et remplacez un disque physique du système, puis utilisez la commande metarecover -p -d pour écrire les données relatives à la partition logicielle appropriée sur le disque, il en résulte une défaillance ouverte. La commande ne met pas à jour l'espace de noms de la base de données du métapériphérique pour refléter la modification au niveau du disque. Il en résulte une défaillance ouverte pour ladite partition logicielle située au sommet du disque. Le message suivant s'affiche :
Open Error |
Solution : au lieu d'exécuter la commande metarecover pour récupérer la partition logicielle, créez-en une sur le disque.
si la partition logicielle fait partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.
# metareplace dx miroir ou RAID 5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle |
Cette section décrit les problèmes qui s'appliquent à Sun Java Desktop System (Java DS) dans Solaris 10.
Si vous déplacez des messages électroniques dans le corps d'un nouveau message, le contenu du nouveau message est altéré.
Solution : Pour envoyer plusieurs pièces jointes, procédez comme suit :
Sélectionnez les messages à joindre.
Dans la barre de menu, sélectionnez Action => Forward => Attached.
Vous pouvez également appuyer sur les touches Ctrl-J pour envoyer des messages.
Lorsque vous changez le type d'authentification du serveur de messagerie entrante, l'application Messagerie et calendrier risque de ne plus fonctionner correctement.
Solution : Redémarrez Messagerie et calendrier.
L'application Evolution, qui comprend Messagerie et calendrier, ne gère pas l'enregistrement de pièces jointes présentant du contenu localisé.
Solution : Aucune.
Après l'importation d'un fichier LDAP au format DIF (Data Interchange Format) contenant plusieurs contacts, seuls certains de ces contacts apparaissent dans le dossier de contacts. Il s'agit d'un simple problème d'affichage. Messagerie et calendrier a importé tous les contacts.
Solution : Redémarrez Messagerie et calendrier.
Vous risquez de rencontrer le message d'erreur suivant lors de l'ouverture d'une session Java Desktop System :
Could not look up internet address for hostname. This will prevent GNOME from operating correctly. It may be possible to correct the problem by adding hostname to the file /etc/hosts |
Solution : Assurez-vous d'avoir bien configuré le nom d'hôte dans le fichier /etc/hosts. Ensuite, réalisez les opérations suivantes :
Configurez le nom d'hôte dans le fichier /etc/hosts comme suit :
127.0.0.1 localhost loghost hostname localhost.localdomain |
hostname correspond au nom de votre système.
Veillez à ce que votre nom d'hôte apparaisse dans le fichier /etc/nodename . Ce fichier doit également présenter la ligne suivante :
127.0.0.1 localhost loghost hostname localhost.localdomain |
Ajoutez l'entrée suivante au fichier /etc/inet/ipnodes :
127.0.0.1 hostname |
Lors de la connexion à Java Desktop System Release 3, $PATH est incorrectement défini sur la valeur suivante :
/usr/bin::/usr/dt/bin:/usr/openwin/bin:/bin: /usr/ucb:/usr/openwin/bin:/usr/dt/bin |
Solution : Supprimez les éléments suivants de $PATH :
/usr/openwin/bin:
/bin:
::
Le chemin d'accès obtenu doit ressembler à l'exemple suivant :
/usr/bin:/usr/dt/bin:/usr/ucb:/usr/openwin/bin:/usr/dt/bin |
Si vous utilisez une connexion à distance dtlogin, vous ne pourrez pas vous connecter au gestionnaire d'affichage GNOME à partir de certains systèmes.
Solution : Lorsque vous êtes invité à sélectionner un identifiant de connexion à distance, spécifiez l'adresse IP au lieu du nom d'hôte.
Si vous utilisez le navigateur Yelp pour ouvrir l'aide en ligne correspondant au contrôle du volume, c'est le fichier d'aide correspondant à l'application d'accessibilité clavier qui s'affiche.
Solution : Aucune.
Si vous ouvrez l'aide en ligne d'une application et qu'il n'existe aucun fichier d'aide correspondant à cette application, un message d'erreur s'affiche. Si vous ne cliquez pas sur OK, le système d'aide en ligne se bloque et vous ne pouvez pas ouvrir l'aide en ligne des autres applications lancées ensuite.
Solution : Cliquez sur le bouton OK dans la boîte de dialogue présentant le message d'erreur.
Il est impossible d'imprimer des documents à partir du navigateur Mozilla si ces documents contiennent des caractères Unicode qui ne figurent pas dans le plan multilingue de base (BMP, Basic Multilingual Plane).
Solution : Aucune.
Dans le navigateur Mozilla, vous pouvez spécifier que les préférences utilisateur doivent être transférées vers et à partir du serveur d'accès itinérant. Pour spécifier les options d'accès itinérant, procédez comme suit :
Dans le navigateur, cliquez sur Edit et sélectionnez Preferences.
Sélectionnez Roaming User, puis Item Selection.
Dans le panneau de droite, sélectionnez User Preferences.
La sélection de User Preferences n'a néanmoins aucun effet.
Solution : Aucune.
Dans le navigateur Mozilla, la touche F7 permet d'activer la navigation au curseur. Lorsque cette fonctionnalité est activée, le raccourci clavier Ctrl-Home permet d'atteindre le haut de la page Web active. Néanmoins, ce raccourci claiver ne fonctionne pas sur certains sites, tels que www.yahoo.com et www.mozilla.org.
Solution : Appuyez sur F7 pour désactiver la navigation au curseur.
Les préférences utilisateur de votre compte personnel correspondant à une version antérieure de GNOME Desktop sont peut-être partiellement incompatibles avec la version utilisée par Java DS Release 3.
Solution : Redéfinissez vos préférences. Ensuite, réalisez les opérations suivantes :
Déconnectez-vous de Java Desktop System.
Cliquez sur Session et sélectionnez le terminal Failsafe.
Connectezvous.
Dans la fenêtre du terminal failsafe, entrez les commandes suivantes :
% gnome-cleanup exit |
Reconnectez-vous.
Vos préférences GNOME sont alors réinitialisées.
L'application GIMP (GNU Image Manipulation Program) n'est pas disponible dans le menu Graphics.
Solution : Procédez comme suit.
Ouvrez une fenêtre de Terminal.
Modifiez le fichier /usr/share/applications/gimp-2.0.desktop.
Modifiez les lignes Exec et TryExec pour ajouter le chemin d'accès complet vers le fichier binaire de GIMP :
TryExec=/usr/sfw/bin/gimp2.0 Exec=/usr/sfw/bin/gimp-remote-2.0 %u |
Vous risquez de ne pas pouvoir terminer l'enregistrement en ligne du logiciel StarOffice 7 si le logiciel ne trouve pas Mozilla sur le système. Le logiciel doit pouvoir trouver l'application Messagerie et calendrier pour pouvoir envoyer des documents.
Solution : Ajoutez /usr/sfw/bin à votre PATH. Procédez comme suit.
Ouvrez une fenêtre de Terminal.
Entrez la commande suivante:
% export PATH=/usr/sfw/bin:$PATH |
Pour lancer le logiciel StarOffice, exécutez la commande suivante :
% soffice |
Suivez la procédure d'enregistrement de StarOffice.
La barre de défilement et le compteur latéral ne fonctionnent pas lors de l'enregistrement d'un fichier new.wav.
Solution : Aucune.
L'option de l'application de contrôle du volume du panneau qui permet de lancer les applications de contrôle du volume sur le bureau ne fonctionne pas.
Solution : Aucune.
L'utilisation de l'indicateur de clavier risque de rendre le clavier inutilisable lors du passage d'un serveur X à un autre.
Solution : Aucune. N'utilisez pas l'indicateur de clavier.
Le gestionnaire de fichiers risque de se bloquer si vous utilisez les options d'affichage suivantes :
Afficher en tant que catalogue
Afficher en tant que collection d'images
Suivant les options d'affichage utilisées, les messages d'erreur suivants risquent de s'afficher :
The application nautilus has quit unexpectedly |
The Catalog view encountered an error while starting up |
The Image Collection view encountered an error while starting up |
Solution : Aucune. Chaque fois que l'un de ces problèmes se produit, redémarrez le gestionnaire de fichiers ou cliquez sur le bouton Restart Application dans la boîte de dialogue qui vous avertit du problème.
Vous ne pouvez supprimer que les fichiers situés dans votre propre répertoire d'origine dans le système de fichiers.
Solution : Pour supprimer des fichiers situés en dehors de votre répertoire d'origine, ouvrez une fenêtre de terminal et utilisez la ligne de commande.
Vous ne pouvez pas utiliser le Gestionnaire d'archives pour créer les types d'archives suivants :
.arj
.lha
.bzip
lzop
.zoo
Solution : Aucune.
Lorsque la fonction Auto-indentaiton de l'éditeur de texte gedit est activée, les caractères multi-octets ne sont pas entrés correctement.
Solution : Désactivez la fonction Auto-indentation. Réalisez la procédure suivante dans l'éditeur de texte.
Sélectionnez Édition => Préférences.
Dans la liste Catégories, sélectionnez Éditeur, puis Auto-indentation.
Désactivez l'option Activer l'auto-indentation.
Cette section décrit les bogues d'administration du système dans Solaris 10.
Un système qui exécute Sun Patch Manager Tool 2.0 peut gérer des systèmes distants exécutant l'outil Patch Manager, notamment Sun Patch Manager Tool 1.0.
Cependant, un système avec une version antérieure de l'outil Patch Manager ne peut pas gérer des systèmes distants qui exécutent Patch Manager Tool 2.0. Les versions précédentes de ce programme comprennent notamment :
Sun Patch Manager Base Software 1.x
Sun Patch Manager Tool 1.0
La prise en charge par CIM/WBEM (Common Information Model/Web Based Enterprise Management) de l'outil Patch Manager n'existe pas dans le système d'exploitation Solaris 8. Par conséquent, la gestion à distance avec Patch Manager n'est pas applicable aux systèmes Solaris 8.
Sun Remote Services (SRS) Net Connect n'est pris en charge que dans la zone globale. Des messages d'erreur s'affichent si vous effectuez une des actions suivantes :
Vous installez SRS Net Connect dans une zone locale.
Vous installez SRS Net Connect dans la zone globale lors de la création de la zone locale.
Les messages d'erreur sont les suivants :
*** package SUNWcstu failed to install - interactive administration required: Interactive request script supplied by package pkgadd: ERROR: request script did not complete successfully Installation of SUNWcstu was suspended (interaction required). No changes were made to the system. *** package SUNWfrunc failed to install - interactive administration required: Interactive request script supplied by package pkgadd: ERROR: request script did not complete successfully Installation of SUNWfrunc was suspended (interaction required). No changes were made to the system. |
Solution : ignorez les messages d'erreur.
Lors de l'installation d'une zone non globale à l'aide de la commande zoneadm, des messages d'erreur ou d'avertissement peuvent s'afficher au cours de l'installation des packages. Les messages sont semblables à ceux de l'exemple suivant :
Preparing to install zone zone1. Creating list of files to copy from the global zone. Copying 2348 files to the zone. Initializing zone product registry. Determining zone package initialization order. Preparing to initialize 790 packages on the zone. Initialized 790 packages on zone. Zone zone1 is initialized. Installation of the following packages generated errors: SUNWjhrt SUNWmcc SUNWjhdev SUNWnsb SUNWmcon SUNWmpatchmgr Installation of the following packages generated warnings: SUNWj3rt SUNWmc SUNWwbmc SUNWmga SUNWdclnt SUNWlvma SUNWlvmg SUNWrmui SUNWdoc SUNWpl5m SUNWpmgr |
Les problèmes liés à l'installation du package sont également enregistrés dans le fichier /export/zone1/root/var/sadm/system/logs/install_log qui contient un journal de l'installation de la zone.
Solution : Aucune.
La zone non globale est toujours utilisable même si ces messages ont été affichés. Des problèmes liés à l'installation des packages existaient dans les versions précédentes de Solaris Express et les versions bêta de Solaris10. Cependant, aucune notification concernant ces problèmes n'a été générée. À partir de cette version de Solaris, ces erreurs sont maintenant correctement signalées et consignées.
Si vous essayez de lancer l'utilitaire Solaris Product Registry dans une zone, cette tentative échoue. Au cours de l'installation de la zone, productregistry, la base de données de Solaris Product Registry n'est pas dupliquée dans la zone. Par conséquent, l'utilitaire ne peut pas s'exécuter dans une zone.
Solution : en tant que superutilisateur, copiez la base de données productregistry dans la zone.
# cp /var/sadm/install/productregistry zone_path/var/sadm/install/ |
Dans la commande précédente, zone_path est le chemin d'accès au répertoire root de la zone que vous avez créée.
La commande patchadd ne peut pas réappliquer de patchs dans les cas suivants.
Vous appliquez un patch à un système ne contenant pas tous les packages auxquels le patch doit être appliqué.
Vous installez plus tard les packages qui n'ont pas été installés lorsque vous avez appliqué le patch.
Vous réappliquez le patch sur les derniers packages installés.
La partie du patch qui s'applique au package que vous avez ajouté ultérieurement n'est pas installée. Un message semblable au suivant s'affiche.
patchadd ~tsk/patches/111111-01 Validating patches... Loading patches installed on the system... Done! Loading patches requested to install. Done! The following requested patches are already installed on the system Requested to install patch 111111-01 is already installed on the system. No patches to check dependency. |
Solution : Choisissez l' un des palliatifs suivants.
Solution 1 : si vous n'avez pas créé de zones sur votre système, utilisez la commande patchadd avec l'option -t pour appliquer un patch au système.
# patchadd -t patch-ID |
Dans la commande précédente, patch-ID est l'ID du patch que vous voulez appliquer.
Solution 2 : si vous avez créé des zones sur votre système, procédez comme suit.
Sauvegardez le patch.
# patchrm patch-ID |
Installez les packages qui ne se trouvent pas sur le système mais auxquels le patch doit être appliqué.
# pkgadd -d device pkgabbrev |
Dans l'exemple précédent, device indique le chemin absolu vers le ou les packages que vous voulez installer. pkgabbrev indique le nom abrégé du package que vous voulez installer. Vous pouvez indiquer plusieurs noms de packages.
Réinstallez le patch.
# patchadd patch-ID |
Si vous créez une zone globale, puis que vous lui appliquez un patch, les services de connexion distants ne sont activés sur aucune zone non globale que vous créez ensuite. rlogin et telnet sont des exemples de services distants. Si vous créez une zone non globale après avoir appliqué un patch à une zone globale, vous ne pouvez pas vous connecter à distance à la zone non globale. Ce problème concerne les systèmes auxquels des patchs qui fournissent ou modifient le package SUNWcsr ont été appliqués.
Solution : Choisissez l' un des palliatifs suivants.
Solution 1 : si vous n'avez pas encore initialisé la zone non globale, procédez comme suit.
Dans la zone globale, sélectionnez le répertoire /var/svc/profile dans la zone non globale.
global# cd zone_path/root/var/svc/profile |
Dans l'exemple précédent, zone_path est le chemin d'accès à la zone non globale. Vous pouvez déterminer ce chemin en tapant la commande suivante dans une zone globale.
global# zonecfg -z zonename info zonepath |
Supprimez le profil inetd_services.xml.
global# rm inetd_services.xml |
Créez un lien symbolique pour inetd_services.xml qui pointe vers le profil inetd_generic.xml.
global# ln -s inetd_generic.xml inetd_services.xml |
Initialisez la zone non globale.
Pour plus d'informations concernant l'initialisation d'une zone, consultez le manuel System Administration Guide: Solaris Containers-Resource Management and Solaris Zones.
Solution 2 : si vous avez déjà initialisé la zone non globale, procédez comme suit.
Suivez les instructions de la solution précédente.
Dans la zone non globale, activez les services figurant dans le profil /var/svc/profile/inetd_services.xml.
my-zone# svccfg apply /var/svc/profile/inetd_services.xml |
Réinitialisez la zone non globale.
my-zone# reboot |
Solution 3 : avant de créer des zones sur le système, appliquez le patch approprié à la plate-forme.
Pour les systèmes SPARC, appliquez le patch ID 119015-01 ou une version ultérieure.
Pour les systèmes x86, appliquez le patch 119016-01 ou une version ultérieure.
Si vous utilisez la commande smdiskless pour supprimer un client sans disque, cette commande échoue. Le client sans disque n'est pas supprimé des bases de données du système. Le message d'erreur suivant apparaît :
Failing with error EXM_BMS. |
Solution : annulez le partage de la partition /export avant d'ajouter un nouveau client.
L'installation de Net Connect 3.1.1 échoue si vous sélectionnez le produit au début d'une installation complète de Solaris10. Ce problème se produit lorsque vous procédez à l'installation à l'aide du DVD du système d'exploitation Solaris 10. Une fois l'installation du système d'exploitation terminée, l'erreur suivante est enregistrée dans le journal d'installation de Net Connect à l'emplacement suivant : /var/sadm/install/logs/:
Installation of SUNWSRSPX failed. Error: pkgadd failed for SUNWsrspx Install complete. Package: SUNWsrspx |
Solution : une fois l'installation du système d'exploitation terminée, procédez comme suit :
Insérez le DVD du système d'exploitation Solaris 10 ou le CD 4 du Logiciel Solaris 10 -.
Accédez au répertoire du produit Net Connect.
Exécutez le programme d'installation de Net Connect.
Pour télécharger la dernière version du logiciel Sun Net Connect et de ses notes de version, connectez-vous au portail de Sun Net Connect à l'adresse https://srsnetconnect.sun.com.
Un échec de l'initialisation lié à l'archive Solaris Flash peut se produire dans les cas suivants :
Vous créez une archive Solaris Flash sur un système ayant recours à une bibliothèque libc C dotée de certaines fonctionnalités de prise en charge de matériel.
Vous installez l'archive sur un système clone comportant plusieurs fonctionnalités de prise en charge de matériel.
Lorsque vous tentez d'initialiser le système clone, le message d'erreur suivant s'affiche :
WARNING: init exited with fatal signal 9; restarting. |
Solution : Procédez comme indiqué ci-dessous.
Avant de créer l'archive, démontez la bibliothèque /lib/libc.so.1 sur le système maître.
# umount /lib/libc.so.1 |
Cette commande permet au système maître d'utiliser la version de base de la bibliothèque libc C.
Créez l'archive Solaris Flash sur le système maître.
Pour plus d'informations sur la création d'archives Solaris Flash, consultez le manuel Guide d’installation Solaris 10 : Archives Solaris Flash - Création et installation.
Montez la bibliothèque /lib/libc.so.1 sur le système maître.
# mount -O -F lofs /lib/libc.so.1 /usr/lib/libc/libc_hwcap2.so.1 |
Installez l'archive Solaris Flash sur le système maître.
Pour plus d'informations sur l'installation d'archives Solaris Flash, consultez le manuel Guide d’installation Solaris 10 : Archives Solaris Flash - Création et installation.
Si vous utilisez la commande smosservice delete pour supprimer un service de client sans disque, cette commande ne supprime pas tous les répertoires de service.
Solution : Procédez comme indiqué ci-dessous.
Vérifiez qu'aucun client existant n'utilise le service.
# unshare /export/exec/Solaris_10_sparc.all # rm -rf /export/exec/Solaris_10_sparc.all # rm -rf /export/exec/.copyofSolaris_10_sparc.all # rm -rf /export/.copyofSolaris_10 # rm -rf /export/Solaris_10 # rm -rf /export/share # rm -rf /export/root/templates/Solaris_10 # rm -rf /export/root/clone/Solaris_10 # rm -rf /tftpboot/inetboot.sun4u.Solaris_10 |
Supprimez l'entrée suivante du fichier /etc/bootparams.
fs1-24 boottype=:os |
Ne supprimez cette entrée que si ce serveur de fichiers ne fournit aucune fonction ou ressource pour d'autres services.
Supprimez l'entrée suivante du fichier /etc/dfs/dfstab.
share -F nfs -o ro /export/exec/Solaris_8_sparc.all/usr |
Modifiez le fichier /var/sadm/system/admin/services/Solaris_10.
Si le serveur de fichiers n'est pas Solaris_10, supprimez le fichier.
Si le serveur de fichiers est Solaris_10, supprimez toutes les entrées après les trois premières lignes. Les lignes supprimées indiquent les packages USR_PATH et SPOOLED ROOT du service dans /export/root/templates/Solaris_10 et les plates-formes prises en charge.
Si vous utilisez la commande patchadd pour installer des patchs sur le NFS d'un autre système, la commande échoue. L'exemple suivant montre une opération patchadd qui a échoué et le message d'erreur qui en résulte :
Validating patches... Loading patches installed on the system... [...] Loading patches requested to install. [...] Checking patches that you specified for installation. [...] Approved patches will be installed in this order: [...] Checking local zones... [...] Summary for zones: [...] Patches that passed the dependency check: [...] Patching global zone Adding patches... Checking installed patches... Verifying sufficient filesystem capacity (dry run method)... Installing patch packages... Patch Patch_ID has been successfully installed. See /var/sadm/patch/Patch_ID/log for details Patch packages installed: SUNWroute [...] Adding patches... The patch directory /dev/.SUNW_patches_0111105334-1230284-00004de14dcb29c7 cannot be found on this system. [...] Patchadd is terminating. |
Solution : dans un premier temps, copiez manuellement tous les patchs à installer à partir du serveur NFS sur le système local. Puis, utilisez la commande patchadd pour installer les patchs à partir du répertoire sur le système local dans lequel ils ont été copiés.
Si vous utilisez la commande lucreate pour créer des volumes RAID-1 (miroirs) pour lesquels le répertoire /dev/md ne comporte aucune entrée, la commande échoue. Vous ne pouvez pas mettre en miroir des systèmes de fichiers avec la commande lucreate sauf si vous créez d'abord les miroirs avec le logiciel Solaris Volume Manager.
Solution : créez les systèmes de fichiers mis en miroir avec le logiciel Solaris Volume Manager, puis créez le nouvel environnement d'initialisation avec la commande lucreate.
Pour plus d'informations concernant la commande lucreate, consultez la page man lucreate(1M) ou le manuel Guide d’installation de Solaris 10 : Solaris Live Upgrade et planification de la mise à niveau.
Pour plus d'informations concernant la création de systèmes de fichiers mis en miroir avec le logiciel Solaris Volume Manager, consultez le manuel Solaris Volume Manager Administration Guide.
Une panique du système survenant au cours d'un cycle Suspendre/Reprendre (cpr) peut provoquer le blocage du système. Ce problème est plus généralement observé sur les stations de travail Sun Blade 2000 sur lesquelles est installé l'accélérateur graphique XVR-1000. Il est plus rare que les autres systèmes SPARC s'interrompent lors d'une panique. Lors de la panique, le core dump n'est pas enregistré et aucune invite ne s'affiche sur la console. Le problème risque d'être plus important si le débogueur de noyau (kadb) est activé.
Solution : Pour rétablir le système à un état utilisable, réinitialisez manuellement le système.
Si vous tentez d'arrêter le système en appuyant sur la combinaison de touches Stop+A ou L1+A, le système risque de paniquer. Un message similaire s'affiche :
panic[cpu2]/thread=2a100337d40: pcisch2 (pci@9,700000): consistent dma sync timeout |
Solution : N'utilisez pas les séquences clavier pour forcer le système à entrer dans la mémoire PROM OpenBoot.
La commande ipfs enregistre et récupère les informations concernant l'état de Network Address Translation (NAT) et des tables d'état du filtrage des paquets. Cet utilitaire empêche l'interruption des connexions réseau si le système se réinitialise. Si vous exécutez la commande avec l'option -W, ipfs ne parvient pas à enregistrer les tables d'état du noyau. Le message d'erreur suivant apparaît :
state:SIOCSTGET: Bad address |
Solution : Aucune.
Lorsque vous créez un nouvel environnement d'initialisation à l'aide de la commande lucreate, les autorisations ne sont pas conservées pour les points de montage du système de fichiers. Par conséquent, certains processus utilisateur échouent. Si vous créez le nouvel environnement d'initialisation dans un environnement de clustering, le cluster arrête les nœuds, puis s'initialise à partir du CD-ROM pour réparer les autorisations pour les points de montage.
Solution : Procédez comme indiqué ci-dessous.
Créez le nouvel environnement d'initialisation.
# lucreate -n newbe -m /:c0t0d0s0:ufs -m /var:c1t0d0s0:ufs -m /usr:c2t0d0s0:ufs |
Dans l'exemple précédent, la commande lucreate crée l'environnement d'initialisation newbe. Cet exemple définit les systèmes de fichiers et les points de montage suivants.
Le système de fichiers root (/) est monté sur c0t0d0s0.
Le système de fichiers var est monté sur c10t0d0s0.
Le système de fichiers usr est monté sur c20t0d0s0.
Montez le système de fichiers racine du nouvel environnement d'initialisation.
# mount /dev/dsk/c0t0d0s0 /mnt |
Pour chaque point de montage qui est défini pour l'environnement d'initialisation, indiquez 755 pour les autorisations.
# chmod 755 /mnt/var # chmod 755 /mnt/usr |
Démontez le système de fichiers racine.
# umount /dev/dsk/c0t0d0s0
Après avoir modifié le contenu du fichier snmpd.conf, vous pouvez exécuter la commande kill -HUP snmp Process ID. Cette commande arrête le processus snmp. Puis, elle envoie un signal à l'agent maître de System Management Agent (snmpd) pour qu'il relise snmpd.conf et applique les modifications que vous y avez apportées. La commande peut ne pas exécuter l'agent maître pour qu'il relise le fichier de configuration. Par conséquent, l'utilisation de la commande ne peut pas toujours activer les modifications dans le fichier de configuration.
Plutôt que d'utiliser la commande kill -HUP, redémarrez System Management Agent après avoir ajouté des modifications à snmpd.conf. Ensuite, réalisez les opérations suivantes :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Tapez la commande suivante :
# /etc/init.d/init.sma restart
Vous initialisez un serveur Sun LX50 qui comporte une partition Service et sur lequel Solaris 10 sur x86 est installé. Vous avez la possibilité d’initialiser la partition de service à l’aide de la touche F4. Cependant, cela efface le contenu de l’écran. Le système ne parvient pas à initialiser la partition Service.
Solution : n'appuyez pas sur la touche F4 lorsque l'écran d'initialisation du BIOS apparaît. Après quelques secondes, l'écran affichant les informations sur la partition de disque actuelle apparaît. Sélectionnez le chiffre dans la colonne Part# correspondant à type=DIAGNOSTIC. puis appuyez sur la touche Entrée. le système initialise la partition Service.
Le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs indiqués pour l'interface com.sun.wbem.provider ou l'interface com.sun.wbem.provider20 . Même si vous créez une instance Solaris_ProviderPath pour un fournisseur qui est écrit pour ces interfaces, le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne localise pas le fournisseur.
Solution : pour permettre au démon de localiser un tel fournisseur, arrêtez et redémarrez le démon Solaris WBEM Services 2.5.
# /etc/init.d/init.wbem stop # /etc/init.d/init.wbem start |
si vous utilisez l'API javax
pour développer votre fournisseur, vous n'avez pas besoin d'arrêter puis de redémarrer le démon Solaris WBEM Services 2.5. De fait, ce dernier reconnaît les fournisseurs javax
de façon dynamique.
Si vous décidez d'utiliser l'interface de programmation d'application com.sun plutôt que l'API javax
pour développer votre logiciel WBEM, seul l'appel de méthode distant (RIM) CIM est totalement pris en charge. Il n'est pas certains que d'autres protocoles, tels que XML/HTTP, fonctionnent tout à fait avec l'interface de programmation d'application com.sun.
Le tableau suivant répertorie des exemples d'appels qui sont exécutés avec succès sous RMI, mais échouent sous XML/HTTP.
Appel de méthode |
Message d'erreur |
---|---|
CIMClient.close() |
NullPointerException |
CIMClient.execQuery() |
CIM_ERR_QUERY_LANGUAGE_NOT_SUPPORTED |
CIMClient.getInstance() |
CIM_ERR_FAILED |
CIMClient.invokeMethod() |
XMLERROR: ClassCastException |
L'outil de montage et de partage de Solaris Management Console ne peut pas modifier les options de montage sur des systèmes de fichiers critiques tels que root (/), /usr et /var.
Solution : Choisissez l' une des solutions de rechange suivantes:
Utilisez l'option de remontage avec la commande de montage.
# mount -F type_système_fichier -o remount,options_montage_supplémentaires \ périphérique_à_monter point_montage |
les modifications de propriétés de montage apportées à l'aide de l'option -remount avec la commande mount ne sont pas persistantes. En outre, toutes les options de montage non spécifiées dans la portion options_montage_supplémentaires de la commande précédente héritent des valeurs par défaut spécifiées par le système. Consultez la page man mount_ufs(1M) pour plus d'informations.
Modifiez l'entrée appropriée dans le fichier /etc/vfstab pour changer les propriétés de montage de système, puis réinitialisez le système.