Ce chapitre traite des problèmes d'exécution.
Pour connaître les bogues et problèmes résolus qui ne concernent plus le logiciel Solaris 10 10/08, reportez-vous à l'Annexe ATableau des bogues intégrés résolus dans le système d'exploitation Solaris 10.
Les bogues suivants dans SE Solaris 10 s'appliquent à Common Desktop Environment (CDE).
Si vous tapez la commande /usr/X11/bin/xrander -s pour réduire la résolution d'écran, la bande de confiance ne s'affiche plus. Le desktop autorisé du CDE est affecté, mais pas le Java DS Desktop autorisé. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : après avoir modifié la résolution, redémarrez le Gestionnaire de l'espace de travail. Sélectionnez Windows -> Restart Workspace Manager dans le menu de l'espace de travail du CDE, puis cliquez sur OK.
Si vous avez recours à la méthode d'installation JumpStart, le processus peut s'appuyer sur un fichier de configuration d'identification système (sysidcfg). Ce fichier sert à générer un fichier de configuration Xsun spécifique à un système. La partie de la configuration Xsun d'un fichier sysidcfg est créée par le biais de la commande kdmconfig -d filename. Cependant, sur les systèmes qui utilisent le serveur Xorg par défaut, la commande ne crée pas de fichier comportant des informations de configuration Xorg. Par conséquent, vous ne pouvez pas avoir recours à la méthode JumpStart sur ces systèmes sans mesures de préparation préalables.
Solution : avant de mettre en œuvre la méthode d'installation JumpStart sur un système qui a recours au serveur Xorg, effectuez la procédure suivante.
Préparez un fichier xorg.conf spécifique à utiliser sur le système. Stockez ce fichier dans le répertoire JumpStart du serveur JumpStart.
Créez un fichier xorg.conf avec l'une de ces commandes :
/usr/X11/bin/Xorg -configure
/usr/X11/bin/xorgconfig
/usr/X11/bin/xorgcfg
Créez un script de fin qui copie le fichier xorg.conf dans le répertoire /etc/X11 du système que vous voulez installer. Le script peut, par exemple, inclure la ligne suivante :
cp ${SI_CONFIG_DIR}/xorg.conf /etc/X11/Xorg.conf |
Dans le fichier de règles JumpStart personnalisé, ajoutez le script de fin dans l'entrée des règles pour les systèmes du type de celui que vous voulez installer.
Effectuez l'installation JumpStart personnalisée.
Pour obtenir des instructions sur l'installation JumpStart personnalisée, reportez-vous au document Solaris 10 10/08 Installation Guide: Custom JumpStart and Advanced Installations. Le chapitre 4 contient des informations sur le fichier des règles JumpStart et le chapitre 5 une section sur les scripts de fin.
La fonction d'exécution automatique du média amovible de l'environnement de bureau CDE a été temporairement supprimée du logiciel Solaris10.
Solution : pour utiliser la fonctionnalité d'exécution automatique d'un CD ou d'un autre volume amovible, veuillez procéder comme indiqué ci-dessous.
Exécutez le programme volstart à partir du niveau supérieur du système de fichiers du support amovible.
Suivez les instructions fournies avec le CD pour l'accès depuis l'extérieur du CDE.
Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer, puis restaurer sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.
Solution : supprimez manuellement la dernière entrée sur l'organiseur avant de lancer la synchronisation.
Les bogues de systèmes de fichiers suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Ne mettez pas le disque principal d'une configuration racine ZFS mise en miroir hors ligne. Le système ne s'exécute pas à partir d'un disque hors ligne dans une configuration de pool racine.
Solution : si la mise hors ligne ou la déconnexion d'un disque racine mis en miroir est nécessaire pour le remplacer, effectuez l'initialisation à partir d'un autre disque mis en miroir du pool. Choisissez une des méthodes ci-dessous :
Remettez en ligne le disque principal d'un pool racine ZFS mis en miroir. Exemple :
# zpool online rpool c0t1d0s0 |
Si le disque racine a échoué ou doit être remplacé, effectuez l'initialisation à partir d'un autre disque mis en miroir du pool.
Si vous utilisez la commande lucreate pour créer un système de fichiers racine ZFS et que l'environnement linguistique n'est pas en anglais, la création du volume de vidage ZFS échoue. Le message d'erreur suivant s'affiche :
ERROR: Unable to determine dump device for boot environment <{c1t1d0s0}>. ERROR: Unable to create all required file systems for boot environment <zfsUp6>. ERROR: Cannot make file systems for boot environment <zfsUp6>. |
Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :
Incluez le paramètre d'environnement linguistique dans la commande lucreate. Exemple :
# LC_ALL=C lucreate -n zfsUp6 -p rpool |
Si des messages d'échec du périphérique de vidage s'affichent lors d'une opération lucreate avec un environnement linguistique autre qu'anglais, vous pouvez créer le volume de vidage ZFS manuellement. Exemple :
# zfs create -V 2G -b 128k rpool/dump |
Lorsque Solaris Live Upgrade sert à convertir un système de fichiers racine UFS en ZFS, la commande bootlst n'est pas copiée vers l'emplacement qui convient. Cette erreur empêche la commande boot -L de fonctionner. Le message d'erreur suivant s'affiche :
Evaluating: boot -L The file just loaded does not appear to be executable. Boot device: /pci@1f,0/pci@1/scsi@8/disk@1,0:a File and args: Can't mount root Error in Fcode execution !!! Evaluating: boot The file just loaded does not appear to be executable. |
Solution : copiez la commande bootlst de /platform/`uname -m`/bootlst vers / pool racine/platform/`uname -m`/bootlst. Si, par exemple, votre pool racine se nomme rpool, entrez la commande suivante :
# cp -p /platform/`uname -m`/bootlst /rpool/platform/`uname -m`/bootlst |
La commande bootadm n'a pas réussi à créer une entrée de menu GRUB au format qui convient à l'initialisation du système en mode 32 bits à l'aide des commandes suivantes :
reboot kernel/unix
reboot -- -r
En conséquence, le système a démarré en mode 64 bits. Le fichier menu.lst défectueux peut apparaître de la manière suivante :
findroot rootfs0 kernel /platform/i86pc/kernel/unix module /platform/i86pc/boot_archive |
Dans l'exemple précédent, la ligne du noyau ne contient pas les informations multiboot et est donc incorrecte. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : modifiez manuellement le fichier /boot/grub/menu.lst et ajoutez les informations suivantes :
title Solaris 10 10/08 findroot rootfs0 kernel /platform/i86pc/multiboot kernel/unix module /platform/i86pc/boot_archive |
Après avoir apporté ces modifications, le système démarre en mode 32 bits.
Les changements modifiant le fichier menu.lst sont conservés après la réinitialisation du système.
Vous pouvez modifier le menu GRUB à l'amorçage en ajoutant l'argument kernel/unix comme indiqué dans l'exemple suivant :
grub edit> kernel /platform/i86pc/multiboot kernel/unix |
Le menu GRUB est alors modifié de façon temporaire ; les changements ne sont pas conservés après la réinitialisation du système.
Pour plus d'informations, reportez-vous à la section Modifying Boot Behavior on x86 Based Systems du System Administration Guide: Basic Administration .
Lorsque vous reliez un lecteur à un pool racine afin de créer un pool racine en miroir, il est possible que zpool attach crée un pool racine illégal si un disque entier est ajouté au pool. Un pool racine ZFS doit être créé avec des tranches de disque, non pas avec des disques entiers. Si vous essayez d'amorcer le système depuis le disque entier ajouté au pool racine copié en miroir, le système ne démarre pas.
Solution : Procédez comme suit :
Dissociez le disque du pool. Par exemple
# zpool detach rpool c0t2d0 |
Remplacez l'étiquette du disque par une étiquette VTOC (SMI). Exemple :
# format -e . . . Select disk c0t2d0 format> label [0] SMI Label [1] EFI Label Specify Label type[0]:0 Ready to label disk, continue? yes format> quit |
Ajoutez une tranche de disque dans le pool pour créer un pool racine en miroir. Exemple :
# zpool attach rpool c0t2d0s0 |
Voir également La commande zpool attach ne copie pas les informations bootblock (6668666).
Sur une plate-forme SPARC, un fichier menu.lst doit être créé dans les jeux de données du pool racine. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : créez manuellement le fichier menu.lst. Si, par exemple, vous possédez deux environnements d'amorçage ZFS, zfs1008BE et zfs10082BE, dans le pool racine ZFS, rpool, tapez les commandes suivantes :
# mkdir -p /rpool/boot # cd /rpool/boot # vi menu.lst |
Ajoutez les entrées suivantes au fichier menu.lst :
title zfs1008BE bootfs rpool/ROOT/zfs1008BE title zfs10082BE bootfs rpool/ROOT/zfs10082BE |
Si vous utilisez la commande zpool attach pour ajouter un disque vers un pool racine ZFS, les informations bootblock ne sont pas copiées vers le disque récemment ajouté. Ce problème n'affecte pas les pools racine ZFS copiés en miroir générés par une installation initiale. Le système ne s'amorce pas depuis l'autre disque du pool racine en miroir.
Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :
Sur un système SPARC, identifiez le disque alternatif et installez les informations d'amorçage. Exemple :
# installboot -F zfs /usr/platform/`uname -i`/lib/fs/zfs/bootblk /dev/rdsk/c0t1d0s0 |
Sur un système x86, identifiez le disque alternatif et installez les informations d'amorçage. Exemple :
# installgrub /boot/grub/stage1 /boot/grub/stage2 /dev/rdsk/c0t1d0s0 |
Des expirations du pilote ata peuvent se produire à l'initialisation du système sur les systèmes multiprocesseur Intel. Ces expirations se produisent lorsque le périphérique racine se trouve sur un disque avec le contrôleur HBA lié au pilote ata existant. Elles entraînent un blocage momentané, un blocage permanent ou une panique du système à l'initialisation du système et des messages similaires aux suivants s'affichent sur la console :
scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0 (ata0): timeout: reset bus, target=0 lun=0 scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0 (ata0): timeout: early timeout, target=0 lun=0 gda: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0/cmdk@0,0 (Disk0): Error for command 'read sector' Error Level: Informational gda: [ID 107833 kern.notice] Sense Key: aborted command gda: [ID 107833 kern.notice] Vendor 'Gen-ATA ' error code: 0x3 gda: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0/cmdk@0,0 (Disk0): Error for command 'read sector' Error Level: Informational gda: [ID 107833 kern.notice] Sense Key: aborted command gda: [ID 107833 kern.notice] Vendor 'Gen-ATA ' error code: 0x3 scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0 (ata0): timeout: abort request, target=0 lun=0 scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0 (ata0): timeout: abort device, target=0 lun=0 scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0 (ata0): timeout: reset target, target=0 lun=0 scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0 (ata0): timeout: reset bus, target=0 lun=0 scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0 (ata0): timeout: early timeout, target=0 lun=0 gda: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0/cmdk@0,0 (Disk0): Error for command 'read sector' Error Level: Informational gda: [ID 107833 kern.notice] Sense Key: aborted command gda: [ID 107833 kern.notice] Vendor 'Gen-ATA ' error code: 0x3 gda: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@0,0/pci-ide@1f,2/ide@0/cmdk@0,0 (Disk0): |
Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :
Pour éviter d'affecter les performances, n'appliquez les solutions 3 et 4 que de manière temporaire, jusqu'à ce que la solution 5 soit envisageable.
Solution 1 : activez l'interface AHCI dans le BIOS si elle est disponible sur le système. L'activation de ce paramètre requiert la réinstallation du SE Solaris.
Solution 2 : installez Solaris sur un disque d'un contrôleur n'utilisant pas le pilote ata.
Solution 3 : désactivez MP dans la configuration du BIOS afin qu'un seul processeur soit actif.
Solution 4 : désactivez MP dans Solaris afin qu'un seul processeur soit actif. Réalisez les opérations suivantes à partir du menu GRUB (Grand Unified Bootloader, grand chargeur de démarrage unifié) :
Tapez e pour modifier l'entrée Solaris sélectionnée.
Accédez à la ligne commençant par kernel.
Tapez e pour passer au mode d'édition GRUB.
Ajoutez -kd à cette ligne.
Appuyez sur Entrée pour accepter les modifications.
Tapez b pour initialiser l'entrée Solaris sélectionnée.
À l'invite kbmd, tapez la commande ci-dessous :
use_mp/W 0 :c |
Si vous initialisez le système, passez à l'étape 10. Dans le cas contraire, installez le logiciel Solaris 10 10/08.
À la fin de l'installation, réinitialisez le système. Répétez les étapes 1 à 7.
Pour rendre cette modification permanente et éviter d'avoir à répéter les étapes ci-dessus lors des initialisations suivantes, procédez comme suit :
Une fois l'initialisation du système terminée, devenez superutilisateur.
Ouvrez le fichier /etc/system.
Ajoutez la ligne suivante :
set use_mp = 0 |
Solution 5 : désactivez la mise à jour du microcode. Tapez la commande suivante :
# mv /platform/i86pc/ucode /platform/i86pc/ucode.disabled |
Une fois le système actif, vous pouvez appeler manuellement la commande de mise à jour du microcode :
# ucodeadm -u /platform/i86pc/ucode.disabled/intel-ucode.txt |
Si une zone non globale est initialement configurée avec un système de fichiers ZFS à monter avec la sous-commande `add fs et avec la spécification mountpoint=legacy, la tentative d'installation de zone suivante échoue. Le message d'erreur suivant s'affiche :
ERROR: No such file or directory: cannot mount </zones/path/root/usr/local> in non-global zone to install: the source block device or directory </path/local> cannot be accessed |
Solution : après avoir installé la zone non globale, ajoutez l'accès à un système de fichiers ZFS.
ZFS est conçu pour être un système de fichiers compatible POSIX et il l'est dans la plupart des cas. Il existe cependant deux exceptions où ZFS ne satisfait pas les tests de compatibilité POSIX :
Mise à jour des statistiques de capacité du système de fichiers ZFS.
Modification des données existantes dans un système de fichiers saturé.
CR connexes :
6362314
6362156
6361650
6343113
6343039
6742203
Si vous exécutez la commande fdisk -E pour modifier un disque utilisé par un pool de stockage ZFS, le pool devient inutilisable et peut entraîner une erreur d'E/S ou une erreur système grave.
Solution :
N'utilisez pas la commande fdisk pour modifier un disque utilisé par un pool de stockage ZFS. Pour accéder à un disque utilisé par un pool de stockage, utilisez plutôt l'utilitaire format. Les disques utilisés par des systèmes de fichiers ne doivent généralement pas être modifiés.
Les problèmes suivants concernent les produits Brightstor ARCserve Backup.
L'agent client BrightStor ARCserve Backup (BAB) pour UNIX (Solaris) permet de sauvegarder et de restaurer les fichiers ZFS.
Cependant, les ACL ZFS de type NFSv4 ne sont pas conservées. Les attributs et droits d'accès aux fichiers UNIX habituels sont conservés.
Solution : pour conserver les fichiers ZFS avec les ACL NFSv4, exécutez la commande tar avec l'option -p ou la commande cpio avec l'option -P pour intégrer les fichiers ZFS à un fichier. Ensuite, utilisez BAB pour sauvegarder l'archive tar ou cpio.
Lorsque vous ajoutez le package SUNWzfsg à partir d'une version Solaris 10 10/08 à un système exécutant une version antérieure à Solaris 10 6/06 et sur lequel le patch embedded_su n'est pas installé, les assistants de l'application ZFS Administration ne fonctionnent pas parfaitement.
Si vous tentez d'exécuter l'application ZFS Administration sur un système sur lequel le patch embedded_su n'est pas installé, vous ne pourrez pas consulter la configuration de votre ZFS. Le message d'erreur suivant s'affiche :
/usr/lib/embedded_su: not found |
Solution :
Ajoutez le patch embedded_su (119574-02) au système exécutant une version antérieure à Solaris 10 6/06.
Si un hôte panique avec l'E/S d'un système de fichiers sur une cible qui est connectée à l'aide de l'initiateur Solaris iSCSI, l'E/S risque de ne pas pouvoir vider ou synchroniser sur le périphérique cible. Cette incapacité à vider ou à synchroniser peut entraîner une corruption du système de fichiers. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution :
Utilisez un système de fichier journalisé comme UFS. Dans Solaris 10, la journalisation UFS est activée par défaut. Pour plus d'informations sur UFS, reportez-vous à What’s New in File Systems? du System Administration Guide: Devices and File Systems .
Après la mise à niveau d'un serveur NFSv4 de Solaris Express 6/05 vers Solaris Express 7/05 ou version ultérieure (y compris toutes les versions Solaris 10), des erreurs EACCES peuvent se produire dans les programmes. En outre, des répertoires sont anormalement vides.
Pour ces erreurs, démontez et remontez les systèmes de fichiers clients. Si le démontage échoue, il peut être nécessaire de démonter le système de fichiers concerné à l'aide de la commande umount -f. Vous pouvez également réinitialiser le client.
Les fonctions de la liste de contrôle d'accès NFSv4 (ACL, Access Control List) peuvent ne pas fonctionner correctement si des versions antérieures de Solaris10 sont installées sur les clients et les serveurs du réseau. Les fonctions ACL concernées et les utilitaires de ligne de commande qui ont recours à ces fonctions sont :
acl() ;
facl() ;
getfacl ;
setfacl.
Pour plus d'informations concernant ces fonctions et ces utilitaires, reportez-vous à leurs pages man respectives.
Des erreurs peuvent par exemple être observées sur un réseau avec la configuration suivante :
un client fonctionnant avec le logiciel Solaris10 bêta ;
un serveur fonctionnant avec le logiciel Solaris10.
Le tableau suivant indique les résultats des fonctions ACL dans des configurations client-serveur avec différentes versions de Solaris10.
Opération |
Système d'exploitation client S10 |
Système d'exploitation serveur S10 |
Résultat |
---|---|---|---|
obtenir ACL |
S10 bêta |
Système d'exploitation S10 |
ACL * fabriquée |
obtenir ACL |
Système d'exploitation S10 |
S10 bêta |
fonctionne correctement |
définir ACL |
S10 bêta |
Système d'exploitation S10 |
fonctionne correctement |
définir ACL |
Système d'exploitation S10 |
S10 bêta |
Erreur : EOPNOTSUP |
Solution : pour que la fonctionnalité ACL NFSv4 fonctionne correctement, effectuez une installation complète du SE Solaris 10 sur le serveur et le client.
Dans la version Solaris10 actuelle, l'implémentation de l'ACL NFSv4 est désormais conforme aux spécifications RFC 3530. Cependant, des erreurs se produisent pour les clients NFSv4 qui fonctionnent avec les versions Solaris10 bêta 2 ou bêta 1. Ces clients ne peuvent pas créer de fichiers sur les serveurs NFSv4 qui fonctionnent avec la version Solaris10 actuelle. Le message d'erreur suivant s'affiche :
NFS getacl failed for server_name: error 9 (RPC: Program/version mismatch) |
Solution : aucune.
La commande mkfs risque de ne pas réussir à créer un système de fichiers sur les disques présentant une certaine géométrie et une capacité supérieure à 8 Go. La capacité du groupe de cylindres dérivé est trop importante pour le fragment de 1 ko. La grande capacité du groupe de cylindres implique un volume de métadonnées qu'un bloc ne suffit pas à contenir.
Le message d'erreur suivant s'affiche :
With 15625 sectors per cylinder, minimum cylinders per group is 16. This requires the fragment size to be changed from 1024 to 4096. Please re-run mkfs with corrected parameters. |
Solution : utilisez plutôt la commande newfs. Vous pouvez également attribuer une plus grande taille de fragment, telle que 4096, lorsque vous utilisez la commande mkfs.
Le système ne peut pas générer le vidage de la mémoire sur une partition dont la taille est supérieure ou égale à 1 To. Si un périphérique de cette taille se trouve sur un système, la réinitialisation du système à la suite d'une panique peut entraîner ce qui suit :
le système n'enregistre pas le vidage de la mémoire ;
Le message suivant s'affiche :
0% done: 0 pages dumped, compression ratio 0.00, dump failed: error 6 |
Solution : configurez la taille du périphérique de vidage de votre système de sorte qu'elle soit inférieure à 1 To.
Si vous utilisez la commande smosservice pour ajouter des services du système d'exploitation à un système de fichiers UFS, un message indiquant que l'espace disque disponible est insuffisant s'affiche. Cette erreur est propre aux systèmes de fichiers UFS sur des disques portant l'étiquette EFI.
Solution : recourez à la solution suivante :
Appliquez l'étiquette de disque SMI VTOC.
Recréez le système de fichiers.
Réexécutez la commande smosservice.
Les problèmes et bogues liés au matériel suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Les systèmes avec les séries Intel Xeon Processor MP 7400 fonctionnant sur un SE Solaris 10 10/08 peuvent connaître une réduction de leurs performances et une plus grande consommation d'énergie malgré une faible consommation des ressources. Ce problème peut se produire si les unités centrales n'autorisent pas le mode de quiescence, ce qui empêche l'activation du mode de gestion d'énergie lorsqu'elles ne sont pas utilisées. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : ajoutez la ligne suivante au fichier /etc/system et réinitialisez le système :
set idle_cpu_prefer_mwait=0 |
La sortie de la commande zpool upgrade -v identifie les périphériques de mise en cache L2RC disponibles. Toutefois, les périphériques de mise en cache ne sont pas disponibles dans la version Solaris 10 10/08. Plusieurs messages d'erreur s'affichent.
Si vous essayez d'ajouter un tel périphérique à un pool de stockage ZFS à sa création, le message d'erreur suivant apparaît :
# zpool create pool mirror c1t1d0 c1t2d0 cache c1t3d0 cannot create 'pool': operation not supported on this type of pool |
Si vous essayez d'ajouter un périphérique de mise en cache à un pool existant, le message d'erreur suivant apparaît :
# zpool add pool cache c1t3d0 cannot add to 'pool': pool must be upgraded to add these vdevs |
Solution : aucune.
bge ne parvient pas à fonctionner normalement avec le périphérique HP NC326i . Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : aucune.
Une régression des performances se produit pour le pilote de périphérique NCP (Niagara Crypto Provider, fournisseur de chiffrement Niagara) sur les machines Sun SPARC® Enterprise T5220 avec la version Solaris 10 10/08. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : ajoutez la ligne suivante au fichier de configuration /platform/sun4v/kernel/drv/ncp.conf :
ncp-threads-per-core=6; |
Les disquettes ne sont pas automatiquement montées à l'insertion de disquettes USB. Aucun message d'erreur n'est affiché. Le système de fichiers pcfs figurant sur la disquette n'est pas accessible.
Solution : montez manuellement le système de fichiers figurant sur la disquette en exécutant la commande mount. Exemple :
mount -F pcfs /vol/dev/dsk/c3t0d0/noname /rmdisk |
Le message d'erreur suivant s'affiche dès que vous déconnectez un périphérique de stockage USB :
Disconnected device was busy, please reconnect. |
Ce message s'affiche lorsque le système en parvient pas à démonter le périphérique.
Solution : aucune. Le message d'erreur peut être ignoré sans risque.
Sur les systèmes présentant des configurations de mémoire volumineuses, il est possible que ZFS alloue la mémoire du noyau à l'ensemble des cartes système. Or, pour assurer la reconfiguration dynamique de la mémoire, une carte système doit rester disponible afin d'y copier la mémoire de la carte à reconfigurer. La reconfiguration dynamique de la mémoire signifie que vous ne pouvez pas reconfigurer dynamiquement la mémoire des systèmes présentant des configurations de mémoire très volumineuses et exécutant ZFS. Les serveurs SunFireTM haut de gamme peuvent réallouer les pages du noyau afin d'éviter ce problème. La KPR (Kernel Page Relocation, réallocation de page du noyau) doit être activée sur ces serveurs pour les domaines possédant plus de 32 noyaux. Aucun message d'erreur ne s'affiche.
Solution : réduisez la quantité de mémoire du noyau allouable par ZFS en définissant le paramètre zfs_arc_max dans le fichier /etc/system. Dans l'exemple suivant, la taille maximale est définie sur 512 méga-octets.
set zfs_arc_max = 0x20000000 |
La sous-commande mpathadm show logical-unit indique la valeur de configuration globale de l'équilibrage de charge pour la propriété Current Load Balance. Cependant, les entrées du fichier csi_vhci.conf qui modifient le type d'équilibrage de charge pour un produit spécifique n'ont aucune correspondance dans la sortie mpathadm, même si le paramètre est activé.
Si les processus d'arrière-plan de l'outil d'enregistrement restent en cours d'exécution, les mémoires graphiques Elite3D et Creator3D interrompent la gestion de l'énergie. Cette panne réduit les économies d'énergie lorsque le système est en mode de gestion d'énergie. Dans certaines conditions, sys-suspend risque également d'être suspendu. Aucun message d'erreur n'est affiché. Le système risque d'être suspendu lors de l'opération d'interruption ou de reprise.
Solution :
Exécutez la commande suivante environ 60 secondes après chaque connexion :
# pkill -f basicreg.jar # pkill -f swupna.jar |
SE Solaris 10 comporte une nouvelle structure cryptographique. Cependant, les versions 1.0 et 1.1 du logiciel et du microprogramme de la carte Sun Crypto Accelerator 4000 n'utilisent pas cette structure. Par conséquent, ces versions ne sont pas prises en charge dans SE Solaris 10.
La version 2.0 utilise la nouvelle structure. Cette version est disponible gratuitement pour les utilisateurs de la carte Sun Crypto Accelerator 4000 qui envisagent d'installer le SE Solaris 10. En raison du contrôle exercé sur l'exportation de la carte Sun Crypto Accelerator 4000, vous devez contacter les services clientèle destinés aux entreprises Sun Enterprise ou votre distributeur local pour vous procurer cette mise à niveau. Des informations supplémentaires sont disponibles sur la page Web de Sun Crypto Accelerator 4000 du site des produits de Sun .
La prise en charge de certains contrôleurs USB 2.0 a été désactivée en raison d'incompatibilités entre ces périphériques et le pilote EHCI. Le message suivant s'affiche :
Due to recently discovered incompatibilities with this USB controller, USB2.x transfer support has been disabled. This device will continue to function as a USB1.x controller. If you are interested in enabling USB2.x support please refer to the ehci(7D) man page. Please refer to www.sun.com/io for Solaris Ready products and to www.sun.com/bigadmin/hcl for additional compatible USB products. |
Les dernières informations concernant les périphériques USB sont disponibles sur le site http://www.sun.com/io_technologies/USB-Faq.html.
Cette version de Solaris prend en charge les périphériques USB 1.1 et USB 2.0. Le tableau suivant résume les périphériques USB fonctionnant sur des configurations spécifiques. Les connexions peuvent se faire directement sur l'ordinateur ou via un hub USB. Notez que les périphériques et hubs USB 1.1 sont à basse ou haute vitesse. Les périphériques et hubs USB 2.0 sont à haute vitesse. Pour plus de détails sur les ports et les vitesses de fonctionnement, reportez-vous au document System Administration Guide: Devices and File Systems .
Tableau 2–1 Périphériques USB et configurations
Périphériques USB |
Types de connexion |
---|---|
Périphériques de stockage USB 2.0 |
Directe, hub USB 1.1, hub USB 2.0 |
Périphériques USB 1.1 sauf audio |
Directe, hub USB 1.1, hub USB 2.0 |
Périphériques audio USB 1.1 |
Directe, hub USB 1.1 |
Périphériques audio USB 2.0 |
Non pris en charge |
La liste suivante décrit les limites avec certains pilotes et interfaces dans cette version de Solaris10 pour les plates-formes x86 :
Cette fonctionnalité est désactivée pour tous les types de périphériques. Dans le code DDI_SUSPEND de la fonction detach(), vous devez renvoyer DDI_FAILURE.
Cette fonctionnalité n'est pas disponible pour les périphériques USB. Ne créez pas de composants de gestion d'énergie. Écrivez le pilote de manière que les fonctions pm_raise_power() et pm_lower_power() soient appelées seulement lorsque les composants de gestion d'énergie sont créés.
La fonction de gestion d'énergie des périphériques interactifs tels que les médias amovibles est liée à la gestion d'énergie de l'écran et de sa carte graphique. Si votre écran est actif, les périphériques tels que les lecteurs de CD-ROM et de disquettes restent en mode plein régime. Ces périphériques peuvent passer en mode bas régime sur un système sans écran. Pour réalimenter en énergie le lecteur de CD ou de disquettes, tapez volcheck pour obtenir le dernier état de chaque périphérique amovible.
Vous pouvez également désactiver la gestion de l'énergie sur le système à l'aide de l'interface graphique Dtpower. Ce faisant, ces périphériques fonctionneront constamment à plein régime.
Par défaut, le programme kdmconfig spécifie Generic US-English(104-Key) comme type de clavier connecté au système. Si le clavier du système n'est pas un clavier anglais-US, vous devez dans ce cas spécifier manuellement le clavier au cours de l'installation. Sinon, l'installation continue avec une spécification de clavier par défaut ne correspondant pas au type de clavier du système.
Solution 1 : si le clavier du système n'est pas un clavier anglais-US, effectuez la procédure suivante au cours de l'installation :
Lorsque la fenêtre de configuration du système proposée pour l'installation s'affiche, appuyez sur Échap.
Les informations sur cette fenêtre, comportant le type de clavier, sont affichées pendant 30 secondes. Si vous voulez changer les paramètres de la configuration, appuyez sur Échap avant la fin de ce laps de temps. Sinon, l'installation continue avec les paramètres affichés.
Changez le type de clavier en choisissant le type correspondant au clavier de votre système.
Appuyez sur Entrée pour accepter le changement et poursuivre l'installation.
Solution 2 : si vous souhaitez modifier le type de clavier d'un système exécutant déjà SE Solaris 10, servez-vous du programme kdmconfig. Choisissez l'option qui s'applique au type de serveur X fonctionnant sur votre système.
Si le serveur Xsun est installé sur votre système, procédez comme suit :
Exécutez la commande kdmconfig.
À l'aide de l'option Change Keyboard, changez le type de clavier.
Enregistrez la configuration.
Si le serveur Xorg est installé sur votre système, procédez comme suit :
Exécutez la commande kdmconfig.
Sélectionnez le serveur Xsun.
À l'aide de l'option Change Keyboard, changez le type de clavier.
Enregistrez la configuration.
Exécutez de nouveau la commande kdmconfig pour activer le serveur Xorg.
Le pilote jfca pour les adaptateurs de bus hôte suivants peut provoquer une panique du système ou des échecs E/S lorsque ces HBA sont connectés à des lecteurs de bandes :
SG-PCI1FC-JF2
SG-PCI2FC-JF2
Le pilote jfca des HBA peut se trouver confronter à une situation dans laquelle certaines opérations risquant de provoquer des erreurs sont exécutées. Ces opérations sont les suivantes :
Réinitialisation de liens ;
Réinitialisation de la boucle ;
Réinitialisation de la commutation ;
Échecs de liens répétés.
Des messages d'erreur semblables à ceux des exemples suivants peuvent s'afficher :
Messages d'échec E/S
jfca: [ID 277337 kern.info] jfca4: Sequencer-detected error. Recover immediately. last message repeated 18376 times jfca: [ID 716917 kern.notice] jfca4: ExgWarning: SendVerify(1): SHOULD ABORT THE ORIG I/O PKG=30007520bd8! scsi: [ID 107833 kern.warning] WARNING: /pci@1e,600000/SUNW,jfca@3,1/fp@0,0/st@w2100001086108 628,1 (st3): SCSI transport failed: reason 'timeout': giving up |
Message de panique du système
panic[cpu1]/thread=2a100497cc0: BAD TRAP: type=31 rp=2a1004978d0 addr=a8 mmu_fsr=0 occurred in module "jfca" due to a NULL pointer dereference |
Solution : ne connectez aucun lecteur de bandes à l'adaptateur (HBA) SG-PCI1FC-JF2 ou SG-PCI2FC-JF2.
Un conflit de bus se produit si des cartes Quad Fast-Ethernet (QFE) partagent le même bus avec l'un des adaptateurs suivants :
adaptateur Sun GigaSwift ;
adaptateur Sun Dual Gigabit Ethernet et Dual SCSI/P ;
adaptateur Sun Quad Gigaswift Ethernet.
Le paramètre infinite-burst du pilote ce utilisé par ces adaptateurs est activé par défaut. Par conséquent, le délai sur le bus pour permettre aux ports QFE de le partager est insuffisant ou il est écoulé.
Solution : ne placez pas les cartes QFE sur le même bus que les adaptateurs réseau de la liste.
La fonction DDI hat_getkpfnum() est obsolète. Les développeurs doivent mettre à jour les pilotes de leurs périphériques de manière qu'ils n'utilisent pas l'interface DDI de la fonction hat_getkpfnum. () Si les pilotes utilisent la fonction hat_getkpfnum,() des avertissements semblables à ceux de l'exemple suivant s'affichent :
WARNING: Module mydrv is using the obsolete hat_getkpfnum(9F) interface in a way that will not be supported in a future release of Solaris. Please contact the vendor that supplied the module for assistance, or consult the Writing Device Drivers guide, available from http://www.sun.com for migration advice. --- Callstack of bad caller: hat_getkpfnum_badcall+93 hat_getkpfnum+6e mydrv_setup_tx_ring+2d mydrv_do_attach+84 mydrv_attach+242 devi_attach+6f attach_node+62 i_ndi_config_node+82 i_ddi_attachchild+4a devi_attach_node+4b devi_attach_children+57 config_immediate_children+6e devi_config_common+77 mt_config_thread+8b |
Pour déterminer si un pilote utilise la fonction hat_getkpfnum(), consultez le code source du pilote ou examinez les symboles de celui-ci à l'aide de la fonction nm(). En vous basant sur le pilote mydrv comme exemple, tapez la syntaxe suivante :
% nm /usr/kernel/drv/mydrv | grep hat_getkpfnum |
Pour des instructions sur la migration des pilotes de façon à les éloigner de hat_getkpfnum(), reportez-vous à l'Annexe B, Summary of Solaris DDI/DKI Services du Writing Device Drivers.
La valeur par défaut du délai d'attente de la partie SCSI de la carte SunSwiftTM PCI Ethernet/SCSI (X1032A) ne correspond pas au délai d'attente du lecteur SCSI DVD-ROM de Sun (X6168A). Avec un média marginal, le lecteur de DVD-ROM rencontre parfois des erreurs de délai d'attente. Les seules exceptions étant les systèmes Sun Fire 6800, 4810, 4800 et 3800. Ces systèmes remplacent la valeur de délai d'attente SCSI à l'aide de OpenBoot PROM.
Solution : pour d'autres plates-formes, utilisez les interfaces SCSI intégrées ou les adaptateurs SCSI compatibles avec les lecteurs de DVD-ROM, comme dans les exemples suivants :
X1018A (SBus : F501-2739-xx)
X6540A (PCI : F375-0005-xx)
Cette section fournit des informations importantes aux utilisateurs de iPlanet TM Directory Server 5.1 qui effectuent des mises à niveau vers la nouvelle version de Solaris10.
Sun Java System Directory Server 5 2005Q1 remplace iPlanet Directory Server 5.1 qui était intégré au système d'exploitation Solaris 9. Dans SE Solaris 10, ce nouveau serveur d'annuaire peut être installé comme partie intégrante de Sun Java Enterprise System.
Pour plus d'informations concernant le serveur d'annuaire Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System, consultez la documentation de Sun Java System sur le site http://docs.sun.com.
SE Solaris 10 continue de prendre en charge Directory Server 5.1. Il peut être cependant nécessaire d'installer Directory Server 5.1 dans les cas suivants :
Vous devez récupérer des données Directory Server 5.1.
Vous voulez faire migrer des données vers Directory Server 5 2005Q1.
Dans la version Solaris10, l'installation de Directory Server 5.1 s'effectue manuellement. Procédez comme suit :
Insérez le CD 5 du logiciel Solaris 10 dans le lecteur de CD-ROM.
Prenez le rôle de superutilisateur.
Dans une fenêtre du terminal, installez Directory Server.
# cd /cdrom/cdrom0/Solaris_10/Product/ # pkgadd -d . IPLTnls IPLTnspr IPLTnss IPLTjss IPLTpldap \ IPLTdsr IPLTdsu IPLTadmin IPLTcons IPLTadcon IPLTdscon \ IPLTadman IPLTdsman |
Pour installer les packages de la version localisée en chinois simplifié, exécutez la commande supplémentaire ci-dessous :
# pkgadd -d . IPLTcdsu IPLTcadmin IPLTccons IPLTcadcon \ IPLTcdscon IPLTcadman IPLTcdsman |
Pour installer les packages de la version localisée en japonais, exécutez la commande supplémentaire ci-dessous :
# pkgadd -d . IPLTjdsu IPLTjadmin IPLTjcons IPLTjadcon \ IPLTjdscon IPLTjadman IPLTjdsman |
Une fois l'installation terminée, configurez iPlanet Directory Server 5.1. Reportez-vous au Chapitre 11, Sun ONE Directory Server Configuration du System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP).
Les formats des bases de données des deux versions de Directory Server sont incompatibles. Par conséquent, si vous êtes un utilisateur de Directory Server 5.1, Sun vous recommande de migrer la base de données vers une base de données formatée pour Directory Server 5 2005Q1 de Sun Java System .
Pour que la migration puisse s'effectuer, les deux versions de Directory Server doivent exister dans le système qui a été mis à niveau vers le SE Solaris 10. Si vous êtes un utilisateur de DS 5.1, mais que vous utilisez le format de distribution d'archives compressé (.tar.gz), vous pouvez passer immédiatement aux instructions de migration de l'étape 2.
Dans une fenêtre du terminal, vérifiez si les packages iPlanet Directory Server 5.1 sont présents sur votre système.
$ pkginfo | grep IPLT |
Si les packages suivants sont présents sur le système, passez directement à l'étape 2 pour procéder à la migration. La liste ci-dessous contient les packages iPlanet Directory Server 5.1 présents sur le système.
system IPLTadcon Administration Server Console system IPLTadman Administration Server Documentation system IPLTadmin Administration Server system IPLTcons Console Client Base system IPLTdscon Directory Server Console system IPLTdsman Directory Server Documentation system IPLTdsr Directory Server (root) system IPLTdsu Directory Server (usr) system IPLTjss Network Security Services for Java system IPLTnls Nationalization Languages and Localization Support system IPLTnspr Portable Runtime Interface system IPLTnss Network Security Services system IPLTpldap PerLDAP $ |
Si les packages n'existent pas, installez-les. Reportez-vous à l'étape 4 de la procédure de la section précédente Installation de Directory Server 5.1. Une fois l'installation terminée, passez à l'étape 2 pour procéder à la migration.
Migrez la base de données iPlanet Directory Server 5.1 vers la version actuelle. Pour plus d'instructions, reportez-vous à la documentation pour le serveur d'annuaire Sun Java System sur le site suivant : http://docs.sun.com/coll/DirectoryServer_05q1.
Après la migration de vos données, continuez à sauvegarder les données d'annuaire comme vous le faisiez avant la migration. Toute reprise sur sinistre peut nécessiter la base de données migrée.
Les problèmes suivants concernent le débogueur du noyau.
Un système qui exécute le débogueur de noyau Solaris pour déboguer un système en direct peut effectuer une boucle avec des messages d'erreur incomplets. Cette boucle se produit lorsque la CPU maîtresse d'OpenBoot PROM est changée. La réinitialisation du système restaure le fonctionnement de celui-ci. Cependant, toute trace de l'échec d'origine est perdue. Par conséquent, il n'est pas possible d'effectuer un diagnostic de la réinitialisation fatale.
Solution : lorsque le système est au niveau de la PROM, l'invite ok d'OpenBoot s'affiche. Dans un système avec plusieurs CPU, l'invite ok est précédée d'un chiffre entre accolades. Ce chiffre indique la CPU qui est active dans le système. Pour exécuter la session de débogage au niveau de la PROM, procédez comme suit.
Augmentez la valeur de pil à f en tapant la commande suivante :
{0} ok h# 0f pil! |
Utilisez la commande switch-cpu pour commuter entre la CPU active et d'autres CPU. Par exemple, pour commuter de la CPU n°0 à la CPU n°1, tapez la commande suivante :
(0) ok 1 switch-cpu |
L'invite ok est maintenant précédée du chiffre de la CPU vers laquelle vous avez permuté.
{1} ok |
Exécutez le débogueur.
À la fin de la session de débogage, exécutez une commande reset-all pour rétablir le système en utilisation normale.
Assurez-vous de mettre à niveau le système vers la dernière version d'OpenBoot PROM.
Cette section décrit les problèmes de localisation s'appliquant au SE Solaris 10.
Le logiciel n'est plus mis à jour en suédois à compter de la version Solaris 10 8/07 excepté celles localisées par les communautés. En conséquence, les messages des mises à jour s'affichent en anglais.
Solution : aucune.
Par défaut, lorsque vous vous connectez à Trusted Java DS dans un environnement UTF-8 ou asiatique, l'application de commutation de la méthode d'entrée, iiim-panel, s'affiche par étiquette. Dans un environnement d'étiquette multiple, plusieurs iiim-panel s'affichent, ce qui peut être source de confusion pour l'utilisateur.
Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : Arrêtez l'utilisation de iiim-panel. Procédez comme suit :
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur iiim-panel et sélectionnez Préférences. L'éditeur de préférence de la méthode d'entrée, iiim-properties, s'affiche.
Sélectionnez Aucun ou Attacher à chaque application dans la liste État de la méthode de saisie et placement du commutateur de l'onglet Général.
Cliquez sur Appliquer ou sur OK.
Vous pouvez également changer la langue d'entrée à l'aide de l'option de raccourci clavier. Pour activer le raccourci clavier, suivez la procédure ci-dessous :
Accédez à l'onglet Divers de iiim-properties.
Sélectionnez la fenêtre de choix d'activation de la langue/du script à l'aide de l'option de raccourci clavier.
Cliquez sur Appliquer ou sur OK.
Lorsque vous sélectionnez l'option Attacher à chaque application, la liste des commutateurs de langue ne s'affiche pas dans les applications GTK. Vous pouvez changer la langue d'entrée à l'aide du raccourci clavier.
Il est impossible d'utiliser la méthode d'entrée japonaise Wnn8 si les serveurs Wnn8 ne sont pas activés.
Solution : activez les serveurs Wnn8 :
# svcadm enable wnn8/server |
De plus, sélectionnez Wnn8 comme moteur de langue japonaise en exécutant la commande iiim-properties.
Un utilisateur possédant les droits d'administrateur principal ne peut pas employer la méthode d'entrée dans certains environnements linguistiques, ce qui l'empêche de saisir des caractères normalement. Le statut de la méthode d'entrée ne s'affiche pas dans l'espace de travail. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : ajoutez les lignes suivantes au fichier /etc/security/exec_attr :
Primary Administrator:solaris:cmd:::/usr/bin/csh:uid=0;gid=0 Primary Administrator:solaris:cmd:::/usr/bin/ksh:uid=0;gid=0 Primary Administrator:solaris:cmd:::/usr/bin/sh:uid=0;gid=0 |
Pour obtenir des informations sur le format du fichier, reportez-vous à la page de manuel exec_attr(4).
En cas de mise à niveau du système d'exploitation vers la version Solaris 10 6/06 ou Solaris 10 11/06, la structure de méthode d'entrée et les méthodes d'entrée individuelles sont mises à niveau de la rév.10 vers la rév.12. Toutefois, ChuYin ne figure pas dans les méthodes d'entrée prises en charge. En outre, les touches de fonction F2 et F3 ne peuvent pas être utilisées pour sélectionner les méthodes.
Solution : utilisez PinYin pour saisir des caractères du chinois traditionnel à l'aide de Hanyu PinYin. Sélectionnez la méthode d'entrée de votre choix à l'aide du raccourci Ctrl+Maj.
La touche Alt Gr ne permet pas de changer de mode entre plusieurs configurations Xsun russes dans les environnements linguistiques ru_RU.KOI8-R et ru_RU.ANSI1251.
Solution 1 : sélectionnez l'environnement ru_RU.UTF-8 ou ru_RU.ISO8859-5.
Solution 2 : utilisez IIIMFTM à la place de la configuration de clavier russe.
Si le système x86 utilise Xorg en tant que serveur X par défaut, la police arabe (iso7759-6) n'apparaît pas dans l'environnement linguistique ar. Cette erreur ne se produit pas si vous utilisez XSun à la place de XOrg.
Solution : Procédez comme indiqué ci-dessous.
En qualité de superutilisateur, modifiez /usr/dt/config/Xservers.
Annulez le commentaire ou ajoutez la ligne suivante :
:0 Local local_uid@console root /usr/openwin/bin/Xsun :0 -nobanner -defdepth 24 |
Commentez la ligne suivante :
:0 Local local_uid@console root /usr/X11/bin/Xorg :0 |
Redémarrez le système.
Vous pouvez également vous connecter à des environnements linguistiques ar_EG.UTF-8 ou à d'autres environnements UTF.
Si vous échangez des données multioctet entre un PDA et Solaris CDE, vous risquez d'altérer ces données dans les deux environnements.
Solution : sauvegardez vos données sur votre ordinateur personnel à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde PDA avant d'exécuter l'application Solaris PDASync. Si vous échangez accidentellement des données multioctet et qu'elles sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.
Dans GNOME, lorsque vous sélectionnez certaines polices arabes, les caractères n'apparaissent pas. Ce problème se produit lorsque vous sélectionnez des polices pour des applications, le bureau ou le titre de la fenêtre via le menu des propriétés de police de GNOME. Les polices affectées sont notamment :
Akhbar MT (Normal, Gras)
Shayyal MT (Normal, Gras)
Naskh MT (Normal, Gras)
Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution :
Utilisez l'une des nouvelles familles de polices Kacst pour afficher les caractères arabes dans des applications GNOME.
Plusieurs langues d'entrée sont prises en charge dans les environnements linguistiques UTF mais le changement de langue ne fonctionne pas avec des applications de session lorsque vous cliquez sur le bouton gauche de la souris pour la première fois après la connexion. Ce problème se produit avec Java Desktop System (Java DS). Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution :
Cliquez sur le bouton 1 de la souris dans l'espace d'arrière-plan ou sur le menu de démarrage avant de cliquer sur une application.
Les raccourcis clavier dans Mozilla 1.7 sont inhabituels, notamment dans l'environnement linguistique espagnol. Par exemple, Ctrl+S permet de copier et d'enregistrer. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution :
Identifiez les touches de raccourci affectées aux actions de l'utilisateur depuis le menu du produit.
Lors de la migration vers un environnement linguistique UTF-8, les fichiers affectent la méthode utilisée pour l'importation ou l'exportation des données.
Les fichiers Microsoft Office sont codés en Unicode. Les applications StarOffice peuvent lire les fichiers codés en Unicode et écrire dedans.
Les fichiers HTML créés à l'aide d'éditeurs HTML tels que Mozilla Composer ou enregistrés dans un navigateur Web contiennent généralement une balise de codage charset. Après l'exportation ou l'importation, vous pouvez parcourir de tels fichiers HTML à l'aide du navigateur Web Mozilla ou les modifier à l'aide de Mozilla Composer, suivant la balise de codage du fichier HTML.
Certains fichiers HTML peuvent s'afficher dans des caractères inexploitables. Ce problème est généralement lié à l'un des motifs suivants :
La balise de codage charset est incorrecte.
La balise de codage charset est manquante.
Pour retrouver la balise de codage charset au sein du fichier HTML, réalisez les opérations suivantes :
Ouvrez le fichier dans Mozilla.
Appuyez sur les touches Ctrl-i ou cliquez sur View pour ouvrir le menu View.
Cliquez sur Page Info.
Les informations charset figurent en bas de l'onglet General, par exemple :
Content-Type text/html; charset=us-ascii |
Si la chaîne charset=us-ascii ne correspond pas au codage réel du fichier, celui-ci peut paraître altéré. Pour modifier les codes du fichier HTML, procédez comme suit :
Ouvrez le fichier dans Mozilla Composer.
Ouvrez le menu Fichier.
Sélectionnez Save as Charset.
Sélectionnez le codage approprié. Mozilla Composer convertit automatiquement le codage et la balise charset comme il se doit.
Les e-mails envoyés par modern comportent la balise MIME charset. Or, les applications d'e-mail et de calendrier acceptent les balises MIME charset. Vous n'avez donc pas besoin d'exécuter une conversion de codage.
Les fichiers ordinaires ne comportent pas de balise charset. Si les fichiers ne sont pas codés en UTF-8, il est nécessaire de convertir le codage. Par exemple, pour convertir un fichier ordinaire codé en big5 en chinois traditionnel vers UTF-8, exécutez la commande suivante :
iconv -f big5 -t UTF-8 inputfilename > outputfilename |
Vous pouvez également utiliser File System Examiner pour la conversion de codage.
Vous pouvez utiliser Text Editor pour lire et écrire le texte de codage des caractères automatiquement ou par la spécification explicite d'un codage lors de l'ouverture ou de l'enregistrement d'un fichier.
Pour lancer Text Editor, cliquez sur Launch, puis choisissez Applications->Accessories->Text Editor.
Si les noms de fichiers et de dossiers utilisant des caractères multi-octets n'utilisent pas le codage UTF-8, une conversion de codage est nécessaire. Vous pouvez utiliser File System Examiner pour convertir les noms de fichiers et de dossiers, ainsi que le contenu des fichiers ordinaires du codage d'origine des caractères en codage UTF-8. Pour plus d'informations, reportez-vous à l'aide en ligne de File System Examiner.
Pour lancer File Systems Examiner, cliquez sur Launch, puis choisissez Applications->Utilities->File System Examiner.
Lorsque vous accédez à des noms de fichiers ou de dossiers non-UTF-8 sous Microsoft Windows via SMB à l'aide du Gestionnaire de fichiers, vous pouvez le faire sans conversion de codage.
Pour les applications qui ne sont pas prêtes pour une migration vers Unicode UTF-8, vous pouvez créer un programme de lancement sur un panneau avant pour exécuter l'application dans des environnements linguistiques anciens. Vous pouvez également lancer les applications directement à partir de la ligne de commande. Pour créer un programme de lancement pour une application, procédez comme suit :
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le panneau où vous souhaitez placer le programme de lancement.
Sélectionnez Add to Panel->Launcher.
Utilisez le format suivant pour saisir l'entrée dans le champ Command de la boîte de dialogue Create Launcher :
env LANG=locale LC_ALL= locale application name |
Par exemple, si vous souhaitez lancer une application appelée motif-app à partir de /usr/dt/bin dans l'environnement linguistique Chinese Big5, saisissez le texte suivant dans le champ Command de la boîte de dialogue Create Launcher :
env LANG=zh_TW.BIG5 LC_ALL=zh_TW.BIG5 /usr/dt/bin/motif-app |
Cliquez sur OK pour créer le programme de lancement sur le panneau.
Lorsqu'il vous faut exécuter des applications à interface de ligne de commande (CLI, command line interface) spécifiques à un environnement linguistique ancien, commencez par ouvrir une fenêtre Terminal dans l'environnement linguistique ancien, puis exécutez les applications CLI dans la même fenêtre Terminal. Pour ouvrir une fenêtre Terminal dans un environnement linguistique ancien, saisissez la commande suivante :
eng LANG=locale LC_ALL=locale GNOME-TERMINAL –disbable-factory. |
Au lieu d'ouvrir une nouvelle fenêtre Terminal dans un environnement linguistique ancien, vous pouvez faire passer le paramètre d'environnement linguistique de UTF-8 vers un environnement linguistique ancien dans la fenêtre Terminal active. Pour cela, il suffit de changer de codage dans le menu Set Character Encoding dans la fenêtre Terminal. Ensuite, il faut également définir les variables d'environnement LANG et LANG sur le shell actif.
Le système d'exploitation Solaris inclut la prise en charge logicielle de certaines configurations de clavier : Ce logiciel offrira aux utilisateurs une plus grande flexibilité d'entrée au clavier en leur permettant d'adapter les configurations de claviers américains standard à leurs propres besoins linguistiques.
Le matériel dédié aux types de configuration de clavier suivants n'est pas disponible à ce stade :
Albanie |
Belarus |
Belarus |
Français canadien |
Croatie |
Tchèque |
Danemark |
Estonie |
Hongrie |
Islande |
Lettonie |
Lituanie |
Maltais britannique |
Maltais américain |
Pologne |
Portugais brésilien |
Roumanie |
Serbie-et-Monténégro |
Slovaquie |
Slovénie |
Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :
Solution 1 : pour exploiter ce logiciel de clavier, configurez l'entrée au clavier à l'aide de l'utilitaire de ligne de commande kbd -s. Pour les sessions de bureau présentant l'environnement linguistique UTF-8, utilisez l'éditeur de préférence de la méthode d'entrée. Si la configuration de clavier requise n'est pas incluse dans l'utilitaire kbd -s, appliquez la solution 2.
Solution 2 : modifiez le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. Par exemple, pour le clavier canadien de type 6, effectuez les modifications suivantes :
Changez l'entrée US6.kt en Canada6.kt dans le fichier dans le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
6 0 Canada6.kt |
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Le tri ne fonctionne pas correctement dans les environnements localisés UTF-8 européens.
Solution : avant d'effectuer un tri dans un environnement localisé UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE avec l'équivalent ISO–1.
# echo $LC_COLLATE > es_ES.UTF-8 # LC_COLLATE=es_ES.IS08859-1 # export LC_COLLATE |
Vous pouvez alors lancer le tri.
Les bogues de réseau suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Le chipset Broadcom NetXtreme II 5709 (BCM5709) n'est pas pris en charge dans la version Solaris 10 10/08.
Solution : téléchargez le pilote bnx depuis le site Web : http://www.broadcom.com/support/ethernet_nic/downloaddrivers.php.
Les chipsets peuvent subir une régression des performances après l'installation du pilote téléchargé.
Des erreurs de connexion peuvent se produire entre un client et un serveur NFS utilisant l'accès mémoire direct à distance (RDMA, Remote Direct Memory Access). En raison de ces erreurs, les ressources de pool du tampon s'épuisent et le système panique. Le message d'erreur suivant s'affiche :
rpcib: WARNING: rib_rbuf_alloc: No free buffers! |
Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :
Configurez le serveur NFS de manière à activer TCP. Dans le fichier /etc/default/nfs, modifiez (NFSD_PROTOCOL=tcp).
Montez le système de fichiers NFS du côté client avec l'option de montage proto=tcp.
Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages de manuel mount_nfs(1M)etnfs(4)
Si une baie ou une cible iSCSI renvoie plusieurs adresses IP dans sa réponse send target, l'initiateur ne prend en compte que la dernière adresse de la liste (et non la première comme dans les versions antérieures). Par conséquent, si la dernière adresse IP est incorrecte, la connexion à cette cible échoue.
Solution : renvoyez les différentes TBGT (Target Portal Group Tag, étiquette de groupe de portails cibles) associées à chaque entrée dans sa réponse send target. L'initiateur essaie toutes les adresses IP jusqu'à ce que la connexion soit établie.
Le domaine système d'interprétation (DOI, Domain System of Interpretation) n'est pas configurable. Lorsque vous créez un modèle de réseau de confiance à l'aide de la console de gestion Solaris, celle-ci définit le DOI sur 0 et Solaris Trusted Extensions ne fonctionne pas correctement. Plusieurs messages d'erreur s'affichent.
Solution : définissez le DOI sur 1 à l'aide de la console de gestion Solaris.
Dans cette version de Solaris, la transmission IP est désactivée par défaut. Cette configuration s'applique à IPv4 et IPv6 indépendamment des autres configurations du système. Les systèmes avec plusieurs interfaces IP, qui transmettaient les paquets IP, ne disposent plus par défaut de cette fonction automatique. Pour activer la transmission IP sur des systèmes à multi-hébergement, les administrateurs doivent manuellement effectuer davantage d'opérations de configuration.
Solution : la commande routeadm active la transmission IP. Les modifications apportées à la configuration résultant de l'utilisation de la commande routeadm persistent après plusieurs réinitialisations du système.
Pour activer le transfert IPv4, saisissez routeadm -e ipv4-forwarding .
Pour activer le transfert IPv6, saisissez routeadm -e ipv6-forwarding .
Pour appliquer la configuration de transmission IP activée au système en cours de fonctionnement, tapez routeadm -u.
Pour plus d'informations sur le transfert IP, reportez-vous à la page man routeadm(1M).
Vous pouvez configurer une zone de manière que l'adresse IP de la zone fasse partie d'un groupe de multiacheminement sur réseau IP. La section Extension de la fonction IPMP aux zones non globales en mode IP partagé du Guide d’administration système : Gestion des ressources conteneurs Solaris et des zones Solaris décrit le processus de configuration .
Lorsque toutes les interfaces réseau du groupe de multiacheminement sur réseau IP échouent, une zone ne s'initialise pas si elle comporte une adresse IP faisant partie de ce groupe.
L'exemple suivant montre le résultat obtenu si vous tentez d'initialiser la zone.
# zoneadm -z my-zone boot zoneadm: zone 'my-zone': bge0:1: could not set default interface for multicast: Invalid argument zoneadm: zone 'my-zone': call to zoneadmd failed |
Solution : réparez au moins une interface réseau dans le groupe.
Les cibles Internet SCSI (iSCSI) risquent de signaler des erreurs de contrôle de redondance cyclique (CRC, cyclic redundancy check) lorsque des DataDigests sont activés. Les applications utilisateur qui mettent à jour les tampons d'entrée/sortie après la transmission vers l'initiateur iSCSI risquent d'entraîner un mauvais calcul du CRC. Lorsque la cible renvoie une erreur CRC, l'initiateur iSCSI retransmet les données avec le CRC DataDigest correct. L'intégrité des données est préservée. Néanmoins, cela affecte les performances du système en matière de transfert des données. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : n'utilisez pas l'option DataDigest.
Si vous configurez plusieurs tunnels IP entre deux nœuds IP et validez ip_strict_dst_multihoming ou d'autres filtres IP, cela peut entraîner une perte de paquets.
Solution : vous avez deux possibilités
Commencez par configurer un seul tunnel entre deux noeuds IP. Ajoutez des adresses au tunnel au moyen de la commande ifconfig et de l'option addif.
Ne validez pas ip_strict_dst_multihoming sur des tunnels entre deux noeuds IP.
Les problèmes de sécurité suivants s'appliquent à la version Solaris10.
Une fois le module PAM de gestion des comptes de LDAP (pam_ldap) activé, les utilisateurs doivent posséder un mot de passe pour pouvoir se connecter au système. Par conséquent, les connexions sans mot de passe échouent, y compris celles utilisant les outils suivants :
Remote shell (rsh) ;
Remote login (rlogin) ;
un shell sécurisé (ssh).
Solution : aucune.
Un système Sun StorEdgeTM T3 peut paniquer si une application utilise l'interface HTTP pour envoyer des jetons avec des paramètres hors des limites fixées.
Cette section décrit les problèmes liés au module de gestion des services de SE Solaris 10. Pour plus d'informations sur cette nouvelle fonction dans le système d'exploitation Solaris, reportez-vous à la section Solaris Service Manager du Nouveautés de Solaris 10.
Lors du démarrage d'un système, il arrive parfois que les services de connexion, tels que la connexion à la console ou une connexion ssh, démarrent avant que les systèmes de fichiers distants et les services d'attribution de noms soient disponibles. Par conséquent, il peut arriver que le nom de l'utilisateur ne soit pas reconnu ou que le répertoire d'accueil de l'utilisateur ne soit pas disponible.
Solution : si l'erreur se produit, attendez quelques secondes, puis reconnectez-vous. Vous pouvez également vous connecter à partir d'un compte local pour visualiser l'état du système.
Les bogues de carte à puce suivants s'appliquent au SE Solaris 10.
Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.
Solution : pour déverrouiller votre système, procédez comme indiqué ci-dessous.
Connectez-vous à distance à la machine sur laquelle le processus ocfserv a été interrompu.
Prenez le rôle de superutilisateur.
Arrêtez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal.
# pkill dtsession |
ocfserv redémarre et la connexion à l’aide d’une carte à puce ainsi que la capacité sont rétablies.
La section suivante décrit les changements de comportement dans certaines commandes et standards du SE Solaris 10.
Les objets de type mutex_t et pthread_mutex_t doivent commencer par des adresses alignées 8 octets. Les applications qui ne remplissent pas cette condition échouent. Le message d'erreur suivant s'affiche :
*** _THREAD_ERROR_DETECTION: lock usage error detected *** ... "mutex is misaligned" OR: "condvar is misaligned" |
Solution : la définition de la variable d'environnement des valeurs suivantes permette le signalement des erreurs d'alignement dans stderr :
THREAD_ERROR_DETECTION=1
THREAD_ERROR_DETECTION=2
Les utilisateurs doivent tester leurs applications avec la variable d'environnement THREAD_ERROR_DETECTION définies sur l'une de ces valeurs et demander la correction des applications non conformes.
Ce bogue se produit lorsque vous utilisez le serveur Samba avec winbind dans un environnement Active Directory. La version Solaris 10 10/08 inclut la version logicielle Samba 3.0.28. Lorsque vous interrogez tous les utilisateurs ou plus de 1000 d'entre eux depuis un serveur Active Directory, winbind ne récupère que les 1000 premiers résultats.
Solution : aucune.
PgAdmin III 1.6 ne peut pas être utilisé pour gérer la version PostgreSQL 8.3. PgAdmin 1.6 ne comprend pas les structures de catalogue dans la nouvelle version PostgreSQL. Plusieurs messages d'erreur s'affichent.
Solution : mise à niveau vers PgAdmin III version 1.8.
Pour cette version, les pages de manuel Solaris Trusted Extensions ayant fait l'objet d'une révision sont les suivantes :
add_allocatable(1M)
remove_allocatable(1M)
label_to_str(3TSOL)
tsol_getrhtype(3TSOL)
tnzonecfg(4)
L'exécution de la commande man ne permet pas d'afficher les pages de manuel révisées. Pour cela, reportez-vous au Solaris Trusted Extensions Reference Manual .
SE Solaris 10 comporte Bash 3.00. Ce shell n'exporte plus automatiquement les variables suivantes dans l'environnement :
HOME
PATH
SHELL
TERM
HOSTNAME
HOSTTYPE
MACHTYPE
OSTYPE
Ce nouveau comportement s'applique même si le shell attribue des valeurs par défaut à ces variables.
Solution : exportez ces variables manuellement.
Le comportement de /usr/bin/ln a été modifié afin de respecter tous les standards de SVID3 à XCU6. Si vous tentez d'établir la liaison vers un fichier cible existant à l'aide de la commande ln sans l'option -f, l'opération échoue. À la place, un message de diagnostic est écrit pour signaler une erreur de standard et la commande lie les fichiers source restants. Finalement, la commande ln se termine avec une valeur d'erreur.
Par exemple, si le fichier b existe, la syntaxe ln a b génère le message suivant :
ln: b: File exists |
Ce changement de comportement a une incidence sur les scripts de shell existants ou les programmes qui comportent la commande ln sans l'option -f. Les scripts qui fonctionnaient auparavant peuvent maintenant échouer dans le SE Solaris 10.
Solution : utilisez l'option -f avec la commande ln. Si vous disposez de scripts qui exécutent l'utilitaire de liens, modifiez ces scripts pour qu'ils soient conformes au nouveau comportement de cette commande.
Dans le SE Solaris 10, tcsh a été mis à niveau vers la version 6.12. Cette version n'accepte plus les variables d'environnement dont le nom comporte un tiret ou un signe égal. Les scripts qui contiennent les lignes setenv et qui fonctionnent dans les versions antérieures de Solaris peuvent générer des erreurs dans la version actuelle du Solaris10. Le message d'erreur suivant s'affiche :
setenv: Syntax error |
Pour plus d'informations, consultez la page de manuel tcsh pour le SE Solaris 10.
Solution : n'utilisez pas de tirets ni de signes égal dans les variables d'environnement.
Les applications créées en stricte conformité avec le standard C sont concernées par les changements de comportement de certaines fonctions de bibliothèque. Par exemple, des applications compilées à l'aide du mode de compilation cc -Xc ou c89. Le comportement des fonctions de bibliothèque suivantes a changé :
fgetc() ;
fgets() ;
fgetwc() ;
fgetws() ;
getc() ;
getchar() ;
gets() ;
getwc() ;
getwchar() ;
getws().
Selon l'interprétation formelle du standard 1990 C, une fois qu'une condition de marquage de fin de fichier end-of-file est appliquée, aucune donnée ne doit plus être retournée du fichier à la suite d'opérations d'entrée ; sauf si le pointeur de fichier est repositionné ou si l'erreur ou les indicateurs de fin de fichier sont explicitement supprimés par l'application.
Le comportement des autres modes de compilation ne change pas. En particulier, les interfaces peuvent lire les dernières données écrites en provenance du flux après que l'indicateur de fin de fichier end-of-file a été appliqué.
Solution : appelez fseek() ou clearerr() sur le flux pour lire les données supplémentaires après que la condition EOF a été signalée sur celui-ci.
En raison d'ID utilisateur et d'ID processeur plus grands, ainsi que d'un temps d'exécution cumulatif plus long, les colonnes de sortie de la commande ps ont été élargies. Par conséquent, les scripts des utilisateurs ne doivent pas être destinés à des colonnes de sortie fixes.
Solution : les scripts doivent utiliser l'option -o de la commande ps.
Pour plus d'informations, reportez-vous à la page de manuel ps(1) .
La commande ping -v échoue lorsqu'elle est appliquée à des adresses qui utilisent la version 6 du protocole Internet IP (IPv6). Le message d'erreur suivant s'affiche :
ping: setsockopt IPV6_RECVRTHDRDSTOPTS Invalid argument |
Solution : aucune. Pour obtenir les mêmes informations de paquet ICMP que celles fournies par la commande ping -v, utilisez la commande snoop .
Les bogues suivants s'appliquent à la version du Solaris10.
Si vous possédez un fichier racine (/) en miroir de Solaris Volume Manager au sein duquel le système de fichiers ne commence pas au cylindre 0, vous ne devez connecter aucun sous-miroir commençant au cylindre 0.
Si vous tentez de connecter un sous-miroir commençant au cylindre 0 sur un miroir dont le sous-miroir original ne commence pas sur ce cylindre, le message d'erreur suivant s'affiche :
can't attach labeled submirror to an unlabeled mirror |
Solution : choisissez l'un des palliatifs suivants :
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir commencent au cylindre 0.
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir ne commencent pas au cylindre 0.
Par défaut, la procédure d'installation de JumpStart commence la copie sur le cylindre 0 et place le système de fichiers racine (/) ailleurs sur le disque. Habituellement, la tranche 0 est démarrée au cylindre 0. Des problèmes peuvent survenir avec la mise en miroir d'une installation JumpStart par défaut avec la racine en tranche 0, mais sans le cylindre 0, vers un disque classique de tranche 0 démarrant au cylindre 0. Cette mise en miroir engendre l'affichage d'un message d'erreur au moment où vous tentez de connecter un second sous-miroir. Pour de plus amples informations sur le comportement par défaut des programmes d'installation de Solaris, reportez-vous aux guides d'installation de Solaris10.
Dans les environnements linguistiques autres que l'anglais, la commande metassist de Solaris Volume Manager peut ne pas parvenir à créer des volumes. Par exemple, si LANG est défini sur ja (japonais), le message d'erreur suivant s'affiche :
xmlEncodeEntitiesReentrant : input not UTF-8 Syntax of value for attribute read on mirror is not valid Value "XXXXXX"(unknown word) for attribute read on mirror is not among the enumerated set Syntax of value for attribute write on mirror is not valid Value "XXXXXX"(Parallel in Japanse) for attribute write on mirror is not among the enumerated set metassist: XXXXXX(invalid in Japanese) volume-config |
Solution : en tant que superutilisateur, définissez la variable LANG sur LANG=C.
Pour les shells Bourne, Korn et Bash, utilisez la commande suivante :
# LANG=C; export LANG |
Pour le shell C, utilisez la commande suivante :
# setenv LANG C |
La création de configurations de volumes Solaris Volume Manager à l'aide de la commande metassist risque d'échouer si le système comprend un disque non formaté. Le message d'erreur suivant s'affiche :
metassist: failed to repartition disk |
Solution : formatez manuellement les disques non formatés avant d'exécuter la commande metassist.
Si vous créez un volume RAID-1 (miroir) ou RAID-5 avec Solaris Volume Manager dans un jeu de disques construit au sommet d'une partition logicielle, les disques hot spare ne fonctionnent pas correctement.
Voici une liste non exhaustive des problèmes susceptibles d'apparaître :
Le disque hot spare risque de ne pas être activé.
L'état du disque hot spare peut changer, indiquant que le périphérique est endommagé.
Un disque hot spare est utilisé, mais il est resynchronisé à partir de l'unité incorrecte.
Un disque hot spare en cours d'utilisation a échoué, mais son état défectueux n'est pas rapporté.
Solution : n'utilisez pas cette configuration pour créer un volume Solaris Volume Manager RAID-1 ou RAID-5 en jeux de disques.
Vous ne pouvez pas remplacer un disque défectueux par un disque qui a été configuré à l'aide du logiciel Solaris Volume Manager. Le nouveau disque doit être inconnu du logiciel Solaris Volume Manager. Si vous déplacez physiquement un disque d'un emplacement vers un autre sur un périphérique Sun StorEdge A5x00, la commande metadevadm échoue. Cette défaillance survient lorsque le nom du périphérique logique de la tranche n'existe plus. L'identificateur de périphérique du disque reste cependant présent sur la copie du métapériphérique. Le message suivant s'affiche :
Unnamed device detected. Please run 'devfsadm && metadevadm -r to resolve. |
Vous pouvez simultanément accéder au disque à son nouvel emplacement. Cependant, vous devez utiliser l'ancien nom de disque logique pour accéder à la tranche.
Solution : remettez le disque dans son connecteur d'extension initial.
Si vous retirez et remplacez un disque physique du système, puis utilisez la commande metarecover -p -d pour écrire les données relatives à la partition logicielle appropriée sur le disque, il en résulte une défaillance ouverte. La commande ne met pas à jour l'espace de noms de la base de données du métapériphérique pour refléter la modification au niveau du disque. Il en résulte une défaillance ouverte pour ladite partition logicielle située au sommet du disque. Le message suivant s'affiche :
Open Error |
Solution : au lieu d'exécuter la commande metarecover pour récupérer la partition logicielle, créez-en une sur le disque.
Si la partition logicielle fait partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.
# metareplace dx mirror or RAID 5 old_soft_partition new_soft_partition |
Cette section décrit les problèmes qui s'appliquent à Sun Java Desktop System (Java DS) dans SE Solaris 10.
Cette section présente les problèmes liés à la messagerie et aux calendriers.
Lorsque vous changez le type d'authentification du serveur de messagerie entrante, l'application Messagerie et calendrier risque de ne plus fonctionner correctement.
Solution : redémarrez Messagerie et calendrier.
Après l'importation d'un fichier LDAP au format DIF (Data Interchange Format) contenant plusieurs contacts, seuls certains de ces contacts apparaissent dans le dossier de contacts. Il s'agit d'un simple problème d'affichage. Messagerie et calendrier a importé tous les contacts.
Solution : redémarrez Messagerie et calendrier.
Cette section décrit les problèmes liés à la connexion.
Vous risquez de rencontrer le message d'erreur suivant lors de l'ouverture d'une session Java Desktop System :
Could not look up internet address for hostname. This will prevent GNOME from operating correctly. It may be possible to correct the problem by adding hostname to the file /etc/hosts |
Solution : assurez-vous d'avoir bien configuré le nom d'hôte dans le fichier /etc/hosts. Procédez comme suit :
Configurez le nom d'hôte dans le fichier /etc/hosts comme suit :
127.0.0.1 localhost loghost hostname localhost.localdomain |
nom d'hôte correspond au nom de votre système.
Veillez à ce que votre nom d'hôte apparaisse dans le fichier /etc/nodename . Ce fichier doit également présenter la ligne suivante :
127.0.0.1 localhost loghost hostname localhost.localdomain |
Si vous utilisez le navigateur Yelp pour ouvrir l'aide en ligne correspondant au contrôle du volume, c'est le fichier d'aide correspondant à l'application d'accessibilité clavier qui s'affiche.
Solution : aucune.
Si vous ouvrez l'aide en ligne d'une application et qu'il n'existe aucun fichier d'aide correspondant à cette application, un message d'erreur s'affiche. Si vous ne cliquez pas sur OK, le système d'aide en ligne se bloque et vous ne pouvez pas ouvrir l'aide en ligne des autres applications lancées ensuite.
Solution : cliquez sur le bouton OK dans la boîte de dialogue présentant le message d'erreur.
Il est impossible d'imprimer des documents à partir du navigateur Mozilla si ces documents contiennent des caractères Unicode qui ne figurent pas dans le plan multilingue de base (BMP, Basic Multilingual Plane).
Solution : aucune.
Les préférences utilisateur de votre compte personnel correspondant à une version antérieure de GNOME Desktop sont peut-être partiellement incompatibles avec la version utilisée par Java DS Release 3.
Solution : redéfinissez vos préférences. Procédez comme suit :
Déconnectez-vous de Java Desktop System.
Cliquez sur Session et sélectionnez le terminal Failsafe.
Ouvrez une session.
Dans la fenêtre du terminal failsafe, entrez les commandes suivantes :
% gnome-cleanup exit |
Reconnectez-vous.
Vos préférences GNOME sont alors réinitialisées.
Vous risquez de ne pas pouvoir terminer l'enregistrement en ligne du logiciel StarOffice si le logiciel ne trouve pas Mozilla sur le système. Le logiciel doit pouvoir trouver l'application Messagerie et calendrier pour pouvoir envoyer des documents.
Solution : ajoutez /usr/sfw/bin à votre PATH. Procédez comme suit.
Ouvrez une fenêtre de terminal.
Exécutez la commande suivante :
% export PATH=/usr/sfw/bin:$PATH |
Pour lancer le logiciel StarOffice, exécutez la commande suivante :
% soffice |
Suivez la procédure d'enregistrement de StarOffice.
La barre de défilement et le compteur latéral ne fonctionnent pas lors de l'enregistrement d'un fichier new.wav.
Solution : aucune.
Les autorisations de groupe définies dans l'onglet des autorisations doivent être identiques aux autorisations de masque définies dans l'onglet des accès. Il arrive cependant qu'elles ne soient pas synchronisées.
Solution : cliquez sur le bouton Fermer, puis cliquez sur Recharger. Affichez de nouveau les propriétés du fichier. Les autorisations de groupe et de masque sont resynchronisées. Les autorisations sont définies en fonction des modifications apportées au masque à l'étape précédente.
La barre de menu Java DS et certaines applications, telles que Evolution, n'affichent pas correctement la date dans l'environnement linguistique chinois. Une date incorrecte s'affiche dans le format %-m M %-d J, où M et J correspondent respectivement au mois et jour en chinois.
Solution : Procédez comme suit :
Sauvegardez le fichier /usr/share/locale/LC_MESSAGES/gnome-panel*.mo.
Téléchargez le fichiergnome-panel.gnome-2-16.zh_CN.poà partir de la pagehttp://l10n.gnome.org/POT/gnome-panel.gnome-2-16/gnome-panel.gnome-2-16.zh_CN.poet enregistrez-le dans le répertoire /tmp
Dans le fichier gnome-panel.gnome-2-16.zh_CN.po, remplacez les occurrences de %-m par %Om et les occurrences de %-d par %e.
Générez un nouveau fichier gnome-panel.gnome-2-16.zh_CN.po.
msgfmt -v -o gnome-panel.gnome-2-16.zh_CN.mo /tmp/gnome-panel.gnome-2-16.zh_CN.po |
Copiez de nouveau le fichier dans le répertoire /usr/share/locale/LC_MESSAGES/.
Déconnectez-vous du système, puis reconnectez-vous.
Si votre système Solaris10 présente une seule carte vidéo, vous ne pouvez pas le configurer pour un agrandissement plein écran. Si vous disposez d'une telle configuration, vous devez utiliser un fichier de configuration distinct dans lequel vous définirez les paramètres d'un pilote fictif. Commencez par vous assurer que le serveur X est inactif. Ensuite, réalisez les opérations suivantes :
Ouvrez une session en ligne de commande.
Si vous utilisez le gestionnaire d'affichage de GNOME, procédez comme suit :
Ouvrez une session en tant que superutilisateur.
À l'invite, tapez svcadm disable application/gdm2-login.
Ouvrez une nouvelle session en tant que superutilisateur.
Si vous utilisez dtlogin, procédez comme suit :
Dans la fenêtre dtlogin, cliquez sur Options, puis sélectionnez Command Line Login.
Connectez-vous en tant que superutilisateur.
Créez un nouveau fichier xorg.conf.
# /usr/X11/bin/Xorg -configure |
Cette commande crée le fichier xorg.conf.new dans le répertoire racine (/).
Copiez le nouveau fichier de configuration dans le répertoire /etc/x11 et renommez le fichier xorg.conf.
# cp /xorg.conf.new /etc/X11/xorg.conf |
Modifiez les paramètres du fichier selon les exemples de configuration suivants :
Ajoutez une nouvelle section monitor.
Section "Monitor" Identifier "monitor_dummy" ModelName "dummy" HorizSync 10-200 VertRefresh 20-90 EndSection |
Ajoutez une nouvelle section device.
Section "Device" BoardName "dummy" Driver "dummy" Identifier "device_dummy" VendorName "dummy" videoram 10000 EndSection |
Il vous faudra peut-être modifier la valeur videoram, suivant la largeur et la hauteur d'écran, ainsi que la profondeur de couleur gérées par votre carte graphique. La valeur en kilo-octets doit être suffisante pour l'écran qui sera utilisé. Par exemple, vous pouvez calculer cette valeur à l'aide de la formule width * height * bpp/8.
Ajoutez une nouvelle section screen.
Section "Screen" DefaultDepth 24 SubSection "Display" Depth 24 Modes "1280x1024" EndSubSection Device "device_dummy" Identifier "screen_dummy" Monitor "monitor_dummy" EndSection |
Il vous faudra peut-être modifier la valeur de résolution en fonction de votre configuration système.
Observez la ligne suivante, située sous la section ServerLayout :
Screen 0 "Screen0" 0 0 |
Insérez la ligne suivante sous la ligne indiquée à l'étape précédente :
Screen 1 "screen_dummy" RightOf "Screen0" |
Cette nouvelle ligne définit Screen1, un deuxième écran fictif théoriquement situé à droite de Screen0, l'écran physique et principal.
Enregistrez les modifications.
Réinitialisez le système à partir de la session en ligne de commande appropriée :
Lancez le lecteur d'écran Gnopernicus.
Définissez le mode de démarrage (Startup Mode) sur Magnifier.
Cliquez sur Preferences, puis sélectionnez l'option Magnifier.
Cliquez sur Add/Modify.
Attribuez les valeurs suivantes aux préférences Magnifier :
Cliquez sur Appliquer.
En raison de l'agrandissement plein écran situé au premier plan, les fenêtres Gnopernicus deviennent invisibles. Néanmoins, l'agrandissement plein écran est désormais disponible.
Le gestionnaire de fichiers risque de se bloquer si vous utilisez les options d'affichage suivantes :
Afficher en tant que catalogue
Afficher en tant que collection d'images
Suivant les options d'affichage utilisées, les messages d'erreur suivants risquent de s'afficher :
Erreur :
The application nautilus has quit unexpectedly |
Erreur :
The Catalog view encountered an error while starting up |
Erreur :
The Image Collection view encountered an error while starting up |
Solution : aucune. Chaque fois que l'un de ces problèmes se produit, redémarrez le gestionnaire de fichiers ou cliquez sur le bouton Restart Application dans la boîte de dialogue qui vous avertit du problème.
Vous ne pouvez pas utiliser le Gestionnaire d'archives pour créer les types d'archives suivants :
.arj
.lha
.bzip
.lzop
.zoo
Solution : aucune.
Cette section décrit les bogues d'administration du système dans SE Solaris 10.
Le patch FKU 137137-xx ne prend pas en charge le logiciel tiers de gestionnaire de volume à quelques exceptions près. Ce défaut de prise en charge est lié à l'implémentation pré-patch, post-patch et de postbackout. Si les utilisateurs font appel à un logiciel tiers de gestionnaire de volume, ils ne peuvent pas appliquer le patch FKU. Le message d'erreur suivant s'affiche au cours de l'installation du patch :
unsupported root slice type xxxxx |
Notez cependant que les logiciels Fujitsu et Veritas Volume Manager sont pris en charge.
Solution : aucune.
Sur un système comportant des zones non globales, il est recommandé de ne pas utiliser patchadd -M. L'implémentation actuelle de patchadd -M est d'abord appliquée à tous les patchs de la zone globale, puis aux zones non globales. Cette opération n'est pas idéale, car si un problème se produit après l'application d'un certain nombre de patchs à la zone globale, mais pas à la zone non globale, les zones peuvent être sévèrement désynchronisées ce qui sera difficile à réparer.
Solution : patchadd -a - M permet d'élaborer une séquence d'installation valide pour un ensemble de patchs et à s'assurer que l'installation des patchs se déroule sans incident.
Pour plus d'informations, voir les bonnes pratiques dans le Centre des patchs BigAdmin à l'adresse http://www.sun.com/bigadmin/features/articles/patch_management.jsp.
La commande ::findleaks du débogueur mdb échoue dans le SE Solaris 10 10/08. Le message d'erreur suivant s'affiche :
mdb: couldn't walk 'modctl': unknown walk name |
Solution : avant d'utiliser la commande ::findleaks , entrez la commande ::load krtld.
Le DVD Solaris 10 10/08 DVD n'est pas monté par défaut pendant l'exécution. Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : Procédez comme suit :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Désactivez vold :
Sur les systèmes Solaris 10 :
# svcadm disable -t volfs |
Sur les systèmes Solaris 8 et 9 :
/etc/init.d/volmgt stop |
Montez le support manuellement en générant la commande # mount -F hsfs chemin vers le lecteur de blocage chemin vers le point de montage. Exemple :
# mount -F hsfs /dev/rdsk/c0t2d0s2 /mnt |
La console de gestion SolarisTM se bloque et la connexion root à la console de gestion Solaris est impossible une fois Solaris Trusted Extensions activé. Le message d'erreur ci-dessous peut s'afficher en cas de blocage de la console de gestion Solaris :
Configuring the Management Server... |
Solution : Procédez comme suit :
Configurez Solaris Trusted Extensions et démarrez la console de gestion Solaris.
Dans le menu de la console, choisissez Ouvrir une boîte à outils.
Si localhost est répertorié, sélectionnez-le.
Dans le cas contraire, tapez localhost.
Choisissez la boîte à outils Policy=TSOL.
Connectez-vous à nouveau à la console de gestion Solaris en tant qu'utilisateur root.
(Facultatif) En cas d'échec de la deuxième connexion à la console de gestion Solaris, répétez les étapes 1 à 5 en tapant 127.0.0.1 au lieu de localhost à l'étape 3.
Lors de la connexion d'une zone, si l'hôte d'origine et le nouvel hôte présentent des packages au même niveau de patch mais à des historiques de patch intermédiaires différents, la connexion peut échouer. Plusieurs messages d'erreur s'affichent. Le message d'erreur dépend des historiques de patch des deux hôtes.
Solution : assurez-vous que la même séquence de versions de patch a été appliquée pour chaque patch sur les machines de l'hôte d'origine et du nouvel hôte.
Dans les systèmes dotés d'un contrôleur SATA compatible AHCI, la configuration du BIOS permet habituellement au contrôleur d'être défini en mode RAID, hérité ou AHCI. Solaris prend en charge les modes hérité et AHCI.
Vous ne devez pas modifier la configuration du mode SATA dans le BIOS après l'installation initiale de Solaris. De même, vous ne pouvez pas la modifier avant ou après une mise à niveau Solaris. Si vous modifiez la configuration BIOS du mode SATA après l'installation de Solaris, la réinitialisation qui s'en suit échoue, sans qu'une explication quant aux raisons de la panne ne soit donnée.
Solution : si l'échec de l'initialisation est dû à la modification de la configuration BIOS, rétablissez le paramétrage d'origine et redémarrez Solaris.
À partir des patchs 119254-42 et 119255-42, les utilitaires d'installation de patchs, patchadd et patchrm, ont été modifiés : une nouvelle méthode de gestion est appliquée à certains patchs assurant de nouvelles fonctionnalités et à des fichiers existants incompatibles avec le système en cours d'exécution. Cette modification d'utilitaires affecte l'installation de ces patchs sur toutes les versions de Solaris 10. Ces patchs "à application différée" gèrent mieux les multiples modifications distribuées à l'aide de patchs de noyau.
Lors de l'application de patchs à activation différée, une copie du système de fichiers racine est créée à l'aide d'un système de fichiers loopback, lofs. Les fichiers d'origine patchés sont copiés à un emplacement fiable et la copie lofs du système de fichiers racine est patchée. Ensuite, le fichier d'origine est remonté via lofs sur le nouveau fichier lorsqu'il est patché. Ainsi, le système en cours d'exécution reste cohérent tout au long de l'application de patchs, les nouvelles fonctions restent inactives et toute modification incompatible reste masquée jusqu'à ce que l'utilisateur réinitialise le système.
Le système doit être réinitialisé dès que possible après l'application d'un patch à activation différée, mais il est possible d'ajouter d'autres patchs avant de procéder à la réinitialisation.
Le patch README contient des instructions sur les patchs nécessitant une réinitialisation.
Sun recommande vivement que les opérations de patch soient exécutées en mode monoutilisateur, tout particulièrement si c'est ce que conseille le patch README.
Si vous exécutez des zones non globales ou si lofs est désactivé, tenez compte des indications ci-dessous lors de l'installation et de la suppression de patchs à activation différée.
Toutes les zones non globales doivent être arrêtées pour que vous puissiez réaliser cette opération. Vous devez arrêter la zone non globale avant d'appliquer le patch.
Pour une exécution réussie, les patchs à activation différé requièrent le système de fichiers loopback lofs. Les lofs des systèmes équipés de Sun Cluster 3.1 ou de Sun Cluster 3.2 sont généralement désactivés, car ils limitent les fonctionnalités HA-NFS lorsqu'ils sont activés. Par conséquent, avant d'installer un patch à activation différée, vous devez réactiver le système de fichiers loopback selon la procédure suivante.
Supprimez ou mettez en commentaire la ligne suivante du fichier /etc/system :
exclude:lofs |
Redémarrez le système.
Installez le patch.
L'installation du patch étant terminée, restaurez ou annulez le commentaire de la même ligne dans le fichier /etc/system.
Réinitialisez le système pour reprendre les opérations normales.
Aucun message d'erreur n'est affiché.
Solution : Sun recommande de gérer l'application de patchs à l'aide de Solaris Live Upgrade. Solaris Live Upgrade évite les problèmes d'application de patch sur un système en cours d'exécution. Solaris Live Upgrade réduit la période d'indisponibilité due à l'application des patchs et diminue les risques en offrant la possibilité de poursuivre les opérations en cas de problème. Pour plus d'informations, reportez-vous à la section Guide d’installation de Solaris 10 10/08 : Solaris Live Upgrade et planification de la mise à niveau.
Exécutées sur des systèmes de fichiers volumineux, ZFS par exemple, les applications recherchant des informations sur l'état des systèmes à l'aide de statvfs(2) ou statfs(2) affichent une erreur. Le message d'erreur suivant s'affiche :
Value too large for defined data type |
Solution : les applications doivent plutôt utiliser statvfs64().
Sur les systèmes exécutant une version de Solaris incompatible avec les zones, la commande patchadd -R ou une commande acceptant l'option -R ne permet pas de spécifier un chemin racine de remplacement pour une zone globale dans laquelle des zones non globales sont installées.
Contrairement à la commande luupgrade [- t, -T, -p, -p], aucun message d'erreur relatif aux restrictions d'utilisation de ces commandes ne s'affiche.
Rien n'indique que l'option -R n'a pas fonctionné. En raison de l'échec de la commande, les packages ou patchs Solaris 10 ne sont ajoutés à aucune zone non globale installée.
Ce problème se produit lors de l'installation et de la désinstallation des packages ou patchs.
L'option -R fonctionne si l'environnement d'initialisation de remplacement possède des zones non globales configurées, mais aucune zone non globale installée. En cas de doute sur l'existence de zones non globales installées et utilisées en tant que chemin racine de remplacement, et pour éviter tout problème, limitez l'utilisation de l'option -R dans toutes les instances.
Pour plus d'informations, reportez-vous aux pages de manuel suivantes :
Solution 1 : mettez le système d'exploitation à niveau vers Solaris 10 1/06 ou une version supérieure.
Si vous exécutez la version Solaris 10 3/05, installez les patchs suivants pour permettre l'exécution des commandes acceptant l'option -R pour créer un chemin racine de remplacement :
Patch 119254-19 pour les systèmes SPARC
Patch 119255-19 pour les systèmes x86
Solution 2 : évitez d'utiliser la commande patchadd -R ou toute commande acceptant l'option -R pour créer un chemin racine de remplacement.
À la place, initialisez le chemin racine de remplacement, par exemple la version Solaris 10, comme système d'exploitation actif. Ensuite, installez et désinstallez les packages et patchs Solaris 10 sans utiliser l'option -R.
Un système qui exécute Sun Patch Manager Tool 2.0 peut gérer des systèmes distants exécutant l'outil Patch Manager, notamment Sun Patch Manager Tool 1.0.
Cependant, un système avec une version antérieure de l'outil Patch Manager ne peut pas gérer des systèmes distants qui exécutent Patch Manager Tool 2.0. Les versions précédentes de ce programme comprennent notamment :
Sun Patch Manager Base Software 1.x
Sun Patch Manager Tool 1.0
La prise en charge par CIM/WBEM (Common Information Model/Web Based Enterprise Management) de l'outil Patch Manager n'existe pas dans le système d'exploitation Solaris 8. Par conséquent, la gestion à distance avec Patch Manager n'est pas applicable aux systèmes Solaris 8.
Si vous utilisez la commande smdiskless pour supprimer un client sans disque, cette commande échoue. Le client sans disque n'est pas supprimé des bases de données du système. Le message d'erreur suivant s'affiche :
Failing with error EXM_BMS. |
Solution : annulez le partage de la partition /export avant d'ajouter un nouveau client.
Si vous utilisez la commande smosservice delete pour supprimer un service de client sans disque, cette commande ne supprime pas tous les répertoires de service.
Solution : Procédez comme indiqué ci-dessous.
Vérifiez qu'aucun client existant n'utilise le service.
# unshare /export/exec/Solaris_10_sparc.all # rm -rf /export/exec/Solaris_10_sparc.all # rm -rf /export/exec/.copyofSolaris_10_sparc.all # rm -rf /export/.copyofSolaris_10 # rm -rf /export/Solaris_10 # rm -rf /export/share # rm -rf /export/root/templates/Solaris_10 # rm -rf /export/root/clone/Solaris_10 # rm -rf /tftpboot/inetboot.sun4u.Solaris_10 |
Supprimez l'entrée suivante du fichier /etc/bootparams.
fs1-24 boottype=:os |
Ne supprimez cette entrée que si ce serveur de fichiers ne fournit aucune fonction ou ressource pour d'autres services.
Supprimez l'entrée suivante du fichier /etc/dfs/dfstab.
share -F nfs -o ro /export/exec/Solaris_8_sparc.all/usr |
Modifiez le fichier /var/sadm/system/admin/services/Solaris_10.
Si le serveur de fichiers n'est pas Solaris_10, supprimez le fichier.
Si le serveur de fichiers est Solaris_10, supprimez toutes les entrées après les trois premières lignes. Les lignes supprimées indiquent les packages USR_PATH et SPOOLED ROOT du service dans /export/root/templates/Solaris_10 et les plates-formes prises en charge.
Après avoir modifié le contenu du fichier snmpd.conf, vous pouvez exécuter la commande kill -HUP snmp Process ID. Cette commande arrête le processus snmp. Puis, elle envoie un signal à l'agent maître de System Management Agent (snmpd) pour qu'il relise snmpd.conf et applique les modifications que vous y avez apportées. La commande peut ne pas exécuter l'agent maître pour qu'il relise le fichier de configuration. Par conséquent, l'utilisation de la commande ne peut pas toujours activer les modifications dans le fichier de configuration.
Plutôt que d'utiliser la commande kill -HUP, redémarrez System Management Agent après avoir ajouté des modifications à snmpd.conf. Procédez comme suit :
Prenez le rôle de superutilisateur.
Tapez la commande suivante :
# /etc/init.d/init.sma restart
Vous initialisez un serveur Sun LX50 qui comporte une partition Service et sur lequel SE Solaris 10 sur x86 est installé. Vous avez la possibilité d'initialiser la partition de service à l'aide de la touche F4. Cependant, cette opération efface le contenu de l'écran. Le système ne parvient pas à initialiser la partition de service.
Solution : n'appuyez pas sur la touche F4 lorsque l'écran d'initialisation du BIOS apparaît. Après quelques secondes, l'écran affichant les informations sur la partition de disque actuelle apparaît. Sélectionnez le chiffre dans la colonne Part# correspondant à type=DIAGNOSTIC, puis appuyez sur la touche Entrée. le système initialise la partition de service.
Si vous décidez d'utiliser l'interface de programmation d'application com.sun plutôt que l'API javax
pour développer votre logiciel WBEM, seul l'appel de méthode distant (RIM) CIM est totalement pris en charge. Il n'est pas certain que d'autres protocoles tels que XML/HTTP fonctionnent tout à fait avec l'API com.sun.
Le tableau suivant répertorie des exemples d'appels qui sont exécutés avec succès sous RMI, mais échouent sous XML/HTTP.
Appel de méthode |
Message d'erreur |
---|---|
CIMClient.close() |
NullPointerException |
CIMClient.execQuery() |
CIM_ERR_QUERY_LANGUAGE_NOT_SUPPORTED |
CIMClient.getInstance() |
CIM_ERR_FAILED |
CIMClient.invokeMethod() |
XMLERROR: ClassCastException |