Ce chapitre décrit certains problèmes d'exécution connus.
Les descriptions des bugs d'exécution suivantes ont été ajoutées à ce chapitre depuis la publication de ce document sur le CD-ROM de la documentation de Solaris 8 10/01 et dans le Kiosque d'installation du CD-ROM d'installation de Solaris 8 10/01.
"Système Sun Blade 1000 et Frame Buffer Power Management (4500828)"
"Frame Buffer Power Management (FBPM) n'est peut-être pas activé par défaut (4502650)"
"SPECjvm98 exécuté sous JVM 1.2 peut se bloquer sur les systèmes Ultra 60 (4340306)"
"Un périphérique USB branché à chaud peut ne pas être reconnu (4500963)"
"Blocage de l'affichage distant de Solaris Management Console (4488117)"
le nom de ce produit est Solaris 8 10/01, mais les noms de code, de chemin d'accès ou de chemin d'accès des modules peuvent faire référence à Solaris 2.8 ou SunOS 5.8. Utilisez toujours le code ou le chemin d'accès tel qu'il est indiqué.
Si un système Sun BladeTM 1000 est configuré avec un CD-ROM ou un DVD-ROM et que le moniteur et l'accélérateur graphique sont mis hors tension, le système se bloque en raison d'une erreur grave sans générer de vidage d'image mémoire.
Solution : désactivez la gestion de l'alimentation du CD-ROM ou du DVD-ROM sur votre système Sun Blade 1000. Procédez comme suit.
Ajoutez la ligne suivante dans le fichier /etc/power.conf :
% device-thresholds /pci@8,700000/scsi@6/sd@6,0 always-on |
Vous devez désactiver la gestion de l'alimentation dans le fichier /etc/power.conf pour chacun des périphériques à support amovible connectés à votre système. Pour plus d'informations sur l'identification et la désactivation des autres périphériques à support amovible, consultez power.conf( 4) et prtconf( 1M).
Réinitialisez le système ou tapez la commande suivante :
% pmconfig |
Pour plus d'informations, consultez pmconfig( 1M).
Frame Buffer Power Management (FBPM) n'est peut-être pas activé par défaut dans l'environnement d'exploitation Solaris 8 10/01.
Solution : pour activer FBPM, procédez comme suit :
Tapez la commande suivante à une invite.
% xset +fbpm |
Sauvegardez votre session CDE.
Les paramètres FBPM sont propres à chaque utilisateur et sont stockés dans votre répertoire d'accueil. Si vous vous connectez à un système qui ne gère pas FBPM et que vous sauvegardez les modifications apportées à votre session CDE, FBPM est désactivé. Par la suite, pour empêcher la désactivation de FBPM, ne sauvegardez pas votre session CDE si vous êtes connecté sur un système qui ne le gère pas. Si FBPM était à nouveau désactivé, réappliquez la solution.
Si vous réinitialisez un système sans utiliser l'option de reconfiguration et qu'aucun clavier ou souris USB n'est connecté, les gestionnaires USB ne sont pas associés automatiquement. Le système ne reconnaît pas les périphériques USB branchés à chaud.
Solution : pour que le système reconnaisse les périphériques USB branchés à chaud, choisissez l'une des méthodes suivantes :
Ajoutez la ligne suivante dans le fichier /etc/system, puis réinitalisez le système :
forceload:drv/ohci |
Tapez la commande suivante à une invite :
# devfsadm -i ohci |
Pour plus d'informations, reportez-vous à devfsadm( 1M).
Si vous branchez à chaud un périphérique audio USB, les liens vers /dev/audio sont rompus. Par conséquent, certaines applications audio peuvent ne pas reconnaître les périphériques audio, notamment les équipements audio embarqués. La réinitialisation du système ou le branchement à chaud du périphérique audio USB reste sans effet.
Solution : après avoir branché un périphérique audio USB à chaud, procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Corrigez les liens rompus en tapant la commande suivante :
# rm /dev/audio* # /usr/sbin/devfsadm -c audio |
Pour plus d'informations, reportez-vous à devfsadm( 1M).
Les haut-parleurs USB tiers peuvent ne pas produire de son même si le gestionnaire USB a été associé. L'augmentation du volume des haut-parleurs ou le branchement à chaud du périphérique n'a pas d'effet.
Solution : mettez les haut-parleurs USB hors tension, puis de nouveau sous tension.
Si vous modifiez les paramètres par défaut d'authentification d'une carte à puce et que le mécanisme d'authentification PIN n'est pas inclus, l'accès à la carte à puce est refusé. Les mécanismes d'authentification suivants sont inaccessibles, et l'utilisateur de la carte à puce ne peut pas se connecter.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Ne modifiez pas les paramètres d'authentification par défaut.
Si vous modifiez les paramètres d'authentification par défaut, vous devez inclure et configurer le mécanisme d'authentification PIN.
Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.
Solution : pour déverrouiller votre système, procédez de la manière suivante.
Utilisez la commande rlogin pour vous connecter au système sur lequel le processus ocfserv s'est arrêté.
Tuez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal.
% pkill dtsession |
L'option de menu Editer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce ne modifie pas les fichiers de configuration de carte à puce situés dans /etc/smartcard/opencard.properties. Si vous sélectionnez cette option de menu, un avertissement apparaît vous demandant de ne pas continuer sauf demande contraire du support technique.
Solution : n'utilisez pas l'option de menu Editer le fichier config dans la console de gestion des cartes à puce. Pour plus d'informations sur la configuration des cartes à puce, reportez-vous au document Solaris Smart Cards Administration Guide.
Un problème survient lors de la compilation d'un programme Motif dans l'environnement d'exploitation Solaris 8 dans les circonstances suivantes. Lorsque vous établissez une liaison vers une bibliothèque partagée compilée dans l'environnement d'exploitation 2.4, 2.5, 2.5.1 ou 2.6, l'ancienne bibliothèque utilise également l'API Motif.
Le programme Motif utilise la version 2.1 de Motif tandis que l'ancienne bibliothèque partagée utilise la version 1.2. Un vidage d'image mémoire se produit. Il ne s'agit pas d'un problème de compatibilité binaire des applications compilées dans les environnements d'exploitation Solaris 2.4, 2.5, 2.5.1 ou 2.6. Ces applications devraient fonctionner correctement dans l'environnement d'exploitation Solaris 8.
Solution : si vous utilisez une ancienne bibliothèque partagée qui se lie directement à la bibliothèque Motif et que vous compilez sous Solaris 8 un programme qui se lie à la fois à Motif et à cette ancienne bibliothèque partagée, utilisez une ligne de compilation similaire à la suivante :
cc foo.c -o programme -DMOTIF12_HEADERS -I/usr/openwin/include \ -I/usr/dt/include -lXm12 -lXt -lX11 |
Dans cette ligne, programme représente le nom du programme que vous compilez.
Le Gestionnaire de fichiers OpenWindowsTM ne parvient pas à ouvrir une vue du Gestionnaire de fichiers qui affiche le contenu d'une disquette dans certaines circonstances. Ce problème apparaît lorsque vous insérez une disquette dans le lecteur d'un système également équipé d'un périphérique SCSI amovible. Lorsque vous sélectionnez Contrôle disquette dans le menu Fichier du Gestionnaire de fichiers, ce dernier monte la disquette dans le répertoire /floppy, mais ne parvient pas à ouvrir une vue du Gestionnaire de fichiers qui en affiche le contenu.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Pour afficher le contenu d'une disquette, procédez comme suit :
Cliquez sur le dossier / dans le chemin présenté sous forme d'icônes dans le Gestionnaire de fichiers.
Cliquez deux fois sur le dossier floppy dans la fenêtre d'affichage de /.
Cliquez deux fois sur le dossier floppy0 dans la fenêtre d'affichage de /floppy.
Pour formater une disquette, procédez comme suit :
Démontez la disquette.
% volrmmount -e floppy0 |
Formatez la disquette.
% fdformat floppy0 |
Pour créer un nouveau système de fichiers sur une disquette, procédez comme suit :
si vous avez déjà démonté la disquette, passez à l'étape 2 de cette procédure.
Démontez la disquette.
% volrmmount -e floppy0 |
Créez le système de fichiers approprié sur la disquette.
Pour créer un nouveau système de fichiers UFS sur la disquette, utilisez la commande newfs :
% newfs /vol/dev/aliases/floppy0 |
Pour créer un système de fichiers PCFS sur la disquette, utilisez la commande mkfs :
% mkfs -F pcfs /vol/dev/aliases/floppy0 |
Montez la disquette.
% volrmmount -i floppy0 |
Pour éjecter la disquette, utilisez la commande eject.
% eject floppy0 |
Pour éviter ce problème, appliquez le patch 109463-01.
Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer et qui peuvent etre restaurés sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.
Solution : supprimez manuellement la dernière entrée sur l'organiseur avant de lancer la synchronisation.
Si vous échangez des données multi-octets entre un organiseur et Solaris CDE, vous risquez d'altérer ces données dans les deux environnements.
Solution : sauvegardez les données sur votre PC à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde de l'organiseur avant d'exécuter Synchronisation organiseur. Si vous échangez accidentellement des données multi-octets et que celles-ci sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.
Lorsque vous affichez à distance Solaris Management Console dans l'environnement d'exploitation Solaris 8 7/01 ou 10/01, l'ouverture d'une boîte de dialogue dans la console entraîne un blocage de la console, ainsi que de la boîte de dialogue en question.
Solution : utilisez Solaris Management Console sur votre système local pour la connecter à (et gérer) un système exécutant l'environnement d'exploitation Solaris 8 7/01 ou 10/01. Procédez comme suit.
Fermez la fenêtre bloquée de la console.
Démarrez Solaris Management Console sur votre système local.
Dans le menu de la console, ouvrez Boîte à outils.
Dans l'onglet Boîte à outils du serveur, sélectionnez ou tapez le nom du système distant que vous souhaitez gérer.
Cliquez sur le bouton Ouvrir.
Vous pouvez maintenant utiliser la console pour gérer le système distant.
Le service HTTP de WBEM ne démarre pas automatiquement dans l'environnement d'exploitation Solaris 8. Si vous souhaitez vous connecter à WBEM via HTTP, vous devez démarrer le service WBEM HTTP manuellement.
Solution : Pour démarrer manuellement le service HTTP de WBEM, procédez comme suit.
Devenez superutilisateur.
Arrêtez le serveur WBEM s'il est en cours d'exécution.
# /etc/init.d/init.wbem stop |
Définissez votre variable classpath de manière à inclure les fichiers.jar ci-après.
# CLASSPATH=/usr/sadm/lib/wbem/cimapi.jar:/usr/sadm/lib/xml.jar: \ /usr/sadm/lib/wbem/cimom.jar # export CLASSPATH |
Démarrez le service HTTP.
# java com.sun.wbem.client.HttpService & |
Démarrez le service Common Information Model (CIM) Object Manager.
# /usr/sadm/lib/wbem/wbemconfig & |
Si un fournisseur Solaris génère des indications et que le nom de la classe est en majuscules, la distribution des événements échoue.
Solution : utilisez des majuscules pour définir les noms des classes d'indication.
L'exécution de la commande flarcreate avec les options -e et -E génère une erreur. Le message suivant s'affiche :
ERROR: Les options -D et -f sont incompatibles. |
Vous devez lire le message suivant :
ERROR: Les options -E et -e sont incompatibles. |
Solution : ignorez le message d'erreur. N'utilisez pas les options -e et -E simultanément.
Lorsque vous sélectionnez Aide -> Informations sur le Tableau de bord, Solaris affiche une liste de fichiers obsolètes. Le fichier correct est S8FCSreleasenotes.
Le message d'erreur suivant s'affiche lorsque la mémoire est insuffisante :
CIM_ERR_LOW_ON_MEMORY |
Solution : Pour réinitialiser le repository CIM Object Manager, procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Arrêtez le programme CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem stop |
Supprimez le répertoire des journaux JavaSpaces.
# /bin/rm -rf /var/sadm/wbem/logr |
Redémarrez le programme CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem start |
cette opération supprime toutes les définitions propriétaires contenues dans votre dépôt de données. Vous devez recompiler les fichiers MOF qui contiennent ces définitions à l'aide de la commande mofcomp. Par exemple :
# /usr/sadm/bin/mofcomp -u root -p root_password your_mof_file |
Les applications sécurisées 64 bits peuvent uniquement être préchargées à partir du répertoire sécurisé /usr/lib/secure/64. Le lien symbolique /usr/lib/secure/64 -> /usr/lib/secure/sparcv9 est manquant. Par conséquent, le message d'erreur suivant risque d'apparaître :
% LD_PRELOAD=libfoo.so.1 setxid-app ld.so.1: setxid-app: avertissement: libfoo.so.1: échec de l'ouverture:\ aucun fichier de ce type dans les répertoires sécurisés |
Solution : pour éviter ce problème, choisissez l'une des solutions suivantes :
Créez deux liens symboliques : le lien symbolique /usr/lib/secure/64 -> /usr/lib/secure/sparcv9 et le lien symbolique /usr/lib/link_audit/64 -> /usr/lib/link_audit/sparcv9.
Appliquez le patch 109147-08.
Java Plug-in 1.2 est le plug-in par défaut qui exécute les applets Java 2, mais pas tous les applets Java 1.1. Si vous avez besoin du logiciel Java Plug-in 1.1, vous pouvez le télécharger à l'adresse suivante : http://www.sun.com/solaris/netscape.
Si vous décidez d'installer les deux versions de Java Plug-in (1.1 et 1.2) sur un même système, vous devez suivre les instructions concernant l'installation du Java Plug-in 1.1 et configurer votre environnement en conséquence.
Cette procédure est décrite dans la section "Installing Java Plug-in" du document Java Plug-in for Solaris Users Guide, disponible à l'adresse suivante : http://www.sun.com/solaris/netscape/jpis/usersguide_java_plugin.html.
Les derniers tests réalisés sur l'environnement d'exploitation Solaris 8 10/01 ont révélé une possibilité de blocage sur les systèmes UltraTM 60 utilisant le JDK 1.2.2_08. Ce blocage a été corrigé dans la version 1.2.2_09 du JDK, mais le problème a été découvert trop tard pour pouvoir être corrigé dans cette version. En cas de problème, téléchargez le JDK 1.2.2_09 à l'adresse : http://www.sun.com/software/solaris/java/download.html
libjvm.so ne fonctionne pas correctement s'il est lancé à l'aide de dlopen. Il doit être lié à l'exécutable au moment de la création de cet objet.
Solution : désignez de manière explicite libjvm.so (-ljvm) et libjava.so (-ljava) en tant que dépendances lorsque vous créez un exécutable.
Lorsque la commande ab2admin échoue réellement, le message d'erreur contient des informations supplémentaires et pas seulement La commande a échoué. Par exemple, il peut indiquer chemin introuvable ou ID incorrect.
Solution : si le message La commande a échoué apparaît, vérifiez que l'opération a réellement échoué. Par exemple, si la commande est cencée avoir supprimé une collection de la base de données AnswerBook2TM, entrez la commande ci-dessous pour vous assurer que la collection figure encore dans la base de données.
# ab2admin -o list |
Il est possible que le script ab2cd affiche le message d'erreur erroné suivant au cours du démarrage d'un serveur AnswerBook2.
sort : impossible de lire /tmp/ab1_sort.XXX: Ce fichier ou ce répertoire n'existe pas |
Ce message d'erreur signifie que le script ab2cd n'a trouvé aucune collection AnswerBook (Display PostScriptTM) sur le CD-ROM.
Solution : ignorez le message d'erreur.
Pour imprimer à partir d'un environnement localisé non-ISO8859-1 à l'aide de l'outil de téléchargement de police, procédez comme suit :
Connectez-vous à CDE.
Entrez fdl sur la ligne de commande pour démarrer l'outil de téléchargement de police.
Spécifiez l'imprimante en choisissant Ajouter dans le menu Imprimante.
Sélectionnez Groupe de polices dans le menu Télécharger.
Le logiciel télécharge les groupes de polices vers l'imprimante spécifiée, selon de jeu de codes nécessaire à l'impression.
kkcv est un serveur de méthodes d'entrée pour les applications japonaises BCP (compatibilité binaire 4.x). Lorsque LDAP est utilisé, kkcv crée des vidages d'image mémoire répétés et affiche le message d'erreur :
cssd : Le processus "kkcv.sh" a été tué par le signal 134, image mémoire vidée |
Ce problème survient dans tous les environnements localisés lorsque l'environnement localisé 'ja' a été installé à l'aide du CD-ROM Languages.
Solution : si vous n'avez pas besoin d'utiliser la fonction BCP japonaise, configurez votre système de sorte à ne pas démarrer de serveurs de méthodes d'entrée pour les applications BCP :
Copiez /usr/lib/css.d/cs00.sh dans /etc/css.d.
# cp -p /usr/lib/css.d/cs00.sh /etc/css.d |
Editez /etc/css.conf et mettez en commentaire la ligne /usr/lib/css.d à l'aide de `#'.
# /etc/css.conf |
Redémarrez le démon du moniteur CS.
# sh /etc/init.d/loc.ja.cssd stop # sh /etc/init.d/loc.ja.cssd start |
Dans les environnements localisés UTF-8, l'euro n'est pas accessible par la séquence de touches standard ALTGr+E.
?Solution : connectez-vous à un environnement localisé ISO8859-15 et utilisez Alt+E pour accéder à l'euro.
Les alias de police LucidaSansLat4 ne sont pas disponibles. Par conséquent, des messages d'erreur connexes peuvent apparaître pendant l'exécution d'une application Java dans un environnement localisé UTF-8.
Solution : connectez-vous à l'environnement localisé ISO-1 équivalent, puis lancez l'application Java.
Certaines combinaisons de touches mortes ne fonctionnent pas correctement dans CDE. De même, les noms des mois ne fonctionnent pas correctement dans l'Agenda de l'environnement localisé grec.
Si vous essayez d'imprimer des caractères étendus à l'aide de l'Agenda dans un environnement localisé partiel, le résultat obtenu n'est pas correct.
Vous ne pouvez pas couper ou coller du texte arabe entre une application ou une fenêtre en_US.UTF-8 et une application ou fenêtre ar_EY.ISO8859-6 en mode de saisie arabe.
Lorsque vous cliquez avec le bouton droit de la souris sur une application CDE exécutée dans un environnement localisé européen, le menu déroulant Suppléments de CDE ne comporte aucune option.
La prise en charge de CTL (Complex Text Language) pour la saisie en hébreu, en arabe ou en thaï a été mise en oeuvre dans les environnements localisés en_US.UTF-8 et dans les environnements localisés UTF-8 européens. Elle n'est pas disponible dans les environnements localisés ja_JP.UTF-8, ko.UTF-8 (également appelé ko_KR.UTF-8), zh.UTF-8 (également appelé zh_CH.UTF-8) et zh_TW.UTF-8.
Solution : utilisez l'environnement localisé en_US.UTF-8 si vous devez saisir du texte en thaï, en arabe ou en hébreu à l'aide de CTL. Si vous souhaitez entrer ces langues dans les environnements localisés UTF-8 asiatiques et japonais, procédez comme suit :
Créez un lien symbolique vers les modules CTL communs. Dans l'instance de ja_JP.UTF-8, exécutez les commandes suivantes :
# cd /usr/lib/locale/ja_JP.UTF-8 # mkdir LO_LTYPE ; cd LO_LTYPE # ln -s ../../common/LO_LTYPE/umle.layout.so.1 \ ja_JP.UTF-8.layout.so.1 # mkdir sparcv9 ; cd sparcv9 # ln -s ../../../common/LO_LTYPE/sparcv9/umle.layout.so.1 \ ja_JP.UTF-8.layout.so.1 |
Editez le fichier /usr/openwin/lib/locale/ja_JP.UTF-8/XLC_LOCALE en mettant en commentaire la ligne load_option delay_nocheck pour les entrées correspondant au thaï, à l'arabe ou à l'hébreu. Par exemple, pour la langue thaï, utilisez la commande suivante :
# fs14 class (Thai) fs14 { charset TIS620.2533-0:GR font { # load_option delay_nocheck <--- comment out primary TIS620.2533-0:GR } } |
Les écrans d'ajout, modification et suppression d'utilisateur sont vides dans la version grecque du logiciel Solstice AdminTool.
Solution : en mode superutilisateur, copiez le fichier suivant :
# cp /usr/openwin/lib/locale/C/app-defaults/Admin \ /usr/openwin/lib/locale/el_GR.ISO8859-7/app-defaults/Admin |
Lorsque vous utilisez l'outil de téléchargement de polices dans l'environnement localisé italien, les boutons Ajouter et Annuler de la boîte de dialogue Ajout d'imprimante ne sont pas correctement libellés. Ils sont libellés A.
Le bouton gauche devrait être libellé Aggiungi (Ajouter).
Le bouton droit devrait être libellé Annulla (Annuler).
Le tableau suivant décrit les différences entre les claviers arabes de Sun et de Microsoft.
Tableau 2-1 Différences entre les claviers arabes de Sun et de Microsoft
Touche |
Disposition du clavier Sun |
Disposition du clavier Microsoft |
---|---|---|
T |
T |
Lam_alef arabe avec Hamza en dessous |
U |
U |
Guillemet droit simple |
I |
I |
Signe arabe de la multiplication |
O |
O |
Signe arabe de la division |
A |
; |
Kasra arabe |
S |
S |
Kasratan arabe |
Z |
Z |
Tilde |
X |
X |
Sukun arabe |
C |
Kasratan arabe |
Accolade gauche |
V |
Kasra arabe |
Accolade droite |
M |
Sukun |
Guillemet inférieur simple |
< |
< |
Virgule arabe |
Dans l'environnement localisé UTF-8, la combinaison AltGr+E ne génère pas le symbole de l'euro.
Solution : pour entrer le symbole de l'euro dans l'environnement localisé UTF-8, procédez comme suit :
Sélectionnez Lookup dans la fenêtre UTF-8 Input Mode Selection.
Sélectionnez Currency Symbols.
Sélectionnez le symbole de l'euro.
dans l'environnement localisé grec, tapez dumpcs à l'invite de la console. Copiez et collez le symbole de l'euro.
Le tri dans les environnements localisés UTF-8 ne génère pas les résultats attendus.
Solution : avant d'effectuer un tri dans un environnement localisé UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE avec l'équivalent ISO-1.
# echo $LC_COLLATE > es_ES.UTF-8 # setenv LC_COLLATE es_ES.IS08859-1 |
Les applications suivantes ne sont pas entièrement localisées. Certaines parties ne sont pas totalement traduites.
Application Smart Card (4304495)
Messages de l'application SEAM (4306619)