Notes de version de Solaris 9 12/02

Chapitre 2 Problèmes liés à l'exécution de Solaris

Ce chapitre traite des problèmes d'exécution.

Les descriptions des bugs d'exécution suivantes ont été ajoutées à ce chapitre depuis la publication de ce document sur le CD de documentation de Solaris 9 12/02 et dans le Kiosque d'installation du CD d'installation de Solaris 9 12/02.

Bugs liés aux cartes à puce

Le système ne répond pas à la carte à puce (4415094)

Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.

Solution : pour déverrouiller votre système, procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Connectez-vous à distance à la machine sur laquelle le processus ocfserv a été interrompu.

  2. Devenez superutilisateur.

  3. Tuez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal.


    # pkill dtsession
    
ocfserv redémarre, et la connexion à l'aide d'une carte à puce ainsi que la capacité sont rétablies.

L'option de menu Éditer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce ne marche pas (4447632)

L'option de menu Éditer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce ne modifie pas les fichiers de configuration de cartes à puce situés dans /etc/smartcard/opencard.properties. Si vous sélectionnez cette option de menu, un avertissement apparaît vous demandant de ne pas continuer sauf demande contraire du support technique.

Solution : n'utilisez pas l'option de menu Éditer le fichier config dans la console de gestion des cartes à puce. Pour obtenir de plus amples informations sur la configuration de la carte à puce, consultez le Solaris Smartcard Administration Guide.

Bugs liés au CDE (Common Desktop Environment)

IA: les applications de démarrage du CDE s'affichent sous forme de méthode d'entrée root-window (4770994)

Si vous démarrez une session de bureau CDE (Common Desktop Environment) sur un serveur d'entrée SunTM LX50 dans une version localisée chinoise, les applications CDE qui s'exécutent au démarrage risquent d'apparaître sous la forme d'une méthode d'entrée root-window au lieu de la méthode d'entrée over-the-spot attendue.

Solution : ajoutez la ligne sleep 1 après le script /usr/dt/config/Xsession.d/0020.dtims , puis démarrez une session de bureau CDE.

La fonction d'exécution automatique du support amovible de CDE a été supprimée (4634260)

La fonction d'exécution automatique du support amovible de l'environnement de bureau CDE a été temporairement supprimée de l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02.

Solution : pour utiliser la fonctionnalité d'exécution automatique d'un CD ou d'un autre volume amovible, veuillez procéder comme indiqué ci-dessous.

SPARC: dtmail s'arrête brutalement en cas d'exécution à partir de la ligne de commande si l'option FontList est spécifiée (4677329)

dtmail s'arrête brutalement après s'être connecté au serveur IMAP si l'option FontList est spécifiée à l'exécution de dtmail à partir de la ligne de commande. Voyez l'exemple suivant :


/usr/dt/bin/dtmail -xrm "Dtmail*FontList: -*-r-normal-*:"

Le message d'erreur suivant apparaît :


Segmentation Fault

Ce problème apparaît dans les versions localisées en anglais et japonais.

Solution : ne spécifiez pas l'option FontList lorsque vous exécutez dtmail à partir de la ligne de commande.

CDE Mailer semble s'arrêter pendant l'affichage de messages électroniques avec de longues lignes (4418793)

Si vous tentez de lire un message électronique contenant de nombreuses lignes longues dans l'environnement localisé Solaris 9 12/02 Unicode ou UTF-8, CDE Mailer (dtmail) s'interrompt. Ce message ne s'affiche pas immédiatement.

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

L'application Synchronisation organiseur (PDASync) de Solaris ne peut pas supprimer la dernière entrée de l'ordinateur (4260435)

Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer, puis restaurer sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.

Solution : supprimez manuellement la dernière entrée sur l'organiseur avant de lancer la synchronisation.

L'application Synchronisation organiseur (PDASync) de Solaris ne gère pas l'échange de données avec l'organiseur international multi-octets (4263814)

Si vous échangez des données multi-octets entre un organiseur et Solaris CDE, vous risquez d'altérer ces données dans les deux environnements.

Solution : sauvegardez les données sur votre PC à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde de l'organiseur avant d'exécuter l'application Synchronisation organiseur (PDASync) de SolarisTM. Si vous échangez accidentellement des données multi-octets et que celles-ci sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.

Bugs liés à l'administration du système

IA: l'initialisation de la partition de service échoue lorsque vous appuyez sur la touche F4 pendant l'initialisation du BIOS (4782757)

Vous initialisez un serveur d'entrée Sun LX50 sur lequel sont installés une partition de service et l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02 (Édition pour plate-forme x86). Vous avez la possibilité d'initialiser la partition de service à l'aide de la touche F4. Cependant, cela efface le contenu de l'écran et le système ne parvient pas à initialiser la partition de service.

Solution : n'enfoncez pas la touche F4 lorsque l'écran d'initialisation du BIOS apparaît. Après quelques secondes, l'écran affichant les informations sur la partition de disque actuelle apparaît. Sélectionnez le chiffre dans la colonne Part# correspondant à type=DIAGNOSTIC, puis appuyez sur la touche Entrée ; le système initialise la partition de service.

Le message d'événement CP de UltraSPARC II n'est pas toujours généré dans l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02 (4732403)

Le message d'événement CP qui accompagne certains messages d'erreur mémoire incorrigible n'est pas toujours généré sur les systèmes qui sont basés sur la plate-forme UltraSPARC II et utilisés dans l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02. Parmi ces systèmes figurent les systèmes Sun EnterpriseTM 10000 et Sun Enterprise 6500/6000/5500/5000/ 4500/4000/3500/3000. Résultat : certaines informations nécessaires à l'identification d'une CPU défectueuse risquent de ne pas toujours être présentes.

Solution : pour obtenir les informations les plus récentes sur ce problème, veuillez consulter le site de SunSolve à l'adresse http://sunsolve.sun.com.

Le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs d'interface de programmation d'application com.sun (4619576)

Le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs qui sont écrits pour l'interface com.sun.wbem.provider ou l'interface com.sun.wbem.provider20. Même si vous créez une instance Solaris_ProviderPath pour un fournisseur qui est écrit pour ces interfaces, le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne localise pas le fournisseur.

Solution : pour permettre au démon de localiser un tel fournisseur, arrêtez et redémarrez le démon Solaris WBEM Services 2.5.


# /etc/init.d/init.wbem stop

# /etc/init.d/init.wbem start

Remarque :

si vous utilisez l'API javax pour développer votre fournisseur, vous n'avez pas besoin d'arrêter puis de redémarrer le démon Solaris WBEM Services 2.5. De fait, ce dernier reconnaît les fournisseurs javax de façon dynamique.


Certains appels de méthodes d'interface de programmation d'application com.sun échouent sous le protocole de transport XML/HTTP (4497393, 4497399, 4497406, 4497411)

Si vous décidez d'utiliser l'interface de programmation d'application com.sun plutôt que l'API javax pour développer votre logiciel WBEM, seul l'appel de méthode distant (RIM) CIM est totalement supporté. Il n'est pas certain que d'autres protocoles, tels que XML/HTTP, fonctionnent tout à fait avec l'interface de programmation d'application com.sun.

Le tableau suivant répertorie des exemples d'appels qui sont exécutés avec succès sous RMI, mais échouent sous XML/HTTP.

Appel de méthode  

Message d'erreur  

CIMClient.close()

NullPointerException

CIMClient.execQuery()

CIM_ERR_QUERY_LANGUAGE_NOT_SUPPORTED

CIMClient.getInstance()

CIM_ERR_FAILED

CIMClient.invokeMethod()

XMLERROR: ClassCastException

Impossible de modifier les propriétés de montage de système de fichiers avec l'outil de montage et de partage de Solaris Management Console (4466829)

L'outil de montage et de partage de Solaris Management Console ne peut pas modifier les options sur des systèmes de fichiers critiques du système comme / (racine), /usr et /var.

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

L'erreur CIM_ERR_LOW_ON_MEMORY se produit lorsque vous essayez d'ajouter des données à l'aide de WBEM (4312409)

Le message d'erreur suivant s'affiche lorsque la mémoire est insuffisante :


CIM_ERR_LOW_ON_MEMORY

Vous ne pouvez pas ajouter d'entrées supplémentaires lorsque la mémoire disponible pour le programme Common Information Model (CIM) Object Manager devient insuffisante. Le cas échéant, vous devez réinitialiser le repository CIM Object Manager.

Solution : pour réinitialiser le référentiel CIM Object Manager, procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Devenez superutilisateur.

  2. Arrêtez le programme CIM Object Manager.


    # /etc/init.d/init.wbem stop
    
  3. Supprimez le répertoire d'enregistrement JavaSpacesTM.


    # /bin/rm -rf /var/sadm/wbem/log
    
  4. Redémarrez le programme CIM Object Manager.


    # /etc/init.d/init.wbem start
    

    Remarque :

    lorsque vous remettez le programme CIM Object Manager Repository à zéro, vous perdez toutes les définitions propriétaires de votre mémoire de données. Vous devez recompiler les fichiers MOF qui contiennent ces définitions en utilisant la commande mofcomp. Voyez l'exemple suivant :


    # /usr/sadm/bin/mofcomp -u root -p mot_de_passe_superutilisateur votre_fichier_mof
    

Problème lié à Solaris Volume Manager

Échec possible de la commande metattach de Solaris Volume Manager

Si vous possédez un fichier racine (/) en miroir de Solaris Volume Manager au sein duquel le système de fichiers ne commence pas au cylindre 0, vous ne devez connecter aucun sous-miroir commençant au cylindre 0.

Si vous tentez de connecter un sous-miroir commençant au cylindre 0 sur un miroir dont le sous-miroir original ne commence pas sur ce cylindre, le message d'erreur suivant s'affiche.


can't attach labeled submirror to an unlabeled mirror

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.


Remarque :

par défaut, la procédure d'installation de JumpStart commence la copie sur le cylindre 0 et place le système de fichiers racine (/) ailleurs sur le disque. La pratique usuelle en matière d'administration des systèmes consiste à démarrer la tranche 0 sur le cylindre 0. La mise en miroir d'une installation de JumpStart par défaut, dont la racine se trouve sur la tranche 0 mais pas sur le cylindre 0, vers un disque secondaire standard dont la tranche 0 commence au cylindre 0, engendre l'affichage d'un message d'erreur au moment où vous tentez de connecter un second sous-miroir. Pour de plus amples informations sur le comportement par défaut des programmes d'installation de Solaris, reportez-vous au Guide d'installation Solaris 9.


Bugs liés à Solaris Volume Manager

La déconnexion d'un sous-miroir avec la commande metadetach redimensionne automatiquement le miroir (4678627)

Si vous utilisez la commande metadetach pour supprimer un sous-miroir du miroir, vous risquez de ne plus pouvoir le reconnecter. Ce problème survient du fait que le miroir est automatiquement redimensionné après la déconnexion du sous-miroir.

Solution : avant d'utiliser la commande metadetach pour déconnecter un sous-miroir du miroir, connectez-y un sous-miroir dont les dimensions sont identiques à celui que vous souhaitez supprimer.

La commande metareplace -e de Solaris Volume Manager ne parvient pas à activer les partitions logicielles lorsque des disques sont retirés, puis remplacés (4645781)

Si vous supprimez physiquement un disque partitionné d'un système pour le remplacer par un nouveau disque, la commande metareplace -e ne parvient pas à activer les partitions logicielles. Cette défaillance peut se produire que vous ayez exécuté ou non la commande metarecover avant la commande metareplace -e pour activer les partitions logicielles.

Solution : recréez les partitions logicielles sur le nouveau disque.


Remarque :

si les partitions logicielles font partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.


# metareplace dx miroir ou RAID 5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle

La commande metahs -e de Solaris Volume Manager échoue sur les périphériques de stockage avec câble de cuivre lorsqu'un disque de secours a été transféré sur une mémoire auxiliaire (4644106)

La commande metahs -e peut échouer dans les cas indiqués ci-dessous.

  1. Un périphérique de secours rencontre un problème, telle qu'une erreur provoquée, lors de l'utilisation de l'utilitaire de test metaverify.

  2. Le logiciel Solaris Volume Manager tente d'activer le disque de secours lorsqu'une erreur se produit sur un métapériphérique ; ce disque est marqué comme étant broken.

  3. Le système est hors service. Le disque de secours défectueux est remplacé par un autre disque, installé au même emplacement.

  4. À l'initialisation du système, le logiciel Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque de secours.

  5. La commande metahs -e est utilisée pour activer le disque de secours sur le nouveau disque.

Le message suivant s'affiche :


WARNING: md: d0: open error of hotspare (Unavailable)

Cette défaillance se produit car le logiciel Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque de secours qui a été placé dans le même emplacement physique. Aussi, il continue d'afficher l'identificateur de périphérique du disque qui a été retiré du système.


Remarque :

cette défaillance ne survient pas sur les armoires de stockage ni sur un Photon, l'identificateur de périphérique étant modifié lorsqu'un disque est remplacé.


Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

La commande metadevadm de Solaris Volume Manager échoue si le nom du périphérique logique n'existe plus (4645721)

Vous ne pouvez pas remplacer un disque défectueux par un disque qui a été configuré à l'aide du logiciel Solaris Volume Manager. Le nouveau disque doit être inconnu du logiciel Solaris Volume Manager. Si vous déplacez physiquement un disque d'un connecteur d'extension vers un autre sur un Photon, la commande metadevadm échoue. Cette défaillance survient lorsque le nom du périphérique logique de la tranche n'existe plus. L'identificateur de périphérique du disque reste cependant présent sur la copie du métapériphérique. Le message suivant s'affiche :


Unnamed device detected. Please run 'devfsadm && metadevadm -r to resolve.

Remarque :

vous pouvez simultanément accéder au disque à son nouvel emplacement. Cependant, vous devez utiliser l'ancien nom de disque logique pour accéder à la tranche.


Solution : replacez le disque dans son connecteur d'extension initial.

La commande metarecover de Solaris Volume Manager ne parvient pas à mettre à jour l'espace de noms metadb (4645776)

Si vous retirez et remplacez un disque physique du système, puis utilisez la commande metarecover -p -d pour écrire les données relatives à la partition logicielle appropriée sur le disque, il en résulte une défaillance ouverte. La commande ne met pas à jour l'espace de noms de la base de données du métapériphérique pour refléter la modification au niveau du disque. Il en résulte une défaillance ouverte pour ladite partition logicielle située au sommet du disque. Le message suivant s'affiche :


Open Error

Solution : au lieu d'exécuter la commande metarecover pour récupérer la partition logicielle, créez-en une sur le disque.


Remarque :

si la partition logicielle fait partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.


# metareplace dx miroir ou RAID 5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle

Bugs liés à la gestion de réseaux

La configuration de plusieurs tunnels entre deux noeuds IP avec validation de filtrage peut engendrer une perte de paquets (4152864)

Si vous configurez plusieurs tunnels IP entre deux noeuds IP et validez ip_strict_dst_multihoming ou d'autres filtres IP, cela peut entraîner une perte de paquets.

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

Bugs liés à la sécurité

Le déverrouillage du verrouillage d'écran de CDE supprime les références Kerberos Version 5 (4674474)

Si vous déverrouillez une session CDE verrouillée, toutes les références Kerberos version 5 (krb5) en mémoire cache risquent d'être supprimées. Résultat : vous risquez de ne plus pouvoir accéder à divers utilitaires du système. Ce problème apparaît dans les circonstances indiquées ci-dessous.

Lorsque ce problème survient, le message d'erreur suivant s'affiche :


lock screen: PAM-KRB5 (auth): Error verifying TGT with host/nom_hôte:
Permission denied in replay cache code

Solution : ajoutez les entrées non-pam_krb5 dtsession dans le fichier /etc/pam.conf.


dtsession auth requisite pam_authtok_get.so.1
dtsession auth required  pam_unix_auth.so.1

Une fois que vous avez ajouté ces entrées dans le fichier /etc/pam.conf, le module pam_krb5 ne s'exécute plus par défaut.

cron, at et batch ne peuvent pas programmer de tâches pour des comptes verrouillés (4622431)

Dans l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02, les comptes verrouillés sont traités de la même manière que des comptes venus à échéance ou inexistants. Par conséquent, les utilitaires cron, at et batch ne peuvent pas programmer de tâches sur des comptes verrouillés.

Solution : pour permettre à des comptes verrouillés d'accepter des tâches cron, at ou batch, remplacez le champ du mot de passe d'un compte verrouillé (*LK*) par la chaîne NP (pour "pas de mot de passe").

Bugs liés aux logiciels supplémentaires

SPARC: Veritas Volume Manager peut échouer sur les systèmes tournant sous l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02 (4642114)

Si vous tentez d'effectuer plusieurs tâches avec Veritas Volume Manager sur un système fonctionnant sous l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02, les utilitaires vxddladm addjob ou vxddladm addsupport risquent de vider l'image mémoire.

Solution : procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Devenez superutilisateur.

  2. Vérifiez que le fichier /var/ld/ld.config et l'utilitaire /usr/bin/crle sont présents sur le système.

  3. Entrez les commandes suivantes dans une fenêtre de terminal :


     # /usr/bin/cp /var/ld/ld.config /var/ld/ld.config.save
     # /usr/bin/crle -E LD_LIBRARY_PATH=/usr/lib
     # commande_vxddladm_appropriée
     # /usr/bin/mv /var/ld/ld.config.save /var/ld/ld.config
    

Problèmes liés au CD de documentation

Les liens vers la documentation d'iPlanet Directory Server 5.1 ne fonctionnent pas correctement

Dans la collection iPlanetTM Directory Server 5.1 (Édition Solaris), les liens DocHome et les liens entre différents manuels ne fonctionnent pas. Par conséquent, si vous les sélectionnez, votre navigateur affiche l'erreur Introuvable.

Solution : pour passer d'un document iPlanet Directory Server 5.1 à un autre sur votre système, accédez à la page de la collection iPlanet Directory Server 5.1 (Édition Solaris) à l'adresse http://docs.sun.com. Cliquez sur le lien correspondant au document que vous souhaitez consulter.

Module SUNWsdocs nécessaire pour supprimer d'autres modules de documentation

Si vous supprimez le module SUNWsdocs, puis essayez de supprimer les autres modules de documentation, la suppression échoue. Ce problème se présente parce que le module SUNWsdocs est installé avec n'importe quelle collection et constitue le point d'entrée du navigateur.

Solution : si vous avez supprimé le module SUNWsdocs, réinstallez-le à partir du support de documentation, puis supprimez les autres modules de documentation.

Bugs liés au CD de documentation

Les documents au format PDF pour les environnements localisés en langues européennes sont uniquement disponibles via la version localisée en anglais (4674475)

Sous l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02et les autres systèmes basés sur UNIX, les documents au format PDF figurant sur le CD de documentation Solaris 9 12/02 1 sur 2 ne sont pas accessibles dans les versions localisées en langues européennes suivantes :

Ceci provient d'un problème de limitation d'Adobe Acrobat Reader. Pour obtenir de plus amples informations sur ce problème, visitez le site d'Adobe Technote à l'adresse suivante http://www.adobe.com:80/support/techdocs/294de.htm.

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

La suppression des modules de documentation Solaris 9 12/02 peut engendrer inopinément la désinstallation de certaines collections de documentation Solaris 9 12/02 (4641961)

Certaines collections de documentation Solaris Solaris 9 12/02 peuvent être supprimées inopinément de votre système, dans les cas de figure répertoriés ci-dessous.

  1. Vous installez le contenu des CD de documentation Solaris 9 12/02 1 sur 2 et 2 sur 2 sur votre système.

  2. Vous utilisez ensuite l'utilitaire prodreg ou le programme d'installation du CD de documentation Solaris 9 12/02 pour supprimer certains modules de documentation.

Les CD de documentation Solaris 9 12/02 1 sur 2 et 2 sur 2 possèdent trois collections en commun. Si vous supprimez les modules contenant ces collections à partir de l'un de ces deux CD pour une installation donnée, les modules sont supprimés pour les deux installations.

Le tableau ci-dessous répertorie les modules pouvant être supprimés inopinément.

Tableau 2-1 Modules de documentation Solaris 9 12/02 figurant sur les deux CD de documentation Solaris 9 12/02

Nom des modules HTML 

Nom des modules PDF 

Descriptif de la collection 

SUNWaadm

SUNWpaadm

Collection Solaris 9 System Administrator 

SUNWdev

SUNWpdev

Collection Solaris 9 Developer  

SUNWids

SUNWpids

Collection iPlanet Directory Server 5.1 

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

Bugs liés à la localisation

IA: le système se bloque lors de l'utilisation des versions localisées arabe et hébraïque (4770382)

Si vous essayez de vous connecter aux versions localisées arabe et hébraïque à l'aide de l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02 (Édition pour plate-forme x86), dtlogin se bloque, redémarre et affiche l'invite de connexion. Le message d'erreur suivant apparaît :


The X server cannot be started on display :0...

Si vous tentez de lancer une application après avoir défini la version localisée à partir de la ligne de commande "ar" ou "he", l'application risque de se bloquer et d'effectuer un vidage d'image mémoire.

Solution : pour éviter une telle situation, appliquez le patch 114034-01, que vous trouverez à l'adresse http://sunsolve.sun.com.

AltGraph-E ne produit pas le caractère Euro dans l'environnement localisé en_US.UTF-8 (4633549)

Dans l'environnement localisé en_US.UTF-8, vous ne pouvez pas entrer le caractère Euro en enfonçant simultanément les touches AltGraph et E.

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

SPARC: la combinaison Maj-U ne fonctionne pas comme prévu dans les environnements localisés arabes (4303879)

Pour générer le caractère diacritique dans les environnements localisés arabes, entrez le caractère arabe suivi de Maj-U.

Le tri ne fonctionne pas correctement dans les environnements localisés UTF-8 européens (4307314)

Le tri ne fonctionne pas correctement dans les environnements localisés UTF-8 européens.

Solution : avant d'effectuer un tri dans un environnement localisé UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE avec l'équivalent ISO–1.


# echo $LC_COLLATE
>  es_ES.UTF-8
# LC_COLLATE=es_ES.IS08859-1
# export LC_COLLATE

Vous pouvez alors lancer le tri.

Bugs liés à Sun ONE Application Server

le navigateur par défaut est incompatible avec Sun ONE Application Server 7 (4741123)

Si vous essayez d'utiliser l'interface utilisateur d'administration de Sun ONE Application Server avec le navigateur par défaut de l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02, le message suivant s'affiche :


Unsupported Browser: Netscape 4.78

It is recommended that you upgrade your browser to Netscape 4.79 or 
Netscape 6.2 (or later) to run the Sun One Application Server 
Administrative UI. Those who choose to continue and not upgrade may
notice degraded performance or unexpected behavior.

Solution : utilisez /usr/dt/bin/netscape6 , plutôt que /usr/dt/bin/netscape.

SPARC: l'édition de la liste ACL (Access Control List) n'est pas prise en charge dans certaines versions de Netscape Navigator (4750616)

L'édition de la liste ACL de Sun ONE Application Server n'est pas prise en charge dans certaines versions de Netscape NavigatorTM. Par conséquent, si vous tentez d'éditer les entrées ACL alors que vous utilisez la version 6.x ou 7.x de Netscape Navigator, vous risquez d'avoir des problèmes intermittents de consultation.

Par exemple :

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

L'accès à une base de données Oracle 9.1 à l'aide d'un client Oracle 9.2 risque de corrompre des données (4707531)

Si vous accédez à une base de données Oracle 9.1 à l'aide d'un client Oracle 9.2, les données risquent d'être corrompues lorsqu'une colonne de chiffres suit une colonne d'horodatage.

Une telle circonstance peut être due à l'utilisation du fichier ojdbc14.jar avec une base de données Oracle 9.1. L'application du patch facilitera probablement l'adressage de la situation sur des machines Solaris 32 bits, sur lesquelles est exécutée une base de données Oracle 9.1. Ce gestionnaire JDBCTM est destiné à Oracle s'exécutant avec JDKTM 1.4.

Solution : procurez-vous le patch qui sera probablement mis à disposition par Oracle sur son site Web pour fixer le bug 2199718 et appliquez-le sur votre serveur.

SPARC: l'interface d'administration de Sun ONE Application Server rapporte une erreur de vérificateur lors de l'affichage de la ressource Persistence Manager Factory créée à partir de la ligne de commande (4733109)

Une erreur de vérificateur est rapportée pour une ressource Persistence Manager Factory qui a été créée à l'aide de l'interface de ligne de commande. L'erreur suivante s'affiche lorsque la ressource est visualisée dans l'interface d'administration de Sun ONE Application Server.


ArgChecker Failure: Validation failed for jndiName: object must be non-null

Solution : procédez comme suit pour créer une nouvelle ressource Persistence Management Factory.

  1. Créez un pool de connexion à JDBC en y insérant les informations sur la source de données, de façon à vous connecter à une base de données.

  2. Créez une ressource jdbc pour rendre le pool de connexion disponible par le biais d'une recherche Java Naming and Directory InterfaceTM (J.N.D.I.).

  3. Créez une ressource de gestion de la persistence à l'aide de la ressource JDBC qui a été créée dans l'étape 2.

SPARC: la valeur any dans l'attribut adresse de l'élément récepteur IIOP du fichier server.xml n'est pas prise en charge (4743366)

La valeur any dans l'attribut adresse de l'élément récepteur IIOP du fichier server.xml permet d'être en écoute sur toutes les interfaces disponibles sur un système. Cette prise en charge inclut les interfaces IPv4 et IPv6. Toutefois, dans la configuration de Sun ONE Application Server par défaut, la valeur de l'adresse est définie sur 0.0.0.0 dans l'élément récepteur IIOP. Cette configuration par défaut n'est pas en écoute sur les interfaces IPv6. En effet, elle n'est en écoute que sur la totalité des interfaces IPv4 d'un système.

Solution : utilisez la valeur : dans l'attribut adresse du récepteur IIOP dans le fichier server.xml pour être en écoute sur toutes les interfaces IPv4 et IPv6 d'un système.

SPARC: le serveur d'applications ne parvient pas à redémarrer lors d'une conversion en environnement SSL (4723776)

Le redémarrage de Sun ONE Application Server échoue si vous tentez de l'effectuer après avoir installé un certificat et activé la sécurité. Un message indique que la réception d'un mot de passe par le serveur a échoué.

Lorsque SSL n'est pas activé, les mots de passe ne sont pas mis en cache et le redémarrage échoue. La commande restart ne prend pas en charge le passage du mode non SSL au mode SSL.


Remarque :

cette circonstance se présente uniquement au premier redémarrage du serveur et les redémarrages suivants s'effectuent avec succès.


Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

SPARC: le serveur d'applications risque de se bloquer lors d'un rechargement dynamique (4750461)

Si une application comprend plusieurs composants Enterprise JavaBeansTM, le serveur risque de se bloquer lors du rechargement dynamique de cette application. La fonction de rechargement dynamique est utilisée dans l'environnement de développement et sert à tester rapidement les modifications mineures effectuées au niveau d'une application. Le blocage est dû à une tentative d'utilisation de plus de descripteurs de fichier qu'il n'y en a de disponibles.

Solution : procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Augmentez le nombre maximum de descripteurs de fichier en ajoutant des lignes, dans ce format, dans le fichier /etc/system.

    • set rlim_fd_max=8192

    • set rlim_fd_cur=2048

    Les valeurs peuvent être définies à la hausse ou à la baisse, selon la taille de l'application.

  2. Redémarrez le système.

La sortie de la console est corrompue si l'encodage par défaut du système n'est pas UTF-8 (4757859)

Si l'encodage par défaut du système n'est pas UTF-8, la sortie du serveur d'applications risque de ne pas afficher correctement les caractères multi-octets.

Solution : ouvrez le fichier server.log dans votre navigateur.

Le surnom d'un certificat externe ne s'affiche pas dans la liste des surnoms de l'interface d'administration (4725473)

Si vous procédez à l'installation d'un certificat externe à travers l'interface d'administration de l'application Sun ONE, un problème surgit lorsque vous tentez d'activer SSL pour le récepteur HTTP à l'aide du certificat installé sur le module cryptographique externe. Même si l'installation du certificat s'est déroulée avec succès, le surnom du certificat ne s'affiche pas dans l'interface d'administration.

Solution : procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Connectez-vous au système sur lequel est installé le logiciel Sun ONE Application Server en tant qu'administrateur.

  2. Reliez le récepteur HTTP au certificat qui est installé sur un module cryptographique externe à l'aide de la commande asadmin. Pour de plus amples informations sur la commande asadmin, reportez-vous à la page asadmin(1AS) du manuel.


    # asadmin create-ssl --user administrateur--password 
    	 mot_de_passe --host nom_hôte \
    --port port --type http-listener --certname nobody@apprealm:Server-Cert \
    --instance instance --ssl3enabled=true \
    --ssl3tlsciphers +rsa_rc4_128_md5 http-listener-1

    La commande précédente établit le lien entre le certificat et l'instance de serveur, mais elle ne procède pas à l'installation du certificat. Ce dernier a été installé à travers l'interface d'administration.


    Remarque :

    bien que le certificat soit lié au récepteur HTTP, ce dernier se mettra en écoute au mode non SSL.


  3. Activez le récepteur HTTP de façon à ce qu'il puisse se mettre en écoute au mode SSL. Utilisez la commande suivante :


    # asadmin set --user administrateur --password mot_de_passe --host nom_hôte \
    --port port server1.http-listener.http-listener-1.securityEnabled=true

    La commande précédente bascule l'état d'écoute de l'instance de serveur du mode non SSL au mode SSL. Une fois les étapes mentionnées ci-dessus réalisées, le certificat s'affiche dans l'interface d'administration.

Vous pouvez à présent utiliser cette interface pour effectuer les modifications de votre choix au niveau du récepteur HTTP.

SPARC: la commande flexanlg risque d'entraîner l'apparition d'un message d'échec (4742993)

Si vous exécutez le logiciel Sun ONE Application Server inclus dans l'environnement d'exploitation Solaris 9 12/02 et que vous utilisez la commande flexanlg à partir du fichier /usr/appserver/bin, un message d'échec s'affiche.


ld.so.1: /usr/appserver/bin/flexanlg: fatal: libplc4.so:open failed:
No such file or directory
killed

Solution : procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Ajoutez l'entrée suivante au fichier LD_LIBRARY_PATH.

    /usr/lib/mps

  2. Exécutez la commande flexanlg.

    % /usr/appserver/bin/flexanlg

Impossible pour les clients IPv6 uniquement de se connecter au serveur d'applications (4742559)


Remarque :

le problème décrit dans les lignes suivantes s'adresse aux utilisateurs dont le réseau utilise IPv6.


Par défaut, les instances Sun ONE Application Server 7 et instances de serveur d'administration utilisent IPv4. IPv4 est pris en charge par tous les environnements d'exploitation sur lesquels Sun ONE Application Server est disponible. Sur les plates-formes prenant en charge IPv6, des modifications au niveau de la configuration de Sun ONE Application Server sont requises à des fins de conformité.


Remarque :

si de telles modifications de la configuration sont nécessaires, vous devez être sûr et certain qu'IPv6 est bien pris en charge. En effet, si la configuration liée à IPv6 est réalisée sur un système prenant en charge IPv4 uniquement, les instances de serveur d'applications risquent de ne pas démarrer.


Solution : procédez aux modifications de la configuration indiquées ci-dessous.

  1. Démarrez le serveur d'administration.

  2. Démarrez la console d'administration en vous connectant à l'hôte HTTP ou au port du serveur d'administration dans un navigateur.

  3. Sélectionnez l'instance du serveur sur lequel vous allez configurer IPv6, par exemple, serveur1.

  4. Étendez le noeud des récepteurs HTTP dans l'arborescence.

  5. Sélectionnez le récepteur HTTP sur lequel vous allez configurer IPv6, par exemple, récepteur-HTTP1.

  6. Définissez la valeur du champ "IP Address" sur ANY dans la section General.

  7. Dans la section Advanced, définissez la valeur du champ Family sur INET6.

    En définissant le champ Family sur INET6, vous ne désactivez pas la fonctionnalité IPv4, sauf si une adresse IPv6 est sélectionnée pour l'adresse IP. En sélectionnant ANY pour une adresse IP, vous étendez les adresses à IPv4 et IPv6.

  8. Cliquez sur Save.

  9. Sélectionnez votre instance de serveur dans le panneau de gauche.

  10. Cliquez sur Apply Changes.

  11. Cliquez sur Stop.

  12. Cliquez sur Start.

    Le serveur redémarre et applique les modifications que vous avez effectuées.

Les échantillons modifiés ne sont pas mis à jour tant qu'ils n'ont pas été redéployés (4726161)

Le message d'erreur indiqué ci-dessous apparaît si les utilisateurs tentent de déployer un échantillon à plusieurs reprises après avoir effectué des modifications mineures et recomprimé l'application.


Already Deployed

Ce problème concerne la plupart des échantillons, étant donné qu'ils utilisent l'utilitaire Ant et le fichier common.xml, dont la cible est deploy. Ainsi cette utilisation combinée mélange le déploiement d'applications et l'enregistrement de ressources.

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous.

SPARC: la définition des transactions sur un nombre autre que zéro provoque des transactions locales lentes (4700241)

Le gestionnaire de transactions locales ne prend pas en charge les transactions dont les délais sont déterminés. Si vous définissez l'attribut "délai en secondes" dans l'élément transaction-service sur une valeur supérieure à 0, toutes les transactions locales sont traitées comme des transactions globales. Une valeur de délai de 0 signifie que le gestionnaire de transactions attend indéfiniment jusqu'à ce qu'il obtienne le signal retour d'une source de données participante.


Remarque :

si le gestionnaire de sources de données ne prend pas en charge les transactions globales, une transaction locale risque d'échouer.


Solution : remettez le délai en secondes sur sa valeur par défaut, à savoir 0.

Les optimisations du gestionnaire JDBC d'Oracle ne sont pas amorcées (4732684)

Pour utiliser les optimisations JDBC d'Oracle avec des beans CMP (Container-Managed Persistence), vous devez spécifier classes12.zip dans l'attribut de suffixe du chemin d'accès du fichier server.xml. Ne placez pas le fichier classes12.zip dans le répertoire instance/lib/, qui est l'opération par défaut pour les bibliothèques tierces.

Solution : ajoutez le fichier classes12.zip dans l'attribut de suffixe du chemin d'accès du fichier server.xml .

Des problèmes de droits d'accès ont lieu lors du rechargement dynamique et de l'invocation d'applications (4756981)

Si le serveur d'administration appartient au superutilisateur, tandis que l'instance de serveur appartient à un utilisateur ne possédant pas le caractère de superutilisateur, des problèmes de droits d'accès risquent de surgir lors du rechargement dynamique et de l'invocation d'applications.

Solution : une fois que vous avez déployé et redéployé le module ou l'application (avec ou sans l'option de précompilation), modifiez le propriétaire du répertoire qui ne sera plus le superutilisateur,mais l'utilisateur non superutilisateur pour les répertoires indiqués ci-dessous. L'utilisateur non superutilisateur est le propriétaire de l'instance.

Vous devez modifier la propriété de répertoire de façon récursive pour chaque répertoire, selon le type d'application, dans la liste suivante :

  1. Devenez superutilisateur.

  2. Entrez la commande suivante pour chaque répertoire applicable à votre situation :


    # chown -R propriétaire_instance_non_superutilisateur nom_répertoire
    

Les clients RMI-IIOP ne fonctionnent pas pour les adresses IPv6 où les consultations d'adresse DNS échouent pour l'adresse IPv6 (4743419)

Si une consultation de DNS pour une adresse IPv6 échoue, les clients RMI-IIOP (Remote Method Invocation-Internet Inter-ORB Protocol) ne fonctionnent pas pour les adresses IPv6.

Solution : vous devez définir le DNS (Domain Name Service) sur le site de déploiement, afin de rechercher une adresse IPv6.

La valeur du champ Only show entries with dans le message de visualisation des événements se corrompt si l'application ou le système n'utilise pas actuellement l'encodage UTF-8 (4763655)

Si l'utilisateur entre des caractères multi-octets dans le champ Only show entries with et qu'il effectue ensuite une recherche du message d'événements, la valeur du champ Only show entries with se corrompt à l'affichage du résultat de cette recherche. Ce problème est dû au fait que le format du message n'est plus UTF-16, mais UTF-8.

Solution : aucune.

Bug lié à la sécurité de Sun ONE Application Server

Le serveur d'applications démarre toutes les instances en tant que superutilisateur, autorisant l'accès aux utilisateurs non superutilisateurs en tant que superutilisateurs (4780076)

Plusieurs problèmes sont liés au démarrage du serveur d'applications lorsque Sun ONE Application Server est installé comme partie intégrante de l'installation de Solaris.

Lors de l'installation de Sun ONE Application Server, le script /etc/init.d/appserv et les liens symboliques vers les scripts S84appserv et K05appserv dans les répertoires /etc/rc*.d/ sont installés. Ces scripts provoquent le démarrage et l'arrêt automatiques des instances de serveur d'applications et de serveur d'administration, définies comme faisant partie de l'opération d'installation du serveur d'applications, au démarrage et à l'arrêt du système Solaris.

Le script /etc/init.d/appserv contient la section de code suivante :

case "$1" in
'start')
    /usr/sbin/asadmin start-appserv
    ;;
'stop')
    /usr/sbin/asadmin stop-appserv
    ;;

L'exécution de la commande asadmin start-appserv provoque le démarrage de l'instance de serveur d'administration et de toutes les instances de serveur d'applications, définies dans tous les domaines d'administration, au démarrage du système Solaris. Le script de démarrage de chaque instance de serveur d'applications et de serveur d'administration est exécuté en tant que superutilisateur, étant donné que les scripts de démarrage et d'arrêt du système sont eux-mêmes exécutés en tant que superutilisateur. Le script de démarrage au niveau de l'instance est appelé startserv et se trouve dans le répertoire instance-dir/bin/startserv . Les scripts startserv peuvent être modifiés par l'utilisateur non superutilisateur dans le cadre de l'exécution de commandes en tant que superutilisateur, étant donné que les instances peuvent appartenir à des utilisateurs autres que les superutilisateurs.

Si une instance utilise le port réseau privilégié, son script startserv doit être exécuté en tant que superutilisateur. Cependant, run as user est normalement défini dans la configuration de l'instance, afin de forcer l'instance à s'exécuter en tant qu'utilisateur spécifié après son démarrage par le superutilisateur.

Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous, en fonction de votre environnement.

Considérations de démarrage : lorsque vous modifiez les scripts de démarrage de l'environnement d'exploitation Solaris de façon à ce qu'ils démarrent automatiquement des domaines d'administration de serveur d'applications spécifiques ou des instances de serveur d'applications spécifiques, prenez en compte ce qui est indiqué ci-dessous.

Reportez-vous au Sun ONE Application Server 7 Administrator's Guide pour de plus amples informations sur les commandes startup et shutdown disponibles par l'intermédiaire de l'interface de la ligne de commande asadmin.

Problèmes liés à Sun ONE Directory Server (anciennement iPlanet Directory Server)

Problème d'installation

Lorsque vous entrez des noms distincts au cours de l'installation, utilisez le codage en jeu de caractères UTF-8. Les autres codages ne sont pas pris en charge. Par ailleurs, la procédure d'installation ne convertit pas les données du codage en jeu de caractères local en codage en jeu de caractères UTF-8. Les fichiers LDIF utilisés pour importer les données doivent également utiliser le codage en jeu de caractères UTF-8. La procédure d'importation ne convertit pas les données du codage en jeu de caractères local en codage en jeu de caractères UTF-8.

Problèmes liés au schéma

Le schéma fourni avec Sun Open Net Environment (Sun ONE) Directory Server (anciennement iPlanet Directory Server) 5.1 diffère de celui qui est spécifié dans le standard RFC 2256 pour les objets de classe groupOfNames et groupOfUniquenames. Dans le schéma fourni, les types d'attribut member et uniquemember sont optionnels. Le standard RFC 2256 indique qu'au moins une valeur pour ces types doit figurer dans leur objet de classe respectif.

aci est un attribut opérationnel qui n'est pas retourné avec une recherche, à moins que vous ne le demandiez de façon explicite.

Problème de réplication

La réplication multi-maître sur le réseau étendu n'est pas prise en charge actuellement.

Problèmes liés au module d'extension du serveur

Sun ONE Directory Server 5.1 fournit le module d'extension UID Uniqueness. Par défaut, il n'est pas activé. Pour garantir l'aspect unique de l'attribut pour des attributs spécifiques, créez une nouvelle instance du module d'extension Attribute Uniqueness par attribut. Pour de plus amples informations sur le module d'extension Attribute Uniqueness, reportez-vous au iPlanet Directory Server 5.1 Administrator's Guide à l'adresse http://docs.sun.com .

Le module d'extension Referential Integrity est désormais désactivé par défaut. Pour éviter les boucles de résolution de conflits, le module d'extension Referential Integrity doit être activé sur une seule réplique maître dans un environnement de réplication multi-maître. Avant d'activer le module d'extension Referential Integrity sur les serveurs confrontés à des demandes d'enchaînement, analysez vos besoins en termes de performances, de durée et d'intégrité des ressources. Les contrôles d'intégrité peuvent utiliser des ressources significatives en termes de mémoire et de CPU.

Problème de rôles et de classe de service

L'attribut nsRoleDN sert à définir un rôle. Il ne doit pas être utilisé pour évaluer l'appartenance à un rôle d'une entrée utilisateur. Pour ce faire, consultez l'attribut nsrole.

Problème d'indexation

Si les index VLV comprennent plus d'une base de données, il ne fonctionnent pas correctement.

Bugs liés à Sun ONE Directory Server

Impossible de désactiver des utilisateurs au moyen de la console (4521017)

Si vous lancez Sun ONE Directory Server 5.1 Console et créez un nouvel utilisateur ou un nouveau rôle inactif, ni l'un ni l'autre ne seront désactivés. Il est impossible de créer des utilisateurs et des rôles inactifs par le biais de la console.

Solution : pour créer un utilisateur ou un rôle inactif, procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Créez le nouvel utilisateur ou le nouveau rôle.

  2. Cliquez deux fois sur l'utilisateur ou le rôle que vous venez de créer ou sélectionnez-le. Cliquez sur Properties dans le menu Object.

  3. Cliquez sur l'onglet Account.

  4. Cliquez sur le bouton Inactivate.

  5. Cliquez sur OK.

L'utilisateur ou le rôle que vous venez de créer est désactivé.

Impossible de configurer un répertoire en introduisant des espaces dans le suffixe de base (4526501)

Si vous spécifiez un nom de domaine de base contenant un espace, par exemple o=U.S. Government,C=US lors de la configuration de Sun ONE Directory Server 5.1, le nom de domaine obtenu est tronqué : Government,C=US. Lors de la configuration, le nom de domaine doit être entré de la façon suivante : o=U.S.%20Government,C=US.

Solution : pour modifier l'entrée du nom de domaine de base, procédez comme indiqué ci-dessous.

  1. Sélectionnez l'entrée de répertoire supérieure dans la partie gauche de la fenêtre de navigation de l'onglet Servers and Applications sur la console.

  2. Modifiez le suffixe dans le champ de sous-arborescence du répertoire User.

  3. Cliquez sur OK.

Les données relatives à la politique sur les mots de passe ne sont pas synchronisées entre les serveurs (4527608)

Si vous mettez à jour un serveur d'annuaire non maître en appliquant des données relatives à la politique sur les mots de passe, ces données ne sont pas reproduites sur les autres serveurs. Ces données renferment les verrous de compte.

Solution : gérez manuellement les données relatives à la politique des mots de passe sur chaque serveur.

Account Lockout reste effectif après la modification du mot de passe (4527623)

Si Account Lockout est activé et que le mot de passe utilisateur est modifié, Account Lockout reste effectif.

Solution : réinitialisez les attributs de verrouillage accountUnlockTime , passwordRetryCount et retryCountResetTime pour déverrouiller le compte.

Sauvegarde immédiate de la console après l'échec de l'installation (4531022)

Si vous procédez à l'installation de Sun ONE Directory Server 5.1, lancez la console, initialisez le répertoire avec un fichier LDIF, puis faites une copie du serveur. La console enregistre que la sauvegarde s'est déroulée correctement. Pourtant, elle a réellement échoué.

Solution : procédez comme indiqué ci-dessous, depuis la console, après avoir initialisé la base de données.

  1. Arrêtez le serveur.

  2. Redémarrez le serveur.

  3. Effectuez la sauvegarde.

Le serveur ignore la syntaxe sensible à la casse lors de la normalisation des attributs de nom de domaine (4630941)

Vous ne pouvez pas utiliser les services d'attribution de nom LDAP pour créer des noms de chemin montés automatiquement identiques, sauf quand la casse engendre des noms de chemin répétés. Le serveur d'annuaire ne permet pas de créer des entrées si l'attribut d'assignation de noms possède une syntaxe sensible à la casse et qu'une entrée existante porte déjà le même nom, mais dans une casse différente.


Remarque :

Les chemins d'accès /home/foo et /home/Foo ne peuvent pas coexister.


Par exemple, si l'entrée attr=foo,dc=mycompany,dc=com existe, le serveur ne vous autorise pas à créer l'entrée attr=Foo,dc=mycompany,dc=com . Effet pervers de ce problème : si vous utilisez les services d'attribution de noms, les noms de chemin montés automatiquement doivent être uniques, quelle que soit leur casse.

Solution : aucune.

L'arrêt du serveur pendant l'exportation, la sauvegarde, la restauration ou la création d'un index bloque le serveur (4678334)

Si vous arrêtez le serveur pendant une exportation, une sauvegarde, une restauration ou la création d'un index, il se bloque.

Solution : n'arrêtez pas le serveur lorsque vous effectuez l'une de ces opérations.

La réplication ne peut pas utiliser de certificat auto-signé (4679442)

Si vous tentez de configurer la réplication sur SSL (Secure Socket Layer) avec une authentification basée sur un certificat, la réplication ne fonctionne pas si l'une des conditions indiquées ci-dessous se présente.

Solution : aucune.