Ce chapitre traite des problèmes d'exécution.
Les descriptions des bugs d'exécution suivantes ont été ajoutées à ce chapitre depuis la publication de ce document sur le CD de documentation Solaris 9 9/02 et dans le Kiosque d'installation du CD d'installation Solaris 9 9/02.
Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.
Solution : pour déverrouiller votre système, procédez de la manière suivante.
Connectez-vous à distance à la machine sur laquelle le processus ocfserv a été interrompu.
Devenez superutilisateur.
Tuez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal.
# pkill dtsession |
L'option de menu Editer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce ne modifie pas les fichiers de configuration de carte à puce situés dans /etc/smartcard/opencard.properties. Si vous sélectionnez cette option de menu, un avertissement apparaît vous demandant de ne pas continuer sauf demande contraire du support technique.
Solution : n'utilisez pas l'option de menu Editer le fichier config dans la console de gestion des cartes à puce. Pour obtenir de plus amples informations sur la configuration de la carte à puce, consultez le document Solaris Smartcard Administration Guide.
dtmail s'arrête brutalement après s'être connecté avec le serveur IMAP si l'option FontList est spécifiée à l'exécution de dtmail à partir de la ligne de commande. Voyez l'exemple suivant.
/usr/dt/bin/dtmail -xrm "Dtmail*FontList: -*-r-normal-*:" |
Le message d'erreur suivant apparaît.
Erreur de segmentation |
Ce problème apparaît dans les versions localisées en anglais et japonais.
Solution : ne spécifiez pas l'option FontList lors de l'exécution de dtmail à partir de la ligne de commande.
Si vous tentez de lire un message électronique contenant beaucoup de longues lignes dans l'environnement localisé Solaris 99/02 Unicode ou UTF-8, CDE Mailer (dtmail) s'interrompt. Ce message ne s'affiche pas immédiatement.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Agrandissez la fenêtre Mailbox dtmail pour afficher 132 colonnes.
Désactivez la fonction Complex Text Layout en procédant comme suit.
Devenez superutilisateur.
Adaptez les répertoires au répertoire de l'environnement localisé de votre système.
# cd /usr/lib/locale/nom_version_localisée |
Dans l'exemple précédent, nom_environnement_localisé renvoie au nom de l'environnement localisé Solaris 99/02 Unicode ou UTF-8 de votre système.
Renommez la catégorie de moteur de configuration de l'environnement localisé.
# mv LO_LTYPE LO_LTYPE- |
renommez la catégorie de moteur de configuration d'environnement localisé en lui redonnant son nom initial (LO_LTYPE) avant d'appliquer les patchs au moteur de configuration d'environnement localisé.
Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer, puis restaurer, sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.
Solution : supprimez manuellement la dernière entrée sur l'organiseur avant de lancer la synchronisation.
Si vous échangez des données multi-octets entre un organiseur et Solaris CDE, vous risquez d'altérer ces données dans les deux environnements.
Solution : sauvegardez les données sur votre PC à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde de l'organiseur avant d'exécuter Synchronisation organiseur. Si vous échangez accidentellement des données multi-octets et que celles-ci sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.
Dans l'environnement d'exploitation Solaris 99/02 et sur les systèmes basés sur UltraSPARC II, le message d'événement de l'UC qui accompagne certains messages d'erreur de mémoire incorrigible n'est pas toujours reproduit. Parmi ces systèmes figurent les systèmes Sun EnterpriseTM 10000 et Sun EnterpriseTM 6500/6000/5500/5000/ 4500/4000/3500/3000. Cela risque d'engendrer la disparition de certaines informations requises pour identifier une unité centrale défectueuse.
Solution : pour obtenir les informations les plus récentes sur les problèmes de reproduction du message d'événement de l'UC, consultez le site Web SunSolve à l'adresse http://sunsolve.sun.com.
Le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs qui sont écrits pour l'interface com.sun.wbem.provider ou l'interface com.sun.wbem.provider20. Même si vous créez une instance Solaris_ProviderPath pour un fournisseur qui est écrit pour ces interfaces, le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne localise pas le fournisseur.
Solution : pour permettre au démon de localiser un tel fournisseur, arrêtez et redémarrez le démon Solaris WBEM Services 2.5.
# /etc/init.d/init.wbem stop # /etc/init.d/init.wbem start |
si vous utilisez l'API javax
pour développer
votre fournisseur, vous ne devez pas arrêter et redémarrer le
démon Solaris WBEM Services 2.5. De fait, ce dernier reconnaît
les fournisseurs javax
de façon dynamique.
Si vous décidez d'utiliser l'interface de programmation d'application com.sun plutôt que l'API javax
pour développer votre logiciel WBEM, seul l'appel de
méthode distant (RIM) CIM est totalement supporté. Il n'est
pas certain que d'autres protocoles, tels que XML/HTTP, fonctionnent tout
à fait avec l'interface de programmation d'application com.sun.
Le tableau suivant répertorie des exemples d'appels qui sont exécutés avec succès sous RMI, mais échouent sous XML/HTTP.
Appel de méthode |
Message d'erreur |
---|---|
CIMClient.close() |
NullPointerException |
CIMClient.execQuery() |
CIM_ERR_QUERY_LANGUAGE_NOT_SUPPORTED |
CIMClient.getInstance() |
CIM_ERR_FAILED |
CIMClient.invokeMethod() |
XMLERROR: ClassCastException |
L'outil de montage et de partage de Solaris Management Console ne peut pas modifier les options sur des systèmes de fichiers critiques du système comme / (root), /usr et /var.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Utilisez l'option de remontage avec la commande de montage.
# mount -F type_système_fichiers -o remount, options_montage_supplémentaires \ périphérique_à_monter point_montage |
les modifications de propriété de montage apportées en utilisant l'option -remount avec la commande mount ne sont pas persistantes. En outre, toutes les options de montage non spécifiées dans la portion options_montage_supplémentaires de la commande précédente héritent des valeurs par défaut spécifiées par le système. Reportez-vous à la page de manuel mount_ufs(1M) pour obtenir de plus amples informations.
Modifiez l'entrée appropriée dans le fichier /etc/vfstab pour changer les propriétés de montage de système, puis réinitialisez le système.
Le message d'erreur suivant s'affiche lorsque la mémoire est insuffisante :
CIM_ERR_LOW_ON_MEMORY |
Vous ne pouvez pas ajouter d'entrées supplémentaires lorsque la mémoire disponible pour le programme Common Information Model (CIM) Object Manager devient insuffisante. Le cas échéant, vous devez réinitialiser le référentiel CIM Object Manager.
Solution : pour réinitialiser le référentiel CIM Object Manager, procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Arrêtez le programme CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem stop |
Supprimez le répertoire d'enregistrement JavaSpacesTM.
# /bin/rm -rf /var/sadm/wbem/log |
Redémarrez le programme CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem start |
lorsque vous remettez le programme CIM Object Manager Repository à zéro, vous perdez toutes les définitions propriétaires de votre mémoire de données. Vous devez recompilez les fichiers MOF qui contiennent ces définitions en utilisant la commande mofcomp. Voyez l'exemple suivant.
# /usr/sadm/bin/mofcomp -u root -p mot_de_passe_superutilisateur votre_fichier_mof |
Si vous possédez un fichier racine (/) en miroir de Solaris Volume Manager au sein duquel le système de fichiers ne commence pas au cylindre 0, vous ne devez connecter aucun sous-miroir commençant au cylindre 0.
Si vous tentez de connecter un sous-miroir commençant au cylindre 0 sur un miroir dont le sous-miroir original ne commence pas sur ce cylindre, le message d'erreur suivant s'affiche.
can't attach labeled submirror to an unlabeled mirror |
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir commencent au cylindre 0.
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir ne commencent pas au cylindre 0.
par défaut, la procédure d'installation de JumpStart commence la copie sur le cylindre 0 et place le système de fichiers racine (/) ailleurs sur le disque. La pratique usuelle en matière d'administration des systèmes consiste à démarrer la tranche 0 sur le cylindre 0. Aussi, la mise en miroir d'une installation de JumpStart par défaut, dont la racine se trouve sur la tranche 0 mais pas sur le cylindre 0, vers un disque secondaire standard dont la tranche 0 commence au cylindre 0, engendre l'affichage d'un message d'erreur au moment où vous tentez de connecter un second sous-miroir. Pour obtenir de plus amples informations sur le comportement par défaut des programmes d'installation Solaris, reportez-vous à la rubrique "Problème relatifs à l'installation des swaps".
Si vous utilisez la commande metadetach pour supprimer un sous-miroir du miroir, vous risquez de ne plus pouvoir le reconnecter. Ce problème survient du fait que le miroir est automatiquement redimensionné après la déconnexion du sous-miroir.
Solution : avant d'utiliser la commande metadetach pour déconnecter un sous-miroir du miroir, connectez-y un sous-miroir dont les dimensions sont identiques à celui que vous souhaitez supprimer.
Si vous supprimez physiquement un disque partitionné d'un système pour le remplacer par un nouveau disque, la commande metareplace -e ne parvient pas à activer les partitions logicielles. Cette défaillance peut se produire que vous ayez exécuté ou non la commande metarecover avant la commande metareplace -e pour activer les partitions logicielles.
Solution : recréez les partitions logicielles sur le nouveau disque.
si les partitions logicielles font partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.
# metareplace dx miroir ou RAID 5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle |
La commande metahs -e peut échouer dans les cas suivants :
Un périphérique de secours rencontre un problème, telle qu'une erreur provoquée, lors de l'utilisation de l'utilitaire de test metaverify.
Le logiciel Solaris Volume Manager tente d'activer le disque de secours lorsqu'une erreur se produit sur un métapériphérique ; ce disque est marqué comme étant broken.
Le système est hors service. Le disque de secours défectueux est remplacé par un autre disque, installé au même emplacement.
A l'initialisation du système, le logiciel Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque de secours.
La commande metahs -e est utilisée pour activer le disque de secours sur le nouveau disque.
Le message suivant s'affiche.
WARNING: md: d0: open error of hotspare (Unavailable) |
Cette défaillance se produit car le logiciel Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque de secours qui a été placé dans le même emplacement physique. Aussi, il continue d'afficher l'identificateur de périphérique du disque qui a été retiré du système.
cette défaillance ne survient pas sur les armoires de stockage ni sur un Photon, l'identificateur de périphérique étant modifié lorsqu'un disque est remplacé.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Procédez comme suit pour mettre à jour l'identificateur de périphérique du disque de secours dans la base de données d'état de Solaris Volume Manager :
Devenez superutilisateur.
Entrez la commande suivante pour mettre à jour l'identificateur de périphérique du disque de secours.
# metadevadm -u nom_périphérique_logique |
Entrez la commande suivante pour rendre disponible le nouveau disque de secours.
# metareplace -e nom_périphérique_logique |
Procédez comme suit pour gérer les disques de secours et les ensembles de disques de secours sur le système :
Devenez superutilisateur.
Tapez la commande suivante pour supprimer l'entrée relative à la tranche du disque de secours.
# metahs -d hspnuméro_ensemble_disque_secours nom_périphérique_logique |
Tapez la commande suivante afin de créer une nouvelle entrée pour la tranche du disque de secours au même emplacement et avec l'identificateur de périphérique approprié.
# metahs -a hsp numéro_ensemble_disque_secours nom_périphérique_logique |
Vous ne pouvez pas remplacer un disque défectueux par un disque qui a été configuré avec le logiciel Solaris Volume Manager. Le nouveau disque doit être inconnu du logiciel Solaris Volume Manager. Si vous déplacez physiquement un disque d'un connecteur d'extension vers un autre sur un Photon, la commande metadevadm échoue. Cette défaillance survient lorsque le nom du périphérique logique de la tranche n'existe plus. L'identificateur de périphérique du disque reste cependant présent sur la copie du métapériphérique. Le message suivant s'affiche.
Unnamed device detected. Please run 'devfsadm && metadevadm -r to resolve. |
vous pouvez simultanément accéder au disque à son nouvel emplacement. Cependant, vous devez utiliser l'ancien nom de disque logique pour accéder à la tranche.
Solution : replacez le disque dans son connecteur d'extension initial.
Si vous retirez et remplacez un disque physique du système, puis utilisez la commande metarecover -p -d pour écrire les données relatives à la partition logicielle appropriée sur le disque, il en résulte une défaillance ouverte. La commande ne met pas à jour l'espace de noms de la base de données du métapériphérique pour refléter la modification au niveau du disque. Il en résulte une défaillance ouverte pour ladite partition logicielle située au sommet du disque. Le message suivant s'affiche.
Open Error |
Solution : au lieu d'exécuter la commande metarecover pour récupérer la partition logicielle, créez-en une sur le disque.
si la partition logicielle fait partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.
# metareplace dx miroir ou RAID 5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle |
Le démon Solaris Point-to-Point Protocol (PPP) 4.0 (pppd) peut être interrompu inopinément dans les cas suivants.
Le démon pppd est inactif.
Les options demand et holdoff du démon pppd sont activées.
Un paquet arrive pendant une période d'attente.
Si le démon pppd est interrompu inopinément, un message similaire au message suivant est enregistré dans le fichier de consignation approprié du système.
date_actuelle nom_hôte pppd[PID]: [ID 702911 daemon.error] unable to set IP to pass: Invalid argument date_actuelle nom_hôte pppd[PID]: [ID 702911 daemon.error] unable to enable IPCP |
Reportez-vous à la page de manuel pppd( 1M) pour obtenir de plus amples informations sur les options demand et holdoff du démon pppd.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Si le démon pppd peut réinitialiser les liens sans délai d'attente, ne sélectionnez pas l'option holdoff.
Configurez l'option holdoff sur 0.
Exécutez le démon pppd à partir d'un script en boucle identique au script Bourne Shell suivant.
#!/bin/sh while :; do /usr/bin/pppd cua/b lock idle 60 demand nodetach noauth \ 38400 10.0.0.1:10.0.0.2 holdoff 20 done
Si vous configurez de multiples tunnels IP entre deux noeuds IP et validez ip_strict_dst_multihoming ou d'autres filtres IP, cela peut entraîner une perte de paquets.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Commencez par configurer un seul tunnel entre deux noeuds IP. Ajoutez des adresses au tunnel au moyen de la commande ifconfig et de l'option addif.
Ne validez pas ip_strict_dst_multihoming sur des tunnels entre deux noeuds IP.
Si vous déverrouillez une session CDE verrouillée, toutes les références Kerberos version 5 (krb5) en mémoire cache risquent d'être supprimées. Résultat : vous risquez de ne plus pouvoir accéder à divers utilitaires du système. Ce problème apparaît dans les circonstances suivantes :
Les services dtsession de votre système sont configurés dans le fichier /etc/pam.conf pour utiliser par défaut le module krb5.
Vous verrouillez votre session CDE, puis tentez de la déverrouiller.
Lorsque ce problème survient, le message d'erreur suivant s'affiche.
lock screen: PAM-KRB5 (auth): Error verifying TGT with host/nom_hôte: Permission denied in replay cache code |
Solution : ajoutez les entrées non- pam_krb5 dtsession dans le fichier /etc/pam.conf.
dtsession auth requisite pam_authtok_get.so.1 dtsession auth required pam_unix_auth.so.1 |
Une fois que vous avez ajouté ces entrées dans le fichier /etc/pam.conf, le module pam_krb5 ne s'exécute plus par défaut.
La fonction d'exécution automatique du support amovible du bureau de CDE a été provisoirement supprimée de l'environnement d'exploitation Solaris 99/02, afin de réduire les éventuels problèmes de sécurité.
Pour utiliser la fonctionnalité d'exécution automatique pour un CD-ROM ou un autre volume amovible, vous devez procéder comme suit :
Exécutez le programme volstart à partir du niveau supérieur du système de fichiers du support amovible.
Suivez les instructions fournies avec le CD pour l'accès depuis l'extérieur de CDE.
pour obtenir les informations les plus récentes sur les problèmes de sécurité et les patchs, consultez le site Web SunSolve à l'adresse http://sunsolve.sun.com. Tous les patchs de sécurité sont disponibles sur le site SunSolve sans contrat de support.
Dans l'environnement d'exploitation Solaris 99/02, les comptes verrouillés sont traités de la même manière que des comptes venus à échéance ou inexistants. Par conséquent, les utilitaires cron, at et batch ne peuvent programmer de tâches sur des comptes verrouillés.
Solution : pour permettre à des comptes verrouillés d'accepter des tâches cron, at ou batch, remplacez le champ du mot de passe d'un compte verrouillé (*LK*) par la chaîne NP (pour pas de mot de passe).
Si vous tentez d'effectuer plusieurs tâches avec Veritas Volume Manager sur un système fonctionnant sous l'environnement d'exploitation Solaris 99/02, les utilitaires vxddladm addjob ou vxddladm addsupport peuvent vider l'image mémoire.
Solution : procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Vérifiez que le fichier /var/ld/ld.config et l'utilitaire /usr/bin/crle sont présents sur le système.
Entrez les commandes suivantes dans une fenêtre de terminal.
# /usr/bin/cp /var/ld/ld.config /var/ld/ld.config.save # /usr/bin/crle -E LD_LIBRARY_PATH=/usr/lib # commande_vxddladm_appropriée # /usr/bin/mv /var/ld/ld.config.save /var/ld/ld.config |
Dans la collection iPlanetTM Directory Server 5.1(Edition pour Solaris), les liens DocHome et les liens entre chaque manuel ne fonctionnent pas. Par conséquent, si vous les sélectionnez, votre navigateur affiche l'erreur Introuvable.
Solution : pour passer d'un document iPlanet Directory Server 5.1 à un autre sur votre système, accédez à la page de la collection iPlanet Directory Server 5.1 (Edition pour Solaris) à l'adresse http://docs.sun.com et cliquez sur le lien correspondant au document que vous souhaitez consulter.
Si vous supprimez le module SUNWsdocs, puis essayez de supprimer les autres modules de documentation, la suppression échoue. Ce problème se présente parce que le module SUNWsdocs est installé avec toute collection et constitue le point d'entrée du navigateur.
Solution : si vous avez supprimé le module SUNWsdocs, réinstallez-le à partir du support de documentation, puis supprimez les autres modules de documentation.
Sous l'environnement d'exploitation Solaris 99/02 et les autres systèmes basés sur UNIX, les documents au format PDF figurant sur le CD 1 sur 2 de documentation Solaris 99/02 ne sont pas accessibles dans les versions localisées en langues européennes suivantes.
de (allemand)
es (espagnol)
fr (français)
it (Italien)
sv (suédois)
Ceci provient d'un problème de limitation d'Adobe Acrobat Reader. Pour obtenir de plus amples informations sur ce problème, visitez le site d'Adobe Technote à l'adresse suivante http://www.adobe.com:80/support/techdocs/294de.htm .
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Sous l'environnement d'exploitation Solaris 99/02 et les autres systèmes basés sur UNIX, configurez la variable d'environnement LC_ALL sur C acroread. Par exemple, dans le Shell en anglais, entrez la commande suivante dans la fenêtre de terminal.
% env LC_ALL=C acroread |
Sous les autres systèmes, mettez Adobe Acrobat Reader à niveau vers la version 5.0 ou ultérieure.
Certaines collections de documentation Solaris 99/02 peuvent être supprimées inopinément de votre système si vous :
Installez le contenu des CD 1 sur 2 ou 2 sur 2 de documentation Solaris Solaris 99/02 sur votre système.
Utilisez ensuite l'utilitaire prodreg ou le programme d'installation du CD de documentation Solaris Solaris 99/02 pour supprimer certains modules de documentation.
Les CD 1 sur 2 et 2 sur 2 de documentation Solaris 99/02 possèdent trois collections en commun. Si vous supprimez les modules contenant ces collections à partir de l'un de ces deux CD pour une installation donnée, les modules sont supprimés pour les deux installations.
Le tableau suivant répertorie les modules pouvant être supprimés inopinément.
Tableau 2-1 Modules de documentation Solaris 99/02 figurant sur les deux CD de documentation Solaris 99/02
Nom des modules HTML |
Nom des modules PDF |
Descriptif de la collection |
---|---|---|
SUNWaadm |
SUNWpaadm |
Collection Solaris 9 System Administrator |
SUNWdev |
SUNWpdev |
Collection Solaris 9 Developer |
SUNWids |
SUNWpids |
iPlanet Directory Server 5.1 Collection |
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Si la procédure de désinstallation supprime inopinément ces modules de documentation alors que vous souhaitez les conserver sur votre système, réinstallez-les à partir des CD 1 sur 2 ou 2 sur 2 de documentation Solaris 99/02.
Pour éviter ce problème, utilisez l'utilitaire pkgrm pour désinstaller les modules que vous souhaitez supprimer de votre système.
Dans l'environnement localisé en_US.UTF-8, vous ne pouvez pas entrer le caractère Euro en enfonçant simultanément les touches AltGraph et E.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes.
Appuyez successivement sur la touche Compose, la touche C, puis la touche = (Compose+C+=).
si votre clavier ne comporte pas la touche Compose, appuyez sur la touche Control tout en enfonçant les touches Maj et T (Ctrl-Maj-T).
Appuyez simultanément sur les touches Alt et 4 (Alt-4).
Pour générer le caractère diacritique dans les environnements localisés arabes, tapez le caractère arabe suivi de Maj-U.
Le tri ne fonctionne pas correctement dans les environnements localisés UTF-8 européens.
Solution : avant d'effectuer un tri dans un environnement localisé UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE avec l'équivalent ISO-1.
# echo $LC_COLLATE > es_ES.UTF-8 # LC_COLLATE=es_ES.IS08859-1 # export LC_COLLATE |
Vous pouvez alors lancer le tri.
L'application Secure Shell n'est pas localisée et ne peut pas être traduite intégralement.
Lorsque vous entrez des noms distincts au cours de l'installation, utilisez le codage en jeu de caractères UTF-8. Les autres codages ne sont pas pris en charge. Par ailleurs, la procédure d'installation ne convertit pas les données du codage en jeu de caractères local en codage en jeu de caractères UTF-8. Les fichiers LDIF utilisés pour importer les données doivent également utiliser le codage en jeu de caractères UTF-8. La procédure d'importation ne convertit pas les données du codage en jeu de caractères local en codage en jeu de caractères UTF-8.
Le schéma fourni avec SunTM Open Net Environment (Sun ONE) Directory Server (auparavant connu sous le nom de iPlanet Directory Server) 5.1 diffère de celui spécifié dans RFC 2256 pour les objets de classe groupOfNames et groupOfUniquenames. Dans le schéma fourni, les types d'attribut member et uniquemember sont optionnels. RFC 2256 indique au moins une valeur pour que ces types figurent dans leur objet de classe respectif.
aci est un attribut opérationnel qui n'est pas retourné avec une recherche, à moins que vous ne le demandiez de façon explicite.
La réplication multi-maître sur le réseau étendu n'est actuellement pas prise en charge.
SunTM ONE Directory Server 5.1 fournit le module d'extension UID Uniqueness. Par défaut, celui-ci n'est pas activé. Pour garantir l'aspect unique de l'attribut pour des attributs spécifiques, créez une nouvelle instance du module d'extension Attribute Uniqueness par attribut. Pour de plus amples informations sur le module d'extension Attribute Uniqueness, reportez-vous au iPlanet Directory Server 5.1 Administrator's Guide à l'adresse http://docs.sun.com .
Le module d'extension Referential Integrity est désormais désactivé par défaut. Il ne doit être activé que sur une réplication maître dans un environnement de réplication multi-maître pour éviter les boucles de résolution de conflit. Avant d'activer le module d'extension Referential Integrity sur les serveurs confrontés à des demandes d'enchaînement, analysez vos besoins en termes de performances, de durée et d'intégrité des ressources. Les contrôles d'intégrité peuvent utiliser des ressources significatives en termes de mémoire et de CPU.
L'attribut nsRoleDN sert à définir un rôle. Il ne doit pas être utilisé pour évaluer l'appartenance à un rôle d'une entrée utilisateur. Pour ce faire, consultez l'attribut nsrole.
Si les index VLV comprennent plus d'une base de données, il ne fonctionnent pas correctement.
Si vous lancez Sun ONE Directory Server 5.1 Console et créez un nouvel utilisateur ou un nouveau rôle inactif, ni l'un ni l'autre ne sera désactivé. Il est impossible de créer des utilisateurs et des rôles inactifs par le biais de la console.
Solution : pour créer un utilisateur ou un rôle inactif, procédez comme suit :
Créez le nouvel utilisateur ou le nouveau rôle.
Cliquez deux fois sur l'utilisateur ou le rôle que vous venez de créer ou sélectionnez-le. Cliquez sur Properties dans le menu Object.
Cliquez sur l'onglet Account.
Cliquez sur le bouton Inactivate.
Cliquez sur OK.
L'utilisateur ou le rôle que vous venez de créer est désactivé.
Si vous spécifiez un nom de domaine de base contenant un espace, par exemple o=U.S. Government,C=US lors de la configuration de Sun ONE Directory Server 5.1, le nom de domaine obtenu est tronqué Government,C=US. Lors de la configuration, le nom de domaine doit être entré comme suit o=U.S.%20Government,C=US .
Solution : pour modifier l'entrée du nom de domaine de base, procédez comme suit :
Sélectionnez l'entrée de répertoire supérieure dans la partie gauche de la fenêtre de navigation de l'onglet Servers and Applications sur la console.
Modifiez le suffixe dans le champ de sous-arborescence du répertoire User.
Cliquez sur OK.
Si vous mettez à jour un serveur d'annuaires non maître en appliquant des données relatives à la politique sur les mots de passe, ces données ne sont pas reproduites sur les autres serveurs. Ces données renferment les verrous de compte.
Solution : gérez manuellement les données relatives à la politique des mots de passe sur chaque serveur.
Si Account Lockout est activé et que le mot de passe utilisateur est modifié, Account Lockout reste effectif.
Solution : réinitialisez les attributs accountUnlockTime, passwordRetryCount et retryCountResetTime lockout pour déverrouiller le compte.
Si vous installez Sun ONE Directory Server 5.1, lancez la console, initialisez le répertoire avec un fichier LDIF, puis faites une copie du serveur. La console enregistre que la sauvegarde s'est déroulée correctement. Pourtant, elle a réellement échoué.
Solution : procédez comme suit, depuis la console, après avoir initialisé la base de données :
Arrêtez le serveur.
Redémarrez le serveur.
Effectuez la sauvegarde.
Vous ne pouvez pas utiliser les services d'attribution de nom LDAP pour créer des noms de chemin montés automatiquement identiques, sauf quand la casse engendre des noms de chemin répétés. Le serveur d'annuaires ne permet pas de créer des entrées si l'attribut d'appellation possède une syntaxe sensible à la casse et qu'une entrée existante porte déjà le même nom, mais dans une casse différente.
les chemins /home/foo et /home/Foo ne peuvent pas coexister.
Par exemple, si l'entrée attr=foo,dc=mycompany,dc=com existe, le serveur ne vous autorise pas à créer l'entrée attr=Foo,dc=mycompany,dc=com . Effet pervers de ce problème : si vous utilisez les services d'attribution de noms, les noms de chemins montés automatiquement doivent être uniques, quelle que soit leur casse.
Solution : aucune.
Si vous arrêtez le serveur pendant une exportation, une sauvegarde, une restauration ou la création d'un index, il se bloque.
Solution : n'arrêtez pas le serveur lorsque vous effectuez l'une de ces opérations.
Si vous tentez de configurer la réplication sur (SSL) avec une authentification basée sur un certificat, la réplication ne fonctionne pas si l'une des conditions suivantes se présentent.
Le certificat du fournisseur est auto-signé.
Le certificat du fournisseur ne peut que servir de certificat de serveur SSL qui ne peut pas faire "office" de client lors de l'établissement d'une liaison SSL.
Solution : aucune.