Ce chapitre présente un résumé des nouvelles fonctions et des fonctions optimisées des versions de mise à jour Solaris 9 9/02. Les modifications les plus marquantes ont trait aux fonctions SunTM Open Net Environment (Sun ONE).
Vous trouverez, dans le Chapitre 2, un descriptif de toutes les améliorations intégrées aux versions de mise à jour de Solaris 9.
La plupart des fonctions décrites dans le présent chapitre fonctionnent sous la plate-forme SPARC®, et sous certaines plates-formes x86. Ces descriptions spécifiques à une plate-forme apparaissent dans le titre de description comme une fonction SPARC ou une fonction x86.
Cette rubrique présente les nouvelles fonctions décrites dans le présent chapitre. La liste ci-après est classée par version de mise à jour. Vous trouverez les descriptions de ces fonctions dans les autres rubriques de ce chapitre.
Sun ONE Message Queue (Nouvelle version 12/02, version révisée 8/03)
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 8/03
Archives Solaris Flash (Nouvelle version 12/02, version mise à jour 4/03)
Améliorations apportées à l'interface de ligne de commande de Solaris Product Registry
SPARC : prise en charge des volumes de plusieurs téra-octets avec des labels de disques EFI
SPARC : prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets dans Solaris Volume Manager
Prise en charge de RCM (Reconfiguration Coordination Manager) par Solaris Volume Manager
Sous-système de comptabilité étendue (Nouvelle version 9/02, version mise à jour 4/03)
Prise en charge de la méthode de saisie pour les langues indiennes
Sept nouveaux scripts en langue indienne pour la prise en charge des versions localisées Unicode
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 4/03
Sun ONE Message Queue (Nouvelle version 12/02, version révisée 8/03)
Hébergement de plusieurs sites Web sur une même machine Solaris
Archives Solaris Flash (Nouvelle version 12/02, version mise à jour 4/03)
Prise en charge des profils de la version 2 du protocole LDAP
Améliorations apportées au PAM (module d'authentification enfichable)
Améliorations apportées aux performances de la consignation UFS
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 12/02
SPARC : prise en charge de la DISM (Dynamic Intimate Shared Memory) en grande page
Sous-système de comptabilité étendue (Nouvelle version 9/02, version mise à jour 4/03)
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 9/02
La transmission de données multiples (MDT) permet à la pile du réseau d'envoyer plus d'un paquet à la fois au pilote du périphérique réseau pendant la transmission. L'activation de cette fonction réduit les coûts de traitement par paquet en améliorant l'utilisation de l'UC hôte ou le débit du réseau.
La fonction de transmission de données multiples n'est effective que pour les pilotes de périphériques qui la prennent en charge.
Pour utiliser le paramètre MDT, vous devez activer le paramètre suivant dans le fichier /etc/system file :
set ip:ip_use_dl_cap = 0x1
Par défaut, MDT est désactivé. Il est possible de paramétrer la pile du TCP/IP afin d'activer MDT comme suit :
# ndd -set /dev/ip ip_multidata_outbound 1
Veuillez lire les messages d'avertissement ci-dessous avant d'activer MDT :
L'activation de cette fonction peut modifier l'apparence des paquets entre la couche IP et le fournisseur DLPI. Ainsi, il se peut qu'un module tiers STREAMS inséré dynamiquement entre la couche IP et le fournisseur DLPI à l'aide de la commande inconfig modinsert ne fonctionne pas. La commande inconfig modinsert ne “comprend” pas le type de données STREAMS de MDT.
Il est possible que les modules insérés entre l'IP et le fournisseur DLPI avec le mécanisme de commande autopush ne fonctionnent pas non plus.
Laissez cette fonction désactivée lorsqu'un module STREAMS ne prend pas en compte le paramètre MDT. Par exemple, les les utilitaires de type publiciel ipfilter et CheckPoint Firewall-1 ne prennent pas en compte le paramètre MDT.
Pour obtenir de plus amples informations, reportez-vous au manuel Solaris Tunable Parameters Reference Manual et à la page de manuel ip(7P).
L'environnement d'exploitation Solaris prend désormais en charge les applications JMS (Java Messaging Service). Cette version de Solaris utilise Sun ONE Message Queue (anciennement iPlanetTM Message Queue for Java) en tant que fournisseur JMS.
Sun ONE Message Queue est une nouvelle fonction de la mise à jour 12/02 de Solaris 9 pour la plate-forme SPARC. Dans la mise à jour 8/03 de Solaris 9, Sun ONE Message Queue est également disponible pour les plates-formes x86.
La messagerie JMS permet aux applications et aux composants des applications d'échanger des messages de manière asynchrone et fiable. Les processus fonctionnant sur différentes plates-formes et exécutant différents systèmes d'exploitation peuvent se connecter à un service de messagerie commun pour échanger des informations.
Dans cette version de Solaris, l'édition pour plate-forme de Sun ONE Message Queue assure une mise en oeuvre complète des spécifications JMS. Sun One Message Queue fournit notamment les fonctions supplémentaires suivantes :
gestion centralisée ;
performances ajustables ;
prise en charge de Java Naming and Directory Interface TM (JNDI) ;
prise en charge de la messagerie SOAP (Simple Object Access Protocol).
Pour de plus amples informations, le Sun ONE Message Queue 3.0.1 Administrator's Guide et le Sun ONE Message Queue 3.0.1 Developer's Guide. Pour de plus amples informations concernant les versions et les fonctions de Sun ONE Message Queue, consultez également le site web suivant :
http://www.sun.com/software/products/message_queue/home_message_queue.html |
L'édition pour plate-forme de Sun ONE Application Server 7 (anciennement iPlanet Application Server) est intégrée à l'environnement d'exploitation Solaris et constitue une base pour les services Web et les applications d'entreprise. Le serveur fournit une plate-forme JavaTM 2 Enterprise Edition (J2EETM) très performante et peu encombrante. J2EE permet de développer, déployer et gérer des applications d'entreprise et des services Web sur de nombreux serveurs, clients et périphériques.
Grâce à sa compatibilité avec la plate-forme J2EE 1.3, Sun ONE Application Server contribue à la portabilité des applications et à la rapidité de lancement des nouvelles applications Java et XML sur le marché. Il offre par ailleurs aux développeurs la possibilité de concevoir des applications exploitant les technologies JavaServer PagesTM (JSPTM), Java Servlet et Enterprise JavaBeansTM (EJBTM). Cette technologie répond à des exigences variées au sein de l'entreprise, tant en ce qui concerne les applications dont l'utilisation est restreinte à certains départements que les services essentiels à l'entreprise.
Ses principaux avantages sont les suivants :
intégration de Sun ONE Message Queue et du serveur HTTP à partir du serveur Web Sun ONE ;
évolutivité et performances améliorées ;
prise en charge avancée des services web : services Java Web, SOAP et WSDL (Web Services Description Language) ;
interopérabilité avec Sun ONE Portal Server 6.0 et Sun ONE Directory Server ;
optimisation de l'implémentation des références de J2EE.
Les modifications suivantes ont été introduites dans la dénomination de certains produits :
Sun ONE Message Queue (anciennement iPlanet Message Queue for Java) ;
Sun ONE Web Server (anciennement iPlanet Web Server) ;
Sun ONE Portal Server (anciennement iPlanet Portal Server) ;
Sun ONE Directory Server (anciennement iPlanet Directory Server).
Pour obtenir de plus amples informations, reportez-vous à la Sun ONE Application Server 7 Collection Update 1 (Solaris Edition). Vous trouverez de plus amples informations concernant cette collection à la rubrique Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 8/03. et le site : http://wwws.sun.com/software/products/appsrvr/home_appsrvr.html.
Pour en savoir plus sur les conditions d'octroi de la licence, reportez-vous à la licence du code binaire.
Les réseaux IPv6 (Internet Protocol Version 6) peuvent désormais transférer des paquets via les réseaux IPv4 (Internet Protocol Version 4) grâce à la configuration d'un ou de plusieurs routeurs capables de prendre en charge un tunnel 6to4. Les administrateurs système peuvent utiliser des tunnels 6to4 pour assurer la migration de leurs réseaux de IPv4 vers IPv6. Cette fonction met en oeuvre les RFC 3056 et 3068.
Pour de plus amples informations sur le protocole IPv6, consultez l'IPv6 Administration Guide.
Cette fonction active la mise sous tunnel de paquets IPv4 et IPv6 via IPv6. Les paquets IPv4 et IPv6 peuvent être encapsulés dans des paquets IPv6.
Pour de plus amples informations consultez l'IPv6 Administration Guide.
Le module du noyau NCA (Network Cache and Accelerator) de Solaris prend désormais en charge les instances multiples d'un serveur Web. Cela permet d'utiliser une machine Solaris dans le cadre de l'hébergement virtuel de sites Web basé sur une adresse IP. Solaris utilise un seul fichier de configuration, /etc/nca/ncaport.conf pour mapper les sockets NCA vers des adresses IP.
Pour de plus amples informations, consultez la page de manuel ncaport.conf( 4).
IPQoS est une nouvelle fonctionnalité de l'environnement d'exploitation Solaris qui permet aux administrateurs système de fournir différents niveaux de service réseau tant aux clients qu'aux applications stratégiques. Grâce à IPQoS, l'administrateur peut mettre en place des accords de niveau de service qui proposent aux clients d'un ISP différents niveaux de service en fonction d'une échelle de prix. Une entreprise peut ainsi utiliser la fonction IPQoS pour classer les applications par ordre de priorité de sorte que les applications stratégiques bénéficient d'un service d'une qualité supérieure à celui dont disposent les applications de moindre importance.
Pour de plus amples informations, consultez l'IPQoS Administration Guide.
La fonction IPQoS de Solaris inclut désormais le sélecteur utilisateur, qui complète le sélecteur uid existant. Le sélecteur utilisateur permet de spécifier un nom d'utilisateur ou une ID utilisateur comme critère de filtre dans le fichier ipqosconf. Auparavant, le sélecteur uid n'acceptait qu'une valeur pour l' ID utilisateur. La clause de filtrage ci-dessous d'un fichier ipqosconf affiche le sélecteur utilisateur :
filter { name myhost user root } |
Pour de plus amples informations sur les filtres et les sélecteurs, reportez-vous au IPQoS Administration Guide et aux pages de manuel ipqosconf(1M).
Le logiciel système Solaris prend désormais en charge le protocole RIPv2.
Ce protocole ajoute les extensions CIDR (Classless Inter-Domain Routing) et VLMS (Variable-Length Subnet Mask) au protocole RIPv1. Les extensions MD5 protègent les routeurs des erreurs d'acheminement volontaires d'utilisateurs mal intentionnés. La nouvelle implémentation in.routed contient également un mécanisme ICMP Router Discovery (RFC 1256) intégré.
RIPv2 prend en charge la multidiffusion, si cette dernière est activée au niveau des liaisons point-à-point, ainsi que la diffusion individuelle. Si vous configurez une adresse de diffusion à l'aide du fichier /etc/gateways , RIPv2 prend en charge la diffusion.
Pour de plus amples informations sur la procédure de configuration de RIPv2, consultez les pages du manuel in.rdisc (1M), in.routed (1M) et gateways(4).
Solaris Live Upgrade permet de mettre à jour un système tout en continuant à l'utiliser. Alors que l'environnement d'initialisation actuel fonctionne, vous pouvez dupliquer cet environnement et le mettre à jour. Plutôt que d'effectuer une mise à niveau, vous pouvez installer une archive Solaris Flash sur votre environnement d'initialisation. La configuration originale de votre système reste fonctionnelle et inchangée suite à la mise à niveau ou à l'installation d'une archive. Lorsque vous êtes prêt, activez le nouvel environnement d'initialisation en redémarrant le système. En cas d'échec, vous êtes protégé. Vous pouvez revenir rapidement à l'environnement d'initialisation d'origine en redémarrant simplement l'ordinateur, ce qui permet d'éviter ainsi le temps d'arrêt normal des processus de test et d'évaluation.
Les nouvelles fonctions de Solaris Live Upgrade 2.1 offrent les fonctionnalités ci-dessous.
Solaris Live Upgrade utilise la technologie de Solaris Volume Manager pour créer un environnement d'initialisation dupliqué contenant des systèmes de fichiers avec des volumes RAID-1(miroirs). Le miroir fournit la redondance de données pour tous les systèmes de fichiers, y compris le système de fichiers racine (/). La commande lucreate permet de créer des systèmes de fichiers mis en miroir contenant jusqu'à trois sous-miroirs.
Lors de l'installation de l'environnement d'exploitation Solaris, vous pouvez désormais utiliser la méthode d'installation JumpStart pour créer un environnement d'initialisation vide. Vous pouvez ensuite le charger avec une archive Solaris Flash pour un usage ultérieur.
Lors de la création d'un environnement d'initialisation avec la commande lucreate, vous pouvez désormais exclure certains fichiers et répertoires qui seraient normalement copiés à partir de l'environnement d'initialisation d'origine. Si vous avez exclu un répertoire, vous pouvez également inclure certains fichiers et sous-répertoires spécifiques qui s'y trouvent.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au Guide d'installation Solaris 9.
La fonction d'installation Solaris Flash vous permet d'utiliser une installation de référence unique de l'environnement d'exploitation Solaris sur un système appelé système maître. Vous pouvez ensuite copier cette installation sur plusieurs systèmes, appelés systèmes clones. Il s'agit d'une installation initiale qui écrase tous les fichiers existants sur le système clone.
Dans la version de mise à jour de Solaris 9 4/03, la fonction d'installation Solaris Flash apporte des améliorations supplémentaires aux archives différentielles et aux scripts de configuration.
Elle permet à présent de mettre à jour un système clone en n'y apportant que des modifications mineures. Vous pouvez en effet créer une archive différentielle contenant uniquement les différences existant entre deux images : l'image maître originale et une image maître mise à jour. Lorsque vous procédez à la mise à jour d'un système clone à l'aide d'une archive différentielle, seuls les fichiers spécifiés dans celle-ci sont modifiés. L'installation ne porte que sur des systèmes clones contenant des logiciels compatibles avec l'image maître d'origine. La méthode d'installation JumpStartTM personnalisée vous permet d'installer une archive différentielle sur un système clone. Vous pouvez également installer une archive différentielle sur un environnement d'initialisation dupliqué avec Solaris Live Upgrade.
Des scripts spéciaux peuvent désormais être exécutés pour configurer le maître ou le clone ou valider l'archive. Ces scripts vous permettent de réaliser les opérations indiquées ci-dessous.
Configurer des applications sur des systèmes clones. Vous pouvez utiliser un script personnalisé JumpStart pour effectuer des configurations simples. Pour des configurations plus compliquées, le recours à un fichier de configuration spécial peut s'avérer nécessaire sur le système, soit avant, soit après l'installation sur le système clone. Des scripts de préinstallation et de postinstallation peuvent donc résider sur le clone, évitant ainsi ainsi l'écrasement des personnalisations locales par le logiciel Solaris Flash.
Identifier des données non clonables qui dépendent de l'hôte et vous permettent de rendre l'hôte de l'archive flash indépendant. L'indépendance de l'hôte est activée en procédant à la modification de ces données ou à leur exclusion de l'archive. Par exemple, un fichier journal constitue une donnée dépendante de l'hôte.
Valider l'intégrité du logiciel dans l'archive lors de sa création.
Valider l'installation sur le système clone.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au Guide d'installation Solaris 9. Le présent guide contient également des informations sur l'utilisation de Solaris Live Upgrade pour installer une archive différentielle.
Dans la mise à jour de Solaris 9 12/02, vous pouvez personnaliser des contenus dans une archive Solaris Flash. La commande flarcreate permet de créer une archive Solaris Flash. Elle a été mise à jour et inclut de nouvelles options qui augmentent la flexibilité de la définition du contenu des archives lors de leur création. Il vous est maintenant possible d'exclure plus d'un fichier ou d'un répertoire et d'ajouter un sous-répertoire ou un fichier depuis un répertoire exclu. Cette fonction est utile lorsque vous souhaitez exclure de longs fichiers de données que vous ne désirez pas cloner.
Pour de plus amples informations sur l'utilisation de ces options, consultez le Guide d'installation Solaris 9.
notez que, dans les versions de mises à jour de Solaris 9, Web Start Flash s'appelle maintenant
Solaris Flash.
La commande prodreg a été mise à jour de manière à inclure une fonctionnalité similaire à celle de l'interface utilisateur graphique de Solaris Product Registry. Vous pouvez à présent utiliser les sous-commandes prodreg ci-dessous dans la ligne de commande ou les scripts d'administration pour réaliser diverses tâches.
browse : la sous-commande browse vous permet d'afficher les logiciels enregistrés dans une fenêtre de terminal. En répétant la sous-commande browse, vous pouvez naviguer dans la hiérarchie du répertoire des logiciels enregistrés.
info : la sous-commande info vous permet d'afficher des informations relatives aux logiciels enregistrés. Vous pouvez avoir recours à cette sous-commande pour obtenir les informations suivantes :
L'endroit où est installé le logiciel.
Les autres logiciels requis par le logiciel spécifié.
Les autres logiciels qui dépendent du logiciel spécifié.
Les logiciels qui ont été endommagés lors de la suppression de paquets requise par le logiciel.
unregister : la sous-commande unregister vous permet de supprimer de Solaris Product Registry les informations relatives à l'installation du logiciel. Si vous avez supprimé des logiciels de votre système, mais ne les avez pas désinstallés correctement de Solaris Product Registry, vous pouvez utiliser la commande prodreg unregister pour nettoyer les entrées obsolètes qui y figurent encore.
uninstall : la sous-commande uninstall vous permet de retirer de votre système des logiciels enregistrés en exécutant le programme de désinstallation correspondant.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel prodreg( 1M) et au System Administration Guide: Basic Administration.
Le programme d'installation Solaris prend désormais en charge les profils LDAP Version 2. Ceux-ci vous permettent de configurer votre système de manière à utiliser un justificatif d'identité de type proxy. Lors de l'exécution des programmes d'installation Solaris Web Start ou suninstall, vous pouvez spécifier le nom distinctif de la liaison au proxy LDAP, ainsi que le mot de passe de la liaison proxy. Quelle que soit la méthode d'installation utilisée, vous pouvez préconfigurer le protocole LDAP avant de procéder à l'installation en entrant les mots de passe proxy_dn et proxy_password figurant dans le fichier sysidcfg.
Pour de plus amples informations, consultez le Guide d'installation Solaris 9.
Le navigateur multiplates-formes NetscapeTM 7.0 intègre des fonctions permettant de naviguer sur le Web, de communiquer avec des collègues, de participer à des groupes de discussion et de créer des pages Web dynamiques. Netscape 7.0 présente de nombreux avantages :
rapidité et efficacité des outils de navigation ;
améliorations apportées aux fonctions de courrier intégré et de messagerie instantanée ;
rapidité accrue et optimisation des fonctions de recherche ;
confidentialité accrue ;
fonctionnalité pour les entreprises.
Les caractéristiques les plus marquantes de Netscape 7.0 sont :
Le support dont bénéficient les utilisateurs d'Internet :
Netscape NavigatorTM (navigateur) ;
Netscape Mail (messagerie & forums) ;
Netscape Instant Messenger (messagerie instantanée) ;
Netscape Composer (éditeur de pages Web) ;
Netscape Address Book (carnet d'adresses) ;
utilitaires et plug-ins supplémentaires.
La prise en charge des normes industrielles les plus récentes - technologie Java, protocole IPv6, technologie P3P (Platform for Privacy Preferences Project), langage XML, feuilles de style CSS (Cascading Style Sheets), niveau 1 (CSS1) et modèle DOM (Data Output Messaging) – qui ouvrent la porte à une nouvelle classe d'applications Web.
Ma barre latérale : permet aux utilisateurs d'accéder rapidement aux informations qui les intéressent (dernières nouvelles, portefeuilles d'actions, répertoire de contacts, ventes aux enchères, etc.).
Fonction de recherche intégrée entièrement personnalisée : contribue à accélérer l'accès aux informations et supprime l'attente pendant le chargement des pages de recherche et l'ouverture des fenêtres.
Messagerie instantanée intégrée aux fonctions de navigation et de courrier : augmente la productivité et contribue à une meilleure communication entre l'utilisateur et ses interlocuteurs.
Thèmes : permet aux utilisateurs de doter leur navigateur d'une touche personnelle, et aux sites Web et aux entreprises de créer des navigateurs répondant aux spécifications de leurs clients.
Design flexible et modulaire : améliore l'expérience Internet de l'utilisateur et augmente sa productivité.
Support mondial pour l'anglais, ainsi que pour les langues européennes et asiatiques.
Technologie Java intégrée : assure un accès transparent et multiplates-formes aux applications Java basées sur un navigateur.
Pour de plus amples informations sur Netscape 7.0, consultez le site Web suivant :
http://www.sun.com/software/solaris/netscape
La version de mise à jour Solaris 9 12/02 inclut NetscapeTM 6.2.3, alors que la version de mise à jour Solaris 9 4/03 inclut Netscape 7.0. Pour de plus amples informations, consultez le paragraphe “Netscape 7.0 pour Solaris”.
Dans cette version de Solaris, les améliorations apportées aux fonctions d'audit réduisent le bruit de la piste et permettent aux administrateurs d'utiliser des scripts XML pour l'analyser. Voici la liste de ces améliorations :
Les fichiers publics ne font plus l'objet d'audit pour des événements en lecture seule. L' indicateur de règle public de la commande auditconfig vérifie si les fichiers publics sont audités. L'absence d'audit des objets publics réduit considérablement la piste d'audit. Ainsi, il est plus facile de surveiller les tentatives de lecture des fichiers sensibles.
La commande praudit dispose d'un format de sortie supplémentaire, le XML. Ce format permet de lire la sortie dans un navigateur et fournit la source des scripts XML pour les rapports. Consutlez la page de manuel praudit (1M).
L'ensemble des classes d'audit par défaut a été restructuré. Les méta-classes d'audit prennent en charge les classes d'audit plus affinées. Consultez la page de manuel audit_class(4).
La commande bsmconv ne désactive plus la touche Stop-A. L'événement Stop-A est dorénavant audité pour assurer la sécurité.
Pour de plus amples informations, consutlez le System Administration Guide: Security Services.
Les interfaces à carte intelligente Solaris sont un ensemble d'interfaces publiques pour les terminaux à carte intelligente. Consultez la rubrique Interfaces de terminal à carte intelligente.
Les opérations de clé publique effectuées par le biais du protocole IKE peuvent être accélérées au moyen d'une carte Crypto Accelerator 1000 SunTM. Ces opérations sont déchargées sur la carte, ce qui accélère le chiffrement et réduit les demandes en ressources auprès du système d'exploitation.
Pour de plus amples informations sur le protocole IKE, veuillez consulter l'IPsec and IKE Administration Guide.
Les mots de passe sont chiffrés, ce qui empêche les intrus de les lire. Trois modules de chiffrement de mots de passe robustes sont désormais disponibles sur ce logiciel :
une version de Blowfish compatible avec les systèmes BSD (Bekerley Software Distribution) ;
une version de Memory Digest 5 (MD5), compatible avec les systèmes BSD et Linux ;
une version plus robuste de MD5, compatible avec d'autres systèmes Solaris 9.
Pour de plus amples informations sur la procédure de protection des mots de passe utilisateur à l'aide de ces nouveaux modules de chiffrement, consultez le System Administration Guide: Security Services. Pour plus de détails sur la longueur de ces modules, consultez les pages de manuel crypt_bsdbf( 5), crypt_bsdmd5( 5) et crypt_sunmd5( 5).
La fonction de gestion des mots de passe pam_ldap renforce la sécurité générale du service d'attribution de noms LDAP lorsqu'elle est utilisée en conjonction avec Sun ONE Directory Server (anciennement iPlanet Directory Server). La fonction de gestion des mots de passe :
Permet d'assurer le suivi du vieillissement et de la date d'expiration des mots de passe.
Empêche les utilisateurs de choisir des mots de passe évidents ou déjà utilisés.
Avertit les utilisateurs de l'approche de la date d'expiration de leurs mots de passe.
Déconnecte les utilisateurs après plusieurs échecs de connexion.
Empêche que des utilisateurs autres que les administrateurs système autorisés désactivent des comptes ouverts.
Pour de plus amples informations sur les services d'annuaire et d'attribution de noms, consultez le System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). Pour plus de détails sur les services de sécurité de Solaris, consultez le System Administration Guide: Security Services.
Le cadre du PAM a été étendu et inclut désormais un nouveau drapeau de contrôle permettant d'éviter le traitement de piles supplémentaires. Ceci est possible si le module de service actuel s'est exécuté avec succès et si aucun échec n'a eu lieu sur les modules obligatoires précédents.
Pour de plus amples informations sur cette modification, consultez le System Administration Guide: Security Services.
Cette version de Solaris fournit la prise en charge des systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets sur des systèmes fonctionnant avec un noyau Solaris 64 bits. Auparavant, les systèmes de fichiers UFS étaient limités à environ 1 téra-octet (To) sur les systèmes 32 et 64 bits. Toutes les commandes et tous les utilitaires des systèmes de fichiers UFS ont été mis à jour pour prendre en charge les systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets.
Vous pouvez d'abord créer un système de fichiers UFS dont la taille est inférieure à 1 To. Grâce à la commande newfs -T, vous pouvez définir la taille du système de fichiers de façon à ce qu'elle atteigne plusieurs téra-octets. Cette option définit l'inode et la densité du fragment pour qu'ils s'adaptent de manière appropriée à un système de fichiers de plusieurs téra-octets.
La prise en charge de systèmes de fichiers de plusieurs téra-octets requiert la disponibilité de LUN (Logical unit number) de plusieurs téra-octets, sous la forme de volumes Solaris Volume Manager ou Veritas VxVM ou de disques physiques dont la taille est supérieure à 1 To.
Les fonctions des systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets sont les suivantes :
création d'un système de fichiers UFS d'une taille maximale de 16 To ;
création d'un système de fichiers d'une taille inférieure à 16 To, pouvant ensuite être augmentée jusqu'à un maximum de 16 To ;
création de systèmes de fichiers de plusieurs téra-octets sur des disques physiques, des volumes logiques Solaris Volume Manager et VxVM Veritas.
Vous trouverez ci-dessous les limites des systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets.
Vous ne pouvez pas monter de système de fichiers dont la taille est supérieure à 1 To sur un système fonctionnant avec un noyau Solaris 32 bits.
Vous ne pouvez pas démarrer à partir d'un système de fichiers dont la taille est supérieure à 1 To sur un système fonctionnant avec un noyau Solaris 64 bits. Ce qui signifie que vous ne pouvez pas installer de système de fichiers root (/) sur un système de fichiers de plusieurs téra-octets.
Les fichiers individuels dont la taille dépasse 1 To ne sont pas pris en charge.
Le quota maximum à définir sur un système de fichiers UFS de plusieurs téra-octets est de 2 To par blocs de 1024 octets.
Pour de plus amples informations, consultez le System Administration Guide: Basic Administration.
Cette version de Solaris assure une prise en charge des disques d'une capacité supérieure à 1 téraoctet (To) sur des systèmes tournant sur un noyau Solaris 64 bits.
Le label EFI (Extensible Firmware Interface) assure la prise en charge des volumes de disques physiques et logiques. Les systèmes de fichiers UFS sont compatibles avec les labels de disques EFI, mais ne permettent pas de créer des systèmes de fichiers UFS d'une capacité supérieure à 1 To. Cette version inclut des utilitaires de disque mis à jour permettant de gérer des disques d'une capacité supérieure à 1 To.
Par rapport aux labels VTOC, les labels EFI présentent les avantages suivants :
Les disques d'une capacité supérieure à 1 To sont pris en charge.
Les tranches 0-6 sont fournies (la tranche 2 est une tranche normale).
Les partitions (ou tranches) ne peuvent ni chevaucher le label principal ou de sauvegarde, ni se chevaucher entre elles. La taille des labels EFI étant habituellement de 34 secteurs, les partitions débutent au secteur 34 et aucune partition ne peut donc débuter au secteur zéro (0).
Aucune information concernant le cylindre, la tête ou le secteur n'est stockée dans le label. La taille est exprimée en blocs.
Les informations qui étaient stockées dans la zone des cylindres alternés (deux derniers cylindres du disque) se trouvent à présent sur la tranche 8.
Pour de plus amples informations sur les labels de disques EFI, reportez-vous au System Administration Guide: Basic Administration. Ce guide contient d'importantes informations et restrictions en ce qui concerne l'utilisation du label de disque EFI avec des logiciels existants.
Dans cette version de Solaris, le logiciel Solaris Volume Manager peut également être utilisé pour gérer des disques d'une capacité supérieure à 1 To. Consultez la rubrique SPARC : prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets dans Solaris Volume Manager.
La consignation UFS permet d'accélérer le redémarrage du système. Il est en effet inutile de vérifier le système de fichiers si celui-ci est cohérent, les transactions du système de fichiers ayant déjà été stockées.
Par ailleurs, dans cette version de Solaris, les performances de la consignation UFS sont supérieures à celles des systèmes de fichiers de non-consignation. Les résultats de l'évaluation des performances SPECsfs (Standard Performance Evaluation Corporation system file server) prouvent que les performances des systèmes de fichiers montés via NFS et dont la consignation est activée équivalent à celles obtenues grâce à la non-consignation UFS. Dans certaines configurations de type E/S, les performances des systèmes de fichiers UFS de consignation peuvent être supérieures d'environ 25% à celles des systèmes de fichiers UFS de non-consignation. Selon d'autres tests, les performances des systèmes de fichiers UFS de consignation sont 12 fois supérieures à celles des systèmes de fichiers UFS de non-consignation.
Pour de plus amples informations sur la procédure d'activation de la consignation sur un système de fichiers UFS, consultez le System Administration Guide: Basic Administration ou la page de manuel mount_ufs (1M).
Le répartiteur et le sous-système de mémoire virtuelle de Solaris ont été améliorés pour optimiser le temps requis par une application pour accéder à la mémoire. Cette optimisation peut ainsi améliorer automatiquement les performances de nombreuses applications. Cette fonction est généralement implémentée pour prendre en charge des plates-formes spécifiques telles que Sun FireTM 3800–6800, Sun Fire 12K et Sun Fire 15K.
Vous trouverez un livre blanc technique concernant Solaris Memory Placement Optimization and Sun Servers sur le site Web suivant :
http://www.sun.com/servers/wp/docs/mpo_v7_CUSTOMER.pdf
La prise en charge de grandes pages est désormais fournie pour DISM (Dynamic Intimate Shared Memory). Elle contribue à améliorer les performances des applications capables de régler la taille de la mémoire partagée de façon dynamique.
Pour de plus amples informations sur DISM, consultez la rubrique Performances système.
La version 8.3.3. de BIND est intégrée à la version de mise à jour Solaris 9 8/03.
Des améliorations ont été apportées à Solaris Volume Manager pour la prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets. Il offre ainsi la possibilité de créer, gérer et supprimer de grands volumes de partition (>1To) RAID 0 (bande), RAID 1 (miroir) et RAID 5, et des volumes de partition logicielle. La prise en charge de grands volumes permet également à Solaris Volume Manager de construire des volumes sur des LUN (numéros d'unités logiques) étiquetés EFI ou de grande taille.
La prise en charge de grands volumes assurée par Solaris Volume Manager ne s'applique pas aux systèmes tournant sur un noyau Solaris 32 bits. Par exemple, les systèmes tournant sur le noyau Solaris 32 bits de l'environnement d'exploitation Solaris (Édition pour plate-forme x86) ou Solaris SPARC ne peuvent pas bénéficier de la prise en charge de grands volumes.
Pour de plus amples informations, consultez le Solaris Volume Manager Administration Guide.
Consultez également la rubrique SPARC : prise en charge des volumes de plusieurs téra-octets avec des labels de disques EFI.
Solaris Volume Manager peut désormais répondre de façon appropriée à des requêtes de reconfiguration dynamique (DR) grâce à la prise en charge de RCM. Toute tentative de retrait de périphériques effectuée sous le contrôle de Solaris Volume Manager est bloquée et entraîne l'émission d'un message d'avertissement jusqu'à ce que ces périphériques cessent d'être utilisés. Cet avertissement permet d'éviter que les administrateurs système suppriment accidentellement des volumes actifs dans un système configuré DR.
Pour de plus amples informations, consultez le Solaris Volume Manager Administration Guide.
Vous pouvez utiliser soit l'option Update du Patches Tool de la Solaris Management Console, soit la commande smpatch update pour analyser, télécharger et installer les patchs recommandés par le programme SunSolve OnlineSM.
Cette option de mise à jour n'était auparavant disponible que sur les systèmes tournant sous Solaris 2.6, Solaris 7 ou Solaris 8.
Vous devez installer le logiciel PatchPro 2.1 sur votre système avant d'exécuter la fonction de mise à jour. Téléchargez PatchPro 2.1 à l'adresse suivante : http://www.sun.com/PatchPro. Suivez ensuite les instructions pour installer le logiciel sur votre système.
Pour de plus amples informations, consultez la page de manuel smpatch(1M).
Il n'est plus nécessaire d'utiliser une adresse IP de test dédiée pour détecter une défaillance sur des groupes de multi-acheminement sur réseau IP à adaptateur unique. Lorsque le basculement s'avère impossible en raison de la présence d'un seul centre d'information de réseau (NIC) au sein d'un groupe de multi-acheminement sur réseau IP, il est possible de combiner l'adresse de test et l'adresse de données. Si aucune adresse de test n'est spécifiée, le démon in.mpathd utilise une adresse de données pour détecter d'éventuelles défaillances.
Pour de plus amples informations sur le multi-acheminement sur IP sous Solaris, consultez le IP Network Multipathing Administration Guide.
Le bureau GNOME 2.0 est un bureau intuitif aux fonctionnalités avancées pour l'environnement d'exploitation Solaris. GNOME 2.0 propose une alternative au CDE (Common Desktop Environment), qui était fourni avec plusieurs versions précédentes de l'environnement Solaris.
GNOME 2.0 offre un environnement familier permettant à l'utilisateur d'interagir facilement avec les applications et les documents de son bureau. Il offre les fonctions indiquées ci-dessous :
un gestionnaire de fichiers avancé ;
un système d'aide en ligne complet ;
des utilitaires et des accessoires ;
des tableaux de bord pour lancer des applications et gérer les fenêtres des applications et plusieurs espaces de travail.
Voici la liste des composants importants du bureau GNOME 2.0 :
Nautilus est un gestionnaire de fichiers avancé permettant d'organiser et de situer les applications et les documents. Il permet également de visualiser directement le contenu des fichiers texte et image dans le gestionnaire de fichiers.
La barre des tableaux de bord du bureau est composée des éléments suivants :
des lanceurs d'application ;
des menus système ;
des tiroirs de tableau de bord (sous-tableaux de bord) ;
des applets.
Les tableaux de bord permettent de lancer des applications rapidement et de visualiser l'état du système. Vous pouvez créer un nombre illimité de tableaux de bord.
Les applications prennent en charge une gamme de tâches journalières. Voici la liste des applications de GNOME 2.0 :
l'éditeur de texte ;
la calculatrice ;
la table de caractères ;
la visionneuse d'images ;
la visionneuse PostScriptTM ou PDF ;
le lecteur multimédia ;
l'enregistreur de sons ;
le moniteur de performances ;
le gestionnaire d'impression ;
le terminal.
Les applets sont des ensembles d'utilitaires fonctionnant dans un tableau de bord. Voici la liste des applets du bureau GNOME 2.0 :
l'horloge ;
la boîte de réception ;
le lecteur de CD ;
le réglage du volume ;
la table de caractères ;
la ligne de commande ;
le commutateur de disposition clavier ;
la liste des fenêtres ;
le changeur d'espace de travail.
Pour de plus amples informations concernant le bureau GNOME 2.0, consultez la GNOME 2.0 Desktop Collection. Vous trouverez de plus amples informations concernant cette collection à la rubrique Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 8/03.
Le programme Xscreensaver verrouille l'écran de votre ordinateur après une période d'inactivité afin d'interdire à quiconque l'accès à votre session. Xscreensaver prend en charge divers affichages d'animation pouvant être utilisés pendant le verrouillage de l'écran. Ce programme est utilisé dans le bureau GNOME 2.0.
XEvIE est une interface de bas niveau qui intercepte tous les événements relatifs au clavier et à la souris de manière à ce qu'ils puissent être lus, utilisés ou modifiés si nécessaire. Cette extension X permet une meilleur intégration de technologies d'aide, dont celle du bureau GNOME 2.0.
FreeType 2.1.x est une bibliothèque source libre qui fournit une API (Application Programming Interface) simple. L'API peut accéder au contenu de la police d'une manière uniforme, indépendamment du format de fichiers. Des API dotées d'un format spécifique peuvent par ailleurs être utilisées pour accéder à des données particulières présentes dans le fichier des polices.
Les améliorations apportées à l'écran virtuel Xserver offrent une prise en charge de l'accessibilité au bureau GNOME 2.0 à l'environnement d'exploitation Solaris. Cette capacité implique la prise en charge des logiciels d'agrandissement sur des systèmes dotés d'une seule mémoire d'écran.
La nouvelle fonction Xrender améliore les performances de certaines applications exécutées sous Solaris, notamment la suite de logiciels StarOfficeTM. La fonction Xrender dote ces applications d'un aspect plus moderne. Xrender utilise le traitement matériel pour réaliser des effets de semi-transparence (alpha-blending) et de transparence.
La version de mise à jour Solaris 9 9/02 vous permet désormais d'utiliser les processus de comptabilisation étendue avec le module de comptabilisation de flux pour IPQoS. Pour de plus amples informations sur IPQoS, consultez le IPQoS Administration Guide.
Pour plus de détails sur la fonction de comptabilisation étendue, consultez la rubrique “Extended Accounting” du System Administration Guide: Resource Management and Network Services.
La version de mise à jour Solaris 9 4/03 inclut une interface Perl vers libexacct. Cette interface permet de créer des scripts Perl capables de lire les fichiers de comptabilité produits par la structure exacct. Vous pouvez également créer des scripts Perl qui écrivent des fichiers exacct.
Cette nouvelle interface présente une fonctionnalité équivalente à l'API sous-jacente C.
L'interface Perl sert à enregistrer la consommation des ressources système sur la base d'une tâche ou d'un processus. Elle sert également à enregistrer le consommation sur la base de sélecteurs fournis par le module flowacct de IPQoS.
Pour de plus amples informations sur l'interface Perl vers libexacct, reportez-vous à la rubrique “Extended Accounting” in System Administration Guide: Resource Management and Network Services.
Les versions localisées Unicode de Solaris prennent désormais en charge la version 3.2 d'Unicode. La version 3.2 d'Unicode comprend 1016 nouveaux caractères. Cette version inclut également des modifications d'ordre normatif et informatif, comme le décrit le document Unicode Standard Annex #28:UNICODE 3.2 à l'adresse suivante :
http://www.unicode.org/unicode/reports/tr28/
La représentation des caractères UTF-8 a pris une forme plus fiable comme le spécifie la version 3.2 d'Unicode. Cette fonction met en oeuvre la représentation de caractères UTF-8, la forme, et les séquences d'octets les plus sûrs dans les codes de conversion iconv relatifs à l'UTF-8. Cette fonction met également en oeuvre toutes les fonctions à plusieurs octets et à caractères larges au niveau du système d'exploitation, comme suit :
mbtowc() ;
wctomb() ;
mbstowcs() ;
wcstombs() ;
mbrtowc() ;
wcrtomb() ;
mbsrtowcs() ;
fgetwc() ;
mblen().
La version de mise à jour Solaris 9 4/03 inclut la prise en charge logicielle de trois nouveaux claviers : le clavier estonien Type 6, le clavier français/Canada Type 6 et le clavier polonais de programmation Type 5. Cette prise en charge logicielle offre une plus grande souplesse de saisie aux utilisateurs du Canada, de l'Estonie et de la Pologne. La prise en charge modifie la disposition du clavier standard U.S. en fonction des besoins des différents langues.
Vous trouverez les instructions correspondantes dans les Notes de version 4/03 de Solaris 9.
La méthode de saisie Wubi (IM, pour Input Method) est largement utilisée en Chine. La règle d'encodage propre à la méthode Wubi IM se base sur le radical ou sur les traits qui composent les caractères chinois. Elle permet d'entrer rapidement les caractères chinois à l'aide d'un clavier standard et remplace avantageusement les méthodes d'entrée phonétiques, plus lentes.
L'environnement d'exploitation Solaris inclut la prise en charge de la saisie sur les claviers en langues régionales indiennes. Les utilisateurs peuvent désormais entrer les caractères souhaités en choisissant la configuration de clavier qui répond le mieux à leurs besoins.
Outre l'hindi, qui était déjà disponible, cette version de Solaris assure la prise en charge des scripts dans les langues indiennes suivantes :
Bengali ;
Gurmukhi ;
Gujrati ;
Tamoul ;
Malayalam ;
Télougou ;
Kannada.
Les utilisateurs concernés disposent, dans l'environnement d'exploitation Solaris, d'une prise en charge linguistique pour chacun des environnements de la version locale Unicode pris en charge par Solaris.
La documentation révisée ci-dessous est disponible dans la version de mise à jour Solaris 9 8/03 :
System Administration Guide: Security Services – consultez la rubrique Améliorations apportées à l'audit.
System Administration Guide: Basic Administration – consultez la rubrique SPARC : systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets.
Guide d'installation Solaris 9 – consultez la rubrique Solaris Live Upgrade 2.1.
Solaris Tunable Parameters Reference Manual – consultez la rubrique SPARC : transmission de données multiples par TCP.
Linker and Libraries Guide – consultez la rubrique Mises à jour des éditeurs de liens et des bibliothèques.
La nouvelle documentation ci-dessous est disponible dans la version de mise à jour Solaris 9 8/03 :
Sun ONE Application Server 7 Collection Update 1 (Solaris Edition) – vous trouverez cette collection à l'adresse suivante http://docs.sun.com. Pour obtenir une description du Sun ONE Application Server, consultez la rubrique SPARC : intégration de Sun ONE Application Server.
Cette collection comprend une documentation très détaillée sur le Sun ONE Application Server pour les administrateurs système et les développeurs. Certains manuels de cette collection étaient déjà disponibles auparavant, mais ont été regroupés sous la Sun ONE Application Server 7 Collection Update 1 (Solaris Edition) pour vous offrir une aide de référence plus confortable. Les nouveaux manuels mentionnés ci-après sont d'un intérêt particulier dans cette collection :
Sun ONE Application Server 7 Developer's Guide to Clients - décrit le développement et le déploiement de divers types de clients pris en charge par Sun ONE Application Server. Les rubriques suivantes sont abordées : clients JMS, clients CORBA, ACC (Application Client Container) et client XML et DTD.
Sun ONE Application Server 7 Developer's Guide to Web Services - décrit le développement et le déploiement des services Web dans l'environnement Sun ONE Application Server.
Sun ONE Application Server 7 Developer's Guide to J2EE Features and Services - décrit les fonctions J2EE telles que :
connectivité de bases de données Java (JDBC) ;
JNDI (interface de répertoire et de nommage Java) ;
JTS (service de transactions Java) ;
JMS (service de messages Java) ;
JavaMail ;
ressources et connecteurs.
Sun ONE Application Server 7 Error Message Reference - décrit tous les messages d'erreur de Sun ONE Application Server.
Sun ONE Application Server 7 Performance Tuning Guide - décrit la procédure et les raisons du réglage de votre Sun ONE Application Server pour en améliorer les performances.
GNOME 2.0 Desktop Collection – vous trouverez cette collection à l'adresse suivante http://docs.sun.com. Pour obtenir une description du bureau GNOME 2.0, consultez la rubrique Bureau GNOME 2.0.
Cette nouvelle collection se compose des manuels suivants :
Manuel d'utilisation du bureau GNOME 2.0 – décrit les composants du bureau et comment personnaliser les préférences.
GNOME 2.0 Desktop System Administration Guide – fournit des informations sur l'administration du bureau GNOME 2.0 dans les environnements d'exploitation Solaris 8 et Solaris 9.
GNOME 2.0 Desktop Accessibility Guide – décrit la configuration, la personnalisation et l'utilisation des fonctions d'accessibilité disponibles sur le bureau GNOME 2.0. Ces informations concernent les environnements d'exploitation Solaris 8 et Solaris 9.
Guide de dépannage du bureau GNOME 2.0 – décrit les problèmes connus et leurs solutions pour le bureau GNOME 2.0. Ce guide s'applique aux environnements d'exploitation Solaris 8 et 9. Il contient également des conseils permettant d'améliorer les performances du bureau.
La documentation ci-dessous a fait l'objet de révisions pour la version de mise à jour Solaris 9 4/03 :
Linker and Libraries Guide – consultez la rubrique Mises à jour des éditeurs de liens et des bibliothèques.
System Administration Guide: Basic Administration – consultez les rubriques SPARC : prise en charge des volumes de plusieurs téra-octets avec des labels de disques EFI et Fonction de mise à jour des patchs Solaris. Des informations concernant la gestion de patchs signés sont également développées dans ce manuel. Consultez également la rubrique Améliorations apportées à l'interface de ligne de commande de Solaris Product Registry .
IPv6 Administration Guide – consultez la rubrique IPv 6 : routeurs 6to4.
Guide d'installation Solaris 9 – consultez la rubrique Archives Solaris Flash.
Solaris Volume Manager Administration Guide – consultez la rubrique SPARC : prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets dans Solaris Volume Manager et Prise en charge de RCM (Reconfiguration Coordination Manager) par Solaris Volume Manager .
System Administration Guide: Resource Management and Network Services – consultez la rubrique Sous-système de comptabilité étendue.
La nouvelle documentation ci-dessous est disponible dans la version de mise à jour Solaris 9 4/03 :
Sun WBEM SDK Developers Guide – consultez la rubrique Nouveau Solaris WBEM Developer's Guide.
IPsec and IKE Administration Guide – consultez la rubrique Accélération du matériel IKE (Internet Key Exchange).
Le nouveau Sun WBEM SDK Developers Guide est une combinaison des deux manuels traitant de la gestion de réseau basée sur le Web (WBEM) qui étaient inclus dans les versions précédentes de Solaris 9 : le Solaris WBEM SDK Developer's Guide et le Solaris WBEM Services Administration Guide. Cette modification a été effectuée en vue de segmenter les tâches associées au développement et au déploiement WBEM. Les autres modifications introduites sont les suivantes :
Le chapitre traitant du protocole SNMP a été supprimé.
Dans le chapitre “Using the CIM Object Manager”, les étapes de mise à niveau à partir d'une version Solaris antérieure ont été modifiées. Il n'est désormais plus suggéré de convertir les données du Gestionnaire d'objets CIM à partir de l'ancien format qui était utilisé dans les versions WBEM antérieures, mais de recompiler tous les fichiers MOF à l'aide de la commande mofcomp.
Les chapitres d'introduction du Solaris WBEM SDK Developer's Guide et du Solaris WBEM Services Administration Guide ont été fusionnés en un seul et même chapitre.
La documentation ci-dessous a fait l'objet de révisions pour la version de mise à jour Solaris 9 12/02 :
Linker and Libraries Guide – consultez la rubrique Mises à jour des éditeurs de liens et des bibliothèques.
Guide d'installation Solaris 9 – consultez la rubrique Archives Solaris Flash et Prise en charge des profils de la version 2 du protocole LDAP.
System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP) – consultez la rubrique Améliorations apportées à la fonction crypt().
System Administration Guide: Security Services – consultez la rubrique Améliorations apportées au PAM (module d'authentification enfichable).
Les nouveaux documents ci-dessous sont disponibles pour la version de mise à jour Solaris 9 12/02 :
Sun ONE Application Server 7 Getting Started Guide – consultez la rubrique SPARC : intégration de Sun ONE Application Server.
Sun ONE Message Queue 3.0.1 Administrator's Guide – consultez la rubrique Sun ONE Message Queue.
IP Network Multipathing Administration Guide – consultez la rubrique Combinaison de l'adresse de données et de l'adresse de tests pour des groupes de multi-acheminement sur réseau IP Singleton.
L'annexe “Transitioning From NIS+ to LDAP” a été retirée du System Administration Guide: Naming and Directory Services (FNS and NIS+) et ajoutée au System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). En outre, des explications et des exemples sur divers composants complètent désormais les chapitres relatifs au protocole LDAP dans le System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). Aucune nouvelle fonction n'est cependant documentée.
Les nouveaux documents ci-dessous sont disponibles pour la version de mise à jour Solaris 9 12/02 :
IPQoS Administration Guide – consultez la rubrique IP Quality of Service (qualité de service IP) et Sous-système de comptabilité étendue pour obtenir des informations concernant la fonction IPQoS.
IPv6 Administration Guide – consultez la rubrique Mise sous tunnel de paquets via IPv6.
La documentation ci-dessous a fait l'objet de révisions pour la version de mise à jour Solaris 9 9/02 :
System Administration Guide: Resource Management and Network Services – consultez la rubrique Sous-système de comptabilité étendue.
System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP) – consultez la rubrique Documentation sur la transition NIS+/LDAP.
Les interfaces à carte intelligente Solaris sont un ensemble d'interfaces publiques pour les terminaux à carte intelligente. Les fournisseurs de terminaux à carte peuvent mettre en oeuvre ces interfaces dans une bibliothèque partagée par des utilisateurs pour une prise en charge au niveau du périphérique pour leur terminaux à carte intelligente dans Solaris. L'ensemble des interfaces de terminaux à carte intelligente Solaris est basé sur des interfaces à carte intelligente qui font partie de la structure Linux Smartcard. Les bibliothèques de prise en charge des terminaux à carte de Linux peuvent être aisément portées vers Solaris.
Les API de contrôle des piles permettent une interaction avancée avec la prise en charge du compilateur de contrôle des piles, disponible dans ForteTM 7.0. Ces API doivent être utilisées dans des applications dont la compilation s'effectue avec le contrôle des piles activé, et qui gèrent leurs propres piles ou essaient de détecter leurs propres dépassements de piles.
Les développeurs assurant la maintenance de leur propre bibliothèque de threads doivent utiliser l'interface setustack de manière à ce que la fonction de contrôle des piles soit activée lorsque les clients de leur bibliothèque effectuent des compilations.
Reportez-vous aux pages de manuel stack_getbounds(3C), stack_setbounds(3C), stack_inbounds(3C), et stack_violation(3C).
libumem est une bibliothèque d'allocation de mémoire en mode utilisateur (non noyau). Elle permet de déboguer les fuites de mémoire et autres aberrations qui impliquent l'utilisation de la mémoire.
Cette fonction s'utilise comme un utilitaire d'allocation ABI (interface binaire d'application) standard tel que malloc(). Une application en mode utilisateur demande un nombre aléatoire d'octets de mémoire et un pointeur contenant l'adresse de la mémoire allouée est ensuite retourné.
Pour de plus amples informations, consultez la page de manuel libumem( 3LIB).
Vous trouverez un livre blanc technique concernant Solaris Memory Placement Optimization and Sun Fire Servers sur le site Web à l'adresse suivante :
http://www.sun.com/servers/wp/docs/mpo_v7_CUSTOMER.pdf
L'édition pour plate-forme de Sun ONE Application Server 7 (anciennement iPlanet Application Server) est intégrée à la version de mise à jour Solaris 9 12/02. Consultez la rubrique SPARC : intégration de Sun ONE Application Server.
La version de mise à jour Solaris 9 12/02 prend en charge les applications JMS (Java Messaging Service). Ces applications sont basées sur Sun ONE Message Queue, un fournisseur JMS. Consultez la rubrique Sun ONE Message Queue.
Sun ONE Message Queue est une nouvelle fonction de la mise à jour 12/02 de Solaris 9 pour la plate-forme SPARC. Dans la mise à jour 8/03 de Solaris 9, Sun ONE Message Queue est également disponible pour les plates-formes x86.
Cette version de Solaris inclut de nouvelles extensions de la fonction crypt () et introduit la fonction crypt_gensalt(). Ces améliorations permettent aux administrateurs de modifier l'algorithme utilisé pour masquer les mots de passe de connexion UNIX® des utilisateurs.
Des modules MD5 et Blowfish sont également inclus : les modules MD5, qui se trouvent dans les fichiers crypt_sunmd5 et crypt_bsdmd5, et le module Blowfish, qui réside dans le fichier crypt_bsdbf.
Les développeurs peuvent créer de nouveaux modules pour les algorithmes de masquage de mots de passe secondaires. Il est conseillé aux développeurs d'applications d'utiliser la fonction crypt_gensalt() plutôt que de générer manuellement le saut pour passer à la fonction crypt().
Les modules des algorithmes secondaires sont spécifiés dans le fichier crypt.conf(4). Le champ module_path spécifie le chemin d'accès vers l'objet d'une bibliothèque partagée qui met en oeuvre les deux fonctions requises suivantes :
crypt_gensalt_impl() : génère le saut.
crypt_genhash_impl() : génère le mot de passe chiffré.
Pour de plus amples informations, consultez les pages de manuel crypt(3C) et policy.conf (4).
La fonction madvise() permet au noyau d'optimiser l'accès à une région de la mémoire définie par l'utilisateur. Cette version de Solaris 9 inclut trois nouveaux indicateurs pour la fonction madvise () :
MADV_ACCESS_LWP : donne priorité à l'allocation de ressources d'un processus léger (LWP) spécifié.
MADV_ACCESS_MANY : spécifie une plage d'adresses que les processus utilisent de façon intensive dans la machine.
MADV_ACCESS_DEFAULT : restaure les paramètres par défaut d'un modèle d'accès vers une plage d'adresses.
Pour de plus amples informations sur la fonction madvise(), consultez la page de manuel madvise(3C).
Les versions de mise à jour Solaris 9 incluent des fonctions d'éditeur de liens telles que la compression de tableaux de chaîne, l'élimination de rubriques non référencées ou la détection de dépendances non référencées. Pour obtenir la liste la plus à jour des nouvelles fonctions des éditeurs de liens dans chaque version de mise à jour de Solaris 9, reportez-vous à la rubrique “New Linker and Libraries Features and Updates” du manuel Linker and Libraries Guide.
La structure Smartcard Solaris propose désormais des API middleware de bas niveau qui permettent d'échanger des données avec une carte à puce par l'intermédiaire d'un lecteur de cartes à puce. Il est possible d'utiliser ces API sur des plates-formes telles que les systèmes Sun BladeTM et Sun RayTM. Les applications en langage Java ou C peuvent utiliser ces interfaces.
Pour de plus amples informations, consultez la page de manuel libsmartcard( 3LIB) et la documentation Java sous /usr/share/javadoc/smartcard.
pour consulter les termes de licence, l'attribution et le copyright de ces gratuiciels, reportez-vous au chemin d'accès de la licence inclus dans chaque description ci-dessous. Si vous avez installé l'environnement d'exploitation Solaris ailleurs qu'à l'endroit prévu par défaut, modifiez le chemin afin d'accéder au fichier de l'endroit correspondant à l'installation.
Pour obtenir une liste des gratuiciels disponibles dans l'environnement d'exploitation Solaris 9, consultez la rubrique Gratuiciels.
Le nouveau module gratuit suivant est inclus à l'environnement d'exploitation Solaris :
Ghostscript 7.05 permet de lire les fichiers PostScript et PDF. Il affiche ces fichiers à l'écran ou les convertit dans un format compatible avec de nombreuses imprimante. Reportez-vous à la page gs( 1) du manuel sous /usr/sfw/share/man.
pour consulter les termes de la licence, l'attribution et le copyright de Ghostscript, empruntez le chemin d'accès : /usr/sfw/share/src/<freeware name>.
Les nouveaux modules de gratuiciels ci-dessous ont été ajoutés ou actualisés dans la version de mise à jour Solaris 9 4/03 :
libxml2 2.4.16 est un standard de création de documents ou de données dont la structure est basée sur des étiquettes.
libxslt 1.0.19 est un langage XML permettant de définir des transformations relatives à ce même langage.
pour consulter les termes de la licence, l'attribution et le copyright de ces modules, empruntez le chemin d'accès : /usr/share/src/<freeware name></filename>.
Le nouveau module gratuit suivant est inclus à l'environnement d'exploitation Solaris :
ANT 1.4.1 est un nouveau module basé sur Java ANT Jakarta et XML.
pour consulter les termes de la licence, l'attribution et le copyright d'ANT, empruntez le chemin d'accès : /usr/sfw/share/src/<freeware name>.