Ce chapitre traite des problèmes d'exécution. Pour prendre connaissance des problèmes d'exécution identifiés après la publication de ces notes de version, reportez-vous au document Notes de version de Solaris 9 4/04 à l'adresse http://docs.sun.com/db/doc/817-4882.
Les descriptions des bugs d'exécution suivants ont été ajoutées à ce chapitre depuis la publication du document Solaris 9 4/04 Beta Release Notes sur le site http://docs.sun.com.
Les bugs ci-dessous concernent le matériel de la version Solaris 9 4/04.
Lorsque certains périphériques USB sont connectés au système via un port USB 2.0, une condition de compétitivité peut se présenter. Cette situation peut entraîner la panique du système.
Solution : si le système panique, débranchez le périphérique USB, puis relancez le système.
La base de la puce des convertisseurs numériques Edgeport USB vers Série a été récemment modifiée, mais ces derniers conservent le même numéro de modèle. Ainsi, les convertisseurs les plus récents ne sont-ils pas pris en charge dans cette version du système d'exploitation.
Les périphériques Edgeport équipés de la nouvelle puce seront pris en charge dans une version ultérieure de Solaris et sous forme de patch.
Solution : commandez le périphérique à la société, Inside Out Networks en spécifiant qu'il est destiné à fonctionner sur le système d'exploitation Solaris. Demandez l'ancienne unité 930.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au site http://www.ionetworks.com.
Le pilote de périphérique USBA 1.0 (usba10_uhci) pour l'interface UHC (Universal Host Controller) n'est pas disponible dans la version Solaris 9 4/04.
Avec l'exécution du script usbconfig accessible à l'adresse http://www.sun.com/bigadmin et la spécification de USBA 1.0 everywhere sur les systèmes équipés du matériel UHCI, tous les ports USB sont liés à la structure USBA 1.0, à l'exception des ports de l'interface UHC. Cette situation est inattendue.
La sortie de la commande prtconf -D affiche le pilote auquel sont liés le contrôleur d'hôte USB et ses ports.
Solution : les ports de l'interface UHC, s'ils existent, demeurent utilisables avec la structure USB d'origine.
Les bugs suivants ont été identifiés dans le système d'exploitation Solaris 9 4/04.
Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.
Solution : pour déverrouiller votre système, procédez comme indiqué ci-dessous.
Connectez-vous à distance à la machine sur laquelle le processus ocfserv a été interrompu.
Devenez superutilisateur.
Tuez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal.
# pkill dtsession |
ocfserv redémarre et la connexion à l’aide d’une carte à puce ainsi que la capacité sont rétablies.
L'option de menu Éditer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce ne modifie pas les fichiers de configuration de cartes à puce situés dans /etc/smartcard/opencard.properties. Si vous sélectionnez cette option de menu, un avertissement apparaît vous demandant de ne pas continuer sauf demande contraire du support technique.
Solution : n'utilisez pas l'option de menu Éditer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce. Pour obtenir de plus amples informations sur la configuration des cartes à puce, consultez le document Solaris Smartcard Administration Guide.
Les bugs suivants ont été identifiés dans le système d'exploitation Solaris 9 4/04.
Dans la version Solaris 9 4/04, si la gestion de l'énergie est activée dans une configuration de client sans disque sur un système Sun BladeTM 1000 ou Sun BladeTM 2000, le noyau panique. La panique du système survient après un temps d'inactivité.
Le message d'erreur suivant apparaît :
/usr/sbin/pmconfig: /etc/power.conf line (18) failed to convert mount point to prom name. |
Ce message est également enregistré dans le fichier /var/adm/messages.
Solution : pour évitez ce problème, procédez comme indiqué ci-dessous.
Désactivez la gestion de l'énergie en modifiant le fichier /etc/power.conf. Définissez l'entrée autopm sur disable au lieu de default .
Après la modification du fichier /etc/power.conf, choisissez l'une des options suivantes :
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Devenez superutilisateur. Puis exécutez la commande suivante :
# /usr/sbin/pmconfig |
La fonction d'exécution automatique du support amovible de l'environnement de bureau CDE a été temporairement supprimée du logiciel Solaris 9 4/04.
Solution : pour utiliser la fonctionnalité d'exécution automatique d'un CD ou d'un autre volume amovible, veuillez procéder comme indiqué ci-dessous.
Exécutez le programme volstart à partir du niveau supérieur du système de fichiers du support amovible.
Suivez les instructions fournies avec le CD pour l'accès depuis l'extérieur du CDE.
dtmail s'arrête brutalement après s'être connecté au serveur IMAP si l'option FontList est activée au moment de l'exécution de dtmail à partir de la ligne de commande. Voyez l'exemple ci-dessous.
/usr/dt/bin/dtmail -xrm "Dtmail*FontList: -*-r-normal-*:" |
Le message d'erreur suivant apparaît :
Segmentation Fault |
Ce problème apparaît dans les versions localisées C et ja.
Solution : n'activez pas l'option FontList lors de l'exécution de dtmail à partir de la ligne de commande.
Si vous tentez de lire un message électronique contenant beaucoup de longues lignes dans l'environnement localisé Solaris 9 4/04 Unicode ou UTF-8, CDE Mailer (dtmail) s'interrompt. Ce message ne s'affiche pas immédiatement.
Solution : choisissez l'une des solutions ci-dessous.
Agrandissez la fenêtre Mailbox dtmail pour afficher 132 colonnes.
Désactivez la fonction Complex Text Layout en procédant comme indiqué ci-dessous.
Devenez superutilisateur.
Adaptez les répertoires au répertoire de l'environnement localisé de votre système.
# cd /usr/lib/locale/nom_version_localisée |
Dans l'exemple précédent, nom_version_localisée renvoie au nom de l'environnement localisé Solaris 9 4/04 Unicode ou UTF-8 de votre système.
Renommez la catégorie de moteur de configuration de l'environnement localisé.
# mv LO_LTYPE LO_LTYPE- |
renommez la catégorie de moteur de configuration d'environnement localisé en lui redonnant son nom initial (LO_LTYPE) avant d'appliquer les patchs au moteur de configuration d'environnement localisé.
Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer, puis restaurer sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.
Solution : supprimez manuellement la dernière entrée sur l'organiseur avant de lancer la synchronisation.
Si vous échangez des données multi-octets entre un organiseur et Solaris CDE, vous risquez d'altérer ces données dans les deux environnements.
Solution : sauvegardez les données sur votre PC à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde de l'organiseur avant d'exécuter l'application Synchronisation organiseur (PDASync) de SolarisTM. Si vous échangez accidentellement des données multioctets et qu'elle sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.
Les informations suivantes se rapportent au bureau GNOME 2.0.
Pour obtenir des informations sur les notes de version et le dépannage du bureau GNOME 2.0, consultez les documents suivants à l'adresse http://docs.sun.com :
Notes de diffusion du Bureau GNOME 2.0 pour l'environnement d'exploitation Solaris ;
Guide de dépannage du bureau GNOME 2.0 pour l'environnement d'exploitation Solaris.
Les bugs suivants ont été identifiés dans la version Solaris 9 4/04.
Habituellement, la commande cfgadm -l affiche une liste de toutes les ressources matérielles dynamiquement reconfigurables du système, y compris les périphériques USB. Après l'installation du logiciel Solaris 9 4/04, il arrive que la commande cfgadm -l n'affiche plus la liste des périphériques USB. De même que cette liste risque de ne pas s'afficher si vous ajoutez le package SUNWusb à l'aide de la commande pkgadd.
Solution : choisissez l'une des solutions ci-dessous.
Après avoir installé le logiciel Solaris 9 4/04, exécutez la commande cfgadm -l en tant que superutilisateur uniquement.
Après avoir installé le logiciel Solaris 9 4/04, n'ajoutez pas le package SUNWusb en utilisant la commande pkgadd, mais installez à la place le patch adapté à votre système :
patch 115553-07 ou version ultérieure sur les systèmes SPARC ;
patch 115554-08 ou version ultérieure sur les systèmes x86.
Il arrive que les commandes (mdb) du débogueur modulaire de l'architecture USB ne soient pas automatiquement configurées sur certains systèmes x86.
Solution : pour accéder aux commandes mdb de l'architecture USB, exécutez la commande suivante, pour charger le module mdb usba manuellement après avoir démarré mdb :
> ::load usba |
Après le chargement du module mdb usba, vous pourrez obtenir une liste de toutes les commandes USB en exécutant la commande suivante :
> ::dcmds ! grep usb |
Les problèmes surviennent lors d'opérations de lecture et d'écriture sur des DVD dépassant 4 giga-octets sur le logiciel Solaris 9 4/04.
ils concernent les plates-formes SPARC 32 bits et x86. Ces problèmes n'apparaissent sur aucune des deux plates-formes avec des DVD de moins de 4 giga-octets et sont inexistants sur la plate-forme SPARC 64 bits.
Il semble que la même donnée se répète tous les 4 giga-octets. Ces DVD peuvent être montés pour être lus, mais il est possible que certains fichiers soient détériorés et que d'autres soient inaccessibles. En outre, les opérations d'écriture sur les disques supérieurs à 4 giga-octets peuvent entraîner la corruption de données existantes sur le DVD.
Solution : aucune.
Lorsque vous utilisez la commande lucreate pour créer un nouvel environnement d'initialisation, cette dernière échoue dans les cas suivants :
Le chemin d'accès d'un périphérique de stockage monté est un sous-ensemble du chemin d'accès d'un autre périphérique de stockage monté.
Par exemple, un système de fichiers est actuellement monté sur /dev/md/dsk/ d1 alors qu'un autre système de fichiers est monté sur /dev/md/dsk/d10.
Le chemin d'accès d'un périphérique monté est un sous-ensemble du chemin d'accès d'un périphérique de stockage utilisé comme argument de la commande lucreate.
Par exemple, un système de fichiers est actuellement monté sur /dev/md/dsk/ d10, et /dev/md/dsk/d100 est utilisé comme option de la commande lucreate afin de spécifier un système de fichiers pour le nouvel environnement d'exploitation.
Des messages d'erreurs trompeurs tels que ceux-ci s'affichent :
The file system creation utility /usr/lib/fs/ufsufs/mkfs is not available. |
Unable to create all required file systems for boot-environment. |
Cannot make file systems for boot-environment |
Solution : assurez-vous qu'il n'y a pas, sur les périphériques de stockage, de systèmes de fichiers en cours d'utilisation portant des noms correspondant à des sous-ensembles d'autres périphériques de stockage dont les systèmes de fichiers sont aussi en cours d'utilisation.
S'il existe une ambiguïté au niveau des noms des systèmes de fichiers montés, renommez les métapériphériques de la gestion de volumes Solaris existants.
Dans la solution suivante, d10 et d100 ne sont utilisés qu'à titre d'exemples. Voici d'autres exemples de noms de périphériques ambigus : d20 et d200 ou d377 et d37, où d20 correspond à d200 et d377 correspond à d37.
Devenez superutilisateur.
Utilisez la commande metarename pour modifier un des noms de métapériphériques ambigus.
# metarename d10 d300 |
Le métapériphérique d10 est renommé d300 .
le système de fichier installé sur d10 doit être démonté avant l'utilisation de la commande metarename.
Une fois le système de fichiers démonté, modifiez le fichier /etc/vfstab. Éditez également tous les fichiers de configuration contenant le nom du métapériphérique que vous renommez. Vous devrez modifier toute référence à l'ancien nom de métapériphérique par son nouveau nom.
Si un processus est en cours d'accès aux données sur le système de fichiers, démontez celui-ci en faisant passer le système en mode monoutilisateur. Réinitialisez le système après avoir fait les modifications.
Des erreurs se produisent si vous utilisez Solaris Management Console pour effectuer des opérations sur un compte utilisateur ou groupe d’un système agissant comme un serveur DNS. Ces erreurs se produisent si le fichier /etc/named.conf figure sur le système.
Les erreurs surviennent lorsque vous effectuez ces opérations depuis l'interface utlisateur graphique ou lorsque vous utilisez les commandes smuser et smgroup correspondant à des interfaces de la ligne de commande pour la console.
La console ouvre une nouvelle boîte de dialogue ou la commande smuser envoie les messages d'erreur ci-après lorsqu'elle est effectuée sur un utilisateur :
"The attempt to view Users or Roles has failed due to an unexpected error. This was caused by the following error: CIM_ERR_FAILED." |
La console ouvre une nouvelle boîte de dialogue ou la commande smuser envoie les messages d'erreur ci-après lorsqu'elle est effectuée sur un groupe :
"Attempted Read of Group IDs failed with unexpected CIM error: CIM_ERR_FAILED."operations from the GUI or command-line interface. |
Solution : choisissez l'une des solutions indiquées ci-dessous.
Pour résoudre le problème en redémarrant le serveur DNS, suivez les étapes ci-dessous.
Devenez superutilisateur.
Placez le fichier named.conf dans un autre répertoire. Exemple :
# mv /etc/named.conf /var/named/named.conf |
Redémarrez le serveur DNS.
# pkill -9 in.named |
# /usr/sbin/in.named /var/named/named.conf |
Pour résoudre le problème en redémarrant le serveur WBEM, suivez les étapes ci-dessous :
Devenez superutilisateur.
Modifiez le fichier /usr/sadm/lib/wbem/WbemUtilityServices.properties à l'aide d'un éditeur de texte.
Remplacez la chaîne /etc/named.conf par /tmp/nouveau_nom_fichier.
assurez-vous que le nom de fichier que vous avez choisi n'est pas déjà attribué sur le système.
Arrêtez le serveur WBEM.
# /etc/init.d/init.wbem stop |
Démarrez le serveur WBEM.
# /etc/init.d/init.wbem start |
Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages de manuel smuser(1M) et smgroup(1M).
Vous initialisez un serveur d'entrée Sun LX50 sur lequel sont installés une partition de service et le logiciel Solaris 9 4/04 (Édition pour plate-forme x86). Vous avez la possibilité d’initialiser la partition de service à l’aide de la touche F4. Cependant, cela efface le contenu de l’écran. Le système ne parvient pas à initialiser la partition de service.
Solution : n'appuyez pas sur la touche F4 lorsque l'écran d'initialisation du BIOS apparaît. Après quelques secondes, l'écran affichant les informations sur la partition de disque actuelle apparaît. Sélectionnez le chiffre dans la colonne Part# correspondant à type=DIAGNOSTIC type=DIAGNOSTIC puis appuyez sur la touche Entrée. le système initialise la partition de service.
Dans la version Solaris 94/04, le message d'événement CP accompagnant certains messages d'erreur de mémoire incorrigible n'est pas toujours généré sur les systèmes basés sur la plate-forme UltraSPARC II. Ceci affecte les systèmes suivants :
Sun EnterpriseTM 10000 ;
Sun Enterprise 6500 ;
Sun Enterprise 6000 ;
Sun Enterprise 5500 ;
Sun Enterprise 5000 ;
Sun Enterprise 4500 ;
Sun Enterprise 4000 ;
Sun Enterprise 3500 ;
Sun Enterprise 3000.
Résultat : certaines informations nécessaires à l'identification d'une CPU défectueuse risquent de ne pas toujours être présentes.
Solution : pour obtenir les dernières informations sur ce problème, consultez le site SunSolveSM à l'adresse http://sunsolve.sun.com.
Le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs indiqués pour l'interface com.sun.wbem.provider ou l'interface com.sun.wbem.provider20. Même si vous créez une instance Solaris_ProviderPath pour un fournisseur qui est écrit pour ces interfaces, le démon Solaris WBEM Services 2.5 ne localise pas le fournisseur.
Solution : pour permettre au démon de localiser un tel fournisseur, arrêtez et redémarrez le démon Solaris WBEM Services 2.5.
# /etc/init.d/init.wbem stop # /etc/init.d/init.wbem start |
si vous utilisez l'API javax
pour développer votre fournisseur, vous n'avez pas besoin d'arrêter puis de redémarrer le démon Solaris WBEM Services 2.5. De fait, ce dernier reconnaît les fournisseurs javax
de façon dynamique.
Si vous décidez d'utiliser l'interface de programmation d'application com.sun plutôt que l'API javax
pour développer votre logiciel WBEM, seul l'appel de méthode distant (RIM) CIM est totalement supporté. Il n'est pas certains que d'autres protocoles, tels que XML/HTTP, fonctionnent tout à fait avec l'interface de programmation d'application com.sun.
Le tableau suivant répertorie des exemples d'appels qui sont exécutés avec succès sous RMI, mais échouent sous XML/HTTP.
Appel de méthode |
Message d'erreur |
---|---|
CIMClient.close() |
NullPointerException |
CIMClient.execQuery() |
CIM_ERR_QUERY_LANGUAGE_NOT_SUPPORTED |
CIMClient.getInstance() |
CIM_ERR_FAILED |
CIMClient.invokeMethod() |
XMLERROR: ClassCastException |
L'outil de montage et de partage de Solaris Management Console ne peut pas modifier les options de montage sur des systèmes de fichiers critiques tels que root (/), /usr et /var.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes :
Utilisez l'option de remontage avec la commande de montage.
# mount -F type_système_fichier -o remount,options_montage_supplémentaires \ périphérique_à_monter point_montage |
les modifications de propriété de montage apportées en utilisant l'option -remount associée à la commande mount ne sont pas persistantes. En outre, toutes les options de montage non spécifiées dans la portion options_montage_supplémentaires de la commande précédente héritent des valeurs par défaut spécifiées par le système. Reportez-vous à la page de manuel mount_ufs(1M) pour de plus amples informations.
Modifiez l'entrée appropriée dans le fichier /etc/vfstab pour changer les propriétés de montage de système, puis réinitialisez le système.
Le message d'erreur suivant s'affiche lorsque la mémoire est insuffisante :
CIM_ERR_LOW_ON_MEMORY |
Vous ne pouvez plus ajouter d'entrées si la mémoire disponible pour CIM Object Manager devient insuffisante. Le cas échéant, vous devez réinitialiser le référentiel CIM Object Manager.
Solution : pour réinitialiser le référentiel CIM Object Manager, procédez comme indiqué ci-dessous.
Devenez superutilisateur.
Arrêtez le programme CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem stop |
Supprimez le répertoire d'enregistrement JavaSpacesTM.
# /bin/rm -rf /var/sadm/wbem/log |
Redémarrez le programme CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem start |
lorsque vous remettez le programme CIM Object Manager à zéro, vous perdez toutes les définitions propriétaires de votre mémoire de données. Vous devez recompiler les fichiers MOF qui contiennent ces définitions en utilisant la commande mofcomp. Voyez l'exemple ci-dessous.
# /usr/sadm/bin/mofcomp -u root -p root-password your-mof-file |
Le problème suivant a été identifié sur la version Solaris 9 4/04.
Si vous possédez un fichier racine (/) en miroir de Solaris Volume Manager au sein duquel le système de fichiers ne commence pas au cylindre 0, vous ne devez connecter aucun sous-miroir commençant au cylindre 0.
Si vous tentez de connecter un sous-miroir commençant au cylindre 0 sur un miroir dont le sous-miroir original ne commence pas sur ce cylindre, le message d'erreur suivant s'affiche :
can't attach labeled submirror to an unlabeled mirror |
Solution : choisissez l'une des solutions ci-dessous.
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir commencent au cylindre 0.
Vérifiez que le système de fichiers racine et le volume de l'autre sous-miroir ne commencent pas au cylindre 0.
par défaut, la procédure d'installation de JumpStart commence la copie sur le cylindre 0 et place le système de fichiers racine (/) ailleurs sur le disque. Habituellement, la tranche 0 est démarrée au cylindre 0. Des problèmes peuvent survenir avec la mise en miroir d'une installation JumpStart par défaut avec la racine en tranche 0, mais sans le cylindre 0, vers un disque classique de tranche 0 démarrant au cylindre 0. Cette mise en miroir engendre l'affichage d'un message d'erreur au moment où vous tentez de connecter un second sous-miroir. Pour de plus amples informations sur le comportement par défaut des programmes d'installation Solaris, reportez-vous au document Solaris 9 4/04 Installation Guide.
Le bug suivant a été identifié dans la version Solaris 9 4/04.
Si vous créez un volume RAID-1 (miroir) ou RAID-5 avec Solaris Volume Manager dans un jeu de disques construit au sommet d'une partition logicielle, les disques hot spare ne fonctionnent pas correctement.
Voici une liste non exhaustive des problèmes susceptibles d'apparaître :
Le disque hot spare risque de ne pas être activé.
L'état du disque hot spare peut changer, indiquant que le périphérique est endommagé.
Un disque hot spare est utilisé, mais il est resynchronisé à partir du mauvais lecteur.
Un disque hot spare en cours d'utilisation a échoué, mais son état défectueux n'est pas rapporté.
Solution : n'utilisez pas cette configuration pour créer des volumes RAID-1 ou RAID-5 avec Solaris Volume Manager dans des jeux de disques.
La commande metahs -e peut échouer dans les cas indiqués ci-dessous.
Un périphérique de secours rencontre un problème, telle qu'une erreur provoquée lors de l'utilisation de l'utilitaire de test metaverify.
Le logiciel Solaris Volume Manager tente d'activer le disque hot spare lorsqu'une erreur se produit sur un métapériphérique ; ce disque est marqué comme étant broken.
Le système est hors service. Le disque hot spare défectueux est remplacé par un autre disque, installé au même emplacement.
À l'initialisation du système, le logiciel Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque hot spare.
La commande metahs -e est utilisée pour activer le disque hot spare sur le nouveau disque.
Le message suivant s'affiche :
WARNING: md: d0: open error of hotspare (Unavailable) |
Cette défaillance se produit car le logiciel Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque hot spare placé dans le même emplacement physique. Alors il continue d'afficher l'identificateur de périphérique du disque qui a été retiré du système.
cette défaillance ne survient pas sur les armoires de stockage ni sur un Photon, l'identificateur de périphérique étant modifié lorsqu'un disque est remplacé.
Solution : choisissez l'une des solutions ci-dessous.
Pour mettre à jour l'identificateur de périphérique du disque hot spare dans la base de données d'état de Solaris Volume Manager, procédez comme indiqué ci-dessous.
Devenez superutilisateur.
Entrez la commande suivante pour mettre à jour l'identificateur de périphérique du disque hot spare.
# metadevadm -u nom_périphérique_logique |
Entrez la commande suivante pour rendre disponible le nouveau disque hot spare.
# metareplace -e nom_périphérique_logique |
Pour gérer les disques hot spare et les pools de disques hot spare sur le système, procédez comme indiqué ci-dessous.
Devenez superutilisateur.
Entrez la commande suivante pour supprimer l'entrée relative à la tranche du disque hot spare :
# metahs -d hsp numéro_pool_disques_hot_spare nom_périphérique_logique |
Entrez la commande suivante afin de créer une nouvelle entrée pour la tranche du disque hot spare au même emplacement et avec l'identificateur de périphérique approprié.
# metahs -a hsp numéro_pool_disques_hot_spare nom_périphérique_logique |
Vous ne pouvez pas remplacer un disque défectueux par un disque configuré à l'aide du logiciel Solaris Volume Manager. Le nouveau disque doit être inconnu du logiciel Solaris Volume Manager. Si vous déplacez physiquement un disque d'un connecteur d'extension vers un autre sur un Photon, la commande metadevadm échoue. Cette défaillance survient lorsque le nom du périphérique logique de la tranche n'existe plus. L'identificateur de périphérique du disque reste cependant présent sur la copie du métapériphérique. Le message suivant s'affiche :
Unnamed device detected. Please run 'devfsadm && metadevadm -r to resolve. |
vous pouvez simultanément accéder au disque à son nouvel emplacement. Cependant, vous devez utiliser l'ancien nom de disque logique pour accéder à la tranche.
Solution : replacez le disque dans son connecteur d'extension initial.
Si vous retirez et remplacez un disque physique du système, puis utilisez la commande metarecover -p -d pour écrire les données relatives à la partition logicielle appropriée sur le disque, il en résulte une défaillance ouverte. La commande ne met pas à jour l'espace de noms de la base de données du métapériphérique pour refléter la modification au niveau du disque. Il en résulte une défaillance ouverte pour ladite partition logicielle située au sommet du disque. Le message suivant s'affiche :
Open Error |
Solution : au lieu d'exécuter la commande metarecover pour récupérer la partition logicielle, créez-en une sur le disque.
si la partition logicielle fait partie d'un miroir ou d'un système de disques RAID 5, utilisez la commande metareplace sans l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.
# metareplace dx miroir ou RAID 5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle |
Le bug suivant a été identifié dans la version Solaris 9 4/04.
Si vous configurez plusieurs tunnels IP entre deux noeuds IP et validez ip_strict_dst_multihoming ou d'autres filtres IP, cela peut entraîner une perte de paquets.
Solution : choisissez l'une des solutions suivantes
Commencez par configurer un seul tunnel entre deux noeuds IP. Ajoutez des adresses au tunnel au moyen de la commande ifconfig et de l'option addif.
Ne validez pas ip_strict_dst_multihoming sur des tunnels entre deux noeuds IP.
Les bugs suivants ont été identifiés dans la version Solaris 9 4/04.
Si vous déverrouillez une session CDE verrouillée, toutes les références Kerberos version 5 (krb5) en mémoire cache risquent d'être supprimées. Résultat : vous risquez de ne plus pouvoir accéder à divers utilitaires du système. Ce problème apparaît dans les circonstances ci-dessous.
Dans le fichier /etc/pam.conf, les services dtsession de votre système sont configurés pour utiliser par défaut le module krb5.
Vous verrouillez votre session CDE, puis tentez de la déverrouiller.
Lorsque ce problème survient, le message d'erreur suivant s'affiche :
lock screen: PAM-KRB5 (auth): Error verifying TGT with host/ nom_hôte: Permission denied in replay cache code |
Solution : ajoutez les entrées non-pam_krb5 dtsession dans le fichier /etc/pam.conf.
dtsession auth requisite pam_authtok_get.so.1 dtsession auth required pam_unix_auth.so.1 |
Une fois que vous avez ajouté ces entrées dans le fichier /etc/pam.conf, le module pam_krb5 ne s'exécute plus par défaut.
Dans la version Solaris 9 4/04, les comptes verrouillés sont traités de la même manière que des comptes arrivés à échéance ou inexistants. Par conséquent, les utilitaires cron, at et batch ne peuvent programmer de tâches sur des comptes verrouillés.
Solution : pour permettre à des comptes verrouillés d'accepter des tâches cron, at ou batch, remplacez le champ du mot de passe d'un compte verrouillé (*LK*) par la chaîne NP (pour “pas de mot de passe”).
Le bug suivant a été identifié dans la version Solaris 9 4/04.
Si vous tentez d’effectuer plusieurs tâches avec Veritas Volume Manager sur un système fonctionnant sous l’environnement d’exploitation Solaris Solaris 9 4/04, les utilitaires
vxddladm addjob ou
vxddladm addsupport peuvent vider l’image mémoire.
Solution : procédez comme indiqué ci-dessous.
Devenez superutilisateur.
Vérifiez que le fichier /var/ld/ld.config et l'utilitaire /usr/bin/crle sont présents sur le système.
Entrez les commandes suivantes dans une fenêtre de terminal :
# /usr/bin/cp /var/ld/ld.config /var/ld/ld.config.save # /usr/bin/crle -E LD_LIBRARY_PATH=/usr/lib # commande_vxddladm_appropriée # /usr/bin/mv /var/ld/ld.config.save /var/ld/ld.config |
Les problèmes suivants ont été identifiés dans la version Solaris 9 4/04.
Dans la collection iPlanetTM Directory Server 5.1 (Solaris Edition), les liens DocHome et les liens entre chaque manuel ne fonctionnent pas. Par conséquent, si vous les sélectionnez, votre navigateur affiche l'erreur Introuvable.
Solution : pour passer d'un document iPlanet Directory Server 5.1 à un autre sur votre système, accédez à la page de la collection iPlanet Directory Server 5.1 (Édition Solaris) à l'adresse http://docs.sun.com . Cliquez sur le lien correspondant au document que vous souhaitez consulter.
Si vous supprimez le package SUNWsdocs, puis essayez de supprimer les autres packages de documentation, la suppression échoue. Ce problème se présente parce que le package SUNWsdocs est installé avec n'importe quelle collection et constitue le point d'entrée du navigateur.
Solution : si vous avez supprimé le package SUNWsdocs, réinstallez-le à partir du support de documentation, puis supprimez les autres packages de documentation.
Les bugs suivants ont été identifiés sur la version Solaris 9 4/04.
Dans le logiciel Solaris 9 4/04 et les autres systèmes basés sur UNIX, les documents au format PDF figurant sur le Solaris 9 4/04 Documentation 1 of 2 CD ne sont pas accessibles dans les versions localisées en langues européennes suivantes :
de (allemand) ;
es (espagnol) ;
fr (français) ;
it (italien) ;
sv (suédois).
Ceci provient d'un problème de limitation d'Adobe Acrobat Reader. Pour de plus amples informations concernant ce problème, reportez-vous au site Adobe Technote à l'adresse http://www.adobe.com:80/support/techdocs/294de.htm.
Solution : choisissez l'une des solutions ci-dessous.
Dans le logiciel Solaris 9 4/04 et les autres systèmes basés sur UNIX, définissez la variable d'environnement LC_ALL sur C acroread. Par exemple, dans le C Shell, entrez la commande suivante dans la fenêtre de terminal :
% env LC_ALL=C acroread |
Pour les systèmes non basés sur UNIX, procédez à une mise à niveau vers la version 5.0 de Adobe Acrobat Reader ou une version ultérieure.
Certaines collections de documentation Solaris 94/04 peuvent être supprimées inopinément de votre système, dans les cas de figure présentés ci-dessous.
Vous installez le contenu des Solaris 9 4/04 Documentation 1 of 2 CD et 2 of 2 sur votre système.
Vous utilisez ensuite l'utilitaire prodreg ou le programme d'installation du Solaris 9 4/04 Documentation CD pour supprimer certains packages de documentation.
Les Solaris 9 4/04 Documentation CD 1 of 2 et 2 of 2 possèdent trois collections en commun. Si vous supprimez les packages contenant ces collections à partir de l'un de ces deux CD pour une installation donnée, ils sont supprimés pour les deux installations.
Vous trouverez dans le tableau suivant les packages risquant d'être supprimés inopinément.
Tableau 2–1 Packages de documentation Solaris 9 4/04 figurant sur les deux Solaris 9 4/04 Documentation CDs
Nom des packages HTML |
Noms des packages PDF |
Descriptif de la collection |
---|---|---|
SUNWaadm |
SUNWpaadm |
Solaris 9 System Administrator Collection |
SUNWdev |
SUNWpdev |
Solaris 9 Developer Collection |
SUNWids |
SUNWpids |
iPlanet Directory Server 5.1 Collection |
Solution : choisissez l'une des solutions ci-dessous.
Si la procédure de désinstallation supprime inopinément ces packages de documentation alors que vous souhaitez les conserver sur votre système, réinstallez-les à partir des Solaris 9 4/04 Documentation 1 of 2 CD ou 2 of 2.
Pour éviter ce problème, utilisez l'utilitaire pkgrm pour désinstaller les packages que vous souhaitez supprimer de votre système.
Le problème suivant a été identifié sur la version Solaris 9 4/04.
La prise en charge logicielle des dispositions des trois claviers suivants a été ajoutée à cette version de Solaris 9 : les claviers estonien et français du Canada de type 6 et le clavier de programmation polonais de type 5.
Ce logiciel offrira aux utilisateurs canadiens, estoniens et polonais une plus grande flexibilité d'entrées de claviers en leur permettant d'adapter les configurations de claviers américains standard à leurs propres besoins linguistiques.
Le matériel pour ces trois nouveaux types de claviers n'est pas disponible pour le moment.
Solution : pour tirer le meilleur profit de ce nouveau logiciel clavier, modifiez le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map en procédant de l'une des manières proposées ci-dessous.
Pour le clavier estonien de type 6, faites les modifications suivantes :
Remplacez l'entrée US6.kt par Estonia6.kt dans le fichier/usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
6 0 Estonia6.kt |
Ajoutez les entrées qui suivent au fichier/usr/openwin/lib/locale/iso8859-15/Compose.
<scaron> |
: "/xa8" |
scaron |
<scaron> |
: "/xa6" |
scaron |
<scaron> |
: "/270" |
scaron |
<scaron> |
: "/264" |
scaron |
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Pour le clavier français du canada de type 6, faites les modifications suivantes :
Remplacez l'entrée US6.kt par Canada6.kt dans le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
6 0 Canada6.kt |
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Si vous utilisez le clavier polonais de type 5 existant, faites les modifications suivantes :
Remplacez l'entrée Poland5.kt par Poland5_pr.kt dans le fichier /usr/openwin/ share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
4 52 Poland5_pr.kt |
si vous utilisez un clavier à commutateurs dip, vérifiez que les touches sont définies sur la bonne valeur binaire pour l'entrée du tableau de touches polonaises (binaire 52) avant de redémarrer le système.
Si vous utilisez un clavier américain standard de type 5, remplacez l'entrée US5.kt par Poland5_pr.kt dans le fichier /usr/openwin/share/etc/keytables/keytable.map. L'entrée modifiée se lit comme suit :
4 33 Poland5_pr.kt |
Redémarrez l'ordinateur pour que les modifications prennent effet.
Les bugs suivants ont été identifiés dans la version Solaris 9 4/04.
Pour générer le caractère diacritique dans les environnements localisés arabes, entrez le caractère arabe suivi de Maj-U.
Le tri ne fonctionne pas correctement dans les environnements localisés UTF-8 européens.
Solution : avant d'effectuer un tri dans un environnement localisé UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE avec l'équivalent ISO-1.
# echo $LC_COLLATE > es_ES.UTF-8 # LC_COLLATE=es_ES.IS08859-1 # export LC_COLLATE |
Vous pouvez alors lancer le tri.
Les bugs suivants ont été identifiés dans la version Solaris 9 4/04.
Si vous essayez d'utiliser l'interface utilisateur d'administration de Sun ONE Application Server avec le navigateur par défaut du logiciel Solaris 9 4/04, le message suivant s'affiche :
Unsupported Browser: Netscape 4.78 It is recommended that you upgrade your browser to Netscape 4.79 or Netscape 6.2 (or later) to run the Sun One Application Server Administrative UI. Those who choose to continue and not upgrade may notice degraded performance or unexpected behavior. |
si vous utilisez la version de l'interface utilisateur d'administration de Sun ONE Application Server intégrée au logiciel Solaris 9 4/04, vous devez utiliser Netscape 4.79 ou Netscape 7.0.
Solution : utilisez /usr/dt/appconfig/SUNWns/netscape au lieu de /usr/dt/bin/netscape.
Les bugs suivants ont été identifiés dans la version Solaris 9 4/04.
Plusieurs problèmes sont liés au démarrage du serveur d'applications lorsque Sun ONE Application Server est installé en tant que partie intégrante de l'installation Solaris.
Toutes les instances du serveur d'applications et du serveur d'administration sont démarrées automatiquement lors du démarrage du système Solaris. Dans un grand nombre d'environnements, toutes les instances ne sont pas censées démarrer automatiquement au démarrage du système Solaris. En effet, le démarrage de toutes les instances définies peut avoir une incidence défavorable sur la mémoire disponible sur un système.
Lorsque les instances du serveur d'applications et du serveur d'administration sont démarrées de façon automatique, le script de démarrage de chaque instance est exécuté en tant que superutilisateur (root). L'exécution des scripts de démarrage d'une instance appartenant à un utilisateur non superutilisateur peut permettre à celui-ci d'accéder au superutilisateur par la modification des scripts de démarrage au niveau de l'instance.
Lors de l'installation du serveur d'applications Sun ONE, le script /etc/init.d/appserv et les liens symboliques vers les scripts S84appserv et K05appserv dans les répertoires /etc/rc*.d/ sont installés. Ces scripts provoquent le démarrage et l'arrêt automatiques des instances de serveur d'applications et de serveur d'administration, définies comme faisant partie de l'opération d'installation du serveur d'applications, au démarrage et à l'arrêt du système Solaris.
Le script /etc/init.d/appserv contient la section de code suivante :
case "$1" in 'start') /usr/sbin/asadmin start-appserv ;; 'stop') /usr/sbin/asadmin stop-appserv ;;
L'exécution de la commande asadmin start-appserv provoque le démarrage de l'instance de serveur d'administration et de toutes les instances de serveur d'applications, définies dans tous les domaines d'administration, au démarrage du système Solaris. Le script de démarrage de chaque instance du serveur d'applications et du serveur d'administration étant exécuté en tant que superutilisateur, il en va de même pour les scripts de démarrage et d'arrêt du système. Le script de démarrage au niveau de l'instance est appelé startserv et se trouve dans le répertoire instance-dir/bin/startserv. Les scripts startserv peuvent être modifiés par l'utilisateur non superutilisateur dans le cadre de l'exécution de commandes en tant que superutilisateur, étant donné que les instances peuvent appartenir à des utilisateurs autres que les superutilisateurs.
Si une instance utilise le port réseau privilégié, son script startserv doit être exécuté en tant que superutilisateur. Cependant, run as user est normalement défini dans la configuration de l'instance, afin de forcer l’instance à s’exécuter en tant qu’utilisateur spécifié après son démarrage par l'utilisateur root.
Solution : choisissez l'une des solutions proposées ci-dessous, en fonction de votre environnement.
Si votre environnement ne requiert pas le démarrage de toutes les instances du serveur d'applications et du serveur d'administration en tant que root, commentez l'exécution des commandes asadmin start-appserv et asadmin stop-appserv dans le script /etc/init.d/appserv.
Si votre environnement requiert le démarrage de domaines d'administration spécifiques ou d'instances spécifiques sur un ou plusieurs domaines d'administration, vous pouvez modifier ou créer un script pour automatiser ce processus. Notez que specific administrative domains comprend l'instance du serveur d'administration et toutes les instances du serveur d'applications de chaque domaine.
Choisissez l'une des étapes indiquées ci-dessous.
Modifiez le script /etc/init.d/appserv pour démarrer les domaines ou instances d'intérêt.
Définissez les nouveaux scripts /etc/rc*.d/ qui correspondent aux besoins de votre environnement.
Remarques concernant le démarrage : si vous modifiez les scripts de démarrage du logiciel Solaris pour qu'ils démarrent automatiquement des domaines d'administration du serveur d'applications ou des instances du serveur d'applications spécifiques, lisez attentivement ce qui est indiqué ci-dessous.
Démarrage d'un domaine spécifique : si vous souhaitez démarrer l'instance de serveur d'administration et toutes les instances de serveur d'applications d'un domaine d'administration spécifique en tant que superutilisateur, modifiez les scripts /etc/rc*.d/ comme indiqué ci-dessous.
case "$1" in 'start') /usr/sbin/asadmin start-domain --domain production-domain ;; 'stop') /usr/sbin/asadmin stop-domain --domain production-domain ;;
Démarrage d'une instance de serveur d'applications spécifique en tant qu'utilisateur non superutilisateur : modifiez les scripts /etc/rc*.d/ afin d'utiliser la commande su avec l'option-c.
case "$1" in 'start') su - usera -c "/usr/sbin/asadmin start-instance --domain test-domain instance-a" su - userb -c "/usr/sbin/asadmin start-instance --domain test-domain instance-b" ;; 'stop') su - usera -c "/usr/sbin/asadmin stop-instance --domain test-domain instance-a" su - userb -c "/usr/sbin/asadmin stop-instance --domain test-domain instance-b" ;;
Pour de plus amples informations sur les commandes startup et shutdown accessibles depuis l'interface de ligne de commande asadmin, reportez-vous au document Sun ONE Application Server 7 Administrator's Guide à l'adresse http://docs.sun.com/db/prod/s1.asse.
Les problèmes suivants concernent les processus et tâches du serveur d'annuaires Sun ONE.
Lorsque vous entrez un nom distinct au cours de l'installation, utilisez le codage en jeu de caractères UTF-8. Les autres codages ne sont pas pris en charge. Par ailleurs, la procédure d'installation ne convertit pas les données du codage en jeu de caractères local en codage en jeu de caractères UTF-8. Les fichiers LDIF (Lightweight Directory Interchange Format) utilisés pour l'importation de données doivent également utiliser le codage en jeu de caractères UTF-8. La procédure d'importation ne convertit pas les données du codage en jeu de caractères local en codage en jeu de caractères UTF-8.
Le schéma fourni avec le serveur d'annuaires Sun Open Net Environment (Sun ONE) (anciennement serveur d'annuaires iPlanet) 5.1 diffère de celui qui est spécifié dans le standard RFC 2256 pour les objets de classe groupOfNames et groupOfUniquenames. Dans le schéma fourni, les types d'attribut member et uniquemember sont optionnels. RFC 2256 indique au moins une valeur pour que ces types figurent dans leur objet de classe respectif.
aci est un attribut opérationnel qui n’est pas retourné avec une recherche, à moins que vous ne le demandiez de façon explicite.
La réplication multimaître via un réseau étendu n'est pas prise en charge actuellement.
Sun ONE Directory Server 5.1 fournit le plug-in Uniqueness à l'ID utilisateur (UID). Par défaut, il n'est pas activé. Pour garantir l'aspect unique de l'attribut pour des attributs spécifiques, créez une nouvelle instance du plug-in Attribute Uniqueness par attribut. Pour de plus amples informations sur le plug-in Attribute Uniqueness, reportez-vous au document iPlanet Directory Server 5.1 Administrator's Guide à l'adresse http://docs.sun.com.
Le plug-in Referential Integrity est désormais désactivé par défaut. Pour éviter les boucles de résolution de conflits, il doit être activé sur une seule réplique maître dans un environnement de réplication multimaître. Avant d'activer le plug-in Referential Integrity sur les serveurs confrontés à des demandes d'enchaînement, analysez vos besoins en termes de performances, de durée et d'intégrité des ressources. Les contrôles d'intégrité peuvent utiliser des ressources significatives en termes de mémoire et de CPU.
L'attribut nsRoleDN sert à définir un rôle. Il ne doit pas être utilisé pour évaluer l'appartenance à un rôle d'une entrée utilisateur. Pour ce faire, consultez l'attribut nsrole.
Si les index VLV (Virtual List View) comprennent plus d'une base de données, ils ne fonctionnent pas correctement.
Les bugs suivants ont été identifiés dans la version Solaris 9 4/04.
Si vous lancez Sun ONE Directory Server 5.1 Console et créez un nouvel utilisateur ou un nouveau rôle inactif, ni l'un ni l'autre ne seront désactivés. Il est impossible de créer des utilisateurs et des rôles inactifs par le biais de la console.
Solution : pour créer un utilisateur ou un rôle inactif, procédez comme indiqué ci-dessous.
Créez le nouvel utilisateur ou le nouveau rôle.
Cliquez deux fois sur l’utilisateur ou le rôle que vous venez de créer ou sélectionnez-le. Cliquez sur Properties dans le menu Object.
Cliquez sur l'onglet Account.
Cliquez sur le bouton Inactivate.
Cliquez sur OK.
L'utilisateur ou le rôle que vous venez de créer est désactivé.
Si vous spécifiez un nom de domaine de base contenant un espace, par exemple, o=U.S. Government,C=US au moment de la configuration du serveur d'annuaires Sun ONE 5.1, le nom de domaine sera tronqué de la manière suivante : Government,C=US. Lors de la configuration, le nom de domaine doit être entré comme suit o=U.S.%20Government,C=US .
Solution : pour modifier l'entrée du nom de domaine de base, procédez comme indiqué ci-dessous.
Sélectionnez l'entrée de répertoire supérieure dans la partie gauche de la fenêtre de navigation de l'onglet Servers and Applications sur la console.
Modifiez le suffixe dans le champ de sous-arborescence du répertoire User.
Cliquez sur OK.
Si vous mettez à jour un serveur d'annuaire non maître en appliquant des données relatives à la politique sur les mots de passe, ces données ne sont pas reproduites sur les autres serveurs. Ces données renferment les verrous de compte.
Solution : gérez manuellement les données relatives à la politique des mots de passe sur chaque serveur.
Si Account Lockout est activé et que le mot de passe utilisateur est modifié, Account Lockout reste effectif.
Solution : réinitialisez les attributs accountUnlockTime, passwordRetryCount et retryCountResetTime lockout pour déverrouiller le compte.
Si vous procédez à l'installation de Sun ONE Directory Server 5.1, lancez la console, initialisez le répertoire avec un fichier LDIF, puis faites une copie du serveur. La console enregistre que la sauvegarde s'est déroulée correctement. Pourtant, elle a réellement échoué.
Solution : procédez comme indiqué ci-dessous, depuis la console, après avoir initialisé la base de données.
Arrêtez le serveur.
Redémarrez le serveur.
Effectuez la sauvegarde.
Vous ne pouvez pas utiliser les services d'attribution de nom LDAP pour créer des noms de chemin montés automatiquement identiques, sauf quand la casse engendre des noms de chemin répétés. Le serveur d'annuaire ne permet pas de créer d'entrées si l'attribut d'appellation possède une syntaxe sensible à la casse et qu'une entrée existante porte déjà le même nom, mais dans une casse différente.
Par exemple, les chemins /home/foo et /home/Foo ne peuvent pas coexister.
Si l'entrée attr=foo,dc=mycompany,dc=com existe, le serveur n'autorise pas la création de attr=Foo,dc=mycompany,dc=com. Effet pervers de ce problème : si vous utilisez les services d'attribution de noms, les noms de chemin montés automatiquement doivent être uniques, quelle que soit leur casse.
Solution : aucune.
Si vous arrêtez le serveur pendant l'exportation, la sauvegarde, la restauration ou la création d'un index, il se bloque.
Solution : n'arrêtez pas le serveur lorsque vous effectuez l'une de ces opérations.
Si vous tentez de configurer la réplication sur (SSL) avec une authentification basée sur un certificat, la réplication ne fonctionne pas si l'une des conditions ci-dessous se présente.
Le certificat du fournisseur est auto-signé.
Le certificat du fournisseur ne peut que servir de certificat de serveur SSL qui ne peut pas faire office de client lors de l'établissement d'une liaison SSL.
Solution : aucune.
Le problème suivant a été identifié dans la version Solaris 9 4/04.
Si vous tentez de créer un système de fichiers UFS sur un volume VxVM (Veritas Volume Manager) de 2 Toctets ou plus, vous générez une erreur. Le résultat est un système de fichiers de la taille du modulo du volume VxVM de 2 To. Par exemple, un volume VxVM de 8.4 Toctets produirait un système de fichiers de 0,.4 Toctet.
Aucun message d'avertissement n'est affiché.
Solution : aucune.
Le bug suivant a été identifié dans la version Solaris 9 4/04.
L'utilisation de la commande fssnap pour créer une image d'un système de fichiers UFS dont la taille dépasse 1 To n'est pas prise en charge dans la version Solaris 9 4/04. Le message d'erreur suivant apparaît :
fssnap: Fatal: File system /dir/snapshot0 support large files. |
Solution : aucune.