Ce chapitre décrit les problèmes connus liés à l'exécution.
Les descriptions des bugs d'exécution suivantes ont été ajoutées à ce chapitre depuis la publication de ce document sur le CD de la documentation de Solaris 9 7/01 et dans le Kiosque d'installation du CD d'installation de Solaris 9 7/01.
"Risque d'échec de la commande metattach de Solaris Volume Manager"
"Risque de blocage de Xsun sur les machines dépourvues de clavier (4651949)"
"Le démon Solaris PPP 4.0 inactif risque de quitter pendant la période de suppression (4647938)"
"Risque de pénurie de descripteurs de fichiers pour le démon du serveur d'agendas de CDE (4641721)"
"Dysfonctionnement des liens de la documentation d'iPlanet Directory Server 5.1"
L'utilisation de disques durs USB autres que des Solaris Ready en combinaison avec l'environnement d'exploitation Solaris 9 risque de provoquer des erreurs graves de l'UFS et une corruption des données.
Solution : reportez-vous au site http://www.sun.com/io_technologies/storagesolutions.html pour obtenir une liste des produits Solaris Ready.
Si le processus ocfserv est interrompu et que l'affichage est verrouillé, le système reste verrouillé même lorsqu'une carte à puce est insérée ou retirée.
Solution : pour déverrouiller votre système, suivez les instructions ci-après.
Connectez-vous à distance à la machine sur laquelle le processus ocfserv a été interrompu.
Devenez superutilisateur.
Arrêtez le processus dtsession en entrant la commande suivante dans une fenêtre de terminal :
# pkill dtsession |
L'option de menu Editer le fichier config de la console de gestion des cartes à puce ne modifie pas les fichiers de configuration de carte à puce situés dans /etc/smartcard/opencard.properties. Si vous sélectionnez cette option de menu, un avertissement vous demandant de ne pas continuer sauf exigence contraire du support technique s'affiche.
Solution : n'utilisez pas l'option de menu Editer le fichier config dans la console de gestion des cartes à puce. Pour de plus amples informations sur la configuration des cartes à puces, reportez-vous au Solaris Smartcard Administration Guide.
Un problème survient lors de la compilation d'un programme Motif dans l'environnement d'exploitation Solaris 9 si :
vous vous connectez à une bibliothèque partagée qui a été compilée dans les environnements d'exploitation Solaris 2.4, 2.5, 2.5.1 ou 2.6 ;
l'ancienne bibliothèque utilise également l'interface de programmation d'application (API) Motif.
Un vidage de mémoire risque de se produire lorsque le programme Motif utilise la version 2.1 de Motif, alors que l'ancienne bibliothèque partagée utilise la version 1.2. Il ne s'agit pas d'un problème de compatibilité binaire des applications compilées dans les environnements d'exploitation Solaris 2.4, 2.5, 2.5.1 ou 2.6. Ces applications devraient fonctionner correctement dans l'environnement d'exploitation Solaris 9.
Solution : si vous utilisez une ancienne bibliothèque partagée qui est directement liée à la bibliothèque Motif et que vous voulez compiler, sous Solaris 9, un programme permettant d'établir un lien à la fois avec Motif et avec cette ancienne bibliothèque partagée, utilisez une ligne de compilation similaire à la suivante :
cc foo.c -o programme -DMOTIF12_HEADERS -I/usr/openwin/include \ -I/usr/dt/include -lXm12 -lXt -lX11 |
Si vous choisissez l'option Connexion à distance dans le menu Options de l'écran de connexion au CDE, et que vous sélectionnez ensuite l'option permettant d'entrer le nom de la machine distante, l'option permettant de sélectionner un hôte dans la liste ne fonctionnera pas lors de tentatives ultérieures de connexion à distance.
Solution : utilisez l'option permettant d'entrer le nom de la machine distante pour toutes les tentatives de connexion à distance.
Quelle que soit la version localisée Unicode ou UTF-8 de Solaris 9 utilisée, si vous tentez de lire un message électronique contenant un grand nombre de lignes relativement longues, le Programme_courrier (dtmail) semble s'interrompre et le message ne s'affiche pas immédiatement.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Agrandissez la fenêtre de la boîte à lettres dtmail, de manière à pouvoir afficher 132 colonnes.
Désactivez la fonction CTL (Complex Text Layout) en procédant de la manière suivante :
Devenez superutilisateur.
Adaptez les répertoires au répertoire de la version localisée de votre système.
# cd /usr/lib/locale/nom_version_localisée |
Dans l'exemple précédent, nom_version_localisée renvoie à la version localisée Unicode ou UTF-8 de Solaris 9 de votre système.
Renommez la catégorie du moteur de configuration de la version localisée.
# mv LO_LTYPE LO_LTYPE- |
Restituez son nom d'origine (LO_LTYPE) à la catégorie du moteur de configuration de version localisée avant de lui appliquer des patchs.
Si vous supprimez le dernier élément sur votre ordinateur, il est restauré à partir de l'organiseur lorsque vous synchronisez celui-ci. Les éléments que vous pouvez supprimer et qui peuvent être restaurés sont notamment le dernier rendez-vous de votre Agenda ou la dernière adresse de votre Gestionnaire d'adresses.
Solution : supprimez manuellement la dernière entrée dans l'organiseur avant de lancer la synchronisation.
Si vous échangez des données multi-octets entre un organiseur et Solaris CDE, ces données risquent d'être altérées dans les deux environnements.
Solution : sauvegardez les données sur votre PC à l'aide de l'utilitaire de sauvegarde de l'organiseur avant d'exécuter l'application PDASync. Si vous échangez accidentellement des données multi-octets et que celles-ci sont altérées, restaurez-les à partir de la sauvegarde.
Le démon de Solaris WBEM Services 2.5 ne peut pas localiser les fournisseurs écrits pour l'interface com.sun.wbem.provider ou com.sun.wbem.provider20. Même si vous créez une instance Solaris_ProviderPath pour un fournisseur écrit pour ces interfaces, le démon de Solaris WBEM Services 2.5 ne localise pas le fournisseur.
Solution : pour permettre au démon de localiser un tel fournisseur, arrêtez et redémarrez le démon de Solaris WBEM Services 2.5.
# /etc/init.d/init.wbem stop # /etc/init.d/init.wbem start |
Si vous utilisez l'API javax
pour développer
votre fournisseur, vous n'avez pas besoin d'arrêter puis de redémarrer
le démon de Solaris WBEM Services 2.5, car il identifie de manière
dynamique les fournisseurs javax
.
Si vous décidez d'utiliser l'interface de programmation d'application com.sun plutôt que l'API javax
pour développer votre logiciel WBEM, seul l'appel de
méthode distant (RMI) CIM est entièrement pris en charge. Il
n'est pas certain que d'autres protocoles tels que XML/HTTP fonctionnent de
manière parfaite avec l'interface de programmation d'application com.sun.
Le tableau suivant répertorie des exemples d'appels qui s'exécutent avec succès sous RMI, mais échouent sous XML/HTTP.
Appel de méthode |
Message d'erreur |
---|---|
CIMClient.close() |
NullPointerException |
CIMClient.execQuery() |
CIM_ERR_QUERY_LANGUAGE_NOT_SUPPORTED |
CIMClient.getInstance() |
CIM_ERR_FAILED |
CIMClient.invokeMethod() |
XMLERROR: ClassCastException |
L'outil de montage et de partage de Solaris Management Console ne peut pas modifier les options de montage sur des systèmes de fichiers critiques tels que / (root), /usr, et /var.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Utilisez l'option de remontage avec la commande mount.
# mount -F type_système_fichiers -o remount,options_montage_ supplémentaires \périphérique_à_monter point_montage |
Les modifications de propriété de montage effectuées en utilisant l'option -remount de la commande mount ne sont pas persistantes. De plus, toutes les options de montage non spécifiées dans la portion options_montage_supplémentaires de la commande précédente héritent des valeurs par défaut spécifiées par le système. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page mount_ufs(1M) du manuel.
Modifiez l'entrée appropriée dans le fichier /etc/vfstab pour changer les propriétés de montage du système de fichiers, puis réinitialisez le système.
Le message d'erreur suivant s'affiche lorsque la mémoire est insuffisante :
CIM_ERR_LOW_ON_MEMORY |
Solution : pour réinitialiser le référentiel CIM Object Manager, procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Arrêtez le CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem stop |
Supprimez le répertoire d'enregistrement JavaSpacesTM.
# /bin/rm -rf /var/sadm/wbem/log |
Redémarrez le CIM Object Manager.
# /etc/init.d/init.wbem start |
Lorsque vous remettez le réferentiel CIM Object Manager à zéro, vous perdez toutes les définitions de propriété présentes dans la zone de stockage de votre machine. Vous devez recompiler les fichiers MOF contenant ces définitions à l'aide de la commande mofcomp. Exemple :
# /usr/sadm/bin/mofcomp -u root -p mot_de_passe_superutilisateur votre_fichier_mof |
Si vous possédez un système de fichiers racine miroir Solaris Volume Manager dans lequel le système de fichiers ne démarre pas sur le cylindre 0, aucun des sous-miroirs que vous attachez ne doit lui non plus démarrer sur le cylindre 0.
Si vous essayez d'attacher un sous-miroir démarrant sur le cylindre 0 à un miroir dans lequel le sous-miroir d'origine ne démarre pas sur le cylindre 0, vous verrez apparaître le message suivant :
can't attach labeled submirror to an unlabeled mirror |
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Assurez-vous que le système de fichiers racine et le volume destiné à l'autre sous-miroir démarrent bien sur le cylindre 0.
Assurez-vous que le système de fichiers racine et le volume destiné à l'autre sous-miroir ne démarrent pas sur le cylindre 0.
Par défaut, la procédure d'installation de JumpStart lance /swap sur le cylindre 0 et le système de fichiers racine à un autre emplacement sur le disque. La pratique commune en matière d'administration de système consiste à démarrer la tranche 0 sur le cylindre 0. Le fait de répliquer une installation JumpStart par défaut avec la racine sur la tranche 0, mais non sur le cylindre 0, vers un disque secondaire typique dont la tranche 0 démarre sur le cylindre 0, provoquera l'affichage d'un message d'erreur lors de la tentative d'attache d'un deuxième sous-miroir.
Si vous utilisez la commande metadetach pour supprimer un sous-miroir d'un miroir, vous risquez de ne pas être en mesure de rattacher le sous-miroir. Ce problème survient lorsque le miroir est redimensionné de manière automatique après avoir détaché le sous-miroir.
Solution : avant de procéder au détachement d'un sous-miroir à l'aide de la commande metadetach, attachez un sous-miroir de taille équivalente au sous-miroir que vous souhaitez détacher.
Si vous extrayez physiquement un disque présentant des partitions logicielles et que vous le remplacez par un nouveau disque, la commande metareplace -e ne parvient pas à gérer les partitions logicielles. Que vous ayez utilisé la commande metarecover ou non, ce problème risque de se manifester avant l'exécution de la commande metareplace -e dans le cadre de l'activation des partitions logicielles.
Solution : recréez les partitions logicielles sur le nouveau disque.
Si les partitions logicielles font partie d'un miroir ou sont de type RAID5, utilisez la commande metareplace sans valider l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicielle par la nouvelle.
# metareplace dx miroir ou RAID5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle |
Risque d'échec de la commande metahs -e si :
Une unité de secours détecte un problème, par exemple une erreur induite, grâce au test metaverify.
Le logiciel Solaris Volume Manager essaie d'activer le disque de secours lorsqu'une erreur apparaît sur un métapériphérique. Le disque de secours est libellé broken.
Le système s'éteint et l'unité défectueuse abrîtant le disque de secours est remplacé par un nouveau disque, situé au même emplacement.
Le système s'initialise et le logiciel Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque de secours.
La commande metahs -e est exécutée pour activer le disque de secours.
Le message suivant s'affiche :
WARNING: md: d0: open error of hotspare (Unavailable) |
Ce problème survient car Solaris Volume Manager ne reconnaît pas le nouveau disque de secours qui a été transféré au même emplacement physique que l'ancien. Solaris Volume Manager continuera à afficher l'ID de périphérique correspondant au disque qui a disparu du système.
Ce problème ne semble survenir ni avec les ensembles de stockage Photon, ni avec ceux qui entraînent un changement d'ID de périphérique lorsqu'un disque est remplacé.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Pour effectuer la mise à jour de l'ID de périphérique du disque de secours dans la base de données d'états de Solaris Volume Manager, procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Entrez la commande ci-dessous pour mettre à jour l'ID de périphérique du disque de secours.
# metadevadm -u nom_périphérique_logique |
Entrez la commande ci-dessous pour rendre le nouveau disque de secours disponible.
# metareplace -e nom_périphérique_logique |
Pour gérer les disques de secours individuels et les ensembles de disques de secours sur le système, procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Entrez la commande ci-dessous pour supprimer l'entrée correspondant à la tranche du disque de secours.
# metahs -d hspnuméro_ensemble_disque_secours nom_périphérique_logique |
Entrez la commande ci-dessous pour créer une nouvelle entrée pour la tranche de disque de secours, au même emplacement et avec l'ID de périphérique correct.
# metahs -a hspnuméro_ensemble_disque_secours nom_périphérique_logique |
Vous ne pouvez pas remplacer un périphérique ayant échoué par un périphérique ayant été configuré à l'aide du logiciel Solaris Volume Manager. Le périphérique de remplacement doit être nouveau pour le logiciel Solaris Volume Manager. Si vous déplacez physiquement un disque d'un emplacement à un autre sur un système Photon, la commande metadevadm risque d'échouer. Ce problème survient lorsque le nom de périphérique logique pour la tranche n'existe plus, mais que son ID pour le disque est toujours présent dans la réplique du métapériphérique. Le message suivant s'affiche :
Unnamed device detected. Please run 'devfsadm && metadevadm -r to resolve. |
Vous pourrez alors accéder au disque, à son nouvel emplacement, mais devrez peut-être utiliser l'ancien nom du périphérique logique pour accéder à la tranche.
Solution : déplacez physiquement le lecteur et remontez-le à son emplacement d'origine.
Si vous supprimez un disque physique du système, le remplacez et utilisez ensuite la commande metarecover -p -d pour écrire les informations spécifiques à la partition logicielle du disque, la commande risque de provoquer un échec d'ouverture. La commande ne met pas à jour l'espace de noms de la base de données du métapériphérique pour que celle-ci reflète la modification intervenue au niveau de l'identification du périphérique. Cela entraîne un échec d'ouverture pour chaque partition logicielle de ce type créée sur le disque. Le message suivant s'affiche :
Open Error |
Solution : créez une partition logicielle sur le nouveau disque au lieu d'exécuter la commande metarecover pour la récupérer.
Si la partition logicielle fait partie d'un miroir ou est de type RAID5, utilisez la commande metareplace sans valider l'option -e pour remplacer l'ancienne partition logicelle par la nouvelle.
# metareplace dx miroir ou RAID5 ancienne_partition_logicielle nouvelle_partition_logicielle |
Xsun risque de se bloquer si vous le lancez sur une machine dépourvue de clavier. Un message d'erreur Segmentation Fault risque d'apparaître sur la console du système. En cas de modification des paramètres coreadm, Xsun risque de provoquer un vidage d'image mémoire.
Solution: pour empêcher Xsun de démarrer, procédez comme suit :
Accédez à la machine sur laquelle le processus Xsun s'est achevé.
Devenez superutilisateur.
Assurez-vous que le fichier /etc/dt/config/Xservers file existe sur votre système.
Si ce fichier n'existe pas, entrez la commande ci-dessous dans une fenêtre de terminal :
# mkdir -p /etc/dt/config ; cp /usr/dt/config/Xservers /etc/dt/config/ |
Modifiez le fichier /etc/dt/config/Xservers en ajoutant # au début de la ligne qui contient l'une des chaînes suivantes :
/usr/openwin/bin/Xsun
/usr/openwin/bin/X
Réinitialisez dtlogin.
# /etc/init.d/dtlogin reset |
Les exécutions ultérieures de Xsun ne requièrent pas la solution indiquée ci-dessus.
Si le DNS est spécifié pour la recherche d'hôtes ou de noeuds IP dans le fichier /etc/nsswitch.conf, alors que votre système exécute des applications multithread, le démon nscd risque de ne plus fonctionner. Ce problème survient suite à une augmentation progressive de la taille du démon nscd, jusqu'à utilisation d'une zone de swap supérieure à 4 Go. En cas d'épuisement de la totalité de la zone de swap, le nscd risque de se bloquer et de nouveaux processus risquent de subir diverses erreurs aléatoires.
Solution : pour éviter ce problème, modifiez les paramètres nscd en procédant comme suit :
Devenez superutilisateur.
Arrêtez le démon nscd.
# /etc/init.d/nscd stop |
Ajoutez ou modifiez les lignes suivantes dans le fichier /etc/nscd.conf.
keep-hot-count hosts 0
keep-hot-count ipnodes 0
Relancez le démon nscd.
# /etc/init.d/nscd start |
En cas de non-exécution de nscd, la même fuite apparaîtra dans n'importe quelle application multithread effectuant des consultations d'hôte.
Le démon du protocole point à point (PPP) de Solaris 4.0 (pppd) risque de quitter si :
le démon pppd est inactif.
les options demand et holdoff pour le démon pppd sont activées.
un paquet arrive pendant la période de suppression.
Si le démon pppd quitte de manière inattendue, un message semblable au suivant est consigné dans le fichier de consignation du système approprié.
date_actuelle nom_hôte pppd[PID]: [ID 702911 daemon.error] unable to set IP to pass: Invalid argument date_actuelle nom_hôte pppd[PID]: [ID 702911 daemon.error] unable to enable IPCP |
Pour de plus amples informations sur les options demand et holdoff du démon pppd, reportez-vous à la page pppd(1M) du manuel.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Si vous n'avez pas besoin que le démon pppd attende avant de tenter de réinitialiser les liens, n'utilisez pas l'option holdoff avec le démon pppd.
Définissez la valeur de l'option holdoff sur 0.
Exécutez le démon pppd depuis un script de boucle semblable au script Bourne shell suivant :
#!/bin/sh while :; do /usr/bin/pppd cua/b lock idle 60 demand nodetach noauth \ 38400 10.0.0.1:10.0.0.2 holdoff 20 done
Si vous configurez plusieurs tunnels entre deux noeuds IP et activez ip_strict_dst_multihoming ou d'autres filtres IP, le paquet risque d'être perdu.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Configurez un tunnel unique entre les deux noeuds IP, puis ajoutez des adresses au tunnel en utilisant la commande ifconfig avec l'option addif.
N'activez pas ip_strict_dst_multihoming sur des tunnels se trouvant entre deux noeuds IP.
Si vous déverrouillez une session CDE verrouillée, tous les justificatifs d'identité Kerberos Version 5 (krb5) mis en cache risquent d'être supprimés et vous risquez de ne plus pouvoir accéder à divers utilitaires du système. Ce problème survient si :
Les services dtsession pour votre système sont configurés de manière à utiliser le module krb5 par défaut dans le fichier /etc/pam.conf.
Vous verrouillez votre session CDE, puis essayez de la déverrouiller.
Si ce problème survient, le message d'erreur suivant s'affiche :
lock screen: PAM-KRB5 (auth): Error verifying TGT with host/nom_hôte: Permission denied in replay cache code |
Solution : ajoutez les entrées dtsession non-pam_krb5 dans le fichier /etc/pam.conf.
dtsession auth requisite pam_authtok_get.so.1 dtsession auth required pam_unix_auth.so.1 |
La présence de ces entrées dans le fichier /etc/pam.conf empêche le module pam_krb5 de s'exécuter par défaut.
Le démon du serveur d'agendas (rpc.cmsd) risque d'être à court de descripteurs. Si ce problème survient, les utilisateurs d'agendas peuvent visualiser leur agenda, mais pas y ajouter de nouveaux rendez-vous. Un message Unknown Error apparaît.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Si ce problème survient, procédez comme suit :
Devenez superutilisateur sur le serveur d'agendas.
Arrêtez le démon du serveur d'agendas.
# pkill rpc.cmsd |
Par défaut, le service rpc.cmsd est activé dans le fichier /etc/inetd.conf et n'a pas besoin d'être redémarré. Si le service rpc.cmsd est désactivé sur le serveur d'agendas, vous devez redémarrer le démon rpc.cmsd après avoir arrêté le processus démon.
Pour éviter ce problème, appliquez le patch 112617-01.
Pour obtenir des patchs pour les versions précédentes de l'environnement d'exploitation Solaris, visitez le site Web de SunSolveSM à l'adresse suivante : http://sunsolve.sun.com.
La fonctionnalité d'exécution automatique du support amovible dans l'environnement de bureau CDE a été temporairement retirée des environnements d'exploitation Solaris à partir de la version 9 pour limiter les problèmes de sécurité éventuels.
Pour utiliser la fonctionnalité d'exécution automatique d'un CD ou de tout autre volume de support amovible, vous devez effectuer l'une des opérations suivantes :
Exécutez le programme volstart depuis le niveau supérieur du système de fichiers du support amovible ;
Suivez les instructions incluses dans le CD pour accéder depuis un point externe au CDE.
Pour obtenir les informations les plus récentes concernant les problèmes et patchs liés à la sécurité, reportez-vous au site Web de SunSolve à l'adresse suivante : http://sunsolve.sun.com. Tous les patchs de sécurité sont disponibles sur le site SunSolve. Il n'est pas nécessaire de disposer d'un contrat de support.
Dans l'environnement d'exploitation Solaris 9, les comptes verrouillés sont traités de la même façon que s'il s'agissait de comptes expirés ou inexistants. Il est donc impossible pour les utilitaires cron, at, et batch de programmer des tâches pour ces comptes.
Solution : pour que les comptes verrouillés puissent accepter des tâches cron, at, ou batch, remplacez le contenu du champ mot de passe de l'un de ces comptes (*LK*) par la chaîne NP (aucun mot de passe).
Si vous essayez de réaliser plusieurs tâches à l'aide du Veritas Volume Manager sur un système exécutant l'environnement d'exploitation Solaris 9, les utilitaires vxddladm addjob ou vxddladm addsupport risquent de procéder à un vidage d'image mémoire.
Solution : procédez comme suit :
Devenez superutilisateur.
Assurez-vous que le fichier /var/ld/ld.config et l'utilitaire /usr/bin/crle existent sur le système.
Entrez les commandes ci-dessous dans une fenêtre de terminal.
# /usr/bin/cp /var/ld/ld.config /var/ld/ld.config.save # /usr/bin/crle -E LD_LIBRARY_PATH=/usr/lib # commande_vxddladm_appropriée # /usr/bin/mv /var/ld/ld.config.save /var/ld/ld.config |
Dans la collection iPlanet Directory ServerTM 5.1, les liens intitulés DocHome et les liens entre différents livres ne fonctionnent pas. Si vous sélectionnez ces liens, votre navigateur affiche un message d'erreur de type "Non trouvé".
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Pour naviguer parmi des documents d'iPlanet Directory Server 5.1 présents sur votre système, reportez-vous à la page consacrée à l'iPlanet Directory Server 5.1 Collection, puis cliquez sur le lien menant vers le document que vous souhaitez visualiser.
Consultez l'iPlanet Directory Server 5.1 Collection sur le site http://docs.sun.com.
Si vous supprimez le module SUNWsdocs et essayez ensuite de supprimer d'autres modules de documentation, la suppression échoue. Ce problème survient lorsque le module SUNWsdocs est installé avec n'importe quelle collection et constitue le point d'entrée du navigateur.
Solution : si vous avez supprimé le module SUNWsdocs, réinstallez-le depuis le support correspondant, puis supprimez les autres modules de documentation.
Dans l'environnement d'exploitation Solaris 9, ainsi que dans d'autres systèmes basés sur UNIX, les documents PDF contenus sur le CD 1 sur 2 de documentation de Solaris 9 ne sont pas accessibles dans les versions localisées européennes suivantes :
de (Allemand)
es (Espagnol)
fr (Français)
it (Italien)
sv (Suédois)
Ce problème est dû à une limitation d'Adobe Acrobat Reader. Pour de plus amples informations concernant ce problème, visitez le site Adobe Technote à l'adresse suivante : http://www.adobe.com:80/support/techdocs/294de.htm.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Que vous travailliez dans un environnement d'exploitation Solaris 9 ou dans un autre système basé sur UNIX, définissez la variable de l'environnement LC_ALL sur C acroread. Exemple : dans le shell C, entrez la commande ci-dessous dans une fenêtre de terminal.
% env LC_ALL=C acroread |
Dans les systèmes qui ne sont pas basés sur UNIX, procédez à une mise à niveau vers Adobe Acrobat Reader 5.0.
Certaines collections de Solaris 9 risquent d'être supprimées de manière intempestive de votre système si :
Vous installez simultanément les CD 1 sur 2 et 2 sur 2 de documentation de Solaris 9 sur votre système.
Vous utilisez ensuite l'utilitaire prodreg ou le programme d'installation du CD de documentation de Solaris 9 pour procéder à la suppression de certains modules de documentation.
Trois collections sont communes aux CD 1 sur 2 et 2 sur 2 de documentation de Solaris 9. Si vous supprimez les modules contenant ces collections depuis l'installation de l'un des deux CD de documentation de Solaris 9, ces modules sont supprimés des deux installations.
Le tableau suivant énumère les modules qui risquent d'être supprimés de manière intempestive.
Tableau 2-1 Modules de documentation de Solaris 9 contenus sur les deux CD de documentation de Solaris 9
Noms des modules HTML |
Noms des modules PDF |
Description de la collection |
---|---|---|
SUNWaadm |
SUNWpaadm |
Solaris 9 System Administrator Collection |
SUNWdev |
SUNWpdev |
Solaris 9 Developer Collection |
SUNWids |
SUNWpids |
iPlanet Directory Server 5.1 Collection |
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Si la procédure de désinstallation a supprimé ces modules de documentation et que vous voulez installer ces modules sur votre système, réinstallez-les depuis le CD 1 sur 2 ou 2 sur 2 de documentation de Solaris 9.
Pour éviter ce problème, utilisez l'utilitaire pkgrm pour supprimer les modules que vous souhaitez éliminer de votre système.
Dans la version localisée en_US.UTF-8, la frappe simultanée des touches AltGraph et E n'entraîne pas l'insertion du caractère Euro.
Solution :il en existe plusieurs ; choisissez l'une d'entre elles.
Enfoncez puis relâchez la touche Compose, enfoncez et relâchez la touche C, et enfoncez et relâchez la touche = (Compose+C+=).
Si votre clavier ne possède pas de touche Compose, appuyez sur la touche Ctrl, puis sur les touches Maj et T (Ctrl-Maj-T).
Appuyez sur la touche Alt tout en maintenant la touche 4 enfoncée (Alt-4).
Pour générer le caractère diacritique dans les versions localisées arabes, entrez le caractère arabe, puis utilisez la combinaison de touches Maj-U.
Le tri ne fonctionne pas correctement dans les versions localisées UTF-8européennes.
Solution : avant d'effectuer un tri dans une version localisée UTF-8 FIGGS, définissez la variable LC_COLLATE sur l'équivalent ISO-1.
# echo $LC_COLLATE > es_ES.UTF-8 # LC_COLLATE=es_ES.IS08859-1 # export LC_COLLATE |
Certaines parties des applications Smarcard et Secure Shell ne sont pas localisées et ne peuvent donc pas être traduites correctement.
Les jeux de codes autres que UTF-8 n'étant pas pris en charge, veillez à utiliser celui-ci lorsque vous entrez des noms distinctifs lors de l'installation. Les opérations d'installation n'entraînent pas la conversion des données du jeu de codes local en jeu de codes UTF-8. Les fichiers LDIF utilisés pour importer des données doivent également utiliser le jeu de codes UTF-8. Les opérations d'importation n'entraînent pas la conversion des données du jeu de codes local en jeu de codes UTF-8.
Le schéma fourni avec iPlanet Directory Server 5.1 diffère de celui spécifié dans le RFC 2256 en ce qui concerne les classes d'objets groupOfNames et groupOfUniquenames. Dans le schéma fourni, les types d'attribut member et uniquemember sont optionnels. Le RFC 2256 spécifie que, pour ces types, au moins une valeur doit être présente dans les classes d'objet respectives.
L'attribut aci est opérationnel. Il n'est pas retourné lors des recherches, excepté si vous le demandez expressément.
A l'heure actuelle, la réplication multi-maître n'est pas prise en charge sur les réseaux étendus.
iPlanet Directory Server 5.1 fournit le plug-in de spécificité d'UID. Par défaut, ce plug-in n'est pas activé. Pour assurer l'unicité des attributs spécifiques, créez une nouvelle instance du plug-in de spécificité d'attribut pour chacun d'entre eux. Pour de plus amples informations sur le plug-in de spécificité d'attribut, reportez-vous à iPlanet Directory Server 5.1 Administrator's Guide.
Le plug-in d'intégrité réferentielle est maintenant désactivé par défaut. Il convient uniquement de l'activer sur une réplique maître dans un environnement de répliques multi-maître pour éviter les boucles de résolution de conflits. Avant d'activer le plug-in d'intégrité réferentielle sur les serveurs traitant les requêtes d'enchaînement, analysez vos besoins en ressources de performance, temps et intégrité. Les contrôles d'intégrité peuvent consommer une quantité considérable de ressources en termes de mémoire et de CPU.
L'attribut nsRoleDN est utilisé pour définir un rôle. Il est recommandé de ne pas l'utiliser pour évaluer la participation d'un rôle dans une entrée utilisateur. Pour évaluer la participation d'un rôle, consultez l'attribut nsrole.
Les index VLV ne fonctionnent pas correctement lorsqu'ils englobent plus d'une base de données.
Si vous lancez la console iPlanet Directory Server 5.1 et créez un nouvel utilisateur ou rôle inactif, il n'est pas désactivé. Les utilisateurs ou rôles ne peuvent pas être créés en tant qu'inactifs sur la console.
Solution : procédez comme suit pour créer un utilisateur ou rôle inactif :
Créez un nouvel utilisateur ou rôle.
Double-cliquez sur cet utilisateur ou ce rôle (ou sélectionnez-le puis cliquez sur Properties (propriétés) dans le menu Object (objet).
Cliquez sur l'onglet Account (compte).
Cliquez sur le bouton Inactivate (désactiver).
Cliquez sur OK.
L'utilisateur ou rôle que vous venez de créer est défini en tant que désactivé.
Si l'utilisateur spécifie un DN contenant un espace, par exemple, o=U.S. Government,C=US lors de l'opération de configuration d'iPlanet Directory Server, le DN obtenu est tronqué et devient Government,C=US. Lors de la configuration, le DN devrait être entré sous la forme suivante : o=U.S.%20Government,C=US.
Solution : pour corriger l'entrée du DN, procédez comme suit :
Dans l'onglet Servers and Applications de la console, sélectionnez l'entrée de répertoire se trouvant en haut du panneau de navigation situé sur la gauche.
Modifiez le suffixe dans le champ User directory subtree.
Cliquez sur OK.
Si vous mettez à jour les informations concernant la politique des mots de passe d'un serveur de répertoires non-maître, ces informations ne sont pas répliquées sur les autres serveurs. Cela inclut le verrouillages des comptes.
Solution : gérez les informations sur la politique de mot de passe manuellement sur chaque serveur.
Si le verrouillage du compte est effectif et si le mot de passe utilisateur est modifié, le verrouillage du compte reste effectif.
Solution : remettez les attributs de verrouillage de accountUnlockTime, passwordRetryCount, et retryCountResetTime à zéro, puis déverrouillez le compte.
Si vous installez iPlanet Directory Server, démarrez la console, initialisez le répertoire contenant un fichier LDIF, puis effectuez une copie de secours du serveur, la console émet un message indiquant que la copie de secours a été effectuée avec succès, alors qu'elle a échoué.
Solution : exécutez les tâches ci-dessous depuis la console, après avoir initialisé la base de données.
Arrêtez le serveur.
Relancez le serveur.
Effectuez une copie de secours.
Si vous utilisez des services d'attribution de noms LDAP et créez des chemins d'accès à l'agent de montage automatique, portant un nom identique excepté au niveau de la casse, cela entraînera l'existence de noms de chemin d'accès non exclusifs. Le serveur de répertoires ne gère pas la création d'entrées lorsque l'attribut d'attribution de nom est défini à l'aide d'une syntaxe sensible à la casse et qu'une entrée portant le même nom, mais avec une casse différente, existe déjà. Exemple : si l'entrée attr=foo,dc=mycompany,dc=com existe, le serveur n'autorisera pas la création de attr=Foo,dc=mycompany,dc=com. Ce problème possède un effet secondaire : lorsque vous utilisez des services d'attribution de noms LDAP, les noms des chemins d'accès à l'agent de montage automatique doivent être uniques, indépendamment de leur casse.
Il est impossible d'avoir des chemins d'accès /home/foo et /home/Foo.
Solution : aucune.
Le serveur se bloque s'il est arrêté pendant des opérations d'exportation, de copie de secours, de restauration ou de création d'index.
Solution : n'arrêtez pas le serveur lorsque des opérations de ce genre sont en cours.
Si vous tentez de configurer une réplication sur SSL à l'aide d'une authentification basée sur un certificat, alors que le certificat du fournisseur est autosigné ou que le certificat du fournisseur ne peut se comporter que comme un certificat de serveur SSL incapable de jouer le rôle du client lors de l'établissement d'une connexion SSL, la réplication ne fonctionne pas.
Solution : aucune.