La version actuelle de Solaris 9 est la version Solaris 9 9/04.
Ce chapitre présente un résumé des nouvelles fonctions et fonctions optimisées des versions Solaris suivantes :
Pour obtenir un résumé des améliorations précédemment apportées à la version Solaris 9 (intialement distribuée en mai 2002), reportez-vous au Chapitre 2, Fonctions de la version Solaris 9.
Ce chapitre inclut deux informations importantes. Sun Microsystems annonce la sortie de nouveaux serveurs et de nouvelles stations de travail AMD Opteron. Reportez-vous aux rubriques Nouveaux serveurs et nouvelles stations de travail AMD Opteron et Association de Sun Java Enterprise System et Solaris. Sun Java Enterprise System inclut les produits Sun Open Net Environment (Sun ONE).
Toutes les fonctions de la version Solaris 9 9/04 s'appliquent à la fois aux systèmes UltraSPARC et x86, sauf indication contraire. Dans ce document, le terme x86 fait référence à la gamme de microprocesseurs 32 bits d'Intel et aux microprocesseurs AMD 64 et 32 bits compatibles. Comme le montre la liste de compatibilité du matériel Solaris, les systèmes x86 tournant avec le logiciel Solaris sont de plus en plus nombreux. Reportez-vous au site http://www.sun.com/bigadmin/hcl. Ce document présente toutes les différences d'implémentation en fonction des divers types de plates-formes.
Cette rubrique présente les nouvelles fonctions décrites dans le présent chapitre. Cette liste de référence est triée par version. Vous trouverez la description de ces fonctions dans les autres rubriques de ce chapitre.
La version Solaris 9 9/04 comprend les nouvelles fonctions suivantes :
Nouveaux serveurs et nouvelles stations de travail AMD Opteron ;
Prise en charge de jeux de disques multipropriétaires avec Solaris Volume Manager pour Sun Cluster ;
Prise en charge étendue des jeux de disques dans Solaris Volume Manager ;
La description des problèmes de la rubrique Fonctions des périphériques USB 2.0 et problèmes de compatibilité a été révisée dans la version Solaris 9 9/04. Vous pouvez également consulter la rubrique Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 9/04.
La version Solaris 9 4/04 comporte les nouvelles fonctions suivantes :
Création descendante de volumes dans Solaris Volume Manager ;
Conversions de codes pour la prise en charge de noms de domaines internationaux ;
Création de volumes RAID-1 (miroirs) avec JumpStart personnalisé ;
x86 : spécification des propriétés d'initialisation à l'aide de la commande add_install_client ;
Les descriptions des fonctions USB suivantes sont nouvelles ou ont été révisées dans la version Solaris 9 4/04 :
La version Solaris 9 12/03 comprend les nouvelles fonctions suivantes :
Méthode d'entrée basée sur la translittération commune pour toutes les langues indiennes ;
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 12/03 ;
Méthode d'installation et initialisation via connexion WAN ;
Mémoire de clés IKE (Internet Key Exchange) sur la carte Sun Crypto Accelerator 4000 ;
Contrôle de la mémoire physique à l'aide du démon d'allocation restrictive.
La rubrique Intégration de Sun ONE Application Server a été révisée dans cette version.
La version Solaris 9 8/03 comprend les nouvelles fonctions suivantes :
Les fonctions suivantes ont été révisées dans la version Solaris 9 8/03 :
La version Solaris 9 4/03 comprend les nouvelles fonctions suivantes :
Prise en charge des volumes de plusieurs téra-octets avec des labels de disques EFI ;
Prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets dans Solaris Volume Manager ;
Prise en charge de RCM (Reconfiguration Coordination Manager) par Solaris Volume Manager ;
Prise en charge de la méthode d'entrée pour les langues indiennes ;
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 4/03 ;
Améliorations apportées à l'interface de ligne de commande de Solaris Product Registry ;
Nouveaux packages de freewares : libxml2 2.4.16 et libxslt 1.0.19.
Les fonctions suivantes ont été révisées dans la version Solaris 9 4/03 :
La version Solaris 9 12/02 comprend les nouvelles fonctions suivantes :
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 12/02 ;
Prise en charge des profils de la version 2 du protocole LDAP ;
Hébergement de plusieurs sites Web sur une même machine Solaris ;
Améliorations apportées au PAM (module d'authentification enfichable) ;
Améliorations apportées aux performances de la consignation UFS ;
La version Solaris 9 9/02 comprend les nouvelles fonctions suivantes :
Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 9/02 ;
SPARC : prise en charge de la DISM (Dynamic Intimate Shared Memory) en grande page.
Sun Microsystems présente ses nouveaux modèles de serveur et de station de travail AMD Opteron :
Sun FireTM V20z est un serveur d'entreprise doté de deux processeurs (2P) AMD Opteron et monté dans un rack unique (1U). Le serveur Sun Fire V40z est également doté de processeurs AMD Opteron, au nombre de quatre (4P), mais il est monté dans trois racks différents (3U).
Le processeur AMD Opteron implémente l'architecture x86 64 bits, qui offre de meilleures performances en termes de capacité de mémoire et de bande passante.
Ces serveurs sont dotés des éléments suivants : un processeur de service (SP, Service Processor) intégré, une mémoire flash, une mémoire vive (RAM), une interface Ethernet indépendante et un logiciel de gestion de serveur. Équipés d'outils de gestion de serveur, ces serveurs permettent un meilleur contrôle et un coût total de possession minimum. Vous pouvez utiliser l'interface de ligne de commande (CLI, Command-Line Interface), l'intégration SNMP avec des structures tierces ou l'utilitaire IPMI pour configurer et gérer la plate-forme avec le processeur de service. L'utilisation d'un processeur de service dédié garantit l'indépendance du système d'exploitation et une disponibilité maximum en matière de gestion de serveur
Pour de plus amples informations, visitez les sites Web suivants, relatifs à ces produits : http://www.sun.com/v20z/ et http://www.sun.com/v40z/.
Ces sites Web contiennent également des liens vers une documentation détaillée liée à chacun de ces nouveaux produits.
Les stations de travail Sun Java W1100z et Sun Java W2100z sont basées sur des processeurs AMD Opteron. Elles sont équipées d'un ou deux processeurs AMD 64 Opteron, préinstallés sur les réceptacles du socket 940 AMD intégré. Un maximum de 16 Go de SDRAM DDR double canal ECC 400 est disponible pour le modèle à deux processeurs (quatre DIMM par processeur). La capacité de stockage se compose d'un ou deux disques durs internes PATA-100 de 80 Go ou jusqu'à cinq disques dur Ultra 320 SCSI de 73 Go.
Les stations de travail sont dotées d'un connecteur AGP-8x/Pro pour les cartes graphiques évoluées, d'un connecteur 133 MHz et de quatre connecteurs PCI-X 100 MHz. Elles possèdent également un port Gigabit Ethernet, deux ports IEEE 1394, cinq ports USB 2.0 et les interfaces audio standard.
Pour de plus amples informations, visitez les sites Web suivants, relatifs à ces produits : http://www.sun.com/desktop/workstation/w2100z/index.xml et http://www.sun.com/desktop/workstation/w1100z/index.xml.
Ces sites Web contiennent également des liens vers une documentation détaillée liée à chacun de ces nouveaux produits.
Dans la version Solaris 9 9/04, UFS est activé par défaut. Les améliorations ci-après ont été apportées aux systèmes de fichiers dans les versions Solaris 9 précédentes.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/04.
La consignation est maintenant activée par défaut pour tous les systèmes de fichiers UFS sauf dans les conditions suivantes :
Lorsque la consignation est explicitement désactivée.
Si l'espace du système de fichiers est insuffisant pour le journal.
Dans les précédentes versions de Solaris, il fallait activer la consignation UFS manuellement.
La consignation UFS rassemble en une transaction toutes les modifications des métadonnées composant une opération UFS complète. Les ensembles de transactions sont enregistrés dans un journal sur le disque puis appliqués aux métadonnées du système de fichiers UFS actuel.
La consignation UFS présente deux avantages :
Un système de fichiers déjà consistant , du fait de l'existence du journal de transaction, peut vous éviter d'avoir à exécuter la commande fsck après une panne système ou un arrêt anormal.
Née avec la version Solaris 9 12/02, la consignation UFS permet d'améliorer ou de dépasser le niveau de performance des systèmes de fichiers sans consignation. Cette amélioration est rendue possible par le fait qu'un système de fichiers avec consignation permet de convertir plusieurs mises à jour des mêmes données en une seule mise à jour. Ceci permet de limiter le nombre d'opérations de disques nécessaires.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la rubrique UFS Logging Is Enabled by Default du System Administration Guide: Devices and File Systems. Consultez aussi la page de manuel mount_ufs(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Les améliorations indiquées ci-dessous ont optimisé les performances du client NFS.
Les restrictions concernant les tailles des transferts par câble ont été modérées. Désormais, la taille du transfert dépend des possibilités du transport sous-jacent. Par exemple, la limite du transfert NFS pour le protocole UDP est toujours de 32 Ko. Cependant, TCP étant un protocole de transmission ne possédant pas les limites de datagramme UDP, les tailles maximales de transfert via TCP ont été augmentées à 1 Mo.
Auparavant, toutes les requêtes d'écriture étaient numérotées par le client NFS et le serveur NFS. Le client NFS a été modifié pour permettre à une application d'émettre des écritures simultanées, ainsi que des lectures et des écritures simultanées, vers un fichier unique. Vous pouvez activer cette fonctionnalité sur le client à l'aide de l'option forcedirectio mount. Lorsque vous utilisez cette option, vous activez cette fonctionnalité pour tous les fichiers situés dans le système de fichiers monté. Vous pouvez également l'activer sur un seul fichier du client à l'aide de l'interface directio(). Vous remarquerez que les écritures vers les fichiers sont numérotées si cette fonctionnalité n'est pas activée. D'autre part, si des écritures simultanées ou des lectures et écritures simultanées se produisent, alors la sémantique POSIX n'est plus prise en charge pour ce fichier.
Le client NFS n'utilise plus un nombre excessif de ports UDP. Auparavant, les transferts NFS via UDP utilisaient un port UDP séparé pour chaque requête à traiter. Désormais, par défaut, le client NFS utilise seulement un port UDP réservé. Cependant, cette prise en charge est configurable. Si l'utilisation simultanée de davantage de ports augmente les performances du système par une capacité d'évolution accrue, alors le système peut être configuré pour utiliser plusieurs ports. Cette possibilité reflète la prise en charge NFS via TCP, dotée de ce type de configurabilité depuis qu'elle existe.
La prise en charge de systèmes de fichiers multitéra-octets n'est effective que sur les systèmes possédant un noyau de 64 bits. Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Cette version de Solaris fournit la prise en charge des systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets sur des systèmes fonctionnant avec un noyau Solaris 64 bits. Auparavant, les systèmes de fichiers UFS étaient limités à environ 1 téra-octet (To) sur les systèmes 32 et 64 bits. Toutes les commandes et tous les utilitaires des systèmes de fichiers UFS ont été mis à jour pour prendre en charge les systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets.
Vous pouvez d'abord créer un système de fichiers UFS dont la taille est inférieure à 1 To. Grâce à la commande newfs -T, vous pouvez définir la taille du système de fichiers de façon à ce qu'elle atteigne plusieurs téra-octets. Cette commande définit l'I-noeud et la densité du fragment pour qu'ils s'adaptent de manière appropriée à un système de fichiers de plusieurs téra-octets.
La prise en charge d'un système de fichiers UFS de plusieurs téra-octets requiert la disponibilité de LUN de plusieurs téra-octets, sous la forme de volumes Solaris Volume Manager ou Veritas VxVM ou de disques physiques de plus d'un To.
Les fonctions des systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets sont les suivantes :
création d'un système de fichiers UFS d'une taille maximale de 16 To ;
création d'un système de fichiers d'une taille inférieure à 16 To, pouvant ensuite être augmentée jusqu'à un maximum de 16 To ;
création de systèmes de fichiers de plusieurs téra-octets sur des disques physiques, des volumes logiques Solaris Volume Manager et VxVM Veritas ;
activation par défaut de la journalisation UFS sur des systèmes de fichiers de plus d'un téra-octet. Ces systèmes de fichiers bénéficient de l'amélioration des performances de l'activation de la journalisation UFS, et également de la disponibilité de la journalisation car la commande fsck peut ne pas être exécutée lorsque la journalisation est activée.
Vous trouverez ci-dessous les limites des systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets.
Vous ne pouvez pas monter de système de fichiers dont la taille est supérieure à 1 To sur un système fonctionnant avec un noyau Solaris 32 bits.
Vous ne pouvez pas démarrer à partir d'un système de fichiers dont la taille est supérieure à 1 To sur un système fonctionnant avec un noyau Solaris 64 bits. Ce qui signifie que vous ne pouvez pas installer de système de fichiers root (/) sur un système de fichiers de plusieurs téra-octets.
Les fichiers individuels de plus d'un téra-octet ne sont pas pris en charge.
Le nombre maximum de fichiers par téra-octet dans un système de fichiers UFS est d'un million. Cette limite vise à réduire la durée de la vérification du système de fichiers à l'aide de la commande fsck.
Le quota maximum à définir sur un système de fichiers UFS de plusieurs téra-octets est de 2 To par blocs de 1024 octets.
L'utilisation de la commande fssnap pour créer un instantané d'un système de fichiers UFS de plusieurs téra-octets n'est actuellement pas prise en charge.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la rubrique What’s New in File Systems in the Solaris 9 Update Releases? du System Administration Guide: Devices and File Systems.
La prise en charge de disques multitéra-octets n'est disponible que pour les systèmes possédant un noyau de 64 bits. Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Cette version de Solaris assure une prise en charge des disques d'une capacité supérieure à 1 téraoctet (To) sur des systèmes tournant sur un noyau Solaris 64 bits.
Le label EFI (Extensible Firmware Interface) assure la prise en charge des volumes de disques physiques et logiques. Les systèmes de fichiers UFS sont compatibles avec les labels de disques EFI et permettent de créer un système de fichiers UFS d'une capacité supérieure à 1 To. Cette version inclut des utilitaires de disque mis à jour permettant de gérer des disques d'une capacité supérieure à 1 To.
Par rapport aux labels VTOC, les labels EFI présentent les avantages suivants :
Les disques d'une capacité supérieure à 1 To sont pris en charge.
Les tranches 0-6 sont fournies (la tranche 2 est une tranche normale).
Les partitions (ou tranches) ne peuvent ni chevaucher le label principal ou de sauvegarde, ni se chevaucher entre elles. La taille des labels EFI étant habituellement de 34 secteurs, les partitions débutent au secteur 34 et aucune ne peut donc débuter au secteur zéro (0).
Aucune information concernant le cylindre, la tête ou le secteur n'est stockée dans le label. La taille est exprimée en blocs.
Les informations qui étaient stockées dans la zone des cylindres alternés (deux derniers cylindres du disque) se trouvent à présent sur la tranche 8.
Pour de plus amples informations sur les labels de disques EFI, reportez-vous au document System Administration Guide: Basic Administration. Ce guide contient d'importantes informations et restrictions en ce qui concerne l'utilisation du label de disque EFI avec des logiciels existants.
Dans cette version de Solaris, le logiciel Solaris Volume Manager peut également être utilisé pour gérer des disques d'une capacité supérieure à 1 To. Reportez-vous à la rubrique Prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets dans Solaris Volume Manager.
La version Solaris 9 9/04 apporte des améliorations à Solaris Volume Manager. Les fonctions d'administration système des versions Solaris 9 antérieures sont les suivantes :
Création descendante de volumes dans Solaris Volume Manager ;
Prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets dans Solaris Volume Manager ;
Prise en charge de RCM (Reconfiguration Coordination Manager) par Solaris Volume Manager
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/04.
Solaris Volume Manager pour Sun Cluster intègre des fonctions de gestion de volumes fonctionnant spécifiquement avec Sun Cluster et avec des applications telles quOracle9 i Real Application Clusters. Solaris Volume Manager pour Sun Cluster permet de créer et de gérer une capacité de stockage regroupée en plusieurs jeux de disques multipropriétaires. Un jeu de disques multipropriétaire permet à plusieurs noeuds de partager la propriété d'un jeu de disques. Les jeux de disques multipropriétaires fournissent une certaine évolutivité, une instance de l'application tournant sur chaque noeud du cluster. Chaque instance de l'application accédant directement au stockage partagé, les jeux de disques multipropriétaires améliorent également les performances de l'application.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Solaris Volume Manager Administration Guide. Pour obtenir des informations sur Sun Cluster, consultez le site http://www.sun.com/software/cluster/
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/04.
Solaris Volume Manager a étendu la fonctionnalité des ID de périphériques. En plus de suivre les mouvements des ensembles locaux, Solaris Volume Manager suit maintenant automatiquement les mouvements de disques au sein des jeux de disques nommés. Cette prise en charge d'ID de périphériques permet aussi à deux hôtes de partager sans concurrence un accès aux jeux de disques, même s'ils ont des vues différentes du stockage brut accessible.
Solaris Volume Manager a également été amélioré avec la commande metaimport. Cette commande utilise la prise en charge étendue d'ID de périphériques pour vous permettre d'importer des jeux de disques, même si ces derniers ont été créés sur des systèmes différents.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel metaimport(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04.
La fonction de création descendante de volumes de Solaris Volume Manager intègre une nouvelle commande permettant aux administrateurs système de créer rapidement et facilement des configurations Solaris Volume Manager basées sur la qualité de service. La commande metassist gère les détails et fournit des volumes logiques fonctionnels, vous évitant ainsi de partitionner des disques, de créer des bandes et d'assembler des miroirs manuellement. Les volumes sont basés sur des critères spécifiés sur la ligne de commande ou dans des fichiers de configuration référencés.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Solaris Volume Manager Administration Guide.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Cette version Solaris vous permet de télécharger en toute sécurité les packages et patchs de Solaris incluant une signature numérique à l'aide des commandes pkgadd et patchadd mises à jour. Un package ou un patch comportant une signature numérique valide garantit qu'il n'a pas été modifié après l'application de la signature.
Dans les versions précédentes de Solaris, vous ne pouviez ajouter de patchs signés à votre système qu'à l'aide des outils de gestion de patchs de Solaris avec PatchPro 2.1.
Les fonctions de gestion de logiciels supplémentaires de cette version Solaris comprennent les fonctionnalités suivantes :
Vous pouvez ajouter une signature numérique à un package à l'aide de la commande pkgtrans mise à jour. Pour de plus amples informations sur la création d'un package signé, consultez le document Application Packaging Developer’s Guide.
Vous pouvez télécharger un package ou un patch à partir d'un serveur HTTP ou HTTPS.
La seule différence entre un package signé et un package non signé est la signature. Le package peut être installé, interrogé ou supprimé à l'aide des outils de conditionnement Solaris existants. Un package signé est également compatible binaire avec un package non signé.
Avant de pouvoir ajouter à votre système un package ou un patch comportant une signature numérique, vous devez configurer un fichier keystore avec des certificats de confiance utilisés pour identifier la validité de la signature numérique du package ou du patch.
Pour de plus amples informations sur la configuration du keystore du package et l'ajout de packages signés ou de patchs à votre système, reportez-vous à la rubrique Adding and Removing Signed Packages (Task Map) du System Administration Guide: Basic Administration.
Pour obtenir des information sur l'initialisation et l'extraction d'images Solaris à partir d'un serveur HTTP ou HTTPS, consultez la rubrique Méthode d'installation et initialisation via connexion WAN.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Le service de transition de NIS à LDAP peut être utilisé en vue d'effectuer une transition réseau, permettant de passer de l'utilisation de NIS à celle de LDAP en tant que premier service d'attribution de noms. Grâce à ce service de transition, les administrateurs peuvent utiliser le Sun ONE Directory Server intégré, fonctionnant avec les clients du service d'attribution de noms LDAP.
Pour de plus amples informations, consultez le document System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Pour cette version de Solaris, la version de BIND est 8.3.3. Les clients DNS peuvent désormais se connecter aux serveurs DNS IPv6 à l'aide du transport IPv6.
La prise en charge de volumes multitéra-octets n'est disponible que pour les systèmes possédant un noyau de 64 bits. Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Des améliorations ont été apportées à Solaris Volume Manager pour la prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets. Il offre ainsi la possibilité de créer, gérer et supprimer de grands volumes de partition (>1To) RAID 0 (bande), RAID 1 (miroir) et RAID 5, et des volumes de partition logicielle. La prise en charge de grands volumes permet également à Solaris Volume Manager de construire des volumes sur des LUN (numéros d'unités logiques) étiquetés EFI ou de grande taille.
La prise en charge de grands volumes assurée par Solaris Volume Manager ne s'applique pas aux systèmes tournant sur un noyau Solaris 32 bits. Par exemple, les systèmes exécutant le logiciel Solaris (Édition pour plate-forme x86) ou le logiciel Solaris avec le noyau SPARC 32 bits ne peuvent pas utiliser de prise en charge de volumes importants.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Solaris Volume Manager Administration Guide.
Consultez également la rubrique Prise en charge des volumes de plusieurs téra-octets avec des labels de disques EFI.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Solaris Volume Manager peut désormais répondre de façon appropriée à des requêtes de reconfiguration dynamique (DR) grâce à la prise en charge de RCM. Cet ajout assure le blocage de la suppression de périphériques sous le contrôle du gestionnaire de volumes Solaris, accompagné d'un avertissement adéquat. Ce blocage reste effectif tant que les périphériques sont en cours d'utilisation. Cet avertissement permet d'éviter que les administrateurs système suppriment accidentellement des volumes actifs dans un système configuré DR.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Solaris Volume Manager Administration Guide.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Vous pouvez utiliser les options de mise à jour de l'outil des patchs de Solaris Management Console pour analyser, télécharger et installer les patchs recommandés à partir du site Web de SunSolve OnlineSM. Sinon vous pouvez également utiliser la commande smpatch update.
Cette option de mise à jour Solaris n'était auparavant disponible que sur les systèmes tournant sous Solaris 2.6, Solaris 7 ou Solaris 8.
Vous devez installer le logiciel PatchPro 2.1 sur votre système avant d'exécuter la fonction de mise à jour. Vous pouvez télécharger les packages PatchPro 2.1 à partir du site http://www.sun.com/patchpro. Suivez ensuite les instructions pour installer le logiciel sur votre système.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel smpatch(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Il n'est plus nécessaire d'utiliser une adresse IP de test dédiée pour détecter une défaillance sur des groupes de multiacheminement sur réseau IP à adaptateur unique. Parfois, le basculement est impossible car il n'existe qu'une seule carte d'interface réseau (NIC) dans le groupe de multiacheminement sur réseau IP. Dans ce cas, vous pouvez désormais combiner l'adresse de test et celle des données. Le démon in.mpathd utilise une adresse de données pour détecter les pannes lorsqu'aucune adresse test n'est spécifiée.
Pour de plus amples informations sur le multiacheminement sur IP sous Solaris, reportez-vous au document IP Network Multipathing Administration Guide.
La version Solaris 9 9/04 intègre une prise en charge étendue des imprimantes, de nouvelles fonctions pour la souris et une meilleure compatibilité avec les périphériques USB 1.1. Les fonctions de gestion de périphériques issues des versions antérieures incluent les éléments suivants :
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/04.
Des modifications permettant la prise en charge d'un vaste ensemble d'imprimantes ont été apportées dans cette version. Cette prise en charge peut se faire grâce à l'utilisation de logiciels de transformation supplémentaires, du processeur RIP (raster image processor), et de fichiers de description d'imprimante PostScriptTM (PPD, PostScriptTM Printer Description).
Ces ajouts fournissent des fonctions permettant d'utiliser des imprimantes telles que Lexmark Optra E312 et Epson Stylus Photo 1280 en utilisant des fichiers PPD.
Cette fonction est utile dans les environnements où les imprimantes ne possèdent pas de capacités de traitement PostScript intégrées.
En outre, les outils d'impression Solaris existants ont été modifiés pour inclure une nouvelle option -n à la commande lpadmin. Cette option permet de désigner un fichier PPD à utiliser lors de la création d'une nouvelle file d'impression ou de la modification d'une file d'impression existante.
En outre, les écrans de Solaris Print Manager ont été mis à jour pour vous permettre de choisir un fichier PDD pour la file d'impression en sélectionnant make, model et driver. Cette fonction diffère sensiblement des versions précédentes du logiciel Solaris. Dans les versions précédentes, la liste des types d'imprimantes fournies et les informations concernant la prise en charge de texte PostScript ou ASCII text étaient limitées.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel lpadmin(1M) et au document System Administration Guide: Advanced Administration.
La version Solaris 9 9/04 prend en charge les fonctions de souris suivantes :
Défilement via la roulette de la souris disponible sur les souris USB ou PS/2
Cette prise en charge signifie qu'en faisant rouler une souris USB ou PS/2, on obtient un “défilement” dans l'application ou dans la fenêtre d'action de la souris.
Les applications StarOfficeTM, MozillaTM et GNOME prennent en charge le défilement via la roulette de la souris. Toutefois, d'autres applications ne prennent pas en charge cette fonction.
Prise en charge de plus de 3 boutons sur les souris USB et PS/2.
dans la version Solaris 9 9/04 uniquement, les périphériques USB 1.1 sont branchés sur des hubs USB 2.0 connectés à des ports 2.0. [Cette configuration n'était pas disponible sur les versions précédentes.]
La description de cette fonction a été ajoutée dans la version Solaris 9 4/04 et s'applique tant aux plateformes SPARC que x86.
Les périphériques USB 2.0 ont été définis en tant que périphériques à haut débit suivant la spécification USB 2.0, que vous pouvez consulter à l'adresse http://www.usb.org.
Voici certains périphériques USB pris en charge par des systèmes basés sur SPARC et sur x86 dans cette version de Solaris :
périphériques de stockage de masse – CD réenregistrables, disques durs, DVD, appareils photos numériques, lecteurs Zip, disquettes et lecteurs de bandes ;
claviers, souris, haut-parleurs, et microphones ;
périphériques audio.
Pour obtenir une liste complète des périphériques USB ayant été vérifiés sur cette version de Solaris, allez à l'adresse :
http://www.sun.com/io_technologies/usb.html
D'autres périphériques de stockage sont susceptibles de fonctionner si l'on modifie le fichier scsa2usb.conf. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel scsa2usb(7D).
La prise en charge des périphériques USB 2.0 Solaris comprend les fonctions suivantes :
Augmentation de la vitesse de bus de 12 Mbit/s à 480 Mbit/s. Cette augmentation signifie que les périphériques prenant en charge la spécification USB 2.0 peuvent être exécutés bien plus rapidement que leurs homologues USB 1.1 lorsqu'ils sont connectés à un port USB 2.0.
Un port USB 2.0 est défini de la manière suivante :
un port sur une carte PCI USB 2.0 ;
un port sur un concentrateur USB 2.0 connecté à un port USB 2.0.
USB 2.0 est compatible avec Solaris sur toutes les plates-formes Sun basées sur PCI. Une carte PCI USB 2.0 munie d'une puce NEC est nécessaire sur les plates-formes SPARC et recommandée sur les plates-formes x86 pour fournir des ports USB 2.0 . Une liste des cartes PCI USB 2.0 vérifiées pour la version de Solaris est disponible à l'adresse : http://www.sun.com/io_technologies/usb.html.
Les périphériques USB 1.1 fonctionnent de la même manière que par le passé, même si vous faites cohabiter des périphériques USB 1.1 et USB 2.0 sur le même système.
Bien que les périphériques USB 2.0 fonctionnent sur un port USB 1.x, leurs performances sont considérablement optimisées lorsqu'ils sont connectés à un port USB 2.0.
Pour de plus amples informations sur la prise en charge des périphériques USB 2.0, reportez-vous aux pages de manuel ehci(7D) et usba(7D).
Pour de plus amples informations sur les câbles USB et les périphériques actionnés par bus, reportez-vous à la rubrique About USB in the Solaris Environment du System Administration Guide: Devices and File Systems.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04. Elle s'applique aux plates-formes x86 et SPARC.
La structure USBA, disponible dans la version Solaris 9 12/03, a été développée à l'origine pour des périphériques USB 1.1. Une nouvelle structure, appelée USBA 1.0, a été créée pour répondre aux exigences des périphériques USB 2.0. Elle fonctionne également sur des périphériques USB 1.1. Cette version de Solaris intègre les deux structures comme une structure double. Celle-ci a pour but de permettre une transition plus souple de la structure d'origine à la nouvelle. La structure USBA originale actionne des périphériques connectés aux ports USB 1.1 d'un système, tandis que la nouvelle structure USBA 1.0 actionne des périphériques connectés aux ports USB 2.0.
Tous les ports de la carte mère Sun sont des ports USB 1.1, tandis que la plupart des ports de cartes PCI prennent en charge l'USB 2.0.
Pour de plus amples informations sur les structures de double USB, consultez le site http://www.sun.com/desktop/whitepapers.html
Pour de plus amples informations sur les problèmes de compatibilité des structures de double USB, reportez-vous à la rubrique What’s New in USB Devices? du System Administration Guide: Devices and File Systems.
La version Solaris 9 4/04 inclut les fonctions USB 2.0 suivantes, disponibles tant sur les plateformes x86 que SPARC :
Amélioration des performances – meilleur débit des données pour les périphériques reliés à des contrôleurs USB 2.0, jusqu'à 40 fois plus rapide que des périphériques USB 1.1.
Vous pouvez profiter en particulier des protocoles USB à haut débit lorsque vous accédez à des périphériques de stockage de masse à haut débit, tels que des DVD et disques durs.
Compatibilité – compatibilité ascendante avec les versions 1.0 et 1.1 des périphériques et des pilotes de manière à pouvoir utiliser les mêmes câbles, connecteurs et interfaces logicielles.
Pour une description des périphériques USB et de la terminologie correspondante, reportez-vous à la rubrique Overview of USB Devices du System Administration Guide: Devices and File Systems.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04 et s'applique aussi bien aux plates-formes x86 que SPARC.
Le tableau suivant décrit la prise en charge Solaris des périphériques USB 1.1 et USB 2.0.
|
Versions de Solaris 8 HW* |
Versions de Solaris 9 |
Version Solaris 9 4/04 |
---|---|---|---|
USB 1.1 |
SPARC et x86 |
SPARC et x86 |
SPARC et x86 |
USB 2.0 |
SPARC |
N/A |
SPARC et x86 |
Solaris 8 HW ne décrit pas les versions de Solaris 8, mais les versions matérielles (HW) de Solaris 8, en commençant par la version Solaris 8 HW 5/03. Le numéro du patch de la structure de double USB disponible dans la version Solaris 8 HW 5/03 est 109896.
Pour de plus amples informations sur la prise en charge USB par le matériel Sun, reportez-vous au Chapitre 7, Using USB Devices (Overview) du System Administration Guide: Devices and File Systems.
La description de cette fonction a été révisée dans la version Solaris 9 4/04. Ces fonctions sont maintenant disponibles sur les plates-formes x86 et SPARC.
Tous les périphériques de stockage USB sont désormais accessibles comme périphériques de médias amovibles à travers la gestion de volume. Cette modification présente les avantages suivants :
Les périphériques de stockage USB avec systèmes de fichiers standard MS-DOS ou Windows (FAT) sont désormais pris en charge.
Vous pouvez utiliser la commande conviviale rmformat au lieu de format pour formater et partitionner tous les périphériques de stockage USB. Si vous avez besoin de la fonctionnalité de la commande format, utilisez la commande format -e.
Vous pouvez utiliser la commande fdisk pour effectuer un partitionnement de style fdisk.
Les utilisateurs classiques peuvent maintenant accéder aux périphériques de stockage USB, puisque la commande mount nécessitant des autorisations de superutilisateur n'est plus requise. Le périphérique est automatiquement monté par vold et disponible dans le répertoire /rmdisk. Si un nouveau périphérique est connecté pendant que le système est arrêté, initialisez la reconfiguration à l'aide de la commande boot -r afin que vold reconnaisse le périphérique. Remarquez que vold ne reconnaît pas automatiquement un périphérique enfiché à chaud. Si un nouveau périphérique est connecté pendant que le système est en cours de fonctionnement, relancez vold. Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages de manuel vold(1M) et scsa2usb(7D).
Les disques comportant des systèmes de fichiers FAT peuvent être montés et sont accessibles. Exemple :
mount -F pcfs /dev/dsk/c2t0d0s0:c /mnt |
La gestion de l'énergie est désormais disponible pour tous les périphériques de stockage USB, à l'exception de ceux prenant en charge les pages LOG SENSE. Les périphériques comportant des pages LOG SENSE sont généralement des lecteurs SCSI connectés via un périphérique pont USB vers SCSI. Dans les versions précédentes de Solaris, la gestion de l'énergie n'était pas disponible pour certains périphériques de stockage car ils n'étaient pas reconnus comme médias amovibles.
Les applications peuvent fonctionner différemment avec des périphériques de stockage de masse USB. Si vous utilisez des applications avec des périphériques de stockage USB, prenez note des problèmes suivants :
Les applications risquent d'effectuer des calculs erronés quant à la taille du média car seuls les périphériques de petite taille tels que les disquettes et lecteurs zip étaient amovibles auparavant.
Les requêtes des applications pour éjecter le média des périphériques sur lesquels cette suppression était impossible, tels qu'un disque dur, n'ont aucun effet.
Pour inverser le comportement des versions Solaris précédentes qui ne traitaient pas tous les périphériques de stockage de masse USB comme des périphériques de médias amovibles, mettez à jour le fichier /kernel/drv/scsa2usb.conf.
Pour de plus amples informations sur l'utilisation des périphériques de stockage de masse USB, reportez-vous à la page de manuel scsa2usb(7D) .
Pour de plus amples informations sur les problèmes de dépannage des périphériques de stockage de masse USB, reportez-vous à la rubrique What’s New in USB Devices? du System Administration Guide: Devices and File Systems.
Cette rubrique décrit les améliorations apportées au pilote USB dans la version Solaris 9 4/04. Ces améliorations s'appliquent aux plates-formes x86 et SPARC.
Nouveau pilote USB générique : les applications utilisant les appels système UNIX® read(2) et write(2) standard peuvent désormais accéder aux périphériques USB 1.0 et les manipuler sans avoir à écrire sur un lecteur de noyau particulier. Les fonctions supplémentaires incluent :
l'accès aux données des périphériques bruts et au statut des périphériques par les applications ;
la prise en charge par le pilote des transferts de contrôle, de masse et d'interruption (entrée et sortie).
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel ugen(7D) et au kit de développement du pilote USB (DDK) à l'adresse http://developers.sun.com.
Prise en charge de Digi Edgeport USB : prise en charge de plusieurs périphériques de conversion Digi Edgeport USB vers port série.
On accède aux nouveaux périphériques via /dev/term/[0-9]* et /dev/cua/[0-9]*.
Les ports série USB sont utilisables comme n'importe quel autre port série, sauf qu'ils ne peuvent pas servir de console série locale. Le fait que leurs données sont exécutées à travers un port USB est transparent pour l'utilisateur.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel usbser_edge(7D) ou aux sites http://www.digi.com et http://www.sun.com/io.
Documentation et prise en charge binaire pour les noyaux écrits par l'utilisateur et les pilotes de userland : un kit de développement de pilote (DDK) USB Solaris, comprenant la documentation, est disponible. Pour obtenir des informations à jour sur le développement du pilote USB, notamment sur le DDK, consultez le sitehttp://developers.sun.com.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04.
Les fonctions du pilote EHCI incluent :
La compatibilité avec une interface de contrôleur hôte améliorée prenant en charge l'USB 2.0.
La prise en charge des transferts de contrôle, de masse et d'interruption à haut débit.
Aucune prise en charge n'est actuellement disponible pour des transactions synchrones ou de partage à haut débit. Par exemple, les périphériques USB 1.x ne peuvent pas être connectés à un concentrateur 2.0 relié à un port USB 2.0.
Si votre système possède des périphériques USB 2.0 et USB 1.0 ou 1.1, les pilotes EHCI et OHCI cèdent le contrôle des périphériques, en fonction du type de périphérique connecté au système.
La carte PCI USB 2.0 possède un contrôleur EHCI et un ou plusieurs contrôleurs OHCI.
Un périphérique USB 1.1 est assigné de façon dynamique au contrôleur OHCI lorsqu'il est connecté.
Un périphérique USB 2.0 est assigné de façon dynamique au contrôleur EHCI lorsqu'il est connecté.
La version Solaris 9 9/04 intègre une fonction d’administrateur d’environnements linguistiques et les nouveaux environnements linguistiques Solaris Unicode. Les fonctions de prise en charge linguistique issues des versions antérieures incluent les éléments suivants :
Conversions de codes pour la prise en charge de noms de domaines internationaux ;
Méthode d'entrée basée sur la translittération commune pour toutes les langues indiennes ;
Prise en charge de la méthode d'entrée pour les langues indiennes ;
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/04.
L'administrateur d'environnements linguistiques permet à l'utilisateur de demander et de configurer les environnements linguistiques pour un système d'exploitation Solaris à travers une interface de ligne de commande. En utilisant l'outil localeadm, l'utilisateur peut afficher des informations sur les packages d'environnements linguistiques installés sur le système, ou résidant sur un périphérique ou dans un répertoire particulier. L'utilisateur peut ajouter ou supprimer des environnements linguistiques du système sur une base régionale. Il peut par exemple ajouter l'ensemble des environnements linguistiques correspondant à l'Europe de l'Est au système actuel. Reportez-vous à la page de manuel localeadm(1M).
Avant l'introduction de cette fonction, l'utilisateur devait, après l'installation d'un système, ajouter ou supprimer des packages individuels pour modifier les environnements linguistiques présents sur la machine. Un tel procédé peut être une source d'erreur, car il est facile d'oublier ou de laisser passer des packages. Cet outil est un complément à la logique de sélection d'environnements linguistiques du programme d'installation de Solaris. Le programme d'installation demeure l'application principale pour l'installation des environnements linguistiques de Solaris.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/04.
Les nouveaux environnements lingustiques Unicode suivants ont été ajoutés à Solaris :
nl_BE.UTF-8 (belge flamand) ;
nl_NL.UTF-8 (néerlandais) ;
ar_SA.UTF-8 (Arabie saoudite) ;
el_GR.UTF-8 (Grèce) ;
pt_PT.UTF-8 (Portugal).
Les nouveaux environnements linguistiques sont disponibles au démarrage du système.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04.
Les NDI (noms de domaines internationaux) permettent l'utilisation de langues autres que l'anglais pour attribuer les noms d'hôtes et de domaines. Pour utiliser ces noms d'hôtes et de domaines non anglais, les développeurs d'applications doivent les convertir en noms ACE (ASCII Compatible Encoding) dans les applications, tel que défini dans la spécification RFC 3490. Les administrateurs système doivent aussi utiliser des noms ACE dans les fichiers et applications système dans lesquels les applications d'administration système ne prennent pas encore en charge les NDI.
Cette fonction aide à la conversion en fournissant à l'API de conversion plusieurs arguments d'options pris en charge. Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages de manuel suivantes :
libidnkit( 3LIB) ;
idn_decodename2(3EXT) ;
idn_encodename(3EXT) ;
iconv_en_US.UTF–8(5).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04.
La structure de services de mise en page standard (STSF) est une architecture enfichable, basée sur les objets, permettant aux utilisateurs d'accéder à des dispositions et des rendus de textes à typographie sophistiquée. L'architecture enfichable de la structure offre aux utilisateurs la possibilité d'utiliser différents moteurs de rasterisation de polices et processeurs de disposition de texte afin d'atteindre la représentation visuelle désirée. L'architecture enfichable gère également les polices et permet de créer des polices spécifiques à des applications. La STSF inclut une API autonome et une extension du serveur X afin de gérer les rendus auprès du serveur pour une efficacité optimisée. La STSF est un projet open source sponsorisé par Sun Microsystems.
Pour de plus amples informations sur ce projet et sur l'utilisation de l'API, consultez le site Web à l'adresse http://stsf.sourceforge.net.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Les utilisateurs agissant au sein de toute variante Unicode (UTF-8) dans le logiciel Solaris peuvent désormais entrer des caractères issus de langues régionales indiennes facilement et intuitivement. Les utilisateurs interagissant avec les applications CDE, StarOffice ou Mozilla peuvent interagir plus aisément avec des scripts indiens. Après avoir choisi la méthode d'entrée (IM) basée sur la translittération, les utilisateurs peuvent entrer en anglais les équivalents phonétiques des scripts en langue indienne. Ces équivalents s'affichent alors dans le script sélectionné, ils sont correctement formés et rendus grâce à un module de mise en forme et de disposition sous-jacent. Étant donné que la translittération est la méthode d’entrée la plus couramment utilisée pour les langues indiennes, cette prise en charge peut améliorer considérablement la facilité d'utilisation des huit scripts indiens fournis par le logiciel Solaris.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Les environnements linguistiques Unicode de Solaris prennent désormais en charge la Version 3.2 d'unicode, intégrant 1016 nouveaux caractères. Cette version inclut également des modifications d’ordre normatif et informatif, comme le décrit le document Unicode Standard Annex #28: UNICODE 3.2 à l’adresse suivante :
http://www.unicode.org/unicode/reports/tr28/
La représentation des caractères UTF-8 a pris une forme plus fiable comme le spécifie la version 3.2 d'Unicode. Cette fonction implémente la représentation de caractères UTF-8, la forme et les séquences d'octets les plus sûres des codes de conversion iconv relatifs à l'UTF-8. Cette fonction met également en oeuvre toutes les fonctions à plusieurs octets et à caractères larges au niveau du système d'exploitation, comme suit :
mbtowc() ;
wctomb() ;
mbstowcs() ;
wcstombs() ;
mbrtowc() ;
wcrtomb() ;
mbsrtowcs() ;
fgetwc() ;
mblen().
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
La version Solaris 9 4/03 inclut la prise en charge logicielle de trois nouveaux claviers : le clavier estonien Type 6, le clavier français/Canada Type 6 et le clavier polonais de programmation Type 5. Cette prise en charge logicielle permet une plus grande souplesse d'entrée aux utilisateurs canadiens, estoniens et polonais. La prise en charge modifie la disposition du clavier standard U.S. en fonction des besoins des différents langues.
Vous trouverez les instructions correspondantes dans les Notes de version 4/03 de Solaris 9.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
La méthode d'entrée Wubi (IM, pour Input Method) est largement utilisée en Chine. La règle d'encodage propre à la méthode Wubi IM se base sur le radical ou sur les traits qui composent les caractères chinois. Elle permet d'entrer rapidement les caractères chinois à l'aide d'un clavier standard et remplace avantageusement les méthodes d'entrée phonétiques, plus lentes.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
La prise en charge de la saisie au niveau des claviers pour les langues régionales indiennes est une nouveauté du logiciel Solaris. Les utilisateurs peuvent désormais entrer les caractères souhaités en choisissant la configuration de clavier qui répond le mieux à leurs besoins.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Outre l'hindi, qui était déjà disponible, cette version de Solaris assure la prise en charge des scripts dans les langues indiennes suivantes :
bengali ;
gurmukhi ;
gujrati ;
tamoul ;
malayalam ;
télougou ;
kannada.
Les utilisateurs concernés disposent, dans le logiciel Solaris, d'une prise en charge linguistique pour chaque environnement linguistique Unicode pris en charge par Solaris.
Dans la version Solaris 9 9/04, la fonction makecontext() a été modifiée. Les améliorations suivantes ont été apportées aux outils de développement des versions Solaris 9 précédentes :
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/04.
La sémantique du membre uc_stack de la structure ucontext_t a été modifiée ; elle s'applique aux entrées de la fonction de bibliothèque makecontext() libc. La compatibilité binaire entre les précédentes versions de Solaris et Solaris 10 est préservée.
Les applications utilisées par cette interface doivent être mises à jour avant d'être recompilées. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel makecontext(3C).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Le document Programming Interfaces Guide inclut désormais un chapitre concernant l'interaction entre les interfaces et les groupes voisins (lgroups). Ces interfaces peuvent s’utiliser pour aider une application à allouer efficacement les ressources de la CPU et de la mémoire. Cette fonctionnalité améliore les résultats de certains systèmes.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Concernant les dernières mises à jour, consultez l'Annexe D, New Linker and Libraries Features and Updates du Linker and Libraries Guide. Ce manuel décrit les nouvelles fonctions éditeur de liens/éditeur du système Solaris 9, telles que la compression de la table de chaînes de caractères, l'élimination de sections non référencées et la détection de dépendances non référencées.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Les interfaces à carte intelligente Solaris sont un ensemble d'interfaces publiques pour les terminaux à carte intelligente. Les fournisseurs de terminaux à carte peuvent implémenter ces interfaces dans une bibliothèque partagée au niveau de l'utilisateur afin d'assurer une prise en charge au niveau du périphérique de leurs terminaux à carte intelligente dans Solaris. L'ensemble des interfaces de terminaux à carte intelligente Solaris est basé sur des interfaces à carte intelligente qui font partie de la structure Linux Smartcard. Les bibliothèques de prise en charge des terminaux à carte de Linux peuvent être aisément portées vers Solaris.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Les API de contrôle des piles permettent une interaction avancée avec la prise en charge du compilateur de contrôle des piles. Le compilateur de contrôle des piles est pris en charge par ForteTM 7.0. Ces API doivent être utilisées avec des applications dont la compilation s'effectue avec le contrôle des piles activé. Ces applications gèrent leurs propres piles ou essaient de détecter leurs propres dépassements de piles.
Les développeurs assurant la maintenance de leur propre bibliothèque de threads doivent utiliser l'interface setustack de manière à ce que la fonction de contrôle des piles soit activée lorsque les clients de leur bibliothèque effectuent des compilations.
Reportez-vous aux pages de manuel stack_getbounds(3C), stack_setbounds(3C), stack_inbounds(3C) et stack_violation(3C).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
libumem est une bibliothèque d'allocation de mémoire en mode utilisateur (non noyau). Elle permet de déboguer les fuites de mémoire et autres aberrations qui impliquent l'utilisation de la mémoire.
Cette fonction s'utilise comme un utilitaire d'allocation ABI (interface binaire d'application) standard tel que malloc(). Une application en mode utilisateur demande un nombre aléatoire d'octets de mémoire et un pointeur contenant l'adresse de la mémoire allouée est ensuite retourné.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel libumem(3LIB).
Vous trouverez un livre blanc technique concernant Solaris Memory Placement Optimization and Sun Fire Servers sur le site Web à l'adresse suivante :
http://www.sun.com/servers/wp/docs/mpo_v7_customer.pdf
Cette fonction est nouvelle pour la plate-forme SPARC dans la version Solaris 9 12/02. Dans la version Solaris 9 12/03, cette fonction est également disponible pour les plates-formes x86. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la rubrique Intégration de Sun ONE Application Server.
Sun ONE Message Queue est une nouvelle fonction de Solaris 9 12/02 pour la plate-forme SPARC. Dans la version Solaris 9 8/03, Sun ONE Message Queue est également disponible pour les plates-formes x86.
La version Solaris 9 12/02 prend en charge les applications JMS (Java Messaging Service). Ces applications sont basées sur Sun ONE Message Queue, un fournisseur JMS. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la rubrique Sun ONE Message Queue.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Cette version de Solaris inclut de nouvelles extensions de la fonction crypt() et introduit la fonction crypt_gensalt(). Ces améliorations permettent aux administrateurs de modifier l'algorithme utilisé pour masquer les mots de passe de connexion UNIX des utilisateurs.
Des modules MD5 et Blowfish sont également inclus : les modules MD5 se trouvent dans les fichiers crypt_sunmd5 et crypt_bsdmd5 et le module Blowfish, dans le fichier crypt_bsdbf.
Les développeurs peuvent créer de nouveaux modules pour les algorithmes de masquage de mots de passe secondaires. Il est conseillé aux développeurs d'utiliser la fonction crypt_gensalt() plutôt que de générer manuellement la chaîne Salt pour passer à la fonction crypt().
Les modules des algorithmes secondaires sont spécifiés dans le fichier crypt.conf(4). Le champ module_path spécifie le chemin d'accès vers l'objet d'une bibliothèque partagée qui implémente les deux fonctions requises suivantes :
crypt_gensalt_impl() : génère le saut.
crypt_genhash_impl() : génère le mot de passe chiffré.
Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages de manuel crypt(3C) et policy.conf(4).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
La fonction madvise() permet au noyau d'optimiser l'accès à une région de la mémoire définie par l'utilisateur. Cette version de Solaris 9 inclut trois nouveaux indicateurs pour la fonction madvise() :
MADV_ACCESS_LWP : donne priorité à l'allocation de ressources d'un processus léger (LWP) spécifié.
MADV_ACCESS_MANY : spécifie une plage d'adresses que les processus utilisent de façon intensive dans la machine.
MADV_ACCESS_DEFAULT : restaure les paramètres par défaut d'un modèle d'accès vers une plage d'adresses.
Pour de plus amples informations sur la fonction madvise(), reportez-vous à la page de manuel madvise(3C).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02.
La structure Smartcard Solaris propose désormais des API middleware de bas niveau qui permettent d'échanger des données avec une carte à puce par l'intermédiaire d'un lecteur de cartes à puce. Il est possible d'utiliser ces API sur des plates-formes telles que les systèmes Sun BladeTM et Sun RayTM. Les applications en langage Java ou C peuvent utiliser ces interfaces.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel libsmartcard(3LIB) et à JavaDocs dans le fichier /usr/share/javadoc/smartcard.
Le logiciel Solaris comprend les modifications de documentation suivantes.
Dans Solaris 9 9/04, le document Solaris Volume Manager Administration Guide a été révisé. Reportez-vous à la rubrique Prise en charge de jeux de disques multipropriétaires avec Solaris Volume Manager pour Sun Cluster.
Les guides d'administration système de Solaris 9 ont été réorganisés dans la version Solaris 9 9/04 :
Le contenu du document System Administration Guide: Basic Administration a été réduit et ne traite plus que des sujets suivants :
utilisation des outils de Solaris Management Console ;
gestion des groupes et comptes utilisateurs ;
gestion de la prise en charge du serveur et du client ;
arrêt et initialisation d'un système ;
gestion des logiciels ;
gestion des patchs Solaris.
Les rubriques concernant les périphériques complexes et les systèmes de fichiers ont été déplacées dans le document System Administration Guide: Devices and File Systems. Ce nouveau guide traite des sujets relatifs à l'administration des périphériques et systèmes de fichiers suivants :
gestion des médias amovibles ;
gestion des périphériques ;
gestion des disques ;
gestion des systèmes de fichiers ;
sauvegarde et restauration des systèmes de fichiers.
Le document System Administration Guide: Advanced Administration traite des mêmes sujets que les versions Solaris précédentes.
La documentation nouvelle et révisée présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 4/04 :
Solaris Volume Manager Administration Guide – reportez-vous à la rubrique Création descendante de volumes dans Solaris Volume Manager.
System Administration Guide: Basic Administration et System Administration Guide: Devices and File Systems – reportez-vous aux nouvelles descriptions et révisions concernant USB, à la rubrique Gestion des périphériques.
Linker and Libraries Guide – reportez-vous à Annexe D, New Linker and Libraries Features and Updates du Linker and Libraries Guide pour les dernières mises à jour.
Guide d’installation Solaris 9 9/04 – reportez-vous à la rubrique Création de volumes RAID-1 (miroirs) avec JumpStart personnalisé.
La documentation nouvelle et révisée présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 12/03.
Application Packaging Developer’s Guide – reportez-vous à la rubrique Packages et patchs signés.
IPsec and IKE Administration Guide – reportez-vous à la rubrique Mémoire de clés IKE (Internet Key Exchange) sur la carte Sun Crypto Accelerator 4000.
Linker and Libraries Guide – reportez-vous à Annexe D, New Linker and Libraries Features and Updates du Linker and Libraries Guide pour les dernières mises à jour.
Programming Interfaces Guide – reportez-vous à la rubrique SPARC : groupes voisins.
Solaris 9 12/03 Installation Guide – reportez-vous à la rubrique Méthode d'installation et initialisation via connexion WAN.
System Administration Guide: Basic Administration – reportez-vous à la rubrique Packages et patchs signés.
System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP) – reportez-vous à la rubrique Service de transition NIS/LDAP.
System Administration Guide: Resource Management and Network Services – reportez-vous à la rubrique Contrôle de la mémoire physique à l'aide du démon d'allocation restrictive.
La documentation révisée présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 8/03.
System Administration Guide: Security Services – reportez-vous à la rubrique Améliorations apportées à l'audit.
System Administration Guide: Basic Administration – reportez-vous à la rubrique Systèmes de fichiers UFS de plusieurs téra-octets.
Solaris 9 Installation Guide – reportez-vous à la rubrique Solaris Live Upgrade 2.1.
Solaris Tunable Parameters Reference Manual – reportez-vous à la rubrique Transmission de données multiples via TCP.
Linker and Libraries Guide – reportez-vous à la rubrique Mises à jour des éditeurs de liens et des bibliothèques.
La nouvelle documentation présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 8/03.
Collection Sun ONE Application Server 7 Mise à jour 1 (Édition Solaris) – vous trouverez cette collection à l’adresse suivante http://docs.sun.com. Pour obtenir une description de Sun ONE Application Server, reportez-vous à la rubrique Intégration de Sun ONE Application Server.
Cette collection comprend une documentation très détaillée sur Sun ONE Application Server pour les administrateurs système et les développeurs. Certains manuels de cette collection ont été publiés précédemment. Ils sont désormais réunis dans la Collection Sun ONE Application Server 7 Mise à jour 1 (Édition Solaris) pour faciliter leur utilisation.
Collection bureau GNOME 2.0 – cette collection est accessible à l’adresse suivante http://docs.sun.com. Pour obtenir une description du bureau GNOME 2.0, reportez-vous à la rubrique Bureau GNOME 2.0.
Cette collection se compose des manuels suivants :
Manuel d'utilisation du bureau GNOME 2.0 : décrit les composants du bureau et la procédure de personnalisation des préférences.
GNOME 2.0 Desktop System Administration Guide : indique comment administrer le bureau GNOME 2.0 avec les versions Solaris 8 et Solaris 9.
GNOME 2.0 Desktop Accessibility Guide : décrit la configuration, la personnalisation et l'utilisation des fonctions d'accessibilité disponibles sur le bureau GNOME 2.0. Les informations concernent les versions Solaris 8 et 9.
Guide de dépannage du bureau GNOME 2.0 : décrit les problèmes connus et leurs solutions pour le bureau GNOME 2.0. Le guide concerne les versions Solaris 8 et 9. Il contient également des conseils permettant d'améliorer les performances du bureau.
La documentation révisée présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 4/03.
Linker and Libraries Guide – reportez-vous à la rubrique Mises à jour des éditeurs de liens et des bibliothèques.
System Administration Guide: Basic Administration : reportez-vous aux rubriques Prise en charge des volumes de plusieurs téra-octets avec des labels de disques EFI et Fonction de mise à jour des patchs Solaris. Des informations concernant la gestion de patchs signés sont également développées dans ce manuel. Consultez aussi la rubrique Améliorations apportées à l'interface de ligne de commande de Solaris Product Registry.
IPv6 Administration Guide – reportez-vous à la rubrique IPv 6 : routeurs 6to4.
Guide d’installation Solaris 9 9/04 – reportez-vous à la rubrique Archives Solaris Flash.
Solaris Volume Manager Administration Guide – reportez-vous aux rubriques Prise en charge de volumes de plusieurs téra-octets dans Solaris Volume Manager et Prise en charge de RCM (Reconfiguration Coordination Manager) par Solaris Volume Manager.
System Administration Guide: Resource Management and Network Services – reportez-vous à la rubrique Sous-système de comptabilité étendue.
La nouvelle documentation présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 4/03.
Solaris WBEM Developer’s Guide – reportez-vous à la rubrique Nouveau Solaris WBEM Developer's Guide.
IPsec and IKE Administration Guide – reportez-vous à la rubrique Accélération du matériel IKE (Internet Key Exchange).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Le nouveau Solaris WBEM Developer’s Guide est une combinaison des deux manuels traitant de la gestion de réseau basée sur le Web (WBEM) qui étaient inclus dans les versions précédentes de Solaris 9 : le Solaris WBEM SDK Developer's Guide et le Solaris WBEM Services Administration Guide. Cette modification a été effectuée en vue de segmenter les tâches associées au développement et au déploiement WBEM. Les autres modifications introduites sont les suivantes :
Le chapitre traitant du protocole SNMP a été supprimé.
Dans le chapitre “Using the CIM Object Manager”, les étapes de mise à niveau à partir d'une version Solaris antérieure ont été modifiées. Il n'est désormais plus suggéré de convertir les données du Gestionnaire d'objets CIM à partir de l'ancien format qui était utilisé dans les versions WBEM antérieures, mais de recompiler tous les fichiers MOF à l'aide de la commande mofcomp.
Les chapitres d’introduction des deux manuels précédents ont été fusionnés en un seul chapitre dans le document Solaris WBEM Developer’s Guide.
La documentation révisée présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 12/02.
Linker and Libraries Guide – reportez-vous à la rubrique Mises à jour des éditeurs de liens et des bibliothèques.
Guide d’installation Solaris 9 9/04 – reportez-vous aux rubriques Archives Solaris Flash et Prise en charge des profils de la version 2 du protocole LDAP.
System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP) – reportez-vous à la rubrique Améliorations apportées à la fonction crypt().
System Administration Guide: Security Services – reportez-vous à la rubrique Améliorations apportées au PAM (module d'authentification enfichable).
La nouvelle documentation présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 12/02.
Sun ONE Application Server 7 Getting Started Guide – reportez-vous à la rubrique Intégration de Sun ONE Application Server.
Sun ONE Message Queue 3.0.1 Administrator's Guide – reportez-vous à la rubrique Sun ONE Message Queue.
IP Network Multipathing Administration Guide – reportez-vous à la rubrique Combinaison de l'adresse de données et de l'adresse de tests pour des groupes de multiacheminement sur réseau IP Single.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02.
L'annexe “Transitioning From NIS+ to LDAP” a été déplacée du document System Administration Guide: Naming and Directory Services (FNS and NIS+) vers le document System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). En outre des explications et exemples relatifs à divers composants ont été ajoutés aux chapitres concernant le protocole LDAP du document System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). Aucune nouvelle fonction n'est cependant documentée.
La nouvelle documentation présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 9/02.
IPQoS Administration Guide : reportez-vous aux rubriques IP Quality of Service (qualité de service IP) et Sous-système de comptabilité étendue pour de plus amples informations sur la fonction IPQoS.
IPv6 Administration Guide – reportez-vous à la rubrique Mise sous tunnel de paquets via IPv6.
La documentation révisée présentée ci-dessous est disponible dans la version Solaris 9 9/02.
System Administration Guide: Resource Management and Network Services – reportez-vous à la rubrique Sous-système de comptabilité étendue.
System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP) – reportez-vous à la rubrique Service de transition NIS/LDAP.
Les fonctions d'installations suivantes ont été incorporées aux versions Solaris 9 :
Création de volumes RAID-1 (miroirs) avec JumpStart personnalisé ;
x86 : spécification des propriétés d'initialisation à l'aide de la commande add_install_client ;
Méthode d'installation et initialisation via connexion WAN ;
Archives différentielles et scripts de configuration Solaris Flash ;
Améliorations apportées à l'interface de ligne de commande de Solaris Product Registry ;
Prise en charge des profils de la version 2 du protocole LDAP.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04.
La méthode d'installation JumpStartTM personnalisée permet désormais de créer des volumes RAID-1 (miroirs) au cours de l' installation du système d'exploitation Solaris. L'écriture miroir des systèmes de fichiers, permet de protéger votre système en dupliquant les données sur deux disques physiques. Si l'un des disques miroirs échoue, les données du système demeurent accessibles via le second disque miroir.
Dans JumpStart, les nouveaux mots-clés et valeurs de profils personnalisés suivants vous permettent de créer des systèmes de fichiers miroirs.
Le nouveau miroir de la valeur du mot-clé filesys crée un miroir. Vous pouvez alors désigner des tranches spécifiques comme concaténations à une seule tranche à rattacher au miroir.
Le nouveau mot-clé de profil metadb vous permet de créer les répliques de bases de données d'état requises.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Guide d’installation Solaris 9 9/04.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04.
La commande add_install_client permet désormais de définir des propriétés d'initialisation pour des clients Solaris x86 lors d'une initialisation réseau PXE. L'option -b permet d'effectuer les tâches suivantes à l'aide de la commande add_install_client :
spécifier une autre console à utiliser lors de l'installation réseau ;
spécifier le périphérique à utiliser comme périphérique d'initialisation réseau lors de l'installation ;
indiquer au client d'effectuer une installation JumpStart personnalisée entièrement automatisée.
Pour de plus amples informations, reportez-vous aux pages de manuel install_scripts(1M) et eeprom(1M) et au document Guide d’installation Solaris 9 9/04.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Le logiciel Solaris vous permet désormais d'initialiser et d'installer un logiciel via un réseau étendu (WAN) à l'aide du protocole HTTP. Cette méthode vous permet d'installer le logiciel Solaris sur des systèmes via un important réseau public dont l'infrastructure risquerait d'être peu fiable. Vous pouvez utiliser l'initialisation via connexion WAN avec de nouvelles fonctions de sécurité afin de préserver la confidentialité des données et l'intégrité de l'image d'installation.
La méthode d'installation et initialisation via connexion WAN vous permet de transmettre une archive Solaris Flash cryptée à un client distant via un réseau public. Les programmes d'initialisation via connexion WAN installent alors le système client par l'intermédiaire d'une installation JumpStart personnalisée. Pour protéger l'ensemble de l'installation, vous pouvez utiliser des clés privées afin d'authentifier et de crypter les données. Vous pouvez également transmettre vos données et fichiers d'installation via une connexion HTTP sécurisée en configurant vos systèmes pour qu'ils utilisent des certificats numériques.
Pour de plus amples informations sur cette fonction, reportez-vous au document Guide d’installation Solaris 9 9/04.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Solaris Live Upgrade permet de mettre à niveau un système en cours de fonctionnement. Alors que l'environnement d'initialisation actuel fonctionne, vous pouvez dupliquer cet environnement et le mettre à jour. Plutôt que d'effectuer une mise à niveau, vous pouvez installer une archive Solaris Flash sur votre environnement d'initialisation. Après une mise à niveau ou l'installation d'une archive, la configuration originale du système continue de fonctionner, sans changement. Vous pouvez, quand vous le souhaitez, activer le nouvel environnement d'initialisation en réinitialisant le système. En cas d'échec, vous êtes protégé. Vous pouvez revenir rapidement à l'environnement d'initialisation d'origine en redémarrant simplement l'ordinateur, ce qui permet d'éviter ainsi le temps d'arrêt normal des processus de test et d'évaluation.
Les nouvelles fonctions de Solaris Live Upgrade 2.1 offrent les fonctionnalités présentées ci-dessous.
Solaris Live Upgrade utilise la technologie de Solaris Volume Manager pour copier un environnement d'initialisation contenant des systèmes de fichiers munis de volumes RAID-1 (miroirs). Le miroir procure une redondance des données de tous les systèmes de fichiers, y compris du système de fichiers racine (/). La commande lucreate permet de créer des systèmes de fichiers miroirs pouvant contenir jusqu'à trois sous-miroirs.
Grâce à la commande lucreate, vous pouvez désormais exclure certains fichiers et répertoires qui seraient normalement copiés à partir de l'environnement d'initialisation d'origine. Si vous avez exclu un répertoire, vous pouvez également inclure certains fichiers et sous-répertoires spécifiques qui s'y trouvent.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Guide d’installation Solaris 9 9/04.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Vous pouvez à présent utiliser la méthode d'installation JumpStart pour créer un environnement d'initialisation vide lorsque vous installez le logiciel Solaris. Vous pouvez ensuite le charger avec une archive Solaris Flash pour un usage ultérieur.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02, elle a été révisée pour la version Solaris 9 4/03.
La fonction d'installation Solaris Flash vous permet d'utiliser une installation de référence unique du logiciel Solaris sur un système appelé système maître. Vous pouvez ensuite copier cette installation sur plusieurs systèmes, appelés systèmes clones. Il s'agit d'une installation initiale qui écrase tous les fichiers existants sur le système clone.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02, elle a été révisée pour la version Solaris 9 4/03.
De nouvelles améliorations ont été apportées à la fonction d'installation Solaris Flash.
Elle permet à présent de mettre à jour un système clone en n'y apportant que des modifications mineures. Vous pouvez en effet créer une archive différentielle contenant uniquement les différences existant entre deux images : l'image maître originale et une image maître mise à jour. Lorsque vous procédez à la mise à jour d'un système clone à l'aide d'une archive différentielle, seuls les fichiers spécifiés dans celle-ci sont modifiés. L'installation ne porte que sur des systèmes clones contenant des logiciels compatibles avec l'image maître d'origine. L'utilisation de la méthode d'installation JumpStart personnalisée vous permet d'installer une archive différentielle sur un système clone. Vous pouvez également installer une archive différentielle sur un environnement d'initialisation dupliqué avec Solaris Live Upgrade.
Des scripts spéciaux peuvent désormais être exécutés pour configurer le maître ou le clone ou valider l'archive. Ces scripts vous permettent d'effectuer les tâches suivantes :
Configurer des applications sur des systèmes clones. Vous pouvez utiliser un script personnalisé JumpStart pour effectuer des configurations simples. Pour des configurations plus compliquées, le recours à un fichier de configuration spécial peut s'avérer nécessaire sur le système, soit avant, soit après l'installation sur le système clone. D'autre part, les scripts locaux de pré-installation et de post-installation peuvent résider sur le clone. Ils peuvent protéger les personnalisations locales d'un écrasement par le logiciel Solaris Flash.
Identifier des données non clonables qui dépendent de l'hôte et vous permettent de rendre l'hôte de l'archive flash indépendant. L'indépendance de l'hôte est activée en procédant à la modification de ces données ou à leur exclusion de l'archive. Par exemple, un fichier journal constitue une donnée dépendante de l'hôte.
Valider l'intégrité du logiciel dans l'archive lors de sa création.
Valider l'installation sur le système clone.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Guide d’installation Solaris 9 9/04. Le présent guide contient également des informations sur l'utilisation de Solaris Live Upgrade pour installer une archive différentielle.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02, elle a été révisée pour la version Solaris 9 4/03.
La commande flarcreate permet de créer une archive Solaris Flash. Dans cette version de Solaris, cette commande a été dotée de nouvelles options permettant une plus grande flexibilité pour la définition des contenus d'archive lors de la création d'une archive. Il vous est maintenant possible d'exclure plus d'un fichier ou d'un répertoire et d'ajouter un sous-répertoire ou un fichier depuis un répertoire exclu. Cette fonction est utile si vous souhaitez exclure des fichiers de données longs que vous ne désirez pas cloner.
Pour de plus amples informations sur l'utilisation de ces options, reportez-vous au document Guide d’installation Solaris 9 9/04.
Notez que Web Start Flash s'appelle désormais Solaris Flash.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
La commande prodreg a été mise à jour de manière à inclure une fonctionnalité similaire à celle de l'interface utilisateur graphique de Solaris Product Registry. Vous pouvez à présent utiliser les sous-commandes prodreg ci-dessous dans la ligne de commande ou les scripts d'administration pour réaliser diverses tâches.
browse : la sous-commande browse vous permet d'afficher les logiciels enregistrés dans une fenêtre de terminal. En répétant la sous-commande browse, vous pouvez naviguer dans la hiérarchie du répertoire des logiciels enregistrés.
info : la sous-commande info vous permet d'afficher des informations relatives aux logiciels enregistrés. Vous pouvez avoir recours à cette sous-commande pour obtenir les informations suivantes :
endroit où est installé le logiciel ;
autres logiciels requis par le logiciel spécifié ;
autres logiciels qui dépendent du logiciel spécifié ;
logiciels qui ont été endommagés lors de la suppression de paquets requise par le logiciel.
unregister : la sous-commande unregister vous permet de supprimer de Solaris Product Registry les informations relatives à l'installation du logiciel. Si vous avez supprimé des logiciels de votre système, mais ne les avez pas désinstallés correctement de Solaris Product Registry, vous pouvez utiliser la commande prodreg unregister pour nettoyer les entrées obsolètes qui y figurent encore.
uninstall : la sous-commande uninstall vous permet de retirer de votre système des logiciels enregistrés en exécutant le programme de désinstallation correspondant.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel prodreg(1M) et au document System Administration Guide: Basic Administration.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Le programme d'installation Solaris prend désormais en charge les profils LDAP Version 2. Ceux-ci vous permettent de configurer votre système de manière à utiliser un justificatif d'identité de type proxy. Lors de l'exécution des programmes d'installation Solaris Web Start ou suninstall, vous pouvez spécifier le nom distinctif de la liaison au proxy LDAP, ainsi que le mot de passe de la liaison proxy. Vous pouvez, avec n'importe quelle méthode d'installation, préconfigurer LDAP avant l'installation à l'aide des mots-clés proxy_dn et proxy_password du fichier sysidcfg.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Guide d’installation Solaris 9 9/04.
La version Solaris 9 4/04 intègre le nouveau logiciel SRS Net Connect 3.1 sur le Extra Value CD.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/04.
SunSM Remote Services (SRS) Net Connect 3.1 est maintenant disponible sur le Solaris 9 Update 6 Extra Value CD. SRS Net Connect 3.1 permet d'auto-contrôler des systèmes, de créer des rapports de performances et de tendances, et de recevoir des notifications automatiques. Ces fonctions permettent d'optimiser la disponibilité et la fiabilité du système, et de résoudre d'éventuels problèmes.
Pour de plus amples informations sur l'installation de SRS Net Connect, reportez-vous au document SunSM Remote Services Net Connect Solaris 9 Update 6 CD Installation and Activation Guide. Ce manuel se trouve sur le Solaris Software 2 of 2 CD à l'emplacement suivant : Solaris_9/ExtraValue/CoBundled/NetConnect_3.1/docs/InstallActivate.pdf
Sun Java Enterprise System a été introduit dans la version Solaris 9 12/03.
Le logiciel Solaris inclut désormais des produits Java Enterprise System que vous pouvez choisir d'installer avec celui-ci. Java Enterprise System intègre l'infrastructure Sun ONE et les logiciels du cluster en un package à systèmes ouverts. Il propose aux entreprises un ensemble complet de services permettant d'intégrer des applications Web, des services et des applications d'héritage. Il permet en outre une utilisation partagée. Il comprend la même prise en charge linguistique, la même documentation fournie et la même standardisation de composants, un programme d'installation commun, ainsi que d'autres fonctions offrant une fonctionnalité intégrée. Ce logiciel comprend les produits composants indiqués ci-dessous.
Services de communication et de collaboration :
Sun ONE Messaging Server 6.0 ;
Sun ONE Calendar Server 6.0 ;
Sun ONE Instant Messaging Server 6.0.1 ;
Sun ONE Portal Server 6.2, et Secure Remote Access 6.2.
Services Web et services d'application :
Sun ONE Application Server 7.0 PE* ;
Sun ONE Application Server 7.0 SE* ;
Sun ONE Web Server 6.1 ;
Sun ONE Message Queue 3.0.1 SP2*.
Services d'annuaire et d'identité :
Sun ONE Identity Server 6.1 ;
Sun ONE Directory Server 5.2 Multi-Platform Edition ;
Sun ONE Directory Proxy Server 5.2.
Services de disponibilité :
Sun Cluster 3.1 ;
Sun Cluster Agents 3.1 pour une sélection de produits composants Sun ONE.
Pour de plus amples informations sur Java Enterprise System, reportez-vous à Sun Java Enterprise System 2003Q4 à l'adresse http://docs.sun.com.
* Ces produits sont inclus dans le système d'exploitation Solaris. Pour de plus amples informations, reportez-vous aux descriptions suivantes :
Sun ONE Directory Server 5.2 est disponible en tant que produit composant de Java Enterprise System, et dans le système d'exploitation Solaris. Pour de plus amples informations sur Sun ONE Directory Server 5.1, reportez-vous à la rubrique Sun ONE Directory Server.
Les améliorations ci-après ont été apportées à la gestion de réseaux dans le logiciel Solaris 9.
Cette fonction est nouvelle pour la plate-forme SPARC dans la version Solaris 9 12/02. Dans la version Solaris 9 12/03, cette fonction est également disponible pour les plates-formes x86.
L'édition pour plate-forme de Sun ONE Application Server 7 (anciennement iPlanetTM Application Server) est intégrée dans le système d'exploitation Solaris et constitue une base pour les services Web et les applications d'entreprise. Le serveur fournit une plate-forme Java 2 Enterprise Edition (J2EETM) très performante et peu encombrante. J2EE permet de développer, déployer et gérer des applications d'entreprise et des services Web sur de nombreux serveurs, clients et périphériques.
Sun ONE Application Server contribue à la portabilité des applications et à la rapidité de lancement des nouvelles applications Java et XML sur le marché, compatibles avec la plate-forme J2EE 1.3. Il permet aux développeurs de concevoir des applications exploitant les technologies JavaServer PagesTM (JSPTM), Java Servlet et Enterprise JavaBeansTM (EJBTM). Cette technologie répond à des exigences variées au sein de l'entreprise, tant en ce qui concerne les applications dont l'utilisation est restreinte à certains départements que les services essentiels à l'entreprise.
Ses principaux avantages sont les suivants :
intégration de Sun ONE Message Queue et du serveur HTTP à partir du serveur Web Sun ONE ;
évolutivité et performances améliorées ;
prise en charge complète de services Web : services Web Java, protocole SOAP (Simple Object Access Protocol) et langage WSDL (Web Services Description Language) ;
interopérabilité avec Sun ONE Portal Server 6.0 et Sun ONE Directory Server ;
optimisation de l'implémentation des références de J2EE.
Les modifications suivantes ont été introduites dans la dénomination de certains produits :
Sun ONE Message Queue (anciennement iPlanet Message Queue for Java) ;
Sun ONE Web Server (anciennement iPlanet Web Server) ;
Sun ONE Portal Server (anciennement iPlanet Portal Server) ;
Sun ONE Directory Server (anciennement iPlanet Directory Server).
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la Sun ONE Application Server 7 Collection Update 1 (Solaris Edition). Pour de plus amples informations sur cette collection, reportez-vous à la rubrique Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 8/03. Consultez également le site http://wwws.sun.com/software/products/appsrvr/home_appsrvr.html.
Pour en savoir plus sur les conditions d'octroi de la licence, reportez-vous à la licence du code binaire.
Cette fonction est nouvelle pour la plate-forme SPARC dans la version Solaris 9 12/02. Dans la version Solaris 9 8/03, cette fonction est également disponible pour les plates-formes x86.
Le logiciel Solaris prend désormais en charge les applications JMS (Java Messaging Service). Cette version de Solaris utilise Sun ONE Message Queue (anciennement iPlanet Message Queue for Java) en tant que fournisseur JMS.
La messagerie JMS permet aux applications et aux composants des applications d'échanger des messages de manière asynchrone et fiable. Les processus fonctionnant sur différentes plates-formes et exécutant différents systèmes d'exploitation peuvent se connecter à un service de messagerie commun pour échanger des informations.
L'édition pour plate-forme de Sun ONE Message Queue permet une implémentation complète de la spécification JMS. Sun One Message Queue fournit notamment les fonctions supplémentaires suivantes :
gestion centralisée ;
performances ajustables ;
prise en charge de Java Naming and Directory Interface TM (JNDI) ;
prise en charge de la messagerie SOAP (Simple Object Access Protocol).
Pour de plus amples informations, reportez-vous aux documents Sun ONE Message Queue 3.0.1 Administrator's Guide et Sun ONE Message Queue 3.0.1 Developer's Guide. Pour de plus amples informations concernant les versions et les fonctions de Sun ONE Message Queue, consultez également le site Web suivant :
http://www.sun.com/software/products/message_queue/
La transmission de données multiples (MDT, Multidata transmit) n'est disponible que pour les systèmes possédant un noyau de 64 bits. Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
La MDT permet à la pile du réseau d'envoyer plus d'un paquet à la fois au pilote du périphérique réseau pendant la transmission. L'utilisation de cette fonction réduit les coûts de traitement par paquet en améliorant l'utilisation de l'unité centrale hôte ou le débit du réseau.
La fonction de transmission de données multiples n'est effective que pour les pilotes de périphériques qui la prennent en charge.
Pour utiliser le paramètre MDT, vous devez activer le paramètre suivant dans le fichier /etc/system file :
set ip:ip_use_dl_cap = 0x1
Par défaut, MDT est désactivé. Il est possible de paramétrer la pile du TCP/IP afin d'activer MDT comme suit :
# ndd -set /dev/ip ip_multidata_outbound 1
Veuillez lire les messages d'avertissement ci-dessous avant d'activer MDT :
L'utilisation de cette fonction peut modifier l'apparence des paquets entre la couche IP et le fournisseur DLPI. Par exemple, un module tiers STREAMS peut être inséré dynamiquement entre la couche IP et le fournisseur DLPI à l'aide de la commande ifconfig modinsert. Ce module risque de ne pas fonctionner. La commande ifconfig modinsert ne “comprend” pas le type de données STREAMS de MDT.
Les modules peuvent être insérés entre la couche IP et le fournisseur DLPI avec le mécanisme autopush(1M). Dans ce cas, ces modules risquent de ne pas fonctionner non plus.
Laissez cette fonction désactivée lorsqu'un module STREAMS ne prend pas en compte le paramètre MDT. Par exemple, les les utilitaires de type publiciel ipfilter et CheckPoint Firewall-1 ne prennent pas en compte le paramètre MDT.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document Solaris Tunable Parameters Reference Manual et à la page de manuel ip(7P).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Les réseaux IPv6 (Internet Protocol Version 6) peuvent désormais transférer des paquets via les réseaux IPv4 (Internet Protocol Version 4) grâce à la configuration d'un ou de plusieurs routeurs capables de prendre en charge un tunnel 6to4. Les administrateurs système peuvent utiliser des tunnels 6to4 pour assurer la migration de leurs réseaux d'IPv4 vers IPv6. Cette fonction implémente les RFC 3056 et 3068.
Pour de plus amples informations sur le protocole IPv6, reportez-vous au document IPv6 Administration Guide.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02.
Cette fonction active la mise sous tunnel de paquets IPv4 et IPv6 via IPv6. Les paquets IPv4 et IPv6 peuvent être encapsulés dans des paquets IPv6.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document IPv6 Administration Guide.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Le module du noyau NCA (Network Cache and Accelerator) de Solaris prend désormais en charge les instances multiples d'un serveur Web. Cela permet d'utiliser une machine Solaris dans le cadre de l'hébergement virtuel de sites Web basé sur une adresse IP. Solaris utilise un seul fichier de configuration (/etc/nca/ncaport.conf) pour mapper les sockets NCA vers des adresses IP.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel ncaport.conf(4).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02.
L'IPQoS permet aux administrateurs système de fournir différents niveaux de service réseau aux clients et aux applications stratégiques. Grâce à l'IPQoS, l'administrateur peut mettre en place des accords de niveau de service qui proposent aux clients d'un ISP différents niveaux de service en fonction d'une échelle de prix. Une entreprise peut ainsi utiliser la fonction IPQoS pour classer les applications par ordre de priorité de sorte que les applications stratégiques bénéficient d'un service d'une qualité supérieure à celui dont disposent les applications de moindre importance.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document IPQoS Administration Guide.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
La fonction IPQoS de Solaris inclut désormais le sélecteur utilisateur, qui complète le sélecteur uid existant. Il permet de spécifier un nom d'utilisateur ou une ID utilisateur comme critère de filtre dans le fichier ipqosconf. Auparavant, le sélecteur uid n'acceptait qu'une valeur pour l' ID utilisateur. La clause de filtrage ci-dessous d'un fichier ipqosconf affiche le sélecteur utilisateur :
filter { name myhost; user root; } |
Pour de plus amples informations sur les filtres et sélecteurs, reportez-vous au document IPQoS Administration Guide et à la page de manuel ipqosconf(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02.
Le logiciel système Solaris prend désormais en charge le protocole RIPv2.
Ce protocole ajoute les extensions CIDR (Classless Inter-Domain Routing) et VLMS (Variable-Length Subnet Mask) au protocole RIPv1. Les extensions MD5 protègent les routeurs des erreurs d'acheminement volontaires d'utilisateurs mal intentionnés. La nouvelle implémentation in.routed inclut également un mécanisme ICMP Router Discovery (RFC 1256) intégré.
RIPv2 prend en charge la multidiffusion, si cette dernière est activée au niveau des liaisons point-à-point, ainsi que la diffusion individuelle. Si vous configurez une adresse de diffusion à l'aide du fichier /etc/gateways, RIPv2 prend en charge la diffusion.
Pour de plus amples informations sur la configuration de RIPv2, reportez-vous aux pages de manuel in.rdisc(1M), in.routed(1M) et gateways(4).
Le logiciel Solaris intègre les améliorations de sécurité suivantes :
Mémoire de clés IKE (Internet Key Exchange) sur la carte Sun Crypto Accelerator 4000 ;
Améliorations apportées au PAM (module d'authentification enfichable).
Pour améliorer la sécurité avec la commande sadmind, le niveau de sécurité par défaut a été augmenté à 2 (DES). Si vous n'avez pas besoin de la commande sadmind, insérez un commentaire au niveau de l'entrée dans le fichier inetd.conf.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel sadmind(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Le KDC (Solaris Kerberos Key Distribution Center) est désormais basé sur MIT Kerberos version 1.2.1. Il utilise désormais par défaut la base de données btree, plus fiable que l'actuelle base de données basée sur le hachage.
Pour de plus amples informations, reportez-vous à la page de manuel kdc.conf(4).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
IKE fonctionne sur les réseaux IPv6 et IPv4. Pour de plus amples informations sur les mots-clés spécifiés par l'implémentation IPv6, reportez-vous aux pages de manuel ifconfig(1M) et ike.config(4).
Lorsqu'une carte Sun Crypto Accelerator 4000 est installée, IKE peut décharger des opérations à forte intensité de calcul sur la carte, libérant ainsi le système d'exploitation pour d'autres tâches. IKE peut également utiliser la carte installée pour stocker des clés publiques, des clés privées et des certificats publics. Le stockage de clés sur du matériel séparé permet une sécurité accrue.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document IPsec and IKE Administration Guide et à la page de manuel ikecert(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Les opérations de clé publique effectuées par le biais du protocole IKE peuvent être accélérées au moyen d'une carte Crypto Accelerator 1000 Sun. Ces opérations sont déchargées sur la carte, ce qui accélère le chiffrement et réduit les demandes en ressources auprès du système d'exploitation.
Pour de plus amples informations sur le protocole IKE, reportez-vous au document IPsec and IKE Administration Guide.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Dans cette version de Solaris, les améliorations apportées aux fonctions d'audit réduisent le bruit de la piste et permettent aux administrateurs d'utiliser des scripts XML pour l'analyser. Ces améliorations sont les suivantes :
Les fichiers publics ne font plus l'objet d'audit pour des événements en lecture seule. L'indicateur de règle public de la commande auditconfig vérifie si les fichiers publics sont audités. L'absence d'audit des objets publics réduit considérablement la piste d'audit. Ainsi, il est plus facile de surveiller les tentatives de lecture des fichiers sensibles.
La commande praudit dispose d'un format de sortie supplémentaire, le XML. Ce format permet de lire la sortie dans un navigateur et fournit la source des scripts XML pour les rapports. Consultez la page de manuel praudit(1M).
L'ensemble des classes d'audit par défaut a été restructuré. Les méta-classes d'audit prennent en charge les classes d'audit plus affinées. Consultez la page de manuel audit_class(4).
La commande bsmconv ne permet plus de désactiver l'utilisation de la combinaison de touches Stop-A. L'événement Stop-A est dorénavant audité pour assurer la sécurité.
Pour de plus amples informations, reportez-vous au document System Administration Guide: Security Services.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Les interfaces à carte intelligente Solaris sont un ensemble d'interfaces publiques pour les terminaux à carte intelligente. Consultez la rubrique Interfaces à carte intelligente.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Les mots de passe sont chiffrés, ce qui empêche les intrus de les lire. Trois modules de chiffrement de mots de passe robustes sont désormais disponibles sur ce logiciel :
une version de Blowfish compatible avec les systèmes BSD (Bekerley Software Distribution) ;
une version de MD5 (Message Digest 5) compatible avec les systèmes BSD et Linux ;
une version plus robuste de MD5 compatible avec d'autres systèmes Solaris.
Pour de plus amples informations sur la procédure de protection des mots de passe utilisateur à l'aide de ces nouveaux modules de chiffrement, consultez le document System Administration Guide: Security Services. Pour obtenir des informations sur la puissance de ces modules, consultez les pages de manuel crypt_bsdbf(5), crypt_bsdmd5(5) et crypt_sunmd5(5).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
La fonction de gestion des mots de passe pam_ldap renforce la sécurité générale du service d'attribution de noms LDAP lorsqu'elle est utilisée en conjonction avec Sun ONE Directory Server (anciennement iPlanet Directory Server). La fonction de gestion des mots de passe :
Permet d'assurer le suivi du vieillissement et de la date d'expiration des mots de passe.
Empêche les utilisateurs de choisir des mots de passe évidents ou déjà utilisés.
Avertit les utilisateurs de l'approche de la date d'expiration de leurs mots de passe.
Déconnecte les utilisateurs après plusieurs échecs de connexion.
Empêche que des utilisateurs autres que les administrateurs système autorisés désactivent des comptes ouverts.
Pour de plus amples informations sur les services d'annuaire et d'attribution de noms, consultez le document System Administration Guide: Naming and Directory Services (DNS, NIS, and LDAP). Pour plus de détails sur les services de sécurité de Solaris, consultez le document System Administration Guide: Security Services.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Le cadre du PAM a été étendu et inclut désormais un nouveau drapeau de contrôle permettant d'éviter le traitement de piles supplémentaires. Ceci est possible si le module de service actuel s'est exécuté avec succès et si aucun échec n'a eu lieu sur les modules obligatoires précédents.
Pour de plus amples informations sur cette modification, consultez le document System Administration Guide: Security Services.
Le logiciel Solaris intègre les améliorations de ressources système ci-dessous.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/03.
Le démon d’allocation restrictive rcapd régule la consommation de mémoire physique à l'aide de processus fonctionnant sur des projets ayant une limitation de l'utilisation des ressources définie. Des services associés fournissent des mécanismes pour administrer le démon et afficher les statistiques correspondantes.
Pour obtenir des informations complémentaires, reportez-vous au Chapitre 4, Solaris 9 Resource Manager Topics du System Administration Guide: Resource Management and Network Services. Consultez aussi les pages de manuel rcapstat(1), rcapadm(1M), project(4) et rcapd(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02, elle a été révisée pour la version Solaris 9 4/03.
Vous pouvez désormais utiliser des processus de comptabilité étendue conjointement avec le module de comptabilité de flux pour IPQoS. Pour de plus amples informations sur IPQoS, consultez le document IPQoS Administration Guide.
Pour de plus amples informations sur la fonction de comptabilité étendue, consultez la rubrique “Extended Accounting” du document System Administration Guide: Resource Management and Network Services.
La version Solaris 9 4/03 inclut une interface Perl vers libexacct Cette interface permet de créer des scripts Perl capables de lire les fichiers de comptabilité produits par la structure exacct. Vous pouvez également créer des scripts Perl qui écrivent des fichiers exacct.
Cette nouvelle interface présente une fonctionnalité équivalente à l'API sous-jacente C.
L'interface Perl sert à enregistrer la consommation des ressources système sur la base d'une tâche ou d'un processus. Elle sert également à enregistrer le consommation sur la base de sélecteurs fournis par le module flowacct de IPQoS.
Pour de plus amples informations sur l'interface Perl vers libexacct, reportez-vous au Chapitre 7, Extended Accounting du System Administration Guide: Resource Management and Network Services.
Consultez également les pages de manuel suivantes :
Exacct(3PERL ) ;
Exacct::Catalog(3PERL)
Exacct::File(3PERL) ;
Exacct::Object(3PERL) ;
Exacct::Object::Group(3PERL) ;
Exacct::Object::Item(3PERL) ;
Kstat(3PERL ) ;
Project(3PERL ) ;
Task(3PERL ).
Le logiciel Solaris intègre les améliorations de performances suivantes :
Améliorations apportées aux performances de la consignation UFS ;
SPARC : prise en charge de la DISM (Dynamic Intimate Shared Memory) en grande page.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
La consignation UFS permet d'accélérer le redémarrage du système. Il est en effet inutile de vérifier le système de fichiers si celui-ci est cohérent, les transactions du système de fichiers ayant déjà été stockées.
Par ailleurs, dans cette version de Solaris, les performances de la consignation UFS sont supérieures à celles des systèmes de fichiers de non-consignation. Les résultats de l'évaluation des performances SPECsfs (Standard Performance Evaluation Corporation system file server) prouvent que les performances des systèmes de fichiers montés via NFS et dont la consignation est activée équivalent à celles obtenues grâce à la non-consignation UFS. Dans certaines configurations de type E/S, les performances des systèmes de fichiers UFS de consignation peuvent être supérieures d'environ 25% à celles des systèmes de fichiers UFS de non-consignation. Selon d'autres tests, les performances des systèmes de fichiers UFS de consignation sont 12 fois supérieures à celles des systèmes de fichiers UFS de non-consignation.
Pour obtenir des informations sur l'activation de la consignation d'un système de fichiers UFS, reportez-vous au document System Administration Guide: Basic Administration ou à la page de manuel mount_ufs(1M).
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02.
Le répartiteur et le sous-système de mémoire virtuelle de Solaris ont été améliorés pour optimiser le temps requis par une application pour accéder à la mémoire. Cette optimisation peut ainsi améliorer automatiquement les performances de nombreuses applications. Cette fonction est généralement implémentée pour prendre en charge des plates-formes spécifiques telles que Sun Fire 3800–6800, Sun Fire 12K et Sun Fire 15K.
Vous trouverez un livre blanc technique concernant Solaris Memory Placement Optimization and Sun Fire Servers sur le site Web à l'adresse suivante :
http://www.sun.com/servers/wp/docs/mpo_v7_customer.pdf
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 9/02.
La prise en charge de grandes pages est désormais fournie pour DISM (Dynamic Intimate Shared Memory). Elle contribue à améliorer les performances des applications capables de régler la taille de la mémoire partagée de façon dynamique.
Pour de plus amples informations sur la mémoire DISM, reportez-vous à la rubrique Performances système.
Le logiciel Solaris 9 intègre le navigateur Netscape 7.0.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Le navigateur multiplates-formes NetscapeTM 7.0 intègre des fonctions permettant de naviguer sur le Web, de communiquer avec des collègues, de participer à des groupes de discussion et de créer des pages Web dynamiques. Netscape 7.0 offre les avantages suivants :
rapidité et efficacité des outils de navigation ;
améliorations apportées aux fonctions de courrier intégré et de messagerie instantanée ;
rapidité accrue et optimisation des fonctions de recherche ;
confidentialité accrue ;
fonctionnalité pour les entreprises.
Netscape 7.0 inclut les caractéristiques indiquées ci-dessous.
Prise en charge d'Internet fournie par les applications suivantes :
Netscape NavigatorTM
Netscape Mail (messagerie & forums) ;
Netscape Instant Messenger (messagerie instantanée) ;
Netscape Composer (éditeur de pages Web) ;
Netscape Address Book (carnet d'adresses) ;
utilitaires et plug-ins supplémentaires.
La prise en charge des normes industrielles les plus récentes - technologie Java, protocole IPv6, technologie P3P (Platform for Privacy Preferences Project), langage XML, feuilles de style CSS (Cascading Style Sheets), niveau 1 (CSS1) et modèle DOM (Data Output Messaging) – qui ouvrent la porte à une nouvelle classe d'applications Web.
Ma barre latérale : permet aux utilisateurs d'accéder rapidement aux informations qui les intéressent (dernières nouvelles, portefeuilles d'actions, répertoire de contacts, ventes aux enchères, etc.).
Fonction de recherche intégrée entièrement personnalisée : contribue à accélérer l'accès aux informations et supprime l'attente pendant le chargement des pages de recherche et l'ouverture des fenêtres.
Messagerie instantanée intégrée aux fonctions de navigation et de courrier : augmente la productivité et contribue à une meilleure communication entre l'utilisateur et ses interlocuteurs.
Thèmes : permet aux utilisateurs de doter leur navigateur d'une touche personnelle, et aux sites Web et aux entreprises de créer des navigateurs répondant aux spécifications de leurs clients.
Design flexible et modulaire : améliore l'expérience Internet de l'utilisateur et augmente sa productivité.
Prise en charge mondiale pour l'anglais, ainsi que pour les langues européennes et asiatiques.
Technologie Java intégrée : assure un accès transparent et multiplates-formes aux applications Java basées sur un navigateur.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02. La version Solaris 9 4/03 inclut Netscape 7.0. Consultez la rubrique Netscape 7.0.
Le logiciel Solaris 9 intègre le bureau GNOME 2.0.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Le bureau GNOME 2.0 est un bureau avancé et intuitif pour le logiciel Solaris. GNOME 2.0 propose une alternative au CDE (Common Desktop Environment), qui était fourni avec plusieurs versions précédentes de l'environnement Solaris.
GNOME 2.0 offre un environnement familier permettant à l'utilisateur d'interagir facilement avec les applications et les documents de son bureau. Il offre les fonctions suivantes :
un gestionnaire de fichiers avancé ;
un système d'aide en ligne complet ;
des utilitaires et des accessoires ;
des tableaux de bord pour lancer des applications et gérer les fenêtres des applications et plusieurs espaces de travail.
Voici la liste des composants importants du bureau GNOME 2.0 :
Nautilus est un gestionnaire de fichiers avancé permettant d'organiser et de situer les applications et les documents. Il permet également de visualiser directement le contenu des fichiers texte et image dans le gestionnaire de fichiers.
La barre des tableaux de bord du bureau est composée des éléments suivants :
des lanceurs d'application ;
des menus système ;
des tiroirs de tableau de bord (sous-tableaux de bord) ;
des applets.
Les tableaux de bord permettent de lancer des applications rapidement et de visualiser l'état du système. Vous pouvez créer un nombre illimité de tableaux de bord.
Les applications prennent en charge une gamme de tâches journalières. Voici la liste des applications de GNOME 2.0 :
l'éditeur de texte ;
la calculatrice ;
la table de caractères ;
le visionneur d'images ;
le visionneur PostScript ou PDF ;
le lecteur multimédia ;
l'enregistreur de sons ;
le moniteur de performances ;
le gestionnaire d'impression ;
le terminal.
Les applets sont des ensembles d'utilitaires fonctionnant dans un tableau de bord. Voici la liste des applets du bureau GNOME 2.0 :
l'horloge ;
la boîte de réception ;
le lecteur de CD ;
le réglage du volume ;
la table de caractères ;
la ligne de commande ;
le commutateur de disposition clavier ;
la liste des fenêtres ;
le changeur d'espace de travail.
Pour de plus amples informations sur le bureau GNOME 2.0, reportez-vous à la Collection Bureau GNOME 2.0. Vous trouverez des informations complémentaires sur cette collection à la rubrique Révision de la documentation existante et publication de nouveaux documents pour Solaris 9 8/03.
Le logiciel Solaris intègre les améliorations de fenêtrage X11 suivantes :
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
Le programme Xscreensaver verrouille l'écran de votre ordinateur après une période d'inactivité afin d'interdire à quiconque l'accès à votre session. Xscreensaver prend en charge divers affichages d'animation pouvant être utilisés pendant le verrouillage de l'écran. Ce programme est utilisé dans le bureau GNOME 2.0.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
XEvIE est une interface de bas niveau qui intercepte tous les événements relatifs au clavier et à la souris de manière à ce qu'ils puissent être lus, utilisés ou modifiés si nécessaire. Cette extension X permet une meilleur intégration de technologies d'aide, dont celle du bureau GNOME 2.0.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
FreeType 2.1.x est une bibliothèque source libre qui fournit une API (Application Programming Interface) simple. L'API peut accéder au contenu de la police d'une manière uniforme, indépendamment du format de fichiers. Des API dotées d'un format spécifique peuvent par ailleurs être utilisées pour accéder à des données particulières présentes dans le fichier des polices.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
Les améliorations apportées à l'écran virtuel Xserver offrent une prise en charge de l'accessibilité au bureau GNOME 2.0 à l'environnement d'exploitation Solaris. Cette capacité implique la prise en charge des logiciels d'agrandissement sur des systèmes dotés d'une seule mémoire d'écran.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
La nouvelle fonction Xrender augmente les performances des applications telles que l'ensemble de logiciels StarOffice, tournant sur le logiciel Solaris. La fonction Xrender dote ces applications d'un aspect plus moderne. Xrender utilise le traitement matériel pour réaliser des effets de semi-transparence (alpha-blending) et de transparence.
La version Solaris intègre les améliorations de freewares suivantes :
pour consulter les termes de la licence, les conditions d’attribution et le copyright s’appliquant à ces freewares, reportez-vous au chemin d'accès de la licence inclus dans chaque description présentée ci-dessous. Si le logiciel Solaris a été installé ailleurs qu'à l'emplacement par défaut, modifiez le chemin d'accès au fichier par l'emplacement de l'installation.
Pour consulter une liste des freewares de la version Solaris 9, reportez-vous à la rubrique Freewares.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 8/03.
La version Solaris comprend le package de freeware Ghostscript 7.05. Celui-ci lit les fichiers PostScript et PDF, et affiche ces fichiers à l'écran ou les convertit à un format utilisable par un grand nombre d'imprimantes. Reportez-vous à la page de manuel gs(1) sous /usr/sfw/share/man.
pour consulter les termes de la licence, les conditions d’attribution et le copyright s’appliquant à Ghostscript, empruntez le chemin d'accès : /usr/sfw/share/src/<freeware name>.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 4/03.
Les nouveaux packages de freewares présentés ci-dessous ont été ajoutés ou révisés dans la version Solaris 9 4/03 :
libxml2 2.4.16 est un standard de création de documents ou de données dont la structure est basée sur des étiquettes.
libxslt 1.0.19 est un langage XML permettant de définir des transformations relatives à ce même langage.
pour consulter les termes de la licence, les conditions d’attribution et le copyright s’appliquant à ces packages, empruntez le chemin d'accès : /usr/share/src/<freeware name></filename>.
Cette fonction est nouvelle dans la version Solaris 9 12/02.
La version Solaris comprend le package de freewares suivant : ANT 1.4.1 est un nouveau package basé sur Java ANT Jakarta et XML.
pour consulter les termes de la licence, les conditions d’attribution et le copyright s’appliquant à ANT, empruntez le chemin d'accès : /usr/sfw/share/src/<freeware name>.