Ces notes de version contiennent des informations importantes sur JavaTM System Web Server 7.0 Update 2(Web Server ). Ces notes abordent de nouvelles fonctionnalités et améliorations et présentent les notes d'installation, les problèmes connus et d'autres informations récentes importantes. Lisez attentivement ce manuel avant d'utiliser Web Server Update 2.
Ces notes de version se composent des sections suivantes:
Web Server Update 2 est une version de mise à jour de Web Server 7.0. En plus des fonctionnalités et des améliorations des versions Web Server 7.0 et Web Server 7.0 Update 1, Web Server 7.0 Update 2 confère au produit les fonctionnalités et améliorations à valeur ajoutée décrites ci-dessous. Celles-ci sont décrites dans les sections ci-dessous.
Cette version de mise à jour de Web Server présente une option pour commander au NSS de contourner la couche PKCS#11 lors de certaines étapes du traitement SSL/TLS. L'opération de contournement de la couche PKCS#11 permet d'accroître les performances. Par défaut, la couche PKCS#11 est contournée. Lors du démarrage du serveur, le serveur demande à chaque jeton doté d'une clé de serveur de vérifier si chaque jeton peut prendre en charge le contournement PKCS#11. Si l'un des jetons ne peut pas prendre en charge ce processus, celui-ci est désactivé. Par conséquent, aucune opération utilisateur n'est requise pour pouvoir profiter des perfomances du contournement PKCS#11. Le serveur bénéficie automatiquement du contournement et désactive automatiquement ce dernier si la configuration actuelle ne permet pas d'utiliser le jeton.
Web Server fournit une prise en charge de la CLI et de la console d'administration pour activer et désactiver le contournement. Pour de plus amples informations sur l'activation ou la désactivation du contournement PKCS11 à l'aide de la console d'administration ou de la CLI, reportez-vous à la section To Enable and Bypass PKCS#11 Tokens du Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide.
Cette version de mise à jour de Web Server intègre Service Management Facility Solaris 10 pour la plate-forme JavaTM (SMF). SMF est une nouvelle fonctionnalité du système d'exploitation Solaris permettant de créer un modèle pris en charge et unifié pour les services et la gestion de service sur tous les systèmes Solaris. Ce mécanisme définit, distribue et gère les services applicatifs longs pour Solaris. Un service est défini par un fichier manifeste de service, un fichier XML décrivant un service et toutes les instances associées à ce service.
Pour de plus amples informations concernant la prise en charge de SMF sur Web Server, reportez-vous à la section Integrating Service Management Facility for the Java Platform with Web Server du Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide.
Cette version de Web Server prend en charge le traitement des requêtes pouvant être prises en charge de manière asynchrone par le cache d'accélérateur, permettant ainsi d'accoître les performances du serveur. Les fonctionnalités à valeur ajoutée sont les suivantes :
gestion de la reconfiguration dynamique ;
introduction d'un indicateur AsyncAccelerator dans le fichier magnus.conf pour désactiver le cache async ;
traitement des requêtes par l'accélérateur asynchrone pour les statistiques ;
écriture du journal d'accès lors du traitement des requêtes par l'accélérateur asynchrone.
Cette version de mise à jour de Web Server présente la possibilté d'afficher la trace de la pile d'exception ou les erreurs du compilateur JSP sur un navigateur. Dans les précédentes versions de Web Server, en cas d'exception dans le conteneur de servlet lors de la requête, le message « Erreur serveur » s'affiche sans faire apparaître les détails de l'application interne. L'exception est toujours consignée dans un journal d'erreur, que cette fonctionnalité soit activée ou non.
L'affichage de la trace de la pile d'exception ou des erreurs du compilateur JSP sur un navigateur n'est pas activé par défaut. Vous pouvez activer cette fonctionnalité par la commande set-servlet-conteneur-prop ou par la case à cocher Afficher les exceptions dans le conteneur de servlet de la console d'administration. Cela s'avère utile pour le développement. Il est fortement recommandé de ne pas activer cette fonctionnalité dans les systèmes de production.
Dans cette version de Web Server, l'expérience d'administration est améliorée grâce aux fonctionnalités clé suivantes :
Web Server prend en charge l'annulation de la configuration déployée. L'administration de Web Server permet dorénavant d'utiliser les sauvegardes automatiquement sur chaque configuration déployée. La CLI d'administration permet de répertorier les sauvegardes et de restaurer une sauvegarde spécifiée.
Cette version de Web Server vous permet de réinitialiser le mot de passe utilisateur du serveur d'administration. Cependant, cette fonctionnalité ne fonctionne que localement, sur le nœud du serveur d'administration.
La console d'administration vous permet d'installer, de supprimer, de filtrer les certificats CA, la chaîne de certification et les LRC. En outre, le serveur avertit les utilisateurs en cas d'expiration prochaine des certificats.
Vous pouvez utiliser la console d'administration ou le centre de mise à jour pour enregistrer Web Server sur Sun Connection. Ce faisant, vous pourrez bénéficier des avantages suivants :
informations de patch et mises à jour de bogue ;
actualités et événements ;
support et offres de formation.
Pour plus d'informations sur les fonctionnalités d'administration, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Cette version propose la prise en charge de la version autonome 64 bits de Web Server. La version Linux 64 bits de Web Server 7.0 est une distribution autonome distincte et ne peut pas coexister avec la version Linux 32 bits de Web Server 7.0. Elle requiert la version 64 bits de Java Development Kit 5.0 Update 12 ou supérieure. Le serveur d'administration et l'instance de serveur sont uniquement en serveur 64 bits. La migration à partir de versions précédentes n'est pas prise en charge sur la version Linux 64 bits de Web Server 7.0.
Cette version de mise à jour de Web Server propose une prise en charge de la connexion à l'EDI NetBeans 6.0 et permet aux utilisateurs de développer, déboguer et déployer des applications sur le serveur Web. Vous pouvez télécharger le plug-in NetBeans à partir du centre de mise à jour en utilisant l'EDI NetBeans 6.0.
En plus de la prise en charge de l'EDI NetBeans 6.0, Web Server prend en charge les versions NetBeans 5.0 et 5.5.1 de l'EDI.
Web Server 7.0 Update 1 est une mise à jour de la version principale de Web Server 7.0.
En plus des fonctionnalités et améliorations de Web Server 7.0 présentées ultérieurement dans ce manuel, Web Server 7.0 Update 1 prend en charge les technologies de plate-forme Java TM, Enterprise Edition (Java EE) 5.0 et Web 2.0. Les fonctionnalités et améliorations sont présentées plus en détails dans les sections suivantes.
Prise en charge de Java Servlet 2.5 et JavaServer Pages (JSP) 2.1
Prise en charge de JavaServer Pages Standard Tag Library et JavaServer Faces 1.2
Prise en charge administrative pour la configuration de FastCGI
Prise en charge de la console d'administration pour la configuration des expressions régulières
Prise en charge de l'IG et de la CLI pour les critères spéciaux
Web Server comprend une implémentation, compatible avec la plate-forme Java, Enterprise Edition (Java EETM) 5, des spécifications des technologies Java Servlet 2.5 et JavaServer PagesTM ( JSPTM) 2.1. Web Server offre la flexibilité et la fiabilité nécessaires à la conception et au déploiement des applications Web répondant aux normes de la technologie Java.
La technologie Java Servlet offre aux développeurs Web une méthode simple et fiable d'extension de la fonctionnalité d'un serveur Web et d'accès aux systèmes professionnels existants. La technologie JSP fournit une méthode rapide et simplifiée de création de contenu Web dynamique. Elle permet un développement rapide des applications Web, indépendantes du serveur et de la plate-forme.
Pour plus d'informations sur ces technologies, consultez le site : http://java.sun.com/javaee/5/docs/tutorial/doc/.
JavaServer Pages Standard Tag Library fournit des balises personnalisées qui encapsulent la fonctionnalité principale commune à de nombreuses applications Web. Il prend en charge les tâches structurelles communes, telles que l'itération et les conditionnelles. Il fournit des balises pour manipuler les documents XML, les balises d'internationalisation et les balises SQL. Il propose également une structure d'intégration entre les balises personnalisées existantes et les balises JavaServer Pages Standard Tag Library.
Web Server prend en charge la technologie JavaServer FacesTM. JavaServer Faces est une structure d'interface utilisateur pour la création d'applications Web.
Pour plus d'informations sur ces technologies, consultez le site : http://java.sun.com/j2ee/1.4/docs/tutorial/doc/index.html.
Web Server prend en charge la version 32 bits des plates-formes Java, Standard Edition (Java SETM) 5.0 et Java, Standard Edition (Java SE) 6. Pour la version 64 bits de Web Server, la version 64 bits du logiciel Java Development Kit (JDKTM) est prise en charge.
Le tableau suivant répertorie les versions JDK prises en charge sur les différentes plates-formes :
Tableau 1 Versions JDK prises en charge
Système d'exploitation |
Version Java SE prise en charge |
Fourni ou non avec Web Server |
Prise en charge du 64 bits (oui/non) |
---|---|---|---|
Solaris SPARC |
5.0_09 6 |
Oui Non |
Oui |
Solaris x86/AMD, AMD64 |
5.0_09 6 |
Oui Non |
Oui |
Linux |
5.0_12 6 |
Non Non |
Oui |
Windows |
5.0_09 6 |
Oui Non |
Non |
HP-UX |
5.0_03 |
Non |
Non |
Au moment de l'installation, vous devez spécifier un chemin valide pour le JDK. Pour utiliser la version JDK non incluse dans le produit, téléchargez-la à partir des adresses suivantes :
JDK version 1.6.0 : http://java.sun.com/javase/downloads/index.jsp
JDK version 1.5.0_03 : http://www.hp.com/products1/unix/java/java2/jdkjre5_0/index.html
Web Server comprend une nouvelle technologie de cache accélérateur permettant d'augmenter la vitesse d'envoi des petits fichiers. Le cache accélérateur est automatiquement activé et ne requiert aucune configuration. Pour plus d'informations, reportez-vous à la section File Cache Information du manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Performance Tuning, Sizing, and Scaling Guide .
Vous pouvez configurer FastCGI à l'aide de la console d'administration ainsi que de l'interface de ligne de commande (CLI). Vous pouvez également configurer FastCGI avec Web Server en utilisant les fichiers de configuration.
Pour plus d'informations sur l'utilisation de FastCGI sur Web Server 7.0, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Web Server fournit des plug-ins à intégrer à l'environnement de développement intégré (IDE) NetBeansTM versions 5.0, 5.5 et 5.5.1 pour le déploiement et le débogage des applications Web. NetBeans est un environnement de développement complet destiné à créer des applications Web basées sur la plate-forme Java, Édition Entreprise (Java EE) avec les composants standard.
En plus du déploiement des applications Web, le plug-in permet d'exécuter les activités suivantes :
gestion des instances, comme le démarrage ou l'arrêt des instances de serveur ;
activation ou désactivation des applications ;
création des ressources serveur, telles que les ressources JDBC et les pools de connexion JDBC.
Pour plus d'informations sur NetBeans, consultez le site : http://www.netbeans.org/kb/index.html.
Pour plus d'informations sur l'utilisation de NetBeans sur Web Server, consultez : http://webserver.netbeans.org.
Web Server permet d'écrire des expressions régulières dans le fichier obj.conf via la console d'administration. Cependant, vous disposez uniquement des conditions de forme <If>..</If> pour les redirections d'URL.
Pour plus d'informations sur l'utilisation de la console d'administration en vue d'écrire des expressions régulières, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Web Server permet de configurer des URI, des préfixes d'URI, des propriétés de séquence générique d'URI via la console d'administration et la CLI d'administration.
Pour plus d'informations sur l'utilisation de la console d'administration en vue de configurer des propriétés de motif URI, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Pour plus d'informations sur l'utilisation des commandes de la CLI en vue de configurer des propriétés de motif URI, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 CLI Reference Manual .
Vous avez la possibilité de configurer Web Server pour l'exécuter comme application 64 bits sur les plates-formes SolarisTM, SPARC® et AMD64.
Web Server propose une prise en charge complète de l'interface de ligne de commande, une configuration consolidée, une sécurité améliorée avec la prise en charge de la cryptographie par courbe elliptique et enfin la prise en charge du clustering. Il intègre également un outil de migration efficace permettant de migrer des applications et des configurations de Web Server 6.0 et Web Server 6.1 vers Web Server 7.0.
Sun Java System Web Server comporte les nouvelles fonctions suivantes :
Prise en charge de Java Database Connectivity et du pool de connexions
Technologies intégrées Java Web Services Pack développeur 2.0
Redirection et réécriture d'URL à l'aide d'expressions régulières
L'infrastructure de gestion de Web Server est basée sur la technologie moderne de distribution Java Management Extensions (JMXTM). La technologie JMX fournit des outils de création de solutions distribuées dynamiques et modulaires basées sur le Web pour la gestion et le contrôle de périphériques, d'applications et de réseaux gérés par le service. JMX vous aide à gérer et contrôler les instances, configurations et applications Web à travers des déploiements Web Server clusterisés.
Le serveur d'administration est une instance spécialement configurée de Web Server sur laquelle sont déployées les applications d'administration, chacune étant exécutée sur chaque nœud de la batterie de serveurs. L'un de ces nœuds est configuré en tant que serveur d'administration et les autres comme nœuds d'administration.
Le serveur d'administration basé sur le Web a été reconçu pour faciliter l'accès aux tâches les plus courantes et faciliter l'exécution des tâches complexes.
Il comporte les nouvelles fonctions suivantes :
assistants basés sur le Web pour l'exécution des tâches les plus courantes ;
prise en charge complète de l'interface de ligne de commande (CLI) pour la configuration serveur et les tâches d'administration serveur ;
stockage centralisé de la configuration ;
support pour le déploiement des informations de configuration de Web Server sur plusieurs machines (cette fonction étend la prise en charge de Web Server dans les batteries de serveurs et les clusters) ;
gestion et contrôle intégrés des clusters du serveur.
Pour plus d'informations sur l'utilisation de l'interface d'administration en vue d'effectuer des tâches administratives, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
L'interface de ligne de commande vous permet de configurer et de gérer facilement votre serveur.
Elle comporte les fonctions clés suivantes :
shellJava Command Language (jacl ) incorporé pour les scripts ;
CLI extensible, vous permettant d'ajouter des commandes à l'aide de plug-ins tiers ;
support pour les administrations, configurations et gestions locales ou distantes d'une ou plusieurs instances de serveur ;
exécution automatique de commandes lorsque vous entrez un ou plusieurs caractères et appuyez sur la touche Tab ;
modes de fonctionnement conviviaux basés sur la CLI, notamment les modes Simple, Shell et Fichier.
Pour plus d'informations sur les commandes, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 CLI Reference Manual .
Web Server est intégré à N1TM Service Provisioning Server 5.2. Ce dernier est un outil de provisioning d'application qui permet d'éliminer l'utilisation de scripts personnalisés. Grâce à l'intégration de Web Server dans Sun N1 Service Provisioning System, en tant qu'administrateur, il ne vous est plus nécessaire d'écrire des scripts personnalisés pour l'installation de plusieurs serveurs Web dans un environnement de centre de données ou dans une batterie de serveurs.
Les fichiers de configuration de Web Server ont été réorganisés et consolidés pour simplifier les tâches d'administration.
Dans les versions précédentes de Web Server, les fichiers de configuration, contenus dans la userdb, étaient partagés entre toutes les instances et le contenu de ces fichiers était souvent spécifique à une instance. Sur Web Server 7.0, les fichiers de configuration contenus dans le répertoire userdb ont été supprimés. Leur fonctionnalité a été incorporée dans le fichier server.xml du répertoire config . Les fichiers de configuration des répertoires alias et httpacl ont été déplacés dans le répertoire config. Ces modifications consolident les informations de configuration spécifiques aux instances dans le répertoire config d'une instance.
Pour plus d'informations sur les fichiers de configuration, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Configuration File Reference .
L'API Java Naming and Directory InterfaceTM (J.N.D.I.) fournit une connexion transparente aux services hétérogènes de nommage et d'annuaire d'une entreprise.
Web Server offre une technologie prête à utiliser et transparente Java DataBase Connectivity (JDBCTM) et prend en charge une large gamme de pilotes JDBC standard et personnalisés.
Web Server prend en charge le pool de connexions JDBC, c'est-à-dire, un groupe de connexions réutilisables pour une base de données particulière. Étant donné que la création d'une nouvelle connexion prend du temps, le serveur conserve un pool de connexions disponibles pour accroître les performances. Lorsqu'une application requiert une connexion, celle-ci obtient une connexion du pool. Lorsqu'une application met fin à une connexion, cette dernière est replacée dans le pool.
Pour plus d'informations sur la création de pools de connexion JDBC, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Web Server comprend les technologies Java Web Services Pack développeur (Java WSDP) 2.0 et XML. Les services Web déployés à l'aide de Java WSDP peuvent être déployés sur Web Server de la même manière qu'une application Web en utilisant la commande wadm.
Web Server 7.0 prend en charge des fonctions de sécurité, telles que le chiffrement XML, la signature numérique XML et le fournisseur de sécurité des messages.
Pour plus d'informations sur Java WSDP 2.0, consultez le site suivant :
http://java.sun.com/webservices/jwsdp/index.jsp
Les échantillons Java WSDP 2.0 se trouvent à l'emplacement suivant. Ils peuvent être déployés sur Web Server 7.0.
http://java.sun.com/webservices/downloads/2.0_preview_webservicespack.html
Web Server prend en charge la réplication et le basculement de sessions basés sur des clusters. La réplication et le basculement de sessions fournissent une haute disponibilité pour les applications Web en répliquant les sessions HTTP d'une instance de serveur vers une autre dans le même cluster de serveur. Étant donné que chaque session HTTP possède une copie de sauvegarde sur une instance distante, une panne serveur qui provoque l'indisponibilité d'une instance du cluster ne perturbe par la continuité de la session.
Pour plus d'informations sur la prise en charge de la réplication de session légère, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Web Server 7.0 présente une prise en charge améliorée des expressions régulières et du traitement conditionnel dans le fichier de configuration obj.conf.
Les améliorations clés comprennent :
la prise en charge des expressions régulières ;
une fonction d'application serveur (SAF) restart pour le redémarrage des requêtes avec un nouvel URI ;
la prise en charge des paramètres SAF dynamiques incluant des expressions, variables et références support d'expressions régulières ;
les balises <If>, <ElseIf> et <Else> pour le traitement conditionnel ;
la prise en charge des conditions complexes utilisant les opérateurs and, or, et not ;
les filtres sed-request et sed-response pour la réécriture des requêtes et des corps de messages de réponse.
Vous pouvez utiliser ces nouvelles fonctions pour définir des règles de redirection et de réécriture d'URL flexibles, comme celles disponibles via mod_rewrite sur le serveur HTTP Apache. À la différence de mod_rewrite, les expressions régulières et le traitement conditionnel sur Web Server 7.0 peuvent être utilisés à n'importe quelle étape du traitement des requêtes, même avec des plug-ins tiers.
Pour plus d'informations sur les expressions régulières et les fonctions de réécriture d'URL, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Configuration File Reference .
En plus des applications de contrôle fournies par les versions précédentes de Web Server, Web Server apporte les optimisations suivantes :
contrôle des servlets, JSP et caractéristiques du conteneur JavaServer Pages Standard Tag Library ;
contrôle des statistiques du processus et du serveur virtuel depuis le serveur d'administration ;
intégration avec l'agent de gestion du système sur la plate-forme Solaris 10 ; intégration avec Java Enterprise System Monitoring Framework (Java ES Monitoring Framework - structure de contrôle de Java ES), qui permet de rendre les informations de contrôle de Web Server disponibles sur Java ES Monitoring Framework ;
accès aux données de contrôle sous la forme de Management Beans (MBeans) via le script Java Monitoring and Management Console (jconsole), Java ES Monitoring Framework ou n'importe quelle application cliente compatible avec Java Management Extensions (JMX).
Pour plus d'informations sur la fonction de contrôle de Web Server, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Le proxy inverse est intégré à Web Server . Il peut être exécuté en tant que module interne.
Un proxy inverse est un proxy qui apparaît comme un serveur Web (serveur d' origine) aux clients mais qui, en réalité, transfère les requêtes qu' il reçoit à un ou plusieurs serveurs d' origine. Parce qu'un proxy inverse se présente comme un serveur d'origine, les clients n'ont pas besoin d'être configurés pour utiliser un proxy inverse. En configurant un proxy inverse donné pour transmettre des requêtes à de multiples serveurs d'origine de même configuration, un proxy inverse peut fonctionner comme un équilibreur de charge de logiciel d'application. Lors d'un déploiement type, un ou plusieurs proxy inverses sont déployés entre les navigateurs et les serveurs d'origine.
Le proxy inverse intégré fournit une couche de protection supplémentaire entre l'Internet public et les serveurs Web d'origine. Vous avez la possibilité de configurer Web Server comme un serveur de proxy inverse pour des serveurs d'applications d'arrière-plan, tels que Tomcat et Sun Java System Application Server 9.
Web Server propose une prise en charge de l'IG et la CLI pour la configuration du proxy inverse.
Pour plus d'informations sur la configuration du proxy inverse, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Web Server prend en charge une grande variété de technologies permettant le chiffrement et la validation de données, l'authentification des requêtes et la protection des processus du serveur. Les améliorations clés des fonctions de sécurité comprennent notamment :
prise en charge de la structure cryptographique de la plate-forme Solaris 10 (par exemple, libpkcs11.so comprenant la prise en charge de l'accélération matérielle du processeur T1 UltraSPARC ®) ;
améliorations de la protection contre les attaques par déni de service (DoS) ;
protection par script intersite via le filtrage natif d'entrée basé sur sed(1) ;
sécurité des services Web :
signature numérique XML IETF,
chiffrement XML W3C ;
plate-forme intégrée pour la prise en charge des préférences de confidentialité (P3P) ;
prise en charge du contrôle d'accès WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) ;
amélioration de la auth-db (base de données d'authentification) du protocole LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) afin que les expressions de recherche et les attributs match soient configurables ;
prise en charge par la auth-db LDAP de l'interopérabilité avec Microsoft Active Directory ;
prise en charge de la migration de certificat depuis Tomcat ou autre référentiel basé sur les fichiers keystore Java ;
prise en charge des listes de révocation de certificats (LRC) appliquées de manière dynamique ;
prise en charge d'IPv6 intégrée.
Sun Java System Web Server a toujours pris en charge les clés RSA. En plus de la prise en charge continue des clés RSA, Web Server 7.0 propose désormais la prise en charge de la cryptographie par courbe elliptique (ECC).
L'ECC représente la nouvelle génération de cryptographie par clé publique pour les environnements mobiles et sans fil. Cette méthode est basée sur un ensemble d'algorithmes pour la génération de clés, le chiffrement et le déchiffrement de manière à exécuter une cryptographie asymétrique.
Les fonctions principales de l'ECC sont les suivantes :
Par rapport aux systèmes de cryptage traditionnels, tels que le RSA, l'ECC offre une sécurité équivalente pour des tailles de clé plus petites, ce qui permet d'obtenir des calculs plus rapides, de réduire la consommation en énergie, ainsi que la consommation en mémoire et bande passante.
L'ECC fonctionne sur des courbes elliptiques. Vous devez choisir une courbe et une longueur de clé. Les courbes sont normalisées et nommées par diverses organisations, telles que NIST, ANSI et SECG. Étant donné que ces normes incluent la longueur de clé, il vous suffit de choisir l'un des noms de courbe prédéfinis. Web Server 7.0 prend en charge toutes les courbes actuellement spécifiées.
Pour plus d'informations sur l'utilisation de l'ECC sur Web Server, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide .
Web Server 7.0 prend en charge Sun Java Studio Enterprise 8.1. Sun Java Studio est un EDI extensible et puissant pour les développeurs de la technologie Java. Sun Java Studio 8.1 est basé sur le logiciel NetBeans et intégré à la plate-forme Java de Sun.
Vous pouvez vous procurer le plug-in de Web Server comme suit :
à partir du CD-ROM d'accompagnement inclus dans le kit média Sun Java System Web Server ;
via la fonction de mise à jour automatique (AutoUpdate) de Sun Java Studio ;
à partir du centre de téléchargement de Sun Java System Web Server.
Le plug-in Sun Java Studio 8.1 pour Web Server fonctionne uniquement sur un serveur Web local. Cela signifie que l'EDI et le serveur Web doivent être installés sur la même machine.
Pour plus d'informations sur l'utilisation des fonctions de l'application Web sur Sun Java Studio 8.1, reportez-vous au didacticiel suivant :
http://developers.sun.com/prodtech/javatools/jsenterprise/learning/tutorials/index.jsp
Pour plus d'informations sur Sun Java Studio 8, consultez le site suivant :
http://www.sun.com/software/sundev/jde/
Web Server est proposé dans les langues suivantes :
français ;
allemand ;
espagnol ;
japonais ;
chinois simplifié ;
chinois traditionnel ;
coréen.
Web Server peut être installé sur des systèmes d'exploitation Solaris, Linux, HP-UX et Windows. Le tableau ci-dessous indique les plates-formes prises en charge. Pour plus d'informations sur les exigences d'installation, reportez-vous à la section Patchs requis du présent manuel.
Web Server s'exécute en tant qu'application 32 bits sous Windows, Linux et HP-UX.
L'architecture Itanium d'Intel n'est pas prise en charge.
La mémoire minimale requise pour installer Web Server sur les plates-formes spécifiées s'applique lorsque vous installez l'application en tant que produit autonome. Si vous l'installez comme composant de Java ES, la mémoire minimale requise peut varier. Pour obtenir les spécifications de mémoire exactes, reportez-vous aux Notes de version de Sun Java Enterprise System 5 pour UNIX.
Fournisseur |
Architecture |
Système d'exploitation |
Mémoire minimum requise |
Espace disque minimum recommandé |
---|---|---|---|---|
Sun |
UltraSPARC® |
Solaris 8, 9, 10 |
256 Mo |
550 Mo |
Sun |
AMD/x86 |
Solaris 9, 10 (x86) Solaris 10 (AMD64) |
256 Mo |
550 Mo |
Microsoft |
AMD/x86 |
Windows 2000 Advanced Server, Service Pack 4 Windows XP Édition Professionnel, Windows 2003 Server, Édition Entreprise |
256 Mo |
550 Mo |
Red Hat |
AMD/x86 |
Red Hat Enterprise Linux AS 3.0 (Mise à jour 4 ou supérieure), 4.0 (ou mises à jour ultérieures) Red Hat Enterprise Linux 4 64 bits Red Hat Enterprise Linux 5 64 bits SuSE Enterprise Linux 10.2 64 bits |
768 Mo |
550 Mo |
Novell |
AMD/x86 |
SUSE Linux Enterprise Server 9 (ou mises à jour ultérieures) |
256 Mo |
550 Mo |
Hewlett-Packard |
PA-RISC 2.0 |
HP-UX 11iv1 (B.11.11) |
256 Mo |
550 Mo |
Mettez votre système d'exploitation à jour avec les derniers patchs disponibles. Les patchs requis sont répertoriés dans les sections suivantes.
Les utilisateurs x86 ou SPARC d'un système d'exploitation Solaris 8, 9 ou 10 doivent disposer du dernier cluster de patchs disponible. Ce dernier est disponible sous « Recommended and Security Patches » sur le site Web http://sunsolve.sun.com/pub-cgi/show.pl?target=patchpage.
Sur une plate-forme Solaris (SPARC) 32 bits, installez les packages SUNWlibC et SUNWlibCx, en plus des patchs répertoriés dans les sections suivantes.
Le programme d'installation de Web Server 7.0 détermine si les patchs requis sont installés sur votre machine, sans lesquels l'installation échouerait. Les patchs suivants sont requis pour une installation et un fonctionnement corrects de Web Server 7.0 sur une plate-forme prise en charge.
Si les patchs disponibles sur http://sunsolve.sun.com sont obsolètes, téléchargez la dernière version de ces patchs pour obtenir les dernières corrections de bogue et les dernières améliorations produit.
Pour connaître la version du système d'exploitation Solaris installé sur votre machine, consultez le fichier /etc/release.
Ce fichier contient les informations de version sous le format suivant :
Solaris 10 6/06 s10x_u2wos_08 X86 Copyright 2006 Sun Microsystems, Inc. Tous droits réservés. Utilisation soumise à licence. Assemblé le 02 mai 2006 |
Plate-forme Solaris 8 (SPARC)
Solaris 8 2/02
109326-19
108434-18 : patch de bibliothèque partagée pour C++ (pour la version 32 bits de Web Server)
108435-18 : patch de bibliothèque partagée pour C++ (pour la version 64 bits de Web Server)
Plate-forme Solaris 8 (x86)
109327-19
Plate-forme Solaris 9 (SPARC)
Solaris 9 9/05
112970-12
111711-12 : patch de bibliothèque partagée pour C++ (pour la version 32 bits de Web Server)
111712-12 : patch de bibliothèque partagée pour C++ (pour la version 64 bits de Web Server)
Plate-forme Solaris 9 (x86)
Solaris 9 9/05
114354-11
117172-17 : patch de noyau
111713-09 : patch de bibliothèque partagée pour C++
Plate-forme Solaris 10 (SPARC)
119964-03 : patch de bibliothèque partagée pour C++
120033-04 : patch S10
SUNWlxml (pour la version 64 bits de Web Server)
Plate-forme Solaris 10 (x86)
120032-04 : patch SPARC S10 contenant le correctif pour libresolv
Certains patchs incompatibles peuvent affecter le démarrage de Web Server et engendrer une incapacité du serveur à répondre aux requêtes. Le tableau suivant répertorie ces patchs. Si un patch incompatible est installé sur votre machine, mettez-le à niveau avec un patch compatible recommandé.
Tableau 3 Liste des patchs incompatibles
Système d'exploitation |
Patch incompatible |
Patch compatible recommandé |
---|---|---|
Solaris 8 SPARC |
109147-37 (patch de l'éditeur de liens) 109147-38 (patch de l'éditeur de liens) 109147-39 (patch de l'éditeur de liens) |
109147–40 (patch de l'éditeur de liens) |
Solaris 9 SPARC |
112963-22 (patch de l'éditeur de liens) 112963-23 (patch de l'éditeur de liens) 112963-24 (patch de l'éditeur de liens) |
112963-25 (patch de l'éditeur de liens) |
Solaris 10 SPARC |
117461-04 (patch d'ID) 117461-05 (patch d'ID) 117461-06 (patch d'ID) 117461-07 (patch d'ID) |
117461-08 (patch d'ID) |
Solaris 9 x86 |
113986-18 (patch de l'éditeur de liens) 113986-19 (patch de l'éditeur de liens) 113986-20 (patch de l'éditeur de liens) |
113986-21 (patch de l'éditeur de liens) |
Solaris 10 x86 |
118345-08 (patch d'ID et libc.so.1) 118345-09 (patch d'ID et libc.so.1) 118345-10 (patch d'ID et libc.so.1) 118345-11 (patch d'ID et libc.so.1) |
121208-02 (patch d'ID et libc.so.1) |
Exigences d'installation de Web Server sur une plate-forme HP-UX :
HPUX11i-OE B.11.11.0312 (composant de l'environnement d'exploitation HP-UX 11i)
HPUXBase64 B.11.11 (SE Base 64 bits HP-UX)
HPUXBaseAux B.11.11.0312 (auxiliaire SE Base HP-UX)
FEATURE11-11 B.11.11.0209.5 (patchs d'activation de fonction HP-UX 11i, sept. 2002)
HWEnable11i B.11.11.0412.5 (patch d'activation matérielle pour HP-UX 11i v1)
BUNDLE B.11.11 (ensemble de patchs)
BUNDLE11i B.11.11.0306.1 (ensemble de patchs requis pour HP-UX 11i, juin 2003)
GOLDAPPS11i B.11.11.0506.4 (patchs d'application pour HP-UX 11i v1, juin 2005)
GOLDBASE11i B.11.11.0506.4 (patchs de base pour HP-UX 11i v1, juin 2005)
JAVAOOB 2.03.01 (Java2 Out-of-box pour HP-UX )
PHCO_29109 1.0 (amélioration et correctifs Pthread)
PHCO_30544 1.0 (nouvelle amélioration et correctif Pthread.h)
PHCO_29495 1.0 (patch cumulé libc)
PHCO_31923 1.0 (patch de fichier d'en-tête cumulé libc)
PHKL_25842 Thread Abort (ou son patch obsolète)
PHCO_35743 s700_800 11.11 (patch cumulé libc)
L'heure d'été (DST) débutera aux États-Unis le 2ème dimanche de mars et se terminera le 1er dimanche de novembre. Ce changement aura des répercussions sur les règles de date et heure du système d'exploitation et sur JDK/JDE.
Assurez-vous de l'adéquation de l'heure des fichiers journaux aux fuseaux horaires américains et vérifiez que le serveur d'administration et les applications Web Java ne sont pas affectés par cette modification en effectuant l'opération suivante :
Téléchargez et utilisez les patchs du système d'exploitation appropriés. |
Vous pouvez télécharger les patchs Solaris sur : http://sunsolve.sun.com/search/document.do?assetkey=1-26-102775-1. |
Pour les autres plates-formes, téléchargez les patchs DST similaires sur le site du fournisseur de votre système d'exploitation. |
Mettez le JRE à niveau pour vous assurer que le serveur d'administration et les applications Web Java ne sont pas affectés par ce changement. |
Téléchargez et utilisez le JRE approprié, comportant le correctif pour le passage à l'heure d'été. |
Les versions du JRE pour les plates-formes prises en charge sont les suivantes : |
Solaris : 1.5.0_09 ou supérieure
Linux : 1.5.0_09 ou supérieure
HP-UX : 1.5.0.03 ou supérieure
Windows : 1.5.0_09 ou supérieure
Les navigateurs suivants sont pris en charge par la console d'administration de Web Server :
Plates-formes Windows et UNIX® :
Mozilla 1.7
Firefox 1.0.4 or 1.5
Plate-forme Windows :
Microsoft Internet Explorer 7
Cette section inclut des notes sur l'installation, la migration et la mise à niveau de Sun Java System Web Server. Pour de plus amples informations sur ces opérations, reportez-vous au Sun Java System Web Server Guide d'installation et de migration. Pour les problèmes connus de cette version de Web Server, reportez-vous à la section Problèmes connus du présent manuel.
Vous ne pouvez pas installer Web Server dans un répertoire qui contient une version précédente du logiciel. Vous pouvez, cependant, migrer l'installation existante après avoir installé Web Server dans un nouveau répertoire.
Vous avez la possibilité d'installer Web Server sous Java Enterprise System ou en tant que version autonome.
Pour une installation autonome, tous les composants partagés nécessaires, tels que NSS, NSPR, sont fournis avec les fichiers d'installation de Web Server.
Si vous avez choisi d'installer Web Server comme partie de la suite Java ES, le programme d'installation de Java ES installe tous les composants partagés, tels que NSS et NSPR, en tant que packages distincts et les binaires spécifiques de Web Server en tant que packages distincts, dépendants du système d'exploitation. Par conséquent, vous devez télécharger et installer tous les patchs des composants partagés et de Web Server.
Pour ce faire, visitez le site Sun Solve. Téléchargez et installez les derniers patchs des composants Java ES pour votre système d'exploitation.
Il est possible de migrer les configurations de Web Server 6.0 et 6.1. Les migrations directes à partir d'une version de Web Server antérieure à 6.0 ne sont pas prises en charge. Les versions précédentes du logiciel, telles que Web Server 4.0 ou supérieure, doivent d'abord être migrées vers Web Server 6.1, puis vers Web Server 7.0. Pour plus d'informations sur cette procédure de migration, reportez-vous au dernier Guide d'installation et de migration de Sun Java System Web Server 6.1 et aux Notes de version de Sun Java System Web Server 6.1.
Pour de plus amples informations sur la migration de Web Server 4.1 vers Web Server 7.0, et de toutes les versions de Web Server 6.0 vers Web Server 7.0, reportez-vous au manuel Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Installation and Migration Guide .
Lorsque vous installez Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 sur une installation existante de Sun Java System Web Server 7.0, le programme d'installation détecte et applique automatiquement la mise à niveau.
Si vous avez installé Sun Java System Web Server 7.0, pointez le programme d'installation de Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 vers l'emplacement de l'installation de Web Server 7.0, puis procédez à la mise à niveau.
Si vous avez installé Sun Java System Web Server 7.0 sous Java ES 5, nous vous recommandons d'installer les patchs suivants à partir du site Web http://sunsolve.sun.com/pub-cgi/show.pl?target=patchpage pour procéder à une mise à niveau vers Web Server 7.0 Update 2 :
125437 pour Solaris SPARC/SPARCV9 ;
125438 pour Solaris x86/x64 ;
125439 pour Linux ;
125440 pour HP-UX ;
125441 pour Windows.
Si vous utilisez une version localisée de Web Server, installez les patchs suivants pour procédez à une mise à niveau correcte de Web Server 7.0 vers Web Server 7.0 Update 2 :
126331 pour Solaris SPARC (8/9/10) (ID du patch de localisation de Solaris SPARC) ;
126332 pour Solaris x86 (8/9/10) (ID du patch de localisation de Solaris x86) ;
126333 (ID du patch de localisation de Linux).
Pour de plus amples informations sur la mise à niveau de Web Server 7.0 vers Web Server 7.0 Update 2, reportez-vous au manuel Installation and Migration Guide.
Web Server 7.0 prend en charge la technologie JavaServerTM Faces 1.2. La plupart des applications JavaServer Faces 1.1 devraient fonctionner avec Web Server 7.0 sans aucune modification requise. Cependant, vous pouvez rencontrer certains problèmes de compatibilité lors de la migration d'applications vers des applications JavaServer Faces 1.2. Des modifications sont alors nécessaires. Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet dans les notes de version de JavaServer Faces à l'adresse suivante : https://javaserverfaces.dev.java.net/rlnotes/1.2_04/issues.html.
Sun Java System Portal Server 7.1, fourni avec Java ES 5, n'est pas compatible avec Sun Java System Web Server 7.0 Update 1. Si vous avez déployé Sun Java System Portal Server 7.1 avec Web Server 7.0, vous devez mettre à niveau les deux serveurs et non uniquement Sun Java System Web Server 7.0. La mise à niveau requise de Sun Java System Portal Server 7.1 est proposée avec Java Enterprise System 5 Update 1 ou les patchs suivants sur le site Web http://sunsolve.sun.com/pub-cgi/show.pl?target=patches/patch-access :
124301 (SPARC) ;
124302 (x86) ;
124303 (Linux).
Si vous utilisez une version localisée de Web Server, installez les patchs de localisation de Portal Server suivants :
125301 (localisation de Solaris SPARC, Solaris x86) ;
125302 (localisation de Linux).
La documentation complète de Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 est disponible à l'adresse suivante : http://docs.sun.com/coll/1653.2.
Cette section répertorie les problèmes résolus dans Web Server 7.0 Update 2.
ID du problème |
Description |
6467621 |
Échec de la requête serveur en utilisant « Sun Software PKCS#11 softtoken ». |
6472223 |
Les valeurs des sous-éléments « mail-resource » ne sont pas définies sur l'objet de session de messagerie. |
6487083 |
NSAPIRequest.setupRequestFields est lent. com.sun.webserver.connector.nsapi.NSAPIRequest.setupRequestFields est lent principalement à cause de la conversion chaîne-->octet, octet-->chaîne lors de l'analyse des en-têtes de cookies. |
6493271 |
L'activité du garbage collector Java est supérieure sur Web Server 7.0 par rapport à Web Server 6.1. Le conteneur de servlet sur Web Server 7.0 crée de nombreux objets Java. |
6497803 |
Si un servlet est mappé sur un URI de requête formé par une requête partielle et un fichier welcome, le comportement correspondant est incorrect. Si un conteneur Web reçoit une requête partielle valide, celui-ci doit examiner la liste des fichiers welcome définie dans le descripteur de déploiement. La liste des fichiers welcome est une liste ordonnée d'URL partiels sans / de début ou de fin. Web Server doit ajouter chaque fichier welcome selon l'ordre spécifié dans le descripteur de déploiement à la requête partielle et vérifier si une ressource statique ou un servlet du fichier WAR est mappé sur cet URI de requête. Le conteneur Web doit envoyer la requête à la première ressource qui correspond dans le fichier WAR. |
6316881 |
Impossible de récupérer les caractères multioctets des en-têtes via req.getHeader(). Les caractères ne sont pas analysés correctement lorsque request.getHeader() est appelé. |
6554326 |
Le message codé en dur « ADMIN3594: Configuration changes require a server restart » n'est pas localisé. |
6565615 |
Dans l'aide en ligne japonaise, la description relative au PAM pour la « Modification des bases de données d'authentification » mentionne de manière erronée le nom du serveur d'annuaire. La description correcte est la suivante : « Modification des bases de données d'authentification » PAM : PAM est la nouvelle base de données d'authentification prise en charge par Sun Java System Web Server 7.0. |
6563951 |
Le sous-répertoire de la collection de recherche comportant une barre oblique au début produit un message erroné. Lorsque vous essayez de créer une collection de recherche et que vous définissez le sous-répertoire de la racine du document avec une barre oblique au début, le message d'erreur résultant vous informe à tort qu'une barre oblique au début est requise. |
6571208 |
Formulation incohérente présente dans le type de listage de répertoires. La phrase « Fichier de réponse d'erreur à utiliser lorsque l'indexation sélectionnée est Aucune » doit être remplacée par « Fichier de réponse d'erreur à utiliser lorsque le listage sélectionné est Aucun ». |
6549584 |
Le mot « Other » n'est pas traduit dans la liste des pays. |
6556225 |
Dans la fenêtre Ajouter des documents, la case « Included » pour le sous-répertoire n'est pas traduite. |
6565615 |
Aide en langue japonaise : la section « Modification des bases de données d'authentification » comporte une description différente du PAM. |
6628918 |
Problème de traduction des messages de l'IG d'administration en japonais. |
6628917 |
Problème de traduction de l'aide en ligne du programme d'installation de l'IG. |
Cette section répertorie les problèmes résolus dans Web Server 7.0 Update 2.
Cette section répertorie les principaux problèmes et restrictions connus de Web Server 7.0 Update 2.
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à l'administration de Web Server.
Tableau 4 Problèmes connus liés à l'administration
ID du problème |
Description |
---|---|
6364924 |
Un nœud peut être enregistré sur plusieurs serveurs d'administration, ce qui peut engendrer un conflit de configuration. Il est possible d'enregistrer un nœud sur un serveur d'administration secondaire sans annuler l'enregistrement sur le premier serveur. Cependant, cela entraîne l'inaccessibilité des nœuds sur les deux serveurs d'administration. Solution Pour chaque enregistrement, redémarrez le nœud d'administration. Le nœud d'administration est disponible sur le serveur d'administration le plus récent sur lequel il a été enregistré. |
6379125 |
La commande wadm autorise la connexion à un nœud, affiche un certificat et émet une « Erreur HTTP 400 ». Quand un nœud d'administration reçoit une connexion, celui-ci ne vérifie pas si la connexion provient du serveur d'administration avant le traitement. Il imprime un message d'erreur inapproprié et invite l'utilisateur à entrer un mot de passe. |
6387762 |
Impossible d'accéder aux variables shell/système à partir de wadm. Solution wadm n'hérite pas des variables d'environnement shell. Cependant, pour rendre les variables shell disponibles pour wadm, utilisez la commande "java::call System getenv nom_env_var Par exemple : Pour accéder à la variable d'environnement shell MAIL à partir de wadm, saisissez la commande suivante à l'invite de wadm : wadm> java::call System getenv "MAIL" /var/mail/abc |
4793938 |
La boîte de dialogue d'authentification s'affiche à la place de l'index de répertoire. Par défaut, Web Server 7.0 n'envoie pas d'index de répertoire à moins que l'utilisateur ne se soit authentifié. La tentative d'accès à un répertoire invite l'utilisateur à entrer un nom d'utilisateur et un mot de passe. Cela se produit car la liste de contrôle d'accès par défaut (ACL) dans Web Server 7.0 n'accorde de droit d'accès qu'aux utilisateurs authentifiés. Solution Vous pouvez accorder le droit d'accès à la liste aux utilisateurs non-authentifiés à l'aide de la console d'administration ou en modifiant le fichier default.acl. Pour plus d'informations sur cette procédure, reportez-vous à la section Configuring Access Control du Sun Java System Web Server 7.0 Update 2 Administrator’s Guide. |
6327352 |
Les instances, pour lesquelles la réplication de session est activée, ne se lancent pas correctement si les autres instances du cluster ne sont pas démarrées. |
6393534 |
Après avoir migré les certificats clés du keystore Java à l'aide de la commande migrate-jks-keycert et après avoir essayé de répertorier les certificats clés jks à l'aide de la commande list-certs, le CN, l'organisation et d'autres informations s'affichent à la place du pseudonyme du certificat. |
6407486 |
Lors de la définition de la propriété SSL à l'aide de la commande wadm set-ssl-prop, la propriété server-cert-nickname accepte n'importe quel pseudonyme de certificat, au lieu de n'accepter que le pseudonyme de certificat du serveur. |
6443742 |
La commande CLI set-session-replication-prop ne fonctionne pas si l'option « nœud » est spécifiée avec un nom de domaine complet . Solution Utilisez la sortie de la commande list-nodes pour les noms valides de nœuds dans la commande set-session-replication-prop. |
6468570 |
Répondre « oui » à l'invite wadm provoque l'arrêt brutal de la CLI. |
6469676 |
Lorsque vous essayez de vous connecter au serveur d'administration après l'expiration des certificats d'administration, un message d'erreur incorrect s'affiche. |
6480600 |
La commande register-node émet un message d'erreur incorrect lorsque le serveur d'administration s'exécute avec un espace disque insuffisant. |
6495446 |
Si aucun espace disque n'est disponible sur le périphérique, wadm émet un message d'erreur incorrect « Impossible de communiquer avec le serveur d'administration. » |
6502800 |
L'exécution de la commande migrate-server avec les options « --all » et « --instance » ne provoque pas d'erreur. Un avertissement ou un message d'erreur devrait s'afficher, indiquant que l'utilisateur essaie de définir des options incompatibles. |
6416328 |
Le bouton Démarrer des instances de la console d'administration est actif pour une instance déjà en cours d'exécution. Les boutons doivent être activés ou désactivés selon l'état de l'instance. |
6418312 |
wadm vous autorise à définir des propriétés utilisateur dupliquées. L'ajout de propriétés utilisateur dupliquées n'engendre pas de message d'erreur, cependant, la nouvelle propriété utilisateur n'est pas créée. |
6421740 |
Il n'y a pas de provision pour créer un nouveau fichier de la liste de contrôle d'accès (ACL) en utilisant la console d'administration ou la CLI. |
6423432 |
Sous Windows, l'utilisation d'une configuration existante et la répétition du processus d'ajout et de suppression des nœuds enregistrés entraîne l'échec de la validation. |
6426116 |
Le fait de cliquer sur le bouton Version de la console d'administration affiche l'avertissement « fichier introuvable » dans les journaux d'erreurs d'administration. |
6430417 |
Les types MIME autorisent une valeur MIME comportant des caractères multioctets. |
6442081 |
Le texte de la page de la liste de contrôle d'accès n'est pas formaté. |
6442172 |
L'utilisateur peut être transféré entre les listes « disponibles » et « sélectionnés » dans l'ACE même si celui-ci a été supprimé de la base de données d'authentification . |
6446162 |
Aucun avertissement n'est émis avant la suppression de la clé ou de la base de données d'authentification des fichiers de synthèse. |
6446206 |
Lorsqu'un utilisateur unique est supprimé d'un groupe, un message incorrect « Enregistrement du groupe réussi » s'affiche. |
6448421 |
L'interface d'administration vous autorise à créer un nouvel utilisateur avec un ID utilisateur multioctet dans la base de données d'authentification des fichiers clés. |
6455827 |
Le tableau Utilisateur et groupe de la console d'administration affiche l'ensemble des résultats sur une seule page. |
6461101 |
L'étiquetage des boutons Demander un certificat et Installer de la page Créer un certificat autosigné de la console d'administration doit être révisé. |
6462057 |
Les boutons Ajouter et Supprimer sont activés dans la nouvelle fenêtre de l'ACE même si la liste « Disponibles » ne contient aucun élément. |
6464891 |
La console d'administration tronque l'affichage des journaux du serveur à 50 lignes ou 2 pages. |
6465382 |
Aucune validation n'existe pour vérifier l'entrée d'un code de pays erroné dans l'assistant de demande de certificat. |
6465421 |
Dans la console d'administration, aucune description de zone de texte n'est fournie pour les champs du serveur virtuel, de la base de données d'authentification, de la collection DAV et de l'événement . |
6466336 |
La console d'administration affiche une version JDK erronée lors de la création d'une nouvelle configuration. La version JDK affichée sur la console d'administration est 5.0 u6 au lieu de 5.0 u7. |
6471171 |
Le formatage du style est perdu après le redémarrage du serveur d'administration à partir des onglets Nœuds -> Serveur d'administration -> Général. |
6471367 |
La tentative d'accès à la console d'administration à partir d'un autre onglet du même navigateur ne fonctionne pas. |
6471792 |
L'option Afficher le journal présente les résultats sur une seule page. Bien que le critère de recherche sélectionné pour la taille maximale soit de 25 entrées de journal, ce dernier affiche les résultats sur une seule page même si celle-ci contient plus de 50 entrées. |
6472932 |
Une erreur d'incompatibilité de jeton s'affiche lorsque vous supprimez le mot de passe du jeton, puis le réinitialisez via Tâches courantes -> Sélectionner une configuration -> Modifier la configuration -> Certificats > Jetons PKCS11. |
6486037 |
La page Gestion du serveur virtuel -> Gestion du contenu -> Répertoires de documents -> Ajouter doit comporter une option Parcourir pour choisir le chemin d'un nouveau répertoire de documents. |
6492906 |
Le message qui s'affiche à propos des verrous de la collection WebDAV dans la console d'administration est faux. Si vous spécifiez la valeur du délai d'attente pour la collection WebDAV sur infinite , la page Tâches courantes -> Sélectionner une configuration -> Sélectionner un serveur virtuel -> Modifier le serveur virtuel -> WebDAV -> Sélectionner une collection affiche le message suivant : N'EXPIRE PAS. Ce dernier indique en fait que le verrou n'expire pas automatiquement après une durée spécifiée ou un délai infini. |
6498484 |
Un message d'erreur incorrect s'affiche lors de la définition d'un mot de passe de jeton vide à l'aide du bouton « Définir les mots de passe ». |
6500157 |
L'instance ne parvient pas à redémarrer si vous essayez de modifier un mot de passe de jeton et de déployer la configuration sur une instance en cours d'exécution. |
6502287 |
La console d'administration affiche une exception lorsque vous supprimez une configuration et cliquez sur le bouton Migrer. |
6502374 |
L'écran Vérification de la console d'administration des divers assistants doit uniquement afficher les champs contenant des valeurs. |
6502793 |
Au cours de la migration, l'autorisation d'accès du chemin log-dir n'est pas validée. |
6266358 |
Impossible de se connecter via la CLI d'administration si le mot de passe d'administration contient des caractères ASCII étendus. |
6361329 |
Le nom du fichier error-response doit être validé. |
6367282 |
Le serveur d'administration démarre avec un certificat expiré ; wadm doit envoyer un avertissement concernant les certificats expirés. |
6375505 |
La commande unregister-node doit également nettoyer les certificats sur le nœud d'administration. |
6408169 |
Les CLI de verrou WebDAV ne fonctionnent pas sous un environnement de cluster. |
6408186 |
Des installations multiples de nœuds d'administration sur le même nœud enregistré sur le même serveur d'administration ne doivent pas être autorisées. |
6416369 |
L'accès à l'URL du nœud d'administration provoque l'erreur Page introuvable. Étant donné que le nœud d'administration ne comporte pas d'IG, l'accès à l'URL de ce nœud provoque l'erreur Page introuvable. |
6422936 |
Aucune validation pour les préfixe et suffixe du chemin de classe et pour le chemin de bibliothèque native dans les Paramètres du chemin de la JVM sous Java. |
6423310 |
Les éléments de server.xml doivent être classés selon leur fonctionnalité. |
6431984 |
Web Server doit stocker son fichier PID et ses sockets de domaine UNIX dans le répertoire /var/run au lieu de /tmp. |
6441773 |
Sous Windows, le serveur d'administration déplace les fichiers de l'application Web physiquement avant d'arrêter cette dernière. |
6462515 |
L'utilisateur est mal informé lorsque la console d'administration affiche le message « Instance modifiée » à la création des fichiers d'exécution dans le répertoire config. |
6462579 |
Échec de la suppression du magasin d'approbations lors de la désinstallation du nœud d'administration après l'annulation de son enregistrement sur le serveur d'administration. |
6468330 |
Les modifications apportées à la propriété JavaHome ne sont pas enregistrées après le redémarrage de l'instance. |
6475536 |
Il n'existe aucune procédure concrète pour réinitialiser le mot de passe du serveur d'administration. Solution
|
6489727 |
[JESMF CONFORM] CP à l'arrêt doit appeler MfManagedElementServer_stop(). |
6491749 |
Exigence d'une validation plus efficace dans certaines zones de texte pour empêcher la corruption du fichier obj.conf. La plupart des validations fonctionnelles de données dans un format sont effectuées en arrière-plan. L'IG ne comporte que des vérifications minimales, telles que les champs vides, les valeurs entières et les valeurs ASCII. Par conséquent, l'IG stocke les données dans le fichier obj.conf lorsque les données analysées sont corrompues. |
6493971 |
Le serveur d'administration n'expire pas si le redémarrage de l'instance de serveur ne répond pas. Sur les systèmes UNIX, le serveur d'administration patiente jusqu'au redémarrage de l'instance de serveur à l'exécution de la commande restart-instance. Si le redémarrage de l'instance échoue, le serveur d'administration ne répond pas aux requêtes. |
6497213 |
L'exécution de la commande restart-admin, suivie de la commande stop-admin émet une exception dans les journaux d'erreurs d'administration. |
6515745 |
Le processus de l'agent maître SNMP ne parvient pas à démarrer sur Web Server Solution Augmenter la valeur tcp_xmit_hiwat, sur 262144 par exemple, peut permettre à l'agent maître SNMP pair de fonctionner correctement. Saisissez la commande suivante pour modifier la valeur tcp_xmit_hiwat. # ndd -set /dev/tcp tcp_xmit_hiwat 262144 |
6545779 |
Sous Windows, la commande wdeploy échoue si une ancienne version de libnspr4.dll est détectée dans le répertoire system32. Solution Avant d'appeler Java, modifiez le fichier wdeploy.bat, disponible dans le répertoire install_dir/bin. Modifiez le chemin du répertoire Java sur install_dir/lib. Cette modification permet à Windows de rechercher libnspr4.dll dans le répertoire install_dir/lib avant system32 . |
6587832 |
Sous Windows, la console d'administration ne parvient pas, de manière intermittente, à démarrer. Solution
|
6606243 |
Le programme d'installation de Web Server doit importer le certificat autosigné d'administration dans l'onglet Certificat IE. Lorsque vous accédez à la console d'administration à l'aide d'un navigateur, il est possible qu'un message contextuel (pour IE6 et Mozilla/Firefox) ou un message d'avertissement (IE7) s'affiche, indiquant que le certificat n'a pas été émis par une autorité de certification approuvée. Cela vient du fait que le serveur d'administration utilise un certificat autosigné. Pour accéder à la page de connexion de l'IG d'administration, procédez comme suit :
Cette procédure permettra d'accepter temporairement le certificat pour la session de navigateur en cours. Pour accepter définitivement le certificat, suivez les étapes suivantes :
|
6606132 |
Échec de la création du certificat autosigné lorsque le PIN « Sun Metaslot » n'est pas défini Solution Avant de créer le certificat autosigné, définissez le mot de passe « Sun Metaslot » à l'aide de la commande pktool # pktool setpin Entrez le mot de passe. Maintenant, créez le certificat autosigné à l'aide de la commande create-self-signed-cert ou de la console d'administration. |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés au noyau de Web Server.
Tableau 5 Problèmes connus liés au noyau
ID du problème |
Description |
---|---|
6296993 |
Lorsqu'une erreur se produit à l'exécution d'une directive du fichier obj.conf, le nom du fichier et le numéro de ligne où la directive fautive a été trouvée ne sont pas journalisés. |
6365160 |
Lorsque la validation du schéma de server.xml échoue à cause d'une violation contrainte du type de données, un message d'erreur s'affiche mais ne contient pas de description de l'ensemble de valeurs valides pour l'élément. |
6378940 |
Toutes les erreurs d'analyse d'en-tête HTTP ne sont pas journalisées avec l'IP client et une description de l'erreur. |
6470552 |
La SAF set-variable ne peut pas définir une variable prédéfinie. |
6486480 |
Le nombre d'occurrences d'entrées service-nsfc-dump est nul avec <replacement>false</replacement>. Si <replacement>false</replacement> est spécifié dans le fichier server.xml, le nombre d'occurrences d'entrées affichées est nul dans la sortie service-nsfc-dump. Cependant, les occurrences du cache sont correctement affichées. |
6489220 |
Le serveur traite les chaînes non interpolées contenant des constantes de caractères $$ comme étant interpolées. Lorsqu'une valeur de paramètre contient $$ escape, le serveur construit un PblockModel pour le bloc de paramètre. Cette opération est inutile car $$ est une constante. |
6639402 |
La taille de la file d'attente de connexion définie par le serveur pour le descripteur de fichier maximal 1024 est plus faible (128) Web Server réserve les descripteurs de fichier pour divers composants. Si la taille de la file d'attente du pool de connexion, les fichiers ouverts maximum du cache et les connexions persistantes maximum ne sont pas définis, alors, une fois la réserve des descripteurs de fichiers pour d'autres composants effectuée, Web Server divise les descripteurs disponibles en trois. Sur les systèmes où la valeur par défaut du descripteur de fichiers maximum est faible, tels que Solaris 8 ou RHEL, la taille du pool de connexions peut être définie sur une valeur faible. Par exemple, sous RHEL, la valeur par défaut des descripteurs de fichier maximum est de 1024. Si la taille de la file d'attente de connexion n'est pas assignée, Web Server affecte 128 connexions à cette dernière. Cette valeur peut être très faible sur des systèmes occupés. Si les connexions arrivent à expiration, les utilisateurs doivent définir des valeurs plus élevées pour les descripteurs de fichier maximum. |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à FastCGI.
Tableau 6 Problèmes connus liés à FastCGI
ID du problème |
Description |
---|---|
6485248 |
Le stub FastCGI ne parvient pas à fermer correctement tous les processus lorsque reuse-coonection est défini sur true (vrai). Configurez Web Server 7.0 pour fonctionner sous PHP en tant que plug-in FastCGI et définissez reuse-connection=true. Lorsque vous fermez le serveur ou reconfigurez ce dernier, le processus fastcgi() et ses processus enfants sont abandonnés et ne sont pas éliminés correctement. |
6644322 |
La fuite de mémoire dans le stub FastCGI entraîne l'interruption du sous-système FastCGI |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à l'installation de Web Server.
Tableau 7 Problèmes connus liés à l'installation
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés aux opérations de migration et de mise à niveau sur Web Server.
Tableau 8 Problèmes connus liés aux opérations de migration et de mise à niveau
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés aux exemples d'applications de Web Server.
Tableau 9 Problèmes connus liés aux exemples d'applications
ID du problème |
Description |
---|---|
6472796 |
sendmail.jsp affiche un fichier à modifier incorrect pour la spécification de resource.host pour l'exemple d'application javamail. Solution Pour définir javamail.resource.host, modifiez javamail.build.properties et non build.xml comme spécifié dans rép_install/samples/java/webapps/javamail/src/docroot/sendmail.jsp . |
6559735 |
La documentation relative aux exemples d'applications doit mentionner l'ajout de fichier jar au chemin de classe dans le fichier de propriétés. Dans rép-install/samples/java/webapps/security/jdbcrealm/docs/index.html , sous la section « Compiling and Assembling the Application », les instructions doivent signaler l'ajout du fichier jar de pilote JDBC au suffixe de chemin de classe dans le fichier jdbcrealm.build.properties. |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à la fonctionnalité de recherche de Web Server 7.0.
Tableau 10 Problèmes connus liés à la fonction de recherche
ID du problème |
Description |
---|---|
6413058 |
Le fichier server.xml ne stocke pas le motif de fichier complet pour convertir et inclure la recherche. Le schéma ne stocke pas le motif de fichier complet autorisé par la console d'administration et les outils d'administration de recherche dans cette version de Web Server. Il n'a aucun moyen de représenter le motif de fichier complet qui peut nécessiter parfois une migration depuis les versions précédentes de Web Server. |
6632936 |
Sous Red Hat Linux Enterprise Linux 5, la fonctionnalité de recherche ne fonctionne pas correctement. Sur une machine Red Hat Enterprise Linux, si la bibliothèque compat-libstdc++ est installée, vous devez supprimer le RPM installé et télécharger/installer compat-libstdc++ à partir pour i386: compat-libstdc++-296-2.96-132.7.2.i386.rpm Pour x86_64, suivez le même processus à partir: compat-libstdc++-296-2.96-132.7.2.i386.rpm |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à la sécurité de Web Server.
Tableau 11 Problèmes connus liés à la sécurité
ID du problème |
Description |
||
---|---|---|---|
6376901 |
Restriction de la prise en charge des ACL de base et de synthèse pour les ressources du même répertoire. Si le serveur utilise des ACL de base et de synthèse dans différentes parties de l'arborescence de documents, il est impossible de les utiliser simultanément sur différents fichiers ou ressources du même répertoire. |
||
6431287 |
TLS_ECDH_RSA_* nécessite que le certificat de serveur soit signé avec des clés RSA. Les suites de messages chiffrés de type TLS_ECDH_RSA_* nécessitent que le serveur soit doté d'une paire de clés ECC avec un certificat signé à l'aide de clés RSA. Notez que cela exclut d'utiliser ces suites de messages chiffrés avec des certificats autosignés. Cette exigence est inhérente à ces suites de messages chiffrés et n'est pas un bogue. Il serait préférable que le serveur détecte et envoie des avertissements sur les configurations incorrectes liées à ces suites de messages chiffrés mais ce n'est actuellement pas le cas. |
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6611067 |
L'instance Red Hat Enterprise Linux ne parvient pas à démarrer lorsque la sécurité SELinux du système de fichiers est activée. Les nouvelles distributions Linux disposent de nouvelles extensions de sécurité du noyau, activées à partir du projet SELinux. Ces extensions permettent un contrôle plus fin de la sécurité système. Cependant, SELinux modifie également certains comportements système par défaut, tels que le chargement de bibliothèque partagée pouvant s'avérer problématique pour les programmes tiers. Si vous recevez le message d'erreur « Cannot restore segment prot after reloc: Permission denied » au démarrage du serveur d'administration ou de l'instance de Web Server, cela signifie que SELinux est activé sur le système. Solution Pour résoudre ce problème :
|
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6602075 |
Sun crypto 1000 sous Web Server requiert le patch Solaris 10 125465-02 (SPARC), 125466-02 (x86). Workaround Téléchargez le patch requis pour la plate-forme Solaris 10 (SPARC) sur : http://sunsolve.central.sun.com/search/document.do?assetkey=1-21-125465-02-1 Téléchargez le patch requis pour la plate-forme Solaris 10 (x86) sur : http://sunsolve.central.sun.com/search/document.do?assetkey=1-21-125466 |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à la fonctionnalité de réplication de session de Web Server 7.0.
Tableau 12 Problèmes connus liés à la réplication de session
ID du problème |
Description |
---|---|
6324321 |
Aucun message d'erreur descriptif ne s'affiche lorsqu'une erreur se produit à distance. Lorsqu'une exception se produit à distance, les messages d'erreur sont journalisés dans le journal des erreurs de l'instance distante. Cependant, l'instance locale affiche actuellement une exception distante générique qui n'indique pas clairement quel journal d'erreurs l'utilisateur doit consulter. |
6396820 |
La réplication de session ne bascule pas correctement lorsque les cookies sont désactivés sur le client. |
6406176 |
Lorsqu'elle est activée, la réplication de session doit être définie comme le gestionnaire de session par défaut. Après avoir activé la réplication de session à l'aide de la console d'administration ou de la CLI, ou bien en modifiant le fichier server.xml, la réplication de session n'est pas réellement activée. Le fichier sun-web.xml doit être modifier manuellement. |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés au conteneur Web de Web Server.
Tableau 13 Problèmes connus liés au conteneur Web
ID du problème |
Description |
---|---|
4858178 |
Le conteneur Web écrit sur stderr. |
6349517 |
Statistiques de session d'application Web incorrectes pour le mode MaxProcs > 1. Web Server s'exécute en mode multiprocessus. La variable de configuration MaxProcs du fichier magnus.conf est utilisée pour définir le nombre maximal de processus à utiliser. Si la valeur définie pour MaxProcs est supérieure à 1, Web Server utilise le gestionnaire de session basé sur mmap pour que la session ne puisse pas être partagée entre différents JVM. Lors de la collection des statistiques depuis plusieurs processus, les MBeans d'application Web fournissent une session pour les MBeans individuels. Il n'existe aucun moyen de trouver le nombre réel de sessions en consultant les statistiques de session d'application Web d'un MBean individuel.
|
6394715 |
Le conteneur Web supprime l'objet MBeans désactivé de l'application Web. Lorsque l'application Web est désactivée en définissant l'élément <enabled> sur false (faux) dans le fichier server.xml, le conteneur Web supprime les MBeans de l'application Web et par conséquent traite cette dernière comme une application fermée ou supprimée. Étant donné que les objets désactivés sont supprimés, les statistiques sont également perdues. |
6419070 |
Aucune information n'est journalisée dans les journaux d'erreurs au niveau le plus fin de journalisation lors de la création réussie d'une ressource JNDI. |
6422200 |
com.sun.org.apache.xerces.internal.jaxp.DocumentBuilderImpl.parse effectue des lectures par 1 octet. Lors de la lecture du fichier server.xml, la première ligne contenant le numéro de version XML et le codage est lue par 1 octet à la fois. |
6432870 |
Le conteneur de servlet collecte les statistiques lorsque l'élément stats enabled est défini sur false (faux) dans le fichier server.xml. |
6440064 |
Le conteneur de servlet crée un thread par serveur virtuel. |
6501184 |
REQ_EXIT engendre une javax.servlet.ServletException. |
6567124 |
Les applications Web JSF exécutées sous Web Server 7.0 peuvent être interrompues une fois exécutées sous Web Server Update 1. Web Server 7.0 Update 1 est fourni avec la technologie JavaServer Faces 1.2. Toutes les applications Web JavaServer Faces devraient fonctionner avec Web Server 7.0 Update 1 sans aucune modification requise. Cependant, certains problèmes de compatibilité existent avec JavaServer Faces 1.2 et peuvent donc nécessiter des modifications sur les applications pour résoudre ces incompatibilités. Pour de plus amples informations à ce sujet, consultez les notes de version de JavaServer à l'adresse suivante : https://javaserverfaces.dev.java.net/rlnotes/1.2_04/issues.html . Nous recommandons aux utilisateurs de Java ES 5 Portal Server de patienter avant de procéder à une mise à niveau vers Web Server 7.0 Update 1 jusqu'à la sortie de Java ES 5 Update 1. |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à la version localisée de Web Server .
Tableau 14 Problèmes connus liés à la localisation
ID du problème |
Description |
---|---|
6543814 |
Le filtre de recherche « * » ne fonctionne pas correctement avec des chaînes multioctets. |
6549619 |
Sous Windows 2003, lorsqu'une commande est exécutée à partir de la CLI, le message n'est pas codé correctement. |
6630841 |
Tout nouveau rôle du gestionnaire FastCGI est créé sous le nom « English ». |
6632818 |
Chaînes non localisées dans la page Paramètres CGI. |
6628910 |
Le message « Enter your option » du programme d'installation de la CLI s'affiche en anglais dans les environnements localisés. |
Le tableau suivant répertorie les problèmes connus liés à Java Enterprise System (Java ES).
Tableau 15 Problèmes connus liés à Java ES
ID du problème |
Description |
---|---|
6484181 |
Portal Server configure la taille de la pile JVM sur 128 K (trop faible) pour démarrer Web Server 7.0 64 bits. Si Web Server 7.0 est déjà configuré en mode 64 bits et que l'installation de Portal Server est lancée, la configuration de ce dernier ne définit pas la taille de la pile sur 128 K. Cependant, si Portal Server et Web Server sont déjà installés et configurés en mode 32 bits, le basculement en mode 64 bits nécessite une série d'étapes manuelles décrites à la section Solution. Solution Si Portal Server, sous Java ES 5, est déployé sur la version 32 bits de Web Server 7.0 et que vous souhaitez démarrer le serveur en mode 64 bits, procédez comme suit :
|
6487041 |
Scripts schemagen/xjc/wsgen/wsimport manquants dans l'installation de Java ES Web Server. Les scripts schemagen/xjc/wsgen/wsimport se trouvent à différents emplacements dans l'installation de Java ES et l'installation autonome de Web Server. Solution Les scripts font partie des composants Web Services. Dans une installation autonome de Web Server, ces scripts et les fichiers JAR se trouvent respectivement dans les répertoires rép_install/bin et rép_install/lib. Dans une installation Java ES, les scripts et les fichiers JAR sont installés comme partie du composant partagé et résident en dehors de la racine d'installation de Web Server. Voici les différents emplacements des scripts et fichiers JAR selon chaque plate-forme : Solaris OS :
Linux et HP-UX :
Windows :
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6432106 |
La fonction de recherche de Sun Java System Portal Server lève une exception après la mise à niveau de Web Server. La fonctionnalité de recherche de Portal Server lève une exception lors de la mise à niveau de Web Server de Java ES 4 vers Java ES 5. Solution Remarque – Déplacez les fichiers de bibliothèque existants libdb-3.3.so et libdb_java-3.3.so vers un emplacement approprié, c'est-à-dire en dehors des répertoires privés de Web Server. Cela fait, spécifiez le chemin correspondant pour <chemin libdb-3.3.so> :<chemin libdb_java-3.3.so> dans les commandes suivantes. Sur une plate-forme Solaris, procédez comme suit :
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6504178 |
Le journal de migration signale un bogue par le message « root n'est pas un utilisateur valide » sous Java ES 5. Lors de la migration de Java ES 4 vers Java ES 5 sur des plates-formes UNIX, le fichier journal de migration signale AVERTISSEMENT : « root n'est pas un utilisateur valide ». Ce message est incorrect car l'utilisateur « root » est valide sur cet hôte. |
6453037 |
De nombreux messages d'information/avertissements s'affichent au démarrage de Web Server sur la sortie standard au lieu d'être acheminés vers le fichier journal. |
6549580 |
Web Server, exécuté sous Windows, ne contient aucune description du service et celle-ci n'est pas mise à jour après l'application des patchs de Java ES Update 1. |
6550622 |
Lors de la mise à niveau du logiciel Java ES 5 vers Java ES 5 Update 1, les exemples Portal Server échouent, levant des exceptions JSF, si vous avez uniquement mis à niveau Web Server sans Portal Server. Pour plus d'informations, reportez-vous à la section Problèmes de compatibilité. |
6643821 |
La commande SMF supprime l'environnement Java ES des scripts startserv and stopserv. Solution Définissez la variable LD_LIBRARY_PATH dans l'environnement Solaris 10. LD_LIBRARY_PATH=/usr/lib/mps/secv1:/usr/lib/mps:/usr/lib/mps/sasl2:$LD_LIBRARY_PATH |
Si vous rencontrez des problèmes avec Sun Java System Web Server, contactez le support client de Sun de l'une des manières suivantes :
Services de support logiciel en ligne à l'adresse :
Numéro de téléphone indiqué sur votre contrat de maintenance.
Afin de vous aider au mieux à résoudre votre problème, nous vous suggérons de réunir les informations suivantes lorsque vous contactez le support technique de Sun :
Description du problème, notamment les conditions dans lesquelles le problème se produit et son impact sur l'opération effectuée.
Type de machine, versions du système d'exploitation et du produit, y compris patchs et autres logiciels pouvant avoir un lien avec le problème.
Étapes détaillées des méthodes utilisées pour reproduire le problème.
Journaux des erreurs et core dumps éventuels.
Afin d' améliorer sa documentation, Sun vous encourage à faire des commentaires et à apporter des suggestions. Envoyez-les à Sun en utilisant le lien « Envoyer des commentaires » sur le site : http://docs.sun.com/
N'oubliez pas d'ajouter à vos commentaires des informations d'identification, telles que le numéro de référence et le titre du manuel.
Pour envoyer vos commentaires sur le produit Sun Java System Web Server, envoyez un e-mail à mailto:webserver@sun.com.
Vous pouvez obtenir des informations utiles concernant les systèmes Sun Java System sur les sites suivants :
Documentation pour Sun Java System Web Server
Produits et services logiciels Sun
Informations pour les développeurs Sun
Services de support pour les développeurs Sun
Services de support logiciel
Services de formations et de support Sun
Support : http://www.sun.com/support
Formation : http://www.sun.com/training/
Services réservés aux consultants et professionnels Sun
http://www.sun.com/service/sunjavasystem/sjsservicessuite.html
En plus de rechercher la documentation produit de Sun sur le site Web docs.sun.com, vous pouvez utiliser le moteur de recherche de votre choix en entrant la syntaxe suivante dans le champ de recherche :
<search-term> site:docs.sun.com
Par exemple, pour rechercher « Web Server », entrez :
Web Server site:docs.sun.com
Pour inclure d'autre sites Web de Sun dans votre recherche (par exemple, java.sun.com , www.sun.com, developers.sun.com), utilisez sun.com à la place de docs.sun.com dans le champ de recherche.