Instance de la fonctionnalité BrandZ, qui fournit les zones non globales contenant des environnements d'exploitation non natifs servant à exécuter des applications.
Environnement isolé dans lequel les applications non natives sont exécutées dans des zones non globales.
Interface de niveau 2 de la pile de protocoles OSI, qui est représentée dans un système comme une interface STREAMS DLPI (v2). Cette interface peut être montée sous des piles de protocoles tels que TCP/IP. Dans le contexte des zones Oracle Solaris 10, des liaisons de données sont des interfaces physiques, des agrégations ou des interfaces à balises VLAN. Une liaison de données peut également désigner une interface physique, par exemple, lorsque l'on se réfère à une carte d'interface réseau ou à une carte d'interface réseau virtuelle.
Pool créé par le système lorsque les pools sont activés.
Voir aussi pool de ressources.
Jeu de processeurs créé par le système lorsque les pools sont activés.
Voir aussi jeu de processeurs.
Informations relatives à la disposition des ressources au sein de la structure des pools de ressources pour un système particulier et à un moment donné dans le temps.
Sur les systèmes SPARC, aptitude à reconfigurer le matériel en cours d'exécution du système. Cette fonctionnalité est également désignée par son acronyme anglais DR (Dynamic Reconfiguration).
Moyen souple d'enregistrer la consommation des ressources sur la base d'une tâche ou d'un processus dans le système d'exploitation Solaris.
Catégorie de programmation, aussi connue sous le nom FSS (Fair Share Scheduler), qui permet d'allouer du temps CPU en fonction des parts attribuées. Les parts définissent la portion des ressources CPU d'un système allouées à un projet.
Voir ordonnanceur FSS.
Utilisateur root ou administrateur assumant le rôle root. Lorsqu'il est connecté à une zone globale, l'administrateur global ou un utilisateur possédant les autorisations appropriées peut surveiller et contrôler le système dans son ensemble.
Voir aussi administrateur de zone.
Zone contenue dans chaque système Oracle Solaris. En cas d'utilisation de zones non globales, la zone globale correspond à la fois à la zone par défaut du système et à la zone utilisée pour le contrôle administratif à l'échelle du système.
Voir aussi zone non globale.
Actions locales exercées dans le cadre d'un processus qui tente de dépasser la valeur de contrôle.
Pourcentage d'utilisation de la mémoire physique sur le système au-delà duquel le démon de limitation des ressources applique l'allocation restrictive de mémoire.
Dans le chapitre Projets et tâches (présentation) du présent document, ce terme fait référence à la fois aux conteneurs LDAP et aux cartes NIS.
Environnement de système d'exploitation virtualisé créé dans une instance unique du système d'exploitation Oracle Solaris. La technologie de partitionnement logicielle des zones Oracle Solaris est utilisée pour virtualiser les services de système d'exploitation.
Voir administrateur de zone.
Environnement d'exécution complet destiné aux applications Solaris 10 en cours d'exécution dans une zone marquée solaris10 sur un système fonctionnant sous Oracle Solaris 11.
Technologie de partitionnement logicielle utilisée pour virtualiser les services de système d'exploitation et fournir un environnement sécurisé, isolé, dans lequel exécuter des applications.
Voir pool de ressources.
Démon système poold activé lorsque l'allocation dynamique des ressources est nécessaire.
Regroupement disjoint de CPU. Chaque ensemble de processeurs peut contenir zéro, un ou plusieurs processeurs. Un jeu de processeurs est représenté dans la configuration des pools de ressources comme un élément de ressource. On parle aussi de "pset".
Voir aussi jeu disjoint.
Aspect du système informatique pouvant être manipulé afin de modifier le comportement d'une application.
Démon ayant pour fonction de réguler la consommation de la mémoire physique par les processus exécutés dans le cadre des projets concernés par la limitation des ressources.
Il s'agit essentiellement d'un processus Solaris. Les modèles de processus tels que le projet et la tâche représentent des moyens de négocier l'utilisation des ressources en termes de consommation globale.
Limite prévue pour la consommation d'une ressource par processus, par tâche ou par projet.
Fonctionnalité permettant de contrôler l'utilisation des ressources système disponibles par les applications.
Sous-ensemble exclusif d'une ressource. La somme de toutes les partitions d'une ressource représente la quantité totale de la ressource disponible dans une seule instance Solaris en cours d'exécution.
Mécanisme de configuration utilisé pour partitionner les ressources de la machine. Un pool de ressources représente une association entre des groupes de ressources susceptibles d'être partitionnées.
Ressource pouvant être liée à un processus. Dans la plupart des cas, ce terme désigne les objets créés par un sous-système de noyau offrant une possibilité de partitionnement. Les classes de programmation et les jeux de processeurs sont des exemples de lots de ressources.
Voir taille résidente définie.
Thread de noyau qui identifie les pages rarement utilisées. En cas de mémoire insuffisante, l'analyseur récupère les pages qui n'ont pas été récemment utilisées.
Représentation de la manière dont un administrateur aimerait configurer un système en fonction des pools de ressources.
Dans le domaine de la gestion des ressources, ensemble des processus représentant un travail donné dans le temps. Chaque tâche est associée à un projet.
Type de zone non globale dans laquelle tous les logiciels système requis et tous les packages supplémentaires sont installés sur les systèmes de fichiers privés de la zone.
Capacité du jeu de pages utilisé de façon active par la charge de travail d'un projet pendant son cycle de traitement.
Les privilèges d'un administrateur de zone sont limités à une zone non globale.
Voir aussi administrateur global.